Aucun d'entre vous n' a dit qu'il avait déposé plainte, donc ces pourris ne risquent rien et peuvent s'en donner à coeur joie. Lorsqu'ils se feront éventuellement pincer, ils jureront que c'est la première fois.
Donc, vous êtes des victimes consentantes avec lesquelles, ces salauds s'amusent comme avec des pantins.
Si l'un de vous les intercepte, les immobilise et les confie à la police, si l'un des malfrats à une griffe, il déposera plainte pour agression et son avocat vous pousuivera pour agression sur personne.
Ne riez pas en disant, ce n'est pas possible, chez nous, on a vu des cambriolés menacés par des voleurs, utilisant une arme à feu poursuivi pour non respect de la loi sur la légitime défense. ( Soit trois cambrioleurs surpris par l'habitant et menacés vers trois heures du matin, aprés effraction, déposer plainte contre la victime ).
Donc, que faire
Simple, buter les crapules sans laisser de trace.
Procèdure :
Mettre des gants en cuir, s'habiller d'une salopette usagée inconnue, une cagoule, des verres de protection, des godasses pourries, tous les raccords des vêtements sont hermétisés avec de la bande collante large, attention, pas d'empreinte.
Il faut trouver un riot-gun relativement pourri, acheté en anonyme et comptant, avec cinq cartouches 9 ballettes ramées. Un petit bidon d'essence de 5 litres.
Tu attends les salauds dévastateurs et avant qu'ils soient devant ton vélo, tu les butes, ils sont trois, aux ballettes ramées, tu vas en faire du haché.
Voilà, ils sont morts, bien fait, tu récupère les " bourres " des cartouches et celles éjectées pour contrecarrer l'identification de l'arme, car sans ces éléménts, un riot-gun est à canon lisse, donc, adieu l'identification.
Pas devant ton vélo, car de cette façon, il n'y aura pas d'impact ou de ricochet sur ton vélo.
Bon, je continue dans l'horreur.
N'oublie pas de garder un couvre-chef et des gants en cuir, après un repèrage, tu voles une voiture facile, avec la tenue du meurtre, tu as repéré un point d'eau important, un fleuve, un canal.
Premier arrêt; tu démontes l'arme et tu balances les pièces ici ou là.
Deuxième arrêt : Tu brûles avec l'essence tes vêtements du meurtre.
Troisième : Tu balances la voiture dans la flotte ou tu l'incendies.
Quatrième, tu rentres chez toi, calmement, tu peux aussi avoir planqué ta voiture, pas loin des lieux des éliminations.
Bon sang que c'est dur, le crime presque parfait.
J'ai l'impression que l'on pourrait en faire un roman.
Tous ces faits sont de la pure fiction et en aucun cas ne pourraient relever de la réalité.