22 août 2004 :
Données sismographiques concernant l'effondrement des tours jumellesSource :
http://www.americanfreepress.net/09_03_ ... smic_.htmlCette source correspond à une web-journal américain : AmericanFreePress.net . L'article est de Christopher Bollyn.
Le temps passe. Les évènements du 11 septembre tendent à se diluer dans notre passé. On notera l'intervention de Dominique Baudis, directeur du CSA (Conseil Supérieur de l'Audiovisuel) qui, tout en ayant été le représentant du groupe Carlyle en France (intérêts des familles Bush et Ben Laden) aurait démarché par courrier (source, journal "Voltaire") auprès France-Télévision pour déconseiller toute intervention de Thierry Meyssan, sous le prétexte " qu'il diffusait des informations de toute évidence fausses ". Voir la page consacrée à l'extension des pouvoirs coercitifs du CSA (août 2004).
Cette affaire du 11 septembre continue donc d'être fouillée par des enquêteurs privés américains. Nous avions (voir une image reproduite plus haut dans cette page) envisagé une thèse concernant la cause de l'implosion des tours jumelles. On sait que celles-ci étaient, structurellement parlant, accrochées littéralement à une sorte de pilier central, constitué par des éléments métalliques logés dans une espèce de cage en béton. L'idée était que les appareils, en percutant les tours et en traversant aisément, comme le démontre les films, les frèles structures (planches, parois de verre) constituant les étages aurait pu percuter ces cage bétonnées et pratiquer des ouvertures à l'intérieur desquelles le kérozène contenu dans les réservoirs (ceux des appareils étaient pleins et correspondaient à des vols transcontinentaux) aurait pu ruisseler. Mais pour que du kérozène brûle, il faut de l'oxygène. Or, comment assurer la combustion de celui-ci dans ces cages fermées, a priori sans appel d'air possible ? On tombe sur un nouveau problème où la réponse ne pourrait venir que d'études techniques, voire de simulations vraie grandeur.
Que se passe-t-il lorsqu'une partie du kérozène emplissant les réservoirs d'un avion de ligne pénètre dans une cage bétonnée et ruisselle à l'intérieur de celle-ci, des centaines de mètres en contre-bas ? Peut-il brûler efficacement ? Rien n'est moins évident, lorsqu'on y réfléchit car tout début de combustion épuiserait bien vite l'oxygène disponible contenu dans ces fonds de cages. Elles sont a priori trop étroites pour que celui-ci soit renouvellé par convection. La chaleur dégagée serait-elle alors suffisante pour ramollir les structures métalliques ? L'article précise que la température de fusion de l'acier de cette structure est élevée : 2800 degrés Fahrenheit. Pour information, cette structure porteuse des tours étaient constituée par 47 énormes colonnes en acier, creuses, ancrées sur le sous-sol rocher de Manathan à une profondeur de 70 pieds (23 mètres).
L'agence France Presse, selon Loizeaux (Président de Controlled Demolition Inc. et interrogé comme expert aux fins d'expertise des débris), aurait évoqué, outre cette combustion du kérozène, celle "de masses de papiers, de réservoirs de fuel et de tapis entreposés dans la base du bâtiment". Mais, un : la chaleur dégagée aurait-elle été suffisante, deux : d'où serait venu l'oxygène assurant cette combustion ? Des experts contestenteraient cette version des faits. Eric Hufschmid, auteur d'un ouvrage consacré au collapse des bâtiments du World Trade center, intitulé Painful Question ("Questions Douloureuses", disponible aux Editions du Premier Amendement, 160 pages, 645 Pensylvania avenue, suite 100, Washington DC 20003. Contact téléphonique 1-888-699-6397) déclare quant à lui que ce mélange de kérozène et des papiers, tapis et autres combustibles qui auraient été censés être entreposés à la base du la cage de béton du bâtiment et dans les cages d'ascenseurs n'aurait pu produire qu'un mélange brûlant avec difficulté, faute d'un fort appel d'air indispensable pour entraîner leur embrasement. Un argument à garder en tête.
Nous en sommes toujours là puisqu'en fait une sorte de tabou pèse toujours sur toute étude technique des évènements du 11 septembre qui tendraient à contredire la thèse officielle.
En considérant les évènements, la conclusion des experts (Loizeaux) est que l'implosion a été un phénomène extrêmement brutal, affectant l'ensemble du bâtiment. C'est à dire que les 47 colonnes porteuses auraient cédé ensemble, d'un coup. Loizeaux remarque : "si j'avais voulu flanquer ces tours par terre, j'aurais dynamité la base de la structure porteuse. Le poids du bâtiment aurait alors suffi à provoquer son collapse total, son implosion". Une telle implosion pourrait-elle être due au ramollissement de ces structures par chauffage. On se prête maintenant à en douter, tant que ce problème n'aura pas été techniquement élucidé.
C'est là qu'apparaîssent de nouvelles données, émanant d'enregistrement sismographiques effectués par l'université de Colombia, dans un laboratoire situé à 21 miles (37 kiolomètres) au nord de New York City. La tour sud s'est effondrée à 9 h 59 minutes 4 secondes et son collapse s'est effectué en dix secondes. L'effondrement de la tour nord a duré huit secondes et s'est produit à 10 h 28 minutes et 31 secondes. Ces phénomènes ont donné des signaux de magnitude 2,1. Les impacts des avions eux-mêmes n'ont pas donné de signal significatifs. En toute logique le signal le plus fort aurait dû être enregistré en fin d'implosion, quand toute la masse du bâtiment, littéralement en chûte libre, aurait percuté le sol et créé un fortt ébranlement. Or c'est exactement l'inverse qui a été constaté. Sur les enregistrements sismographiques on dénote au contraire un pic très prononcé juste au début du phénomène d'implosion, juste avant que ne s'amorce le phénomène de descente de ces structures, dont tout le monde a gardé en tête les images horribles, sachant qu'elle signifiaient la mort de milliers de personnes. Ces enregistrements ont été examinés par le sismologiste Thorne Lay, de l'université de Californie à Santa Cruz, qui parle alors de pics de brève durée, évoquant une explosion. Il s'agit réellement de pics et l'intensité de ce signal serait 20 fois plus élevée que l'ensemble du signal correspondant au collpase des bâtiments. Tout ceci, selon les experts, est incompatible avec la thèse officielle d'une implosion due au ramollissement des élements de la structure, phénomène qui ne s'accompagnerait d'aucun signal sismique particulier. Selon Arthur Lerner-Lam, directeur du Centre de Recherche sur les Phénomènes à Risque à l'université de Colombia ce phénomène doit être élucidé et faire l'objet de recherches. Selon lui, le renforcement du signal d'un ordre de grandeur appellerait un dégagement d'énergie cent fois plus fort. Il s'agit "d'ondes sismiques de surface de courte période, traduisant une interaction entre le sol et les fondations du bâtiment".
D'autres données techniques :
- Il faut 40 tonnes de nitrate d'ammonium pour provoquer un signal sismographique d'une magnitude comprise entre 1 et 2.
- Quand en 1993 un attentat suicide eut lieu contre le Wold Trade Center à l'aide d'un camion bourré d'explosif, ceci ne produisit aucun signal sismographique parce que le phénomène "n'était pas couplé au sol". En conséquence l'intensité du signal enregistré militerait en faveur d'une explosion transmise au sol par les éléments de structure métallique s'y enfonçant jusqu'à 23 mètres de profondeur.
- Le signal enregistré ne cadre pas avec l'énergie cinétique liée à l'imposion des tours. Il est plusieurs fois supérieur à ce qu'on pourrait attendre. Une question émerge alors : d'où venait l'énergie ?
- En dépit des dires de nombreux témoins qui ont fait état d'explosions dans les tours, les ingénieurs commissionnés par la FEMA n'ont pas procédé à des tests comparatif allant dans le sens de l'hypothèse d'une explosion intentionnelle. Ceux-ci, précisant "qu'ils n'étaient pas métallurgistes" se sont surtout souciés de revendre les débris, dans différents pays pour nettoyer le site.
- Les débris métalliques sont désormais hors de portée de toute expertise, ayant été revendus au poids à des compagnies situées hors du territoire américain, à Shangaï, en Indes ou dans différents points situés en Asie. Il ne faut pas oublier que des analyses auraient pu mettre en évidence des traces d'explosifs sur les fragments divers, qui ont tous disparu, de même que les débris de l'aile du Pentagone détruite, déménagés dans les 48 heures après l'évènement. De toute façon, au moment où ces débris étaient encore accessibles il est vraisembleble qu'aucune analyse de ce type n'a été faite, tant la destruction intentionnelle par dynamitage eut été impensable. Les impacts des avions étaient là pour tout justifier.
Ainsi, comme pour le Pentagate on tombe sur une collection de points obscurs et sur une suite d'histoire dispersant les débris susceptibles d'être l'objet d'analyse ultérieure. L'hypothèse comme quoi, après que les tours aient été frappées par des avions-suicides, leurs collapses aient été délibérément déclenchés en cisaillent les colonnes porteuses à leur base ne peut être rejetée a priori. Les indices sismographiques vont au contraire en ce sens. Mais quel Américain pourrait humainement envisager une telle hypothèse ?
Après les doutes plus que sérieux sur l'attentat du Pentagone, on a ici un nouveau point logiquement incompatible avec la version officielle... J'ai envie de dire que c'est même plus étonnant.