Les annonces de PFRN !

Bienvenue sur PFRN 3.0 ! Nouveau design, nouvelles fonctions...

L'Atlantide sous L'Antarctique ?

Anciennes civilisations, mystères archéologiques, etc.

Modérateurs : Webmasters, Administrateurs du forum

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

L'Atlantide sous L'Antarctique ?

Message par DRAGON » Sam Janvier 03, 2004 16:36

Traduction : http://www.paranormal-fr.net

L’Atlantide sous L'Antarctique ?

Après la Deuxième Guerre mondiale, les scientifiques ont commencé à prêter une attention particulière à la question d'une civilisation censée avoir existé en Antarctique. L'hypothèse est confirmée par des cartes et les recherches médiévales des paléongéologues et des glaciologues.

En janvier de l’année 1820, le lieutenant Mikhail Lazarev de la flotte impériale russe a découvert un Nouveau Continent. Dans le début du 20e siècle, une encyclopédie russe, tout en rapportant la superficie approximative du continent du pôle Sud, signale qu'il a été insuffisamment exploré.

Vingt ans plus tard, le directeur du musée national d'Istanbul, Khalil Edkhem, alors qu’il triait une bibliothèque des empereurs byzantins dans un vieux palais, a trouvé une carte antique tracée sur de la peau de gazelle. Sur la carte, il y avait les rivages de l'Afrique australe occidentale, ainsi que les rivages nordiques de l'Antarctique. Khalil n'en croyait pas ses yeux, les rivages au sud du soixante-dixième parallèle, étaient exempts de glace. À la place un cartographe antique avait tracé une chaîne de montagnes à cet endroit. Le nom du cartographe a été identifié : un amiral de la flotte d'empire de tabouret, Piri Reis, qui vécut dans la première moitié du 16e siècle.

L'authenticité de la carte était indiscutable. Les examens des graphologues sur les notes écrites dans la marge ont confirmé qu'elles ont appartenu à l'amiral.

En 1949, une expédition composée de britanniques et de suédois a réalisé des mesures sismiques intensives au Pôle Sud sur la couche de glace. Selon le commandant du 8e escadron technique de recherche des USA, sous le commandement des forces stratégiques du colonel Harold Olmayer. Les détails géographiques de la partie inférieure de la carte (le rivage de l'Antarctique) correspondent aux résultats des mesures sismiques. Nous ne pouvons pas comparer ces données avec le niveau supposé de la géographie en 1513.

Dans ses notes sur les cartes mises en marge, au 16e siècle, Piri Reis explique qu'il n'est pas responsable de la cartographie et que la carte est basée sur des premières sources. Certaines de ces sources, appartiennent à ses contemporains (par exemple, à Christophe Columb), alors que d'autres pourraient être datées du 4e siècle av JC, voire plus loin encore, parce qu'une de ces sources a appartenu à Alexandre le Grand.

Naturellement, les historiens professionnels qui se spécialisent dans l'histoire antique pourraient dire ce qu’il s’agit seulement d’une hypothèse de plus. Que dire des sources de documentation, qu’elles ne sont plus valables, plus dignes de confiance ? L'opinion de l'amiral turc et les notes écrites dans une marge que vous connaissez, c'est trop discutable !

Par conséquent, je voudrais présenter la position du défunt historien et professeur de l'université de Keene au New Hampshire, États-Unis, Charles H. Hapgood. Vers la fin de l’année 1959, il a découvert à la bibliothèque du congrès de Washington qu’une carte créée par Orontheus Phynius en 1531. Orontheus Phynius a dépeint l'Antarctique avec des montagnes et des fleuves, sans glacier. Le centre de continent n'a pas été décrit, selon Hapgood, cela pourrait signifier qu'il y aurait eu une calotte de glace dans ce secteur.

Au début des années 1960, la carte de Phynius- a été étudiée par le docteur Richard Stratchen de l'institut de technologie du Massachusetts ainsi que Hapgood. Les deux scientifiques ont conclu que Phynius avait en effet dépeint l'Antarctique exempt de glace. Les caractéristiques représentées étaient très près des informations qui ont été obtenues en 1958 par les spécialistes de différents pays.

Gérard Cremer, connu dans le monde sous le nom de Mercator, a également fait confiance à l'évidence d'Orontheus-. Il a inclus la carte de Phynius dans son Atlas, dans ce dernier plusieurs cartes de l'Antarctique de Mercator lui-même ont été également jointes. Il y a une particularité intéressante sur la carte de Mercator de 1569, le rivage occidental de l'Amérique du Sud est décrit moins exactement que sur la carte antérieure de Mercator datant de 1538. Les raisons de cette contradiction sont les suivantes : en travaillant à la carte plus ancienne, le cartographe du 16e siècle procédait à partir des sources antiques, qui ne sont actuellement plus connues. Par contre en travaillant à la carte postérieure, il procédait à partir des observations des premiers explorateurs espagnols en Amérique du Sud. L'erreur de Gérard Mercator peut être excusée. Au 16e siècle, il n'y avait aucune méthode précise pour mesurer la longitude: en règle générale, une erreur pouvait avoir des centaines de kilomètres!

En conclusion, nous en venons à Philippe Boiche, membre à part entière de l'académie scientifique française. En 1737, il a édité sa carte de l'Antarctique. Boiche à présenté une image précise de l'Antarctique du temps où le continent était exempt de glace. Sur sa carte, la topographie du continent sous la glace est représentée, notre civilisation n'en avait aucune idée précise jusqu'en 1958. D'ailleurs, basé sur des sources aujourd'hui disparues, l'académicien français a dépeint au milieu du Pôle Sud une surface d’eau la divisant en deux continents secondaires, qui ont été situés à l'ouest et à l'est de la ligne des montagnes actuellement marquée. Dans le cadre de l'année géophysique internationale (1958), il a été établit que l'Antarctique est en fait un archipel de grandes îles couvertes d’un kilomètre, cinq cents de glace.


Les cartes médiévales montrent l'Antarctique sans calotte de glace ou partiellement couvert de glace. La précision des cartographes du 16e siècle était très haute et même étonnante. Leurs données ont surpassé les possibilités techniques disponibles à cette époque (par exemple, la détermination de la longitude avec la précision d'une minute). Ce niveau a été atteint par l'humanité vers la fin du 18e siècle et dans certains cas, au 20e siècle.

Les scientifiques ne savent pas sur quoi se basaient leurs observations vu le niveau scientifique élevé de cette cartographie médiévale. L'information sur des sources primaires vieilles de 2000 ans n’est pas prouvée.

La géologie conventionnelle dit que la calotte glaciaire de l'Antarctique date d’au moins 25 millions d'années, cependant, récemment, sa datation a été réduite à six millions d'années.

Par conséquent, nous devons noter le détail suivant, sur la carte de Reis, le rivage du continent était exempt de glace. Sur la carte de Phynius, faite 18 ans après le tracé de Reis, il y a une calotte glaciaire autour du Pôle Sud dans les limites du quatre-vingtième et du soixante-quinzième parallèle. Deux cents ans après, l'académicien Boiche a dépeint l'Antarctique avec des glaciers.

La conclusion est évidente : nous pouvons voir le processus de la propagation des glaciers sur le continent méridional.

En 1949, des forages sont menés par une expédition à amiral Baird sur la banquise de Ross à l’emplacement de trois taches sur la carte où Orontheus Phynius a marqué des lits de fleuves. Dans les coupes, des couches comportant des grains fins ont été trouvées, évidemment apportées à la mer avec les fleuves, dont les sources ont été situées dans des latitudes tempérées (c.-à-d. exempt de glaciers).

Tandis qu'en employant la méthode de datation radioactive du docteur U. Oury de l'institut de Karnegy à Washington, les scientifiques découvraient que les fleuves de l'Antarctique, qui étaient des sources de dépôts fins dispersés, coulaient comme représenté sur la carte de Phynius, il y a environ 6.000 ans. Vers 4000 ans av JC, les sédiments glaciaires ont commencé à s'accumuler sur le fond de la mer de Ross, indiquant qu’avant ceci, il y avait eu une longue période chaude.

Par conséquent, les bases des cartes de Reis, de Phynius, et de l'Antarctique actuel de Mercator datent de l’époque où les civilisations antiques d'Égypte et de Sumer étaient naissantes. Ce point de vue est exclu par presque tous les historiens professionnels qui considèrent que cette hypothèse ne peut pas être vérifiée. N'importe quel historien dirait qu'il n’y avait aucune civilisation de cette sorte vers 5000 ans av JC. Selon docteur Jacob Hock de l’université de l'Illinois, les dépôts en question pourraient avoir 6 à 12 mille ans.

En septembre 1991, des archéologues américains et égyptiens ont découvert à une distance de treize kilomètres du fleuve du Nil, à Abidos, douze grands bateaux qui ont appartenu aux Pharaons de la première dynastie. L'âge des bateaux est d’environ 5.000 ans. On pense qu'il s’agit des plus vieux navires au monde, le chef d’expédition, D. OConnor pense qu’ils étaient utilisés pour des rites religieux.

Selon Hérodote, les Égyptiens antiques ont identifié les étoiles il y a plus de 10.000 ans. Ce rapport du « père de l’Histoire » est censé être ésotérique et par conséquent, faux. Cependant, les nations de la Terre ont rarement produit des astronomes. Le fait que les Égyptiens antiques étaient intéressés par l'astronomie peut indiquer qu'ils ont hérité de la connaissance d'une civilisation inconnue des navigateurs.

Il a été déterminé que le centre de projection de la carte de Piri Reis, dont les données datent de 4000 ans av JC était précisément localisé près de la ville appelée aujourd'hui Le Caire. À cette époque, selon la plupart des historiens, toutes les nations alors existantes étaient à un niveau très bas de développement.

Source : paranormalnews USA.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 466
Inscription : Mer Juin 11, 2003 12:02
Localisation : val d'oise

Message par eaglekiller » Dim Janvier 04, 2004 14:16

J'avais déjà vu sur ce forum un post supposant que l'antartique aurait fort bien pu être le lieu ou se serait dévelloppé la civilisation atlante.
viewtopic.php?t=49&start=0
Cela me paraît une idée pas trop idiote, si on admet bien sûr que l'atlantide ait existé. La plupart des dates concordent, en bref je trouve la théorie assez valable. Mais pour être sur, il faudrait bien sur organiser une expédition sérieuse en antarctique d'ampleur conséquente, qui ferait des forages, etc.
Tout ça me rappelle un bouquin de Lovecraft ou une expédition en antarctique dénichait aussi des trucs assez étonnants : les montagnes hallucinées. Comme quoi Lovecraft par certains côtés était un peu un visionnaire : il est quand même mort en 37. (Je ne me rappelle plus quand il a écrit sa nouvelle). Mais le rapprochement entre elle et cette théorie est assez saisissant je trouve.
Le temps est il la roue qui tourne ou bien la trace qu'elle laisse?

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

Message par DRAGON » Dim Janvier 04, 2004 15:16

Assez troublant que des hommes ayant vécus des milliers d'années av. J.-C. aient été capable de tracer des cartes d'une précision que nous ne pouvons reproduire qu'actuellement avec l'aide des satellites.

Peut-être ont-ils copié sur des cartes plus anciennes encore et actuellement disparues, alors là, la grande question, qui était ceux qui avaient effectué des relevés cartographiques aussi précis, tellement valables qu'ils faisaient aussi bien que nous et qui par conséquent devaient disposer d'un matériel de relevé identique ou supérieur à nous.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 466
Inscription : Mer Juin 11, 2003 12:02
Localisation : val d'oise

Message par eaglekiller » Dim Janvier 04, 2004 21:36

Une fois, moi et un ami, on s'était amusé à créer des histoire fantastique basé sur la réalité. C'est à dire qu'en gros on reprenait les données reels, les points inexpliqués, et on essayait de voir si tout collait à notre théorie. Bon bien sur, on est partit en grande science fiction, mais tout ca pour dire que quand on se penche bien, il y a tout un tas de dates qui concordent vers cette période: -8 000, un peu avant, ou un peu après. Je n'ai plus toute les dates en tête, j'ai un papier avec ca, mais je ne l'ai pas chez moi, mais entre le déluge, l'apparition de l'agriculture, des traces de radio-activité retrouvés en inde (je crois qu'il y a un post dans ce forum à ce sujet), et tout un tas d'autres coincidences, on peu supposer qu'il nous manque quelques cartes. Alors pourquoi pas l'existence d'une civilisation techniquement très dévellopé? Cela rentre assez bien dans l'explication de pas mal de points irrésolus.
Pour reprendre l'exemple des égyptiens, ils n'étaient pas seulment calés en astronomie, mais aussi en medecine, et ils soignaient pas mal de maladies que jusqu'à notre 20eme siècle nous étions tout à fait incapable de soigner. Même leur technique d'embaumement est assez incroyable: Comment ont-ils fait pour la mettre au point? De la à dire que les égyptiens seraient les descendant spirituel des atlantes il y a un grand pas, mais que l'on peu franchir assez vite.
Le temps est il la roue qui tourne ou bien la trace qu'elle laisse?

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

Message par DRAGON » Dim Janvier 04, 2004 23:16

Les premières traces de la présence de l'homme dans la vallée du Nil apparaissent dès le début de l'ère quaternaire. Les stades de civilisation sont identiques à ceux des peuples primitifs.

Approximativement entre le 7ème et le 4ème millénaire avant J.C. ça bouge.

Les pierres taillées de la période paléolithique et pierres polies de la période néolithique sont les témoins de la présence humaine durant ces époques. Quelques poteries apparaissent sur le tard. L'usage de l'or et du cuivre dans un premier temps, du bronze ensuite intervient à l'époque énéolithique ou chalcolithique. Le fer est beaucoup plus tardif.

Le travail des métaux dans la vallée du Nil, où habitait une population se rattachant au groupe hamitique (représenté aujourd'hui au nord par les Berbères et au sud par les Somalis et les Gallas), coïncide avec l'arrivée d'une nouvelle race, probablement sémitique.

Cette vague d'immigration serait venue par la mer Rouge et le désert oriental à la hauteur de Coptos, en provenance de la péninsule arabique, selon certaines hypothèses, ou bien de la Syrie en ayant traversé le désert palestino-sinaïtique selon d'autres. La fusion des deux races formera un peuple égyptien composé essentiellement d'agriculteurs installés le long des rives fertiles du Nil. Cette période est marquée par la naissance d'une l'écriture hiéroglyphique.

Il est possible que le "déluge" auquel on pourrait rattacher la fin de l'Atlantide soit le prélude au départ de la civilisation égyptienne. Peut-être que des atlantes ou plutôt même des descendants des rescapés du cataclysme, détenteurs de grandes sciences ont portés à l'éveil les peuples qui allaient fonder l'Égypte. Donc comme tu disais on en revient toujours à la même époque - 8.000, -7.000 av J.C..

Le post de la cité indienne irradiée est de moi, il semble d'après les livres sacrés indiens que dans une période se situant de -12.000 à -8.000 av J.C., deux races extrêmement évoluées aient existé, l'une située du côté du Pakistan et l'autre n'est rien de moins que les atlantes qui sont décrits comme une civilisation très vindicative. Une guerre atomique entre ces deux civilisations aurait mené à l'anéantissement de l'Atlantide et pas beaucoup mieux pour les autres.

Ce sont les survivants ou les descendants des rescapés de l'Atlantide qui vers - 8.000/-7.000 av J.C. peut-être même plus tôt auraient apporté les connaissances à la future civilisation égyptienne.

Bien qu'extraordinaire et évidemment réfuté par pas mal de scientifiques à oeillères, moi j'aime beaucoup cette hypothèse qui apporte une réponse plausible au subit éveil des égyptiens et toutes leurs sciences avancées pour l'époque, dont l'architecture et l'astronomie entre autres.

Cette fameuse guerre des atlantes contre les "Ramas" est bien reprise dans les livres sacrés indiens.

L'empire Rama est décrit dans le Mahabarata et le Ramayana. Ils le décrivent comme une civilisation ayant une technologie supérieure et dans laquelle la caste noble était capable de voyager partout sur Terre et sur la lune et même vers les étoiles. À son apogée, l'empire Rama s'étendait vers le nord de l'Inde et le Pakistan il y a environ 12000 ans.


L'empire Rama était menacé par un ennemi utilisant ses propres machines volantes appelées "Vailixi". Ces envahisseurs avaient une technologie plus grande que les Ramas et étaient appelés les " Asvins ", un label qui a emmené beaucoup de théoriciens new-age a penser que ces agresseurs mystiques provenaient de l'atlantide.


L'appareil Vailixi avait la plupart du temps la forme d'un cigare, plus rond q'un Vimana, et pouvait voyageait à travers l'eau aussi bien que l'air. Une capacité inconnue des véhicules de l'empire Rama.

Les Ramas ont défendu leur empire avec des armes terribles et possédaient une puissance destructive incroyable. Le Mahabharata décrit le conflit comme suit :

" Un éclair de fer, un messager gigantesque de la mort, qui réduisait en cendres une race entière de Vrishmis et les Andhakas……les corps étaient si brûlés qu'ils étaient méconnaissables, les cheveux et les ongles tombaient.

Les poteries se cassaient sans cause apparente, et les oiseaux devenaient blancs. Après quelques heures, toute la nourriture fut infectée….

…..Pour échapper à ce feu, les soldats se jetaient dans les ruisseaux, afin de se laver eux et leurs équipements…. "


Voilà des extraits des livres sacrés, la plupart de ces écrits sont consolidés par des textes encore plus anciens datant du 4, 5 et 6eme siècle avant JC et préservés par les monarques qui gouvernaient les Indiens a cette époque.

Les épopées anciennes les plus connues, traduites de l'ancien texte Sanskrit, sont la Mahabarata et le Ramayana.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 466
Inscription : Mer Juin 11, 2003 12:02
Localisation : val d'oise

Message par eaglekiller » Lun Janvier 05, 2004 01:17

Moi aussi, je trouve cette théorie assez plaisante. Elle semble très farfelue à première vue, mais dans le cadre chronologique, elle s'intègre parfaitement, ainsi que dans le cadre géographique (quoique cela nous éloigne quelque peu de l'antartique). Comme tu dis cela expliquerai le départ subit de la civilisation égyptienne, et toutes leurs connaissances, ainsi que le petit problème du sphinx: N'a t-on pas retrouvé sur lui des traces d'érosion qui ramènerai sa construction à avant le déluge? Ainsi il aurait été construit par une de ces deux grandes civilisations, puis aurait été retaillé par les égyptiens plus tardivement. Ce n'est qu'une hypothèse :D .
Au fait, une petite théorie me traverse la tête à l'instant même. Ces Atlantes et ces Ramas était dévellopés au point de maîtriser l'énergie nucléaire. Maîtrisait-il suffisament cette technologie pour leur permmettre de voyager dans l'espace? (En ce moment des chercheurs travaillent à mettre au point des moteurs nucleaires qui révolutioneraient le voyage dans l'espace). Si oui, alors, lors de la destruction d'une des deux civilisations, il serait probable que certains d'entre eux se soient éxilé dans l'espace, et ai survécu sur une autre planète, ce qui expliquerai peut être les phénomènes d'ovni. Qu'en penses tu?
Le temps est il la roue qui tourne ou bien la trace qu'elle laisse?

Message(s) : 214
Inscription : Ven Août 22, 2003 01:34
Localisation : Courbevoie

Message par CC » Lun Janvier 05, 2004 01:47

Ta théorie est très séduisante EagleKiller. D'une certaine manière, un peu plus logique que les petits bonhommes verts.

J'aimerai y croire.
Ce que je voudrais savoir c'est que sait-tu de ce travail sur les recherches sur les moteurs nucléaires. Jusqu'ici, tous les chercheurs que j'ai entendu affirment avec certitude qu'il faudrait des centaines d'années avant que l'homme puisse ce déplacer dans l'espace pour les voyages de long durée.
Sais-tu ce qu'il en est?

De plus, peut-être que tout ceci parait d'autant plus extraordinaire que la plupart des hommes ce référent, consciemment ou insconciemment à l'an 0 comme valeur d'ancienneté. Mais cet an 0 est très récent par rapport à l'age de la Terre.
Petit Mulder deviendra grand (suffisament pour trouver sa Scully)

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

Message par DRAGON » Lun Janvier 05, 2004 12:47

Le folklore esquimau parle de tribus transportées il y a 10'000 ans dans des oiseaux métalliques géants. Les ouvrages hindous, le Ramayana et le Maha Bhrata décrivent des aéronefs, à l’origine des temps ressemblant " à des nuages azurés en forme d’œuf ou de globe lumineux animés par une force éthérée qui frappe le sol au départ... Ils émettaient des sons doux et mélodieux, brillant comme du feu, ...leur trajectoire opérant comme une longue ondulation les rapprochant ou les éloignant de la Terre " Dans ces ouvrages vieux de 3 000 ans il y a de surprenantes descriptions.

Dans le Mausola Purva il est écrit : " Un Vimana à haute puissance, lança sur la triple cité un projectile unique chargé de la puissance de l’Univers. Une fumée incandescente, semblable à dix mille soleils, s’éleva dans sa splendeur. Lorsque le Vimana eut atterri, il apparut comme un bloc d’antimoine posé sur le sol... C’est une arme inconnue, une foudre de fer qui réduisit en cendre tous les membres de la race des Vrishnis et des Andhakas. Les cadavres brûlés n’étaient pas reconnaissables. Les cheveux, les ongles tombaient, les poteries cassaient sans cause apparente, les oiseaux devenaient blancs. Au bout de quelques heures toute nourriture était malsaine; la foudre se réduisit en poudre.


Retournant à l'histoire de Kardama Muni, nous voyons qu'après avoir acquis sont merveilleux palais volant, il commence à voyager vers différentes planètes


Le Mahabharata contient également cette idée de cités volantes autonomes qui voyagent indéfiniment dans l'espace. Dans cette section et les deux suivantes, j'en donnerai quelques exemples. Le premier est la cité volante de Hiranyapura. Elle fut observée flottant dans l'espace par Arjuna alors qu'il voyageait dans les régions célestes après avoir vaincu les Nivatakavacas lors d'une grande bataille. Arjuna était accompagnée dans son voyage céleste par un Deva nommé Matali.


Le point suivant à noter est que Arjuna conduisait sur la route des Siddhas, et que cette route allait par delà les mondes des rois à la cité de Indra. Par la suite, cette route est décrite comme la route des étoiles et le chemin des dieux. Ainsi il semble que le chariot d'Arjuna voyageait sur une sorte de route à travers l'espace.

Le Vishnu Purana nous éclaire sur la route effectivement suivie par Arjuna. Il indique que le Chemin des Dieux (devayana) se trouve au Nord de l'orbite du Soleil (l'écliptique), le Nord de Nagavlthl (les naksatras Asvinl, Bharanl, et Krttika), et le Sud des étoiles des 7 ris. Asvim et Bharam sont des constellations de Aries, au Nord de l'écliptique, et Krttika est la constellation adjacente dans le Taureau connue comme celle des Pleiades. Asvim, Bharam, et Krttika appartiennent à un groupe de 28 constellations nommé nak$atras en Sanskrit, et les astérismes ou maisons lunaires. Les 7 ris sont les étoiles de la Grande Louche dans la Grande Ourse. A partir de cette information, on peut former se faire une idée générale du Chemin des Dieux comme une route s'étendant de par les étoiles de l'hémisphère céleste du Nord.


Alors ci-dessous, je me demande s'ils ne voyagent pas par un système du type de l'oeuvre de science-fiction "La porte des étoiles", pour donner une idée.

Avec les routes célestes védiques semblent définir un chemin à travers l'espace qu'une personne peut emprunter sur ses jambes. :!: Ces êtres qui utilisent de tels chemins disposent de pouvoirs qui leur permettent de passer à travers les murs, ainsi que de transporter des corps humains à travers les murs. La route céleste védique est également un chemin à travers l'espace sur lequel on peut marcher. :!: Les chevaux et chariots qui se déplacent dessus ont des propriétés mystiques, et les chevaux peuvent apparaître et disparaître à volonté. Un être humain comme Arjuna peut aussi être transporté le long de cette route. :!: Le point où l'analogie d'une route céleste à un chemin de rayon de lumière se brise est que la route céleste relève d'une échelle cosmique et semble être relativement permanente, alors que le rayon de lumière est petit et est déployé lorsque nécessaire.

Il apparaît, assez curieusement, que les chemins célestes mentionnés dans la littérature védique soient des rayons de lumière d'une nature particulière. Ainsi le Bhagavata Purana donne la description suivante des voyages d'un mystique le long du Chemin de Dieux :

O Roi, lorsqu'un tel mystique passe au-dessus de la Voie Lactée par le Susumna illuminé pour rejoindre la plus haute planète, Brahmaloka, il se rend d'abord à Vaisvanara, la planète de la divinité du feu, où il est complètement nettoyé de toutes contaminations, puis continue ensuite à aller plus haut, au cercle de gisumara, pour rejoindre Seigneur Hari, la Personalité de la Divinité.
Le chemin suivi par le mystique est le chemin de devayana, référencé ici comme le Susumna illuminé. D'après le dictionnaire Sanskrit, Susumna est le nom d'un des rayons principaux du soleil. Ainsi le Susumna doit être une sorte de rayon de lumière. Il est clair, cependant, que sa position dans l'espace indique qu'il ne s'agit pas d'un rayon de soleil ordinaire.


Une route dans l'espace ou l'on peut marcher dessus, une espèce de téléportation, un canal intersidéral permettant de voyager "à pied" d'une planète à une autre, vraiment très fort les anciens.

J'avais trouvé un extrait des livres sacrés où ils parlaient des vaisseaux spatiaux de plusieurs types dont ils disposaient, pour aller sur la lune, voyager dans le système solaire ou dans les étoiles, malheureusement pour l'instant je ne retrouve plus ce lien sur les livres sacrés.

Quand on pense que les livres sacrés indiens n'en sont qu'au tout début de leur traduction, il y est décrit au début, qu'ils expliquent plus loin comment construire toutes ces merveilles technologiques.

Pour la propulsion des vaisseaux spatiaux voir le topic :http://www.paranormal-fr.net/forum/viewtopic.php?t=.php?p=7985#7985

La NASA est occupée à peaufiner la propulsion nucléaire pour aller vers Mars, voyage en deux mois au lieu de six mois.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 466
Inscription : Mer Juin 11, 2003 12:02
Localisation : val d'oise

Message par eaglekiller » Lun Janvier 05, 2004 21:28

Dragon a dit l'essentiel que je savais sur la propulsion nucleaire: la NASA travaille dessus. A vrai dire, je n'en sais guère plus. Mais je crois qu'il y avait un autre topic sur le forum qui parlait aussi de cela.
D'autre part j'aimerai savoir si on est sur des traductions des textes que tu as la dragon? Parceque des fois certains traducteurs :? ... En tout cas, si ces traductions sont exacts, on a la une fervente preuve en faveur de la théorie de civilisations antédiluvienne, et tout autant dévelloppé que nous. Bien sur, à l'instar de la bible et des autres traces écrites de cette époque, tout cela est à prendre avec des pincettes. Mais je ne pense pas que de telle théories puissent percer à l'heure actuelle. Les gense tentent trop d'être rationnel, et repoussent tout ce qu'ils ne parviennent pas à expliquer, ou tout ce qui pourrait remmettre en cause leurs propres théories.
Mais toutefois, il y a quand même un petit problème. Comment se fait-il que nous n'ayons aucune traces de ces civilisations? Si les atlantes vivaient dans l'actuel antartique, cela se comprend, mais qu'en est-il de la seconde civilisation? Les Ramas? Pas de squelettes, pas de trace de leurs machine volante, rien?
Le temps est il la roue qui tourne ou bien la trace qu'elle laisse?

Message(s) : 48
Inscription : Mar Décembre 30, 2003 23:04

Message par david » Lun Janvier 05, 2004 22:05

les moteurs les plus avancés sont les moteurs a plasma

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

Message par DRAGON » Mar Janvier 06, 2004 01:24

La NASA prévoit tester la technologie plasma en 2004 avec une petite sonde, équipée de panneaux solaires produisant 10 000 watts d'énergie. Ceci serait suffisant pour faire fonctionner un petit moteur à plasma. Si l'essai est concluant, la technologie pourrait alors servir à une expédition vers Mars. En réduisant la durée du vol à quatre mois, le moteur protégera les astronautes contre les dangereuses radiations spatiales et les exposera moins longtemps à l'apesanteur, qui sape leur tonus musculaire.

A mon avis, il n'y aura pas d'expédition humaine vers Mars tant qu'ils n'auront pas construit un vaisseau spatial utilisant au minimum cette technologie pour une question de fiabilité et de vitesse.

Pour les livres sacrés, disons que pour l'instant on s'en remet aux traductions du tout début des livres qui sont rédigés en sanskrit. Actuellement, il paraît que l'on ne s'occupe plus de ces livres (ou peut-être un peu trop), car plus rien ne filtre vraiment sur ces écrits intéressants.

Quant aux restes de cette civilisation vivant en Inde, mystère.

Lors de la deuxième Guerre mondiale, les nazis auraient travaillé dur et auraient fait des recherches ardues dans l'Himalaya (le pays des dieux) pour retrouver la technologie décrite dans les livres sacrés.

Il paraîtrait que ces civilisations avancées ont dissimulé des machines volantes et de la technologie quelques parts au coeur des montagnes. Les nazis voulaient les trouver pour retourner la situation et gagner la guerre.

Message(s) : 196
Inscription : Mer Décembre 24, 2003 19:01
Localisation : France

Message par Tarot » Mar Janvier 06, 2004 02:05

En réduisant la durée du vol à quatre mois, le moteur protégera les astronautes contre les dangereuses radiations spatiales et les exposera moins longtemps à l'apesanteur, qui sape leur tonus musculaire.


Tu c'est que les astronautes font du sport dans l'espace?

Message(s) : 48
Inscription : Mar Décembre 30, 2003 23:04

Message par david » Mar Janvier 06, 2004 09:06

Ils sont obligés de faire du sport pour entretenir leurs muscles et "Dragon" le moteur à plasma a déja été essayé une fois avec succès avec une sonde mais j'ai oublié son nom.

Message(s) : 25
Inscription : Mer Décembre 31, 2003 11:27

Message par disciple » Mar Janvier 06, 2004 11:54

Dans "les montagnes hallucinées", lovecraft racontait sans sombrer dans le spectaculaire, une expédition antartique qui avançait sur ce continent jusqu'à arriver au pied de hautes montagnes, sur lesquelle se trouvait un plateau rocheux où était batit......
Mais la civilisation dont parle lovecraft datait d'avant l'apparition de la vie intelligente telle que nous la connaissons.
Cela dit je recommende vivement de lire cette nouvelle (dispo dans toutes les librairies)

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

Message par DRAGON » Mar Janvier 06, 2004 12:06

Tarot, je sais que les astronautes entretiennent leur tonus musculaire dans l'espace, cette gymnastique sert aussi à stimuler le système cardio-vasculaire.

L'apesanteur se caractérise par la disparition des effets des forces gravitationnelles auxquelles notre organisme est habitué.

Au niveau du rachis, une distension des disques intervertébraux : ces cartilages compressés entre les vertèbres permettent l'équilibre de la colonne vertébrale. L'élongation des disques en apesanteur est la raison pour laquelle les astronautes ne peuvent pas de tenir debout immédiatement au retour de leur vol. Ce phénomène arrive même après des vols de courte durée, mais il n'est pas d'une gravité majeure puisque les cosmonautes retrouvent des positions normales au bout de quelques heures.

À long terme, on a observé chez les cosmonautes une décalcification du squelette qui fragilise la charpente osseuse.

60 % des muscles s’opposent à la gravité.
Pour les vols de longue durée, une perte de la masse musculaire est observée au niveau de ces mêmes muscles qui ne sont plus sollicités. La pratique d'exercices musculaire s'est généralisée dans l'espace pour lutter contre l'atrophie des muscles. L'efficacité de telles méthodes n'a pas encore été prouvée...

Les effets constatés :

Gonflement du visage, turgescence des muqueuses, nez qui coule et congestion pulmonaire (rhume de l’espace), modification de la pression artérielle et de l’activité cardiaque, déplacement des liquides de l’organisme des parties basses vers les parties hautes (perte d’un litre de liquide dans les membres inférieurs contribuant à réduire leur volume : " jambes de poulets"), diurèse importante

En condition d’apesanteur, les liquides se déplacent naturellement vers le haut du corps (redistribution homogène, ils ne sont plus attirés par l’attraction gravitationnelle) : les récepteurs (situés je le rappelle dans la partie haute du corps) interprètent cela comme une hypertension ce qui aboutit :

à une perte d’eau importante au niveau des reins (diurèse importante) en raison de la mise en jeu du mécanisme hormonal de contrôle.

- à une vasodilatation. (Système nerveux et hormonal de contrôle).

- à un ralentissement de l’activité cardiaque.

Comme tu vois, pas mal d'inconvénients et pas des moindres, les exercices physiques sont censés compenser tout cela, mais rien n'est moins sûr.

Conclusion, il faut prévoir une gravitation artificielle dans les vaisseaux, sinon les astronautes deviendront vite affaiblis et diminués physiquement et intellectuellement.

David,

Une équipe du centre Johnson de la NASA travaille depuis quelques années sur un moteur à plasma qui permettrait de réduire à quelques mois un voyage vers la planète rouge.

Pour atteindre notre voisine, les astronautes ne peuvent aujourd'hui compter que sur les moteurs chimiques conventionnels qui équipent nos fusées et vaisseaux. Cette technologie, certes éprouvée, rend cependant le voyage long et incertain. Dans le meilleur des cas, nos intrépides explorateurs devraient patienter 8 mois avant d'atteindre la planète Mars, une période bien suffisante pour expérimenter les affres de l'apesanteur et du milieu spatial. Mais pour lutter contre les rayons cosmiques, l'atrophie musculaire, la décalcification des os ou plus simplement l'ennui profond, la meilleure solution consiste encore à raccourcir le trajet.

C'est avec cette idée en tête qu'une équipe du laboratoire de propulsion avancée du centre Johnson de la NASA, travaille d'arrache-pied sur le VASIMR (Variable Specific Impulse Magnetoplasma Rocket ), un acronyme peu sympathique pour désigner un moteur à plasma.

Le plasma est souvent présenté comme le quatrième état de la matière. C'est un milieu gazeux très chaud, que l'on peut comparer à une soupe de particules. Électriquement neutre, le plasma est constitué par des électrons qui baignent librement aux côtés des noyaux atomiques auxquels ils ont été arrachés.

L'efficacité d'un moteur dépend notamment de la température du gaz qui s'échappe de la tuyère, et avec le plasma, on atteint des sommets. La température d'un plasma flirte allégrement avec les dizaines de milliers de degrés, voire le million de degrés, là où les moteurs chimiques traditionnels atteignent péniblement les quelques milliers de degrés.

Maîtriser pareille fournaise n'est pas chose aisée et aucun métal, même le plus résistant, ne pourrait contenir du plasma. Dès que le fluide brûlant toucherait les parois métalliques de la tuyère, cette dernière serait instantanément pulvérisée. Pour confiner cet enfer, les ingénieurs sont contraints à utiliser des champs magnétiques extrêmement puissants, générés par des matériaux supraconducteurs.
Le moteur VASIMR comporte trois cellules magnétiques montées les unes à la suite des autres. La première cellule reçoit de l'hydrogène - dont la légèreté n'a pas d'égale dans l'univers (quitte à accélérer un gaz dans un moteur, autant prendre celui qui pèse le moins lourd). L'hydrogène est chauffé violemment par des ondes radio, comparables à celles qui réchauffent les aliments dans nos fours à micro-ondes. Excité par le rayonnement radio, l'unique électron de l'atome d'hydrogène se sépare de son noyau et le gaz ionisé se transforme en plasma.

Une deuxième cellule amplifie le processus et permet de porter le plasma à la température et à la densité désirée. La troisième cellule fait office de tuyère magnétique en servant d'exutoire au fluide surchauffé, dont la température atteint alors les 50 000° C.

Une boîte de vitesse, analogue à celle des automobiles, permet de commander le moteur et de choisir le régime le plus approprié. En jouant des manettes, il est possible de faire varier la poussée et la vitesse des particules rejetées par la tuyère.

La puissance du moteur VASIMR est telle qu'elle permettrait à un vaisseau de 100 tonnes de rejoindre Mars en moins de trois mois. Le voyage serait réparti en deux phases de durée égale. Pendant la première phase dite d'accélération, le vaisseau prendrait progressivement de la vitesse. L'accélération continue à laquelle l'équipage serait soumis donnerait naissance à une gravité artificielle, faible, mais toujours bienvenue pour lutter contre les effets de l'apesanteur. Au milieu du trajet Terre - Mars, le vaisseau effectuerait un demi-tour pour placer son moteur vers sa destination. La deuxième phase dite de décélération, pourrait alors débuter. Il peut sembler étonnant de freiner au beau milieu du trajet, mais le vaisseau est obligé de perdre une bonne partie de sa vitesse afin de pouvoir se placer en orbite autour de la planète.

Les chercheurs du centre Johnson de la NASA doivent faire face à de nombreux challenges. La production et le chauffage du plasma sont l'un d'eux. L'énergie mise en jeu dans le processus de fabrication du plasma est colossale, et les panneaux solaires, habituellement utilisés pour fabriquer de l'électricité sur les vaisseaux actuels, devront laisser la place à des réacteurs nucléaires embarqués. La surveillance du moteur impose également la mise au point de sondes capables de mesurer les principales caractéristiques du plasma tout en supportant son incroyable température.

Le fonctionnement du moteur est actuellement étudié grâce à des programmes informatiques qui simulent le comportement de plusieurs millions de particules virtuelles. Les ingénieurs espèrent dépasser rapidement le stade de la simulation, en construisant un petit prototype qui pourrait s'envoler pour l'orbite terrestre en 2004. D'après les ingénieurs, si le moteur à plasma ne cale pas trop au démarrage, il pourrait être opérationnel pour la prochaine décennie.

A ma connaissance, ce moteur n'a pas encore été testé dans l'espace, vu les difficultés rencontrées pour le confinement.

Message(s) : 48
Inscription : Mar Décembre 30, 2003 23:04

Message par david » Mar Janvier 06, 2004 13:25

Dragon si j'insiste c'est parce que je sais que j'ai raison mais la sonde envoyée n'était qu un test, je sais que j'ai raison car j'ai vu un documentaire une fois sur la 5 qui traitait du sujet , d'ailleurs le moteur avait même eut une légère panne.

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

Message par DRAGON » Mar Janvier 06, 2004 18:02

David,

Exact, ce type de moteur équipe actuellement avec succès les nouvelles sondes Deep Space du programme New Millenium de la NASA.

Les propulseurs électriques (ioniques)[10] sont 5 à 10 fois plus performants que leurs homologues chimiques. Le principe consiste à ioniser un gaz en le chauffant fortement. Les ions sont alors accélérés à grande vitesse par le champ magnétique avant d’être expulsés dans le vide. Ils conviennent dans des environnements gazeux à faible pression et bien sûr dans le vide. Ils ne peuvent donc convenir pour arracher une fusée à l’attraction planétaire ou la faire atterrir.

Encore un problème et pas des moindres, il faut construire ce vaisseau en orbite terrestre et là ça fait monter les prix, transporter tous les composants par navette pour le construire dans l'espace et avoir une armée de techniciens astronautes pour l'assembler. Une base spatiale capable d'accueillir les équipes de travailleurs pour au moins se nourrir et prendre du repos et stocker des composants.

Une organisation gigantesque, une des grandes oeuvres de l'homme, si elle est réalisée, elle marquera l'histoire, car ce sera une des plus grandes épopées humaines de ces derniers siècles.

À moins que l'on dispose de l'ascenseur spatial qui est à l'étude.

On peut dire qu'il y a du pain sur la planche.

Je viens de regarder une émission sur Mars à la télévision, exploration humaine de Mars vers 2030. :?

Note qu'on ne sait jamais, ils pourraient accélérer le mouvement, un savant russe vient de dire que s'ils disposaient seulement de l'argent dépensé rien que pour la guerre du Golfe, ils pourraient envoyer des hommes sur Mars l'année prochaine !

Gérard Menvusat

Message par Gérard Menvusat » Sam Novembre 05, 2005 18:54

Apparemment Il y aurait eut des guerres atomiques antiques, on devrait retrouver des traces de radiations...

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 343
Inscription : Jeu Octobre 20, 2005 01:13
Localisation : en France

Message par Mulder from FBI » Sam Novembre 05, 2005 23:17

Il y aurait des liens vers des sites traitant de ce sujet pour que je me renseigne plus ?
La patience est la plus grande des prières

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 129
Inscription : Mer Août 11, 2004 19:21
Localisation : Maubeuge

L'Atlantide sous l'Antarctique ?

Message par Loup solitaire » Dim Novembre 06, 2005 17:43

:) Salut tout le monde, s'il y en a qui s'intéresse au plasma, voici le lien : http://www.jnaudin.free.fr et vous allez dans la rubrique Plasma, Ball Lighting, OUGP.
En effet, Jean-Louis Naudin est un scientifique très connu dont les recherches intéressent la Nasa. Ici, il propose une expérience intéressante où on peut réaliser une boule de plasma chez soi (pour ceux qui possèdent un micro-onde) avec peu de choses. :o
D'ailleurs, je vais bientot essayer cette expérience chez moi avec mon micro-onde.

Gérard Menvusat

Message par Gérard Menvusat » Dim Novembre 06, 2005 18:22

le lien ne marche pas

Membre honoraire
Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 10593
Inscription : Mer Avril 30, 2003 11:30

Message par DRAGON » Dim Novembre 06, 2005 21:22

http://jnaudin.free.fr/ fonctionnel.

Déjà discuté de ce procédé, récemment sur le forum.

Message(s) : 18
Inscription : Mer Juillet 06, 2005 21:33

Message par zone51 » Lun Novembre 07, 2005 00:37

Cette théorie de l'atlantide a l'air très intéressante ! Y a-t-il des expéditions de prévues pour vérifier celle-ci ?

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 197
Inscription : Mer Août 24, 2005 22:25
Localisation : St-Jérôme, Québec

Message par TheArmageddon » Jeu Novembre 10, 2005 00:05

Quelqu'un pourrait-il nous traduire comment faire en quelques étapes faciles ? Le lien comporte beaucoup de texte... en anglais.
On n'est pas le meilleur quand on le croit, mais quand on le sait...

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 171
Inscription : Jeu Juillet 28, 2005 04:07
Localisation : Entre Hochalaga et Fort Coulonge

Message par Max Weber » Jeu Novembre 10, 2005 22:26

Cette théorie d'une civilisation disparue en Antartique est bien expliquée dans le best-seller de Graham Hancock "Fingerprints of the Gods" publié en 1995, et traduit en français sous le titre "Empreinte des dieux", publié en 1997 chez Pygmalion.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 8971
Inscription : Lun Novembre 28, 2005 20:28

Re: L'Atlantide sous L'Antarctique ?

Message par Arkayn » Jeu Décembre 08, 2005 12:40

DRAGON a écrit :Le nom du cartographe a été identifié : un amiral de la flotte d'empire de tabouret, Piri Reis, qui vécut dans la première moitié du 16e siècle.
Pour ceux que ça intéresse (je n'ai pas lu tout le forum et je fais peut-être double emploi) : http://inexplique.arkayn.free.fr/piri.htm sur mon site perso.

Des explications sur la carte et en prime en bas de page, un lien sur l'Atlantide en Antartique.
La folie des uns est la sagesse des autres.
La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, certains brillent en société... jusqu'à ce qu'ils l'ouvrent.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 56
Inscription : Mar Décembre 06, 2005 21:30
Localisation : Québec

Message par diforuri » Jeu Décembre 08, 2005 20:19

Que l'Antarticte est été l'Atlantide je ne trouve pas cela très plausible, car les dates ne concordent pas tellement.. Les glaces datent de millions d'années, je crois ! Et selon la légende l'Atlantide aurait disparu au fond des eaux par un cataclysme, donc ne serait pas recouvert de glaces.. Si il y a une période de glaciation, tout ne devient pas de glace du jour au lendemain, alors il y aurait eu une vaste période d'émigration, mais alors la civilisation n'aurait pas disparu et ce serait dispersé ! Alors si elle aurait été une civilisation très évoluée, elle aurait eu le temps nécessaire pour bien émigré avec toute leur savoir et leur connaissance !

Alors que si l'atlantide disparaît lors d'un cataclysme, alors là on parle de survivant et non d'émigrant ! C'est une grosse nuance, un survivant ne prend pas le temps d'apporter tout ce dont il possède.. Donc en terrain étranger, même s'il a une grande connaissance, il est aussi très démuni!

Je crois sincèrement à l'Atlantide, je crois à un cataclysme qui a fait exploser cette civilisation.. Des survivants ont bien trouvé place des 2 côtés de l'Atlantique.. Ceci viendrait expliquer l'extraordinaire ressemble architectural de l'Égypte et de l'Amérique du Sud, extraordinaire aussi dans la momification, et dans la ressemblance d'écriture en hiéroglyphe ! Certains se ressemblent pas mal en plus ! On a déjà retrouvé des momies an Amérique aux cheveux blonds et de grandes tailles (pas géant), alors que l'on sait le peuple amérindien de taille plutôt modeste..

Les survivants provenaient de plusieurs classes, pas tous des scientifiques et ceci pourrait expliquer à première vue les différences ! On n’a encore presque rien trouvé de tout ce qui est enfoui dans la jungle en Amérique du Sud, de même qu'en Égypte si on pouvait enlever tout le sable ! À mon avis, la ressemblance entre les deux pourrait être encore plus forte si l'on faisait encore plus de découvertes en ces lieux! Surtout en Amérique, car les bouleversements géologiques ont été plus important dû à la fin de la glaciation en Amérique du Nord ! Je serais porté à croire que Tiahuanaco a quelque chose à voir avec l'Atlantide, les dates concordent !

Mais bon, rien de tous cela n'explique le mystère des anciennes cartes, surtout si l'âge des cartes dépasse l'âge supposé de l'homo sapiens !!!

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 1613
Inscription : Lun Juillet 18, 2005 13:20

Message par Wormwood » Jeu Décembre 08, 2005 20:31

Au vu des théories présentes l'Atlantide pouvait être à peu près n'importe où !
Je me demande même si c'est tellement important de savoir où était le centre. Ça semble avoir été une très grande civillisation qui s'est étendue très loin.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 56
Inscription : Mar Décembre 06, 2005 21:30
Localisation : Québec

Message par diforuri » Jeu Décembre 08, 2005 22:52

Oui effectivement Wormwood, l'Atlantide aurait pu être n'importe où dans l'Atlantique à cause des légendes mentionnées des 2 côtés de cet océan !

Moi de plus en plus je ne pose plus la question s'ils ont existé, les déductions deviennent trop importantes, et tellement d'indices circulent.

Mais le fait de trouver son centre serait tout à fait extraordinaire, ce viendrait nous apporté un vibrant témoignage de son existence ! J'aimerais tellement voir un peu leurs architectures, peut-être un lien direct avec celle d'Égypte et d'Amérique du Sud.

Avatar de l’utilisateur
Message(s) : 1613
Inscription : Lun Juillet 18, 2005 13:20

Message par Wormwood » Ven Décembre 09, 2005 13:09

J'en rajoute une ( De localisation possible ) Océan,nord-ouest de l'Irlande.
Site très complet ici :
http://pageperso.aol.fr/tlantix/index.html

Sur google earth on voit rien de spécial :
lat 56.163 lon .16.129 ( A peu près )

Suivant

Retour vers Mystères du Passé

Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 0 invité(s)