La nature ayant été atteinte de gigantisme végétal et animal, en certaines périodes reculées, aurait pourquoi pas créé des hommes géants.
Des preuves tangibles
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L'anthropologiste allemand Larson Kohl a découvert en 1936, sur la rive du lac Elyasi, en Afrique du Sud, les ossements humains géants. Les paléontologistes et anthropologistes allemands Gustav von Königswald et Frank Weidenreich (1873 -- 1948) ont trouvé, entre 1937 et 1941, dans des pharmacies chinoises du continent ou de Hong Kong, plusieurs ossements humains d'une taille étonnante. Le professeur Weidenreich a fait, en 1944, un exposé sur ces restes de géants, en présence de l'American Ethnological Society. Le docteur Rex Gilroy, un archéologue australien, directeur du Mount York Natural History Museum, a ouvert à Mount Victoria des empreintes fossiles de pieds de géants dont l'authenticité ne saurait être mise en doute. De plus, trois débris de mâchoires humaines gigantesques ont été trouvés : un en Afrique du Sud, un Java et en Chine du Sud. Ces fragments de squelettes géants posent aussi de nombreux points d'interrogations. Le docteur Burkhalter, de la société française de préhistoire, a écrit en 1950 dans la revue du musée de Beytouth que l'existence de géants à la période acheuléenne (stade du paléolithique ancien qui a coïncidé avec la majeure partie de la période glaciaire) est un fait scientifiquement établi. Lors de fouilles au Caucase, en 1964, on aurait retrouvé dans une grotte d'Alguetca, près de Mangliss des squelettes d'hommes mesurant 2,8 m à 3 m. Il apparaît donc évident que des chercheurs reconnus et compétents ont trouvé des éléments importants qui viseraient à confirmer l'existence de géants sur la Terre à une époque très reculée. Les textes mythologiques y font très souvent référence, mais force est de constater que le gigantisme humain est difficilement admis dans les milieux scientifiques. Le schéma darwinien et celui des anthropologistes ne font pas la moindre place aux géants alors de l'humanité.
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Le dominicain Reginaldo de Lizarraga, qui vécut au Pérou de 1555 à 1599 et écrivit la descripçion y plobacion de las Indias, rapporte un mythe se rapportant à des êtres de stature incroyable. Cieza de Leon rapporte l'histoire d'une invasion de géants, recueillies auprès des indigènes de Santa Elena, Dans L'actuel Equateur : « de la mer arrivèrent sur des bateaux de balsa et de paille aussi grands que des vaisseaux des hommes si immenses qu'un homme ordinaire de bonne stature atteignait la hauteur de leurs genoux. [...] Comme ils n'avaient pas de femmes et que les indigènes voulaient pas d'ux à cause de leur taille, ils pratiquaient la sodomie entre eux, sans honte ni crainte de Dieu... Les Indiens affirment que Dieu leur infligea une punition appropriée à l'énormité de leur crime. Alors qu'ils étaient ensemble, sa donnant leurs pratiques homosexuelles, un terrible feu descendit du ciel avec un énorme bruit, et il en surgit un ange resplendissant, une épé acérée et brillante à la main. D'un seul coup, il les tua tous et le feu les consuma. » Nous retrouvons encore une fois, la suppression de la race géants par une intervention divine suite à une conduite jugée répréhensible. Nous pouvons faire remarquer que Platon expliquait également la catastrophe de l'Atlantide par des causes morales. Les hommes étant devenus pervers les Dieux se mirent en colère et éliminèrent leur création : « ils tombèrent dans l'indécence -ils apparurent laids- et le Dieu des Dieux, Zeus, qui règne par les lois, compris quelles dispositions misérables prenait cette race, d'un caractère primitif si excellent. Il voulut leur appliquer un châtiment afin de les faire réfléchir et de les ramener à plus de modération. » Suivant ce raisonnement, doit-on voir dans les géants mentionnés dans le texte biblique ou autres récits mythologiques, les descendants ou survivants de la lointaine civilisation atlantéenne. Concernant le Pérou, le missionnaire jésuite Pedro Lozano parlait de « géants à face de chiens et aux longues dans pointus. » rencontrés près de Cuzco. Antonio Pigafetta, historien du voyage de Magellan autour du monde (1934), donna une description d'un peuple gigantesque qu'il déclarait avoir vu de ses propres yeux en Patagonie : « un jour où nous nous y attendions le moins, un homme d'une stature gigantesque se présenta à nous... Il était si grand que nos têtes arrivaient à peine à sa ceinture. »
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Les témoignages rapportés par les traditions toltèques du Mexique apportent une confirmation inattendue aux éléments apportés par les textes bibliques. Les Toltèques sont encore mal connus de nos jours. Seuls quelques éléments ont été rapportés par les chroniqueurs de l'époque de la conquête espagnole. L'histoire des Toltèques écrites par Ixtlilxochitl, divise l'histoire du monde en plusieurs périodes appelés « Soleils » : la deuxième époque -- le Soleil de la Terre -- vit le monde peuplé de géants, les Quinametzins, qui disparurent presque entièrement parce que des tremblements de terre détruisirent la Terre. Le Soleil du Vent fut la troisième époque, et les Olmèques et Xicalancas, races humaines, vécurent sur la Terre. Ils tuèrent les géants qui avaient survécu, fondèrent Chuchula et allèrent jusqu'à Tabasco. « Tout comme dans les récits de la bible, une civilisation peuplée de géants semble avoir dominé la Terre dans des temps très anciens. Anéantis à la suite d'un cataclysme, les quelques géants survivants furent massacrés par les humains mais ont laissé dans des récits mythologiques l'empreinte de leur existence de leur magnificence perdue.