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Les âmes des suicidés
Modérateurs : Webmasters, Administrateurs du forum
102 message(s)
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- scarlettine
Laurie, pour une fois je ne suis pas d'accord avec toi, les personnes qui se suicident n'ont pas conscience de la gravité de leur actes, elles sont en dépression, donc malades, et je ne sais pas si tu connais l'extrème souffrance moralde des dépressifs, quand on a envie de mourir, on ne réfléchit pas aux problèmes (bien plus graves je le conçois) des autres, ce n'est pas une question de fuite , mais de souffrance intolérable, pour ma part j'ai également connu des souffrances physiques très fortes, mais à choisir, je préfère la souffrance physique (que l'on peut calmer) à la souffrance morale qui est horrible...
Néanmoins, tu as raison, rien ne sert de finir sa route avant l'heure prévue, de toutes façons il faudra revenir pour la finir ...
Néanmoins, tu as raison, rien ne sert de finir sa route avant l'heure prévue, de toutes façons il faudra revenir pour la finir ...

- laurie
Je comprend parfaitement ce que tu dis scarlettine, pour avoir vécu la maladie de mon père et ses nombreuses tentatives de suicide.
Tu as tout à fait raison
Il y a un "début" à cette dépression, et c'est par là que s'entend mon message, après il est certain qu'il est un peu tard (si je puis dire), quoi que de toute façon il est très difficile de débattre de ça, c'est une maladie tellement complexe avec des visions toute différente de chacun d'entre nous.
Si je te disais ce que je pense de la dépression tu me sauterais au coup pour m'étrangler
.
Tu as tout à fait raison
pas conscience de la gravité de leur actes, elles sont en dépression, donc malades, et je ne sais pas si tu connais l'extrème souffrance moralde des dépressifs
Il y a un "début" à cette dépression, et c'est par là que s'entend mon message, après il est certain qu'il est un peu tard (si je puis dire), quoi que de toute façon il est très difficile de débattre de ça, c'est une maladie tellement complexe avec des visions toute différente de chacun d'entre nous.
Si je te disais ce que je pense de la dépression tu me sauterais au coup pour m'étrangler

- scarlettine
Laurie je ne te sauterai pas au cou pour t'étrangler, rassures toi,
Jaimerai que tu me dises ce que tu en penses, nous sommes sur un forum de discussion et j'aime connaître les opinions des autres membres, bien sûr il y a un début a la dépression, mais même en se soignant tout de suite, parfois rien n'y fait, tous les médicaments du monde ne servent à rien dans certains cas ... 


- DanaScully
-
- Message(s) : 2658
- Inscription : Jeu Août 07, 2003 13:00
- Localisation : Sous-sol du FBI, Washington
laurie a écrit :Si je te disais ce que je pense de la dépression tu me
sauterais au coup pour m'étrangler.
Laurie, la c'est moi qui te pose la question au risque de faire du HS : que penses-tu de la dépression en fait ? Ayant passé par là moi aussi cela m'intéresse beaucoup... et juste pour réagir à ce que tu as dit sur les médicaments, je veux dire que pour moi cela a fonctionné. Cela 1 ans que je les prends et mon médecin vient de décider qu'on l'on peut commencer le sevrage. Moi ces médicaments m'ont sauvé la vie... ils ne font pas tout puisque le psychique autant d'importance dans la guérision... mais c'est une bonne béquille, et il ne faut pas le négliger

Scarlettine, HS signifie Hors-Sujet

"Le bonheur et la souffrance dépendent de votre esprit, de votre interprétation. Ils ne viennent pas d'autrui, ni de l'extérieur. Tous les bonheurs, toutes les souffrances ne dépendent que de vous, ils sont créés par votre esprit." Lama Zopa Rinpoche
Je pense aussi que les médicaments peuvent aider à reconstruire se qui est cassé en nous. Les médicaments, je pense qu'il faut avoir recours à eux quand la dépression est à un stade avancé.
Il ne faut pas non plus que cela nous abrutisse l'esprit.
Je pense qu'il faut également traiter cette dépression tout d'abord par le naturel comme la gelée royale qui est superbe, il y a aussi le pollen en granulés, et aussi d'autres choses qui sont bonnes pour la dépression.
Mais j'ai foi en la guérison. Mais la seule chose que je ne comprends pas c'est certaines personnes savent ce qu'elles ont mais ne font rien pour s'en sortir.
Je suis un peu méchant mais je suis passé par là et en fait il a fallu que je me dise à voix haute : "mon petit père, la solution est en toi. Tu sais ce qu'il faut faire pour remonter la pente. Allors bouge-toi, cela ne sert à rien de se morfondre alors que personne n'a la solution pour toi".
J'ai dit aussi " mon petit père, il faut se fixer des buts pour s'en sortir alors hop ! Au boulot et tu arrêteras les somnifères après la remise au boulot de la première journée."
Impeccable, mais ça ne sait pas arrêté du jour au lendemain les pleures. Mais en 1 semaine.
Il ne faut pas non plus que cela nous abrutisse l'esprit.
Je pense qu'il faut également traiter cette dépression tout d'abord par le naturel comme la gelée royale qui est superbe, il y a aussi le pollen en granulés, et aussi d'autres choses qui sont bonnes pour la dépression.
Mais j'ai foi en la guérison. Mais la seule chose que je ne comprends pas c'est certaines personnes savent ce qu'elles ont mais ne font rien pour s'en sortir.
Je suis un peu méchant mais je suis passé par là et en fait il a fallu que je me dise à voix haute : "mon petit père, la solution est en toi. Tu sais ce qu'il faut faire pour remonter la pente. Allors bouge-toi, cela ne sert à rien de se morfondre alors que personne n'a la solution pour toi".
J'ai dit aussi " mon petit père, il faut se fixer des buts pour s'en sortir alors hop ! Au boulot et tu arrêteras les somnifères après la remise au boulot de la première journée."
Impeccable, mais ça ne sait pas arrêté du jour au lendemain les pleures. Mais en 1 semaine.
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http://lespremices.actifforum.com/index.forum
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- scarlettine
Freedom, excuse-moi, mais il n'y a pas de solution miracle pour vaincre le mal de vivre! (ni médicaments ni gelée royale, ni rien du tout!)
Dans le cas d'une " vraie dépression" (je ne parle pas d'une petite déprime), la volonté est anihilée, c'est comme si le cerveau appartenait à quelqu'un d'autre, impossible de voir autre chose que le néant ...
Qaunt à l'arrêt des somnifères, tu m'excuseras encore mais quand on en a pris pendant des années, on est dépendant, c'est une drogue (et les anti dépresseurs aussi), je sais de quoi je parle, cela fait 22 ans que je me soigne... J'ai déja arrêté plusieurs fois et j'ai rechuté à chaque fois, et de plus en plus profondément , crois-moi...
Alors quand on me parle d'arrêter en une semaine, cela me met un peu en colère ...
Les vrais dépressifs se reconnaîtront ..
Dans le cas d'une " vraie dépression" (je ne parle pas d'une petite déprime), la volonté est anihilée, c'est comme si le cerveau appartenait à quelqu'un d'autre, impossible de voir autre chose que le néant ...
Qaunt à l'arrêt des somnifères, tu m'excuseras encore mais quand on en a pris pendant des années, on est dépendant, c'est une drogue (et les anti dépresseurs aussi), je sais de quoi je parle, cela fait 22 ans que je me soigne... J'ai déja arrêté plusieurs fois et j'ai rechuté à chaque fois, et de plus en plus profondément , crois-moi...
Alors quand on me parle d'arrêter en une semaine, cela me met un peu en colère ...
Les vrais dépressifs se reconnaîtront ..

Ce n'est pas qu'une déprime que j'ai eu mais une bonne dépression a en oublier de mettre le frein à main de ma voiture, à ne rien comprendre lors d'une discussion et ni en suivant un film. Je ne pouvais plus dormir du tout. Je travaillais la nuit et je ne pouvais dormir après le boulot.
Je tremblais tous les jours de la tête aux pieds.
je perdais pas mal de kilos aussi en fait en deux semaine j'avais perdu 6 a 7 kilos et je mangeais.
J'avais d'énormes crises de larmes pour qui pour quoi? Je ne sais pas.
Je vivais comme si j'étais un zombi. Ma dépression avait commencé bien avant que je ne me décide d'arrêter le boulot.
Je me suis fait arrêter 2 semaines et encore c'est moi qui est dit que je reprennais le boulot sinon j'étais arrêté pour 3 mois voir plus.On m'a donné des somnifères et des anti-dépresseurs.
Le problème c'est qu'avec les anti-dépresseurs, j'avais des visions (hallucinations) et en plus je n'étais plus bon à rien et encore mieux avant la prise de ces médicaments.
Dans la dépression, ne pas oublier qu'il existe des dépressions pathologiques et non dûes à des problèmes ou un baby blues.
Je pense qu'en fait j'ai dit dans mon post d'avant que les médicaments pouvaient aider à reconstruire se qui s'est cassé en nous.
ET
J'ai dit également qu'il fallait avoir recours à eux quand la dépression était à un stade avancé.
Donc je ne dis pas de mal au niveau de tout cela.
Une dépression est soignable plus facilement selon son degré de stade. Là, c'est le médecin qui fixe l'échelle car là, je ne suis pas médecin même si c'est une profession qui me plait énormément.
Donc je pense que je fais partie des gens qui ont eu une dépression et non une déprime. Avant, j'ai fais des tentatives de suicide aussiet pleins d'autres choses mais comme la foi m'a beaucoup aidé également j'ai pu m'accepter tel que je suis et aussi à mieux comprendre la vie et les gens même si parfois il y a des choses incompréhensibles à mes yeux.
Je tremblais tous les jours de la tête aux pieds.
je perdais pas mal de kilos aussi en fait en deux semaine j'avais perdu 6 a 7 kilos et je mangeais.
J'avais d'énormes crises de larmes pour qui pour quoi? Je ne sais pas.
Je vivais comme si j'étais un zombi. Ma dépression avait commencé bien avant que je ne me décide d'arrêter le boulot.
Je me suis fait arrêter 2 semaines et encore c'est moi qui est dit que je reprennais le boulot sinon j'étais arrêté pour 3 mois voir plus.On m'a donné des somnifères et des anti-dépresseurs.
Le problème c'est qu'avec les anti-dépresseurs, j'avais des visions (hallucinations) et en plus je n'étais plus bon à rien et encore mieux avant la prise de ces médicaments.
Dans la dépression, ne pas oublier qu'il existe des dépressions pathologiques et non dûes à des problèmes ou un baby blues.
Je pense qu'en fait j'ai dit dans mon post d'avant que les médicaments pouvaient aider à reconstruire se qui s'est cassé en nous.
ET
J'ai dit également qu'il fallait avoir recours à eux quand la dépression était à un stade avancé.
Donc je ne dis pas de mal au niveau de tout cela.
Une dépression est soignable plus facilement selon son degré de stade. Là, c'est le médecin qui fixe l'échelle car là, je ne suis pas médecin même si c'est une profession qui me plait énormément.
Donc je pense que je fais partie des gens qui ont eu une dépression et non une déprime. Avant, j'ai fais des tentatives de suicide aussiet pleins d'autres choses mais comme la foi m'a beaucoup aidé également j'ai pu m'accepter tel que je suis et aussi à mieux comprendre la vie et les gens même si parfois il y a des choses incompréhensibles à mes yeux.
Dernière édition par freedom le Ven Juillet 15, 2005 15:19, édité 2 fois.
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- laurie
Que de réaction
.
Je suis comme freedom, je trouve qu'il y a bien d'autre moyen plus naturel que les médicaments pour se sortir d'une dépression, et que beaucoup se complaise dans la maladie (c’est le cas de mon père entre autre), attention j'entend par là, quant elle débute pas quand c'est déjà installer complètement, parce que là c'est bien plus dur et complexe à soigner d’où l’importance de s’y prendre très tôt et dés les premiers signes.
Je suis heureuse pour toi dana si les médicaments on très bien marché et si en si "peu de temps" tu vas pouvoir commencer le sevrage, mais tu as de la chance, ça deviens en général une vraie drogue et les personnes malades ne peuvent plus s'en passé.
Après avoir penser très longtemps allopathie je suis passé a un autre genre de médecine (homéopathie, sophrologie, acupuncture…), pas pour tout bien sûr je ne suis pas non plus "extrémiste", moi aussi j'ai eu des problèmes très lourd et j'ai aussi failli sombrer, déjà l'avantage était que mon père est un très grand dépressif et rien que l'idée de devenir peut être un peu comme lui m'a toujours rebuté, je crois que quelque part il a été mon médicament « naturel » contre ce fléau, et d'autre part j'ai été suivi par une très grande sophrologue, croyez le ou pas mais la médecine dite parallèle est vraiment une excellente chose ignoré par beaucoup malheureusement.
Pour moi la dépression est une forme de protection du cerveau pour fuir les problèmes ou responsabilité trop dur à supporter, d'ou l'importance d'avoir une très grande force de caractère pour la surmonter. Bien évidement je parle peut-être beaucoup par rapport à moi et surtout à l'expérience marquante et négative que j'en ai de mon père et je me trompe certainement, mais je vous donne mon avis sur ce que j’en ai tiré comme conclusion.
Je ne veux pas que vous sortiez les mouchoirs quand même mais si vous connaissiez tout ce que j’ai traversé dans ma vie, vous vous diriez qu’il n’y a qu’un pas vers la dépression, et bien non je suis forte et je ne sombrerais jamais, parce que j’en ai la volonté et que ce n’est pas mon corps et ma tête qui commandera mon âme, c’est toujours ce que je me suis dis et… ça marche.
Les filles vous m'étrangler ou pas ?

Je suis comme freedom, je trouve qu'il y a bien d'autre moyen plus naturel que les médicaments pour se sortir d'une dépression, et que beaucoup se complaise dans la maladie (c’est le cas de mon père entre autre), attention j'entend par là, quant elle débute pas quand c'est déjà installer complètement, parce que là c'est bien plus dur et complexe à soigner d’où l’importance de s’y prendre très tôt et dés les premiers signes.
Je suis heureuse pour toi dana si les médicaments on très bien marché et si en si "peu de temps" tu vas pouvoir commencer le sevrage, mais tu as de la chance, ça deviens en général une vraie drogue et les personnes malades ne peuvent plus s'en passé.
Après avoir penser très longtemps allopathie je suis passé a un autre genre de médecine (homéopathie, sophrologie, acupuncture…), pas pour tout bien sûr je ne suis pas non plus "extrémiste", moi aussi j'ai eu des problèmes très lourd et j'ai aussi failli sombrer, déjà l'avantage était que mon père est un très grand dépressif et rien que l'idée de devenir peut être un peu comme lui m'a toujours rebuté, je crois que quelque part il a été mon médicament « naturel » contre ce fléau, et d'autre part j'ai été suivi par une très grande sophrologue, croyez le ou pas mais la médecine dite parallèle est vraiment une excellente chose ignoré par beaucoup malheureusement.
Pour moi la dépression est une forme de protection du cerveau pour fuir les problèmes ou responsabilité trop dur à supporter, d'ou l'importance d'avoir une très grande force de caractère pour la surmonter. Bien évidement je parle peut-être beaucoup par rapport à moi et surtout à l'expérience marquante et négative que j'en ai de mon père et je me trompe certainement, mais je vous donne mon avis sur ce que j’en ai tiré comme conclusion.
Je ne veux pas que vous sortiez les mouchoirs quand même mais si vous connaissiez tout ce que j’ai traversé dans ma vie, vous vous diriez qu’il n’y a qu’un pas vers la dépression, et bien non je suis forte et je ne sombrerais jamais, parce que j’en ai la volonté et que ce n’est pas mon corps et ma tête qui commandera mon âme, c’est toujours ce que je me suis dis et… ça marche.
Les filles vous m'étrangler ou pas ?

Tu as raison, laurie!
Idem, je ne voudrais pas non plus vous faire avoir la goutte au nez mais j'ai vécu aussi pas mal de choses et encore aujourd'hui et sincèrement je pense que plus d'un aurait sombrer dans la dépression.
Je me suis également interdit de tomber plus bas que je l'ais été auparavant, il y 6 ans.
Je comprends beaucoup les gens et aussi la dépression car parfois elle arrive par surprise. Mais on peut s'en sortir peut-être difficilement mais on n'y arrive.
Je voudrai que tout le monde est une force pour s'en sortir car personne n'a le droit de souffir pour moi.
Idem, je ne voudrais pas non plus vous faire avoir la goutte au nez mais j'ai vécu aussi pas mal de choses et encore aujourd'hui et sincèrement je pense que plus d'un aurait sombrer dans la dépression.
Je me suis également interdit de tomber plus bas que je l'ais été auparavant, il y 6 ans.
Je comprends beaucoup les gens et aussi la dépression car parfois elle arrive par surprise. Mais on peut s'en sortir peut-être difficilement mais on n'y arrive.
Je voudrai que tout le monde est une force pour s'en sortir car personne n'a le droit de souffir pour moi.
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AvIS PERSO
Pour moi, on ne vit pas une telle souffrance pour rien, elle a un but, et ce but c'est de l'affronter.
Je ne suis pas d'accord avec un des avis car on ne revient pas de suite pour revivre cette histoire, mais la fuite semble étre puni par une durrée indéterminé dans l'intermédiaire terre et ciel, l'esprit "erre".
Je ne suis pas d'accord avec un des avis car on ne revient pas de suite pour revivre cette histoire, mais la fuite semble étre puni par une durrée indéterminé dans l'intermédiaire terre et ciel, l'esprit "erre".
- scarlettine
J'ai bien compris ce que vous voulez dire, laurie et freedom, il est vrai que certaines dépressions sont(ou plutot deviennent) pathologiques freedom, ce qui est devenu malheureusement mon cas, j'ai commencé à en faire une, puis deux etc... avec quelques années de répit entre deux, puis il suffit d'une épreuve pour que le tourbillon revienne avec plus de force encore .. j'ai vu un nombre considérable de psy qui ne se sont jamais mis d'accord ..Pour certains, c'est héréditaire, (mon père s'est suicidé lorsque j'avais 14 ans), et pour d'autres c'est inexplicable, c'est pour cela que je ne les crois plus, de toutes façons ils n'ont jamais réussi à me guérir alors ...
Je suis pourtant d'un naturel très gai et dynamique c'est ce qui est paradoxal dans mon cas !
Mais tout le monde sait que les personnes dotées d'un grand humour sont en réalité celles qui essaient de cacher leur mal de vivre ..
Malheureusement je me réfugie dans la solitude, à force d'être incomprise, je me tais et préfère rester seule, plutôt que d'avoir à chaque fois à faire bonne figure et surtout ne pas répondre à ceux qui certifient ( ma famille entre autres), qu'il s'agit simplement d'un manque de volonté, car croyez moi, j'en ai vu de toutes les couleurs et je me suis toujours battue seule dans la vie et jusqu'ici je n'ai jamais trouvé quelqu'un qui sache me comprendre sans me juger, et surtout m'épauler, car je suis dotée d'un grand caractère , (et oui c'est encore une fois paradoxal)! Bon je ne vous en veux pas, je sais que vous êtes tous deux dotés d'une grande sagesse, laurie je te réponds par mp, freedom excuses moi si je me suis mise un peu en colère
Je suis pourtant d'un naturel très gai et dynamique c'est ce qui est paradoxal dans mon cas !
Mais tout le monde sait que les personnes dotées d'un grand humour sont en réalité celles qui essaient de cacher leur mal de vivre ..
Malheureusement je me réfugie dans la solitude, à force d'être incomprise, je me tais et préfère rester seule, plutôt que d'avoir à chaque fois à faire bonne figure et surtout ne pas répondre à ceux qui certifient ( ma famille entre autres), qu'il s'agit simplement d'un manque de volonté, car croyez moi, j'en ai vu de toutes les couleurs et je me suis toujours battue seule dans la vie et jusqu'ici je n'ai jamais trouvé quelqu'un qui sache me comprendre sans me juger, et surtout m'épauler, car je suis dotée d'un grand caractère , (et oui c'est encore une fois paradoxal)! Bon je ne vous en veux pas, je sais que vous êtes tous deux dotés d'une grande sagesse, laurie je te réponds par mp, freedom excuses moi si je me suis mise un peu en colère

Je ne l'avais pas pris comme cela Scarlettine. 

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- DanaScully
-
- Message(s) : 2658
- Inscription : Jeu Août 07, 2003 13:00
- Localisation : Sous-sol du FBI, Washington
Moi je pense surtout que tout ça est au cas par cas !
Effectivement, une personne qui prendre des médicaments pour sa dépression ainsi qu'une bonne thérapie suffira pour l'en sortir, si je peux parler comme ça. D'autres, les médicaments ne leur conviendront pas, spécialement parlant des antidépresseurs. Il ne faut pas oublier que ce n'est parce qu'un antidépresseur fonctionnera pour quelqu'un, que ce sera de même pour une autre personne. Moi j'ai dû en "tester" 3 avant de trouver celui qui m'a aidé. Et contrairement à ce que l'on dit, nous ne sommes pas dépendant des antidépresseurs, si le sevrage est fait correctement, il n'a pas de séquelles après. J'ai demandé plusieurs avis là-dessus et je suis rassurée sur ce point, vu que j'entre moi-même en phase de sevrage.... Oui, nous pouvons être dépendant des neuroleptiques, des tranquilisants et des somnifères... je le sais au moins pour les 2 derniers car j'en fait l'expérience... mais arrêtez de dire que nous sommes dépendant des antidépresseur, car c'est faux
Pour moi la dépression n'arrive pas non plus par hasard, je le prends comme une non harmonie entre le corps et l'esprit... quand cela arrive, cela nous donne comme un signal d'arlarme : quelque chose ne va pas, il faut réagir ! dans mon cas, c'est exactement... d'ailleurs quand on dit de quelqu'un qui a l'air mal dans sa peau, c'est ça que je ressentais avant de tomber malade. Maintenant oui, il y a des dépressifs qui ont l'air de se plaire dans leur état, et c'est vrai que pour notre guérision à nous, ce n'est pas bénéfique du tout... moi-même étant malade cela m'énervait de voir que mes "collègues de combat" n'avaient pas la force de faire plus... Moi je ne supportais vraiment de me voir dans cet état, moi qui essayais de toujours donner le change... j'en pleurais de rage, de me voir si impuissante. Incapable de prendre la moindre décision, broyer du noir, penser que je ne valais rien, que je servais à rien, que j'étais nulle. Dans ces moments-là, si on est pas entouré, on est fichu. Moi j'ai eu le déclic qui m'a permis de remonter la pente, grâce à mon père. Il est venu me voir quand j'étais à l'hosto. Cela faisait 3 jours que je ne mangeais rien, que je ne quittais pas mon lit, ni pour m'aérer les idées, rien. Je sortais pour aller me doucher et aller aux WC, c'est tout. Quand mon père est arrivé, on a discuté et soudain il me dit "là, tu te laisse mourir, c'est ce que tu veux vraiment ?"... sur le moment, j'ai dit non bien sûr, mais sans convictions (j'avais des idées suicidaires)... quand il est parti, j'ai pleuré car j'ai réalisé que ce qu'il disait était vrai... que si je ne me reprenais pas en main tout de suite, je resterais dans ce pavillon psychiatrique, et c'est pas ce que je voulais... Et surtout, j'ai vu ses yeux pendant qu'il me parlait, et j'ai vu que tout ça le faisait souffrir lui aussi... là, je me suis dit que je pouvais pas continuer comme ça, que pour mes parents, ma famille, mes amis, et surtout pour moi, je devais trouver la force de partir de cet endroit... un événement a fait que 2 jours plus tard, je sortais de l'hôpital.... à partir de là, j'ai toujours fait du mieux que j'ai pu, avec des hauts et des bas... même certains jours maintenant, je dois encore me battre, mais quand je vois le chemin que j'ai fait en une année, je suis contente, je ne pensais pas y arriver.
Ce que je veux dire c'est que c'est à la portée de tous, il faut simplement arriver à voir les choses différemment et surtout croire un peu plus en nous... c'est pas facile mais je me dis que si moi j'ai pu y arriver, tout le monde peut le faire aussi, car je n'ai rien de plus que les autres...
Je pense donc que les moyens de guérisons dépendent surtout des personnes... voilà
Effectivement, une personne qui prendre des médicaments pour sa dépression ainsi qu'une bonne thérapie suffira pour l'en sortir, si je peux parler comme ça. D'autres, les médicaments ne leur conviendront pas, spécialement parlant des antidépresseurs. Il ne faut pas oublier que ce n'est parce qu'un antidépresseur fonctionnera pour quelqu'un, que ce sera de même pour une autre personne. Moi j'ai dû en "tester" 3 avant de trouver celui qui m'a aidé. Et contrairement à ce que l'on dit, nous ne sommes pas dépendant des antidépresseurs, si le sevrage est fait correctement, il n'a pas de séquelles après. J'ai demandé plusieurs avis là-dessus et je suis rassurée sur ce point, vu que j'entre moi-même en phase de sevrage.... Oui, nous pouvons être dépendant des neuroleptiques, des tranquilisants et des somnifères... je le sais au moins pour les 2 derniers car j'en fait l'expérience... mais arrêtez de dire que nous sommes dépendant des antidépresseur, car c'est faux

Pour moi la dépression n'arrive pas non plus par hasard, je le prends comme une non harmonie entre le corps et l'esprit... quand cela arrive, cela nous donne comme un signal d'arlarme : quelque chose ne va pas, il faut réagir ! dans mon cas, c'est exactement... d'ailleurs quand on dit de quelqu'un qui a l'air mal dans sa peau, c'est ça que je ressentais avant de tomber malade. Maintenant oui, il y a des dépressifs qui ont l'air de se plaire dans leur état, et c'est vrai que pour notre guérision à nous, ce n'est pas bénéfique du tout... moi-même étant malade cela m'énervait de voir que mes "collègues de combat" n'avaient pas la force de faire plus... Moi je ne supportais vraiment de me voir dans cet état, moi qui essayais de toujours donner le change... j'en pleurais de rage, de me voir si impuissante. Incapable de prendre la moindre décision, broyer du noir, penser que je ne valais rien, que je servais à rien, que j'étais nulle. Dans ces moments-là, si on est pas entouré, on est fichu. Moi j'ai eu le déclic qui m'a permis de remonter la pente, grâce à mon père. Il est venu me voir quand j'étais à l'hosto. Cela faisait 3 jours que je ne mangeais rien, que je ne quittais pas mon lit, ni pour m'aérer les idées, rien. Je sortais pour aller me doucher et aller aux WC, c'est tout. Quand mon père est arrivé, on a discuté et soudain il me dit "là, tu te laisse mourir, c'est ce que tu veux vraiment ?"... sur le moment, j'ai dit non bien sûr, mais sans convictions (j'avais des idées suicidaires)... quand il est parti, j'ai pleuré car j'ai réalisé que ce qu'il disait était vrai... que si je ne me reprenais pas en main tout de suite, je resterais dans ce pavillon psychiatrique, et c'est pas ce que je voulais... Et surtout, j'ai vu ses yeux pendant qu'il me parlait, et j'ai vu que tout ça le faisait souffrir lui aussi... là, je me suis dit que je pouvais pas continuer comme ça, que pour mes parents, ma famille, mes amis, et surtout pour moi, je devais trouver la force de partir de cet endroit... un événement a fait que 2 jours plus tard, je sortais de l'hôpital.... à partir de là, j'ai toujours fait du mieux que j'ai pu, avec des hauts et des bas... même certains jours maintenant, je dois encore me battre, mais quand je vois le chemin que j'ai fait en une année, je suis contente, je ne pensais pas y arriver.
Ce que je veux dire c'est que c'est à la portée de tous, il faut simplement arriver à voir les choses différemment et surtout croire un peu plus en nous... c'est pas facile mais je me dis que si moi j'ai pu y arriver, tout le monde peut le faire aussi, car je n'ai rien de plus que les autres...
Je pense donc que les moyens de guérisons dépendent surtout des personnes... voilà

"Le bonheur et la souffrance dépendent de votre esprit, de votre interprétation. Ils ne viennent pas d'autrui, ni de l'extérieur. Tous les bonheurs, toutes les souffrances ne dépendent que de vous, ils sont créés par votre esprit." Lama Zopa Rinpoche
Tu as bien raison Dana!
Et je pense aussi qu'il faut voir au cas par cas.
La dépression a différents stades comme je l'expliquais dans mon avant dernier post.
Moi, j'ai préféré arrêter les anti-dépresseurs car avec j'hallucinais. J'ai raconté ceci à mon doc et alors là, il me dit que la dépression était plus grave qu'il ne le pensait. J'ai cru qu'il allait me mettre à l'hôpital.
Ouf, non!J'ai arrêté de moi-même car je ne voulais rentré dans les délires.
J'ai juste pris mes somnifères et je m'étais dit tant pis si je tremble.
Ma dépression n'était qu'au premier stade. J'ai repris le boulot car je ne voulais pas m'enfermer dans une bulle noire et puis parce qu'il faut cotoyer du monde pour s'en sortir mais cela ne veut pas dire que j'allais hyper bien. J'ai tenu le coup et ensuite 2 mois après j'ai rencontré mon âme soeur. Ce qui m'a sauvé de cette dépression aussi.
Et je pense aussi qu'il faut voir au cas par cas.
La dépression a différents stades comme je l'expliquais dans mon avant dernier post.
Moi, j'ai préféré arrêter les anti-dépresseurs car avec j'hallucinais. J'ai raconté ceci à mon doc et alors là, il me dit que la dépression était plus grave qu'il ne le pensait. J'ai cru qu'il allait me mettre à l'hôpital.
Ouf, non!J'ai arrêté de moi-même car je ne voulais rentré dans les délires.
J'ai juste pris mes somnifères et je m'étais dit tant pis si je tremble.
Ma dépression n'était qu'au premier stade. J'ai repris le boulot car je ne voulais pas m'enfermer dans une bulle noire et puis parce qu'il faut cotoyer du monde pour s'en sortir mais cela ne veut pas dire que j'allais hyper bien. J'ai tenu le coup et ensuite 2 mois après j'ai rencontré mon âme soeur. Ce qui m'a sauvé de cette dépression aussi.
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- scarlettine
Oui danascully, je pense comme toi, tu as eu la chance d'avoir une réaction face à la détresse de ton père, mais tout le monde n'a pas quelqu'un qui provoque le déclic...
Si j'avais (dans mon cas) eu la "chance" (pour moi c'est une véritable chance) d'avoir eu un proche qui m'avait véritablement fait comprendre que j'étais aimée et que je devais cesser de me laisser mourir, alors j'en suis certaine, j'aurai eu cette réaction de survie...
Le gros problème de beaucoup de personnes dans mon cas, est que la maladie fait fuir, c'est comme si c'était une maladie contagieuse, alors on ne vient pas les voir, .... DONC .... COURAGE, FUYONS!!!
Résultat: on se sent encore plus mal et encore moins aimés , donc on ne s'aime plus du tout, l'incompréhension s'installe encore plus, et l'engrenage continue !
Si j'avais (dans mon cas) eu la "chance" (pour moi c'est une véritable chance) d'avoir eu un proche qui m'avait véritablement fait comprendre que j'étais aimée et que je devais cesser de me laisser mourir, alors j'en suis certaine, j'aurai eu cette réaction de survie...
Le gros problème de beaucoup de personnes dans mon cas, est que la maladie fait fuir, c'est comme si c'était une maladie contagieuse, alors on ne vient pas les voir, .... DONC .... COURAGE, FUYONS!!!
Résultat: on se sent encore plus mal et encore moins aimés , donc on ne s'aime plus du tout, l'incompréhension s'installe encore plus, et l'engrenage continue !
- DanaScully
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- Inscription : Jeu Août 07, 2003 13:00
- Localisation : Sous-sol du FBI, Washington
Oui Scarlettine, je suis tout à fait d'accord. Je pense sincèrement que j'aurais plus de mal à m'en sortir sans l'amour de mes parents... et de mes deux soeurs. Mais comme toi, cette maladie a fait fuir nombre de gens, des gens qui se disaient mes amis... j'ai appris à trier depuis parmis mes amis ceux qui l'étaient vraiment... des gens qui ne nous acceptent pas tel que l'on est, et qui ne nous donne pas le droit de ne pas être bien, c'est triste 

"Le bonheur et la souffrance dépendent de votre esprit, de votre interprétation. Ils ne viennent pas d'autrui, ni de l'extérieur. Tous les bonheurs, toutes les souffrances ne dépendent que de vous, ils sont créés par votre esprit." Lama Zopa Rinpoche
Je suis pour le fait qu'elles peuvent errer car elles ont en quelque sorte étées coupées très vite de leur temps restant à vivre.. mais de l'idée qu'elle va en enfer... ça c'est de la trempe des religions et compagnies.. c'est de la pure foutaise je pense
http://www.instable.tk >> tu n'es pas encore membre?
- DanaScully
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- Message(s) : 2658
- Inscription : Jeu Août 07, 2003 13:00
- Localisation : Sous-sol du FBI, Washington
T'es vraiment fâché avec les religions toi, faut calmer un peu je crois 

"Le bonheur et la souffrance dépendent de votre esprit, de votre interprétation. Ils ne viennent pas d'autrui, ni de l'extérieur. Tous les bonheurs, toutes les souffrances ne dépendent que de vous, ils sont créés par votre esprit." Lama Zopa Rinpoche
- Lilys4
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- Inscription : Jeu Décembre 01, 2005 03:46
- Localisation : Montréal, Québec
suicide
On ne va pas en enfer quand on se suicide (je ne saurais même pas affirmer que l'enfer qu'on nous as décrit dans la Bible existe vraiment), je ne dis pas ça pour faire ma savante, au contraire, mais le fait est que un de mes oncles s'est suicidé (il était schizophrène), et plusieurs membres de ma famille (dont moi) on souvent rêvé à lui, et personne ne l'a jamais vu dans un lieu infernal. Au contraire il nous semblait presque toujours serein, parfois triste aussi, dépendamment du message qu'il voulait faire passer. Je prend ça comme une preuve qu'il n'y a pas de tourments éternels pour les suicidés.
- strighnave
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- Message(s) : 1474
- Inscription : Mer Octobre 26, 2005 16:46
Le paradis et l'enfer n'existe que dans la tête.
L'au-delà est comme notre monde, chacun cohabite avec ses nuances personnelles.
Un suicidé erre effectivement mais au milieu des autres.
Ce que nous appelons "entrer dans la lumière" n'est en fait, que lui faire retrouver sa sérénité.
Libérer une âme veut dire "libérée d'elle même"
Ceci est une première hypothèse.
La seconde :
L'univers est composé de différentes dimensions.
La notre, l'au-delà et le monde de lumière (celui de Dieu)
L'au-delà dans ce cas précis est une sorte de purgatoire où les âmes attendent d'être libérées pour aller enfin vers la lumière.
Mais certaines âmes profitent de cette situation grâce à la proximité de notre dimension. Elles ne veulent pas rejoindre la lumière.
Mais ce n'est qu'un point de vue, pas une certitude, vu que je ne suis pas encore mort.
L'au-delà est comme notre monde, chacun cohabite avec ses nuances personnelles.
Un suicidé erre effectivement mais au milieu des autres.
Ce que nous appelons "entrer dans la lumière" n'est en fait, que lui faire retrouver sa sérénité.
Libérer une âme veut dire "libérée d'elle même"
Ceci est une première hypothèse.
La seconde :
L'univers est composé de différentes dimensions.
La notre, l'au-delà et le monde de lumière (celui de Dieu)
L'au-delà dans ce cas précis est une sorte de purgatoire où les âmes attendent d'être libérées pour aller enfin vers la lumière.
Mais certaines âmes profitent de cette situation grâce à la proximité de notre dimension. Elles ne veulent pas rejoindre la lumière.
Mais ce n'est qu'un point de vue, pas une certitude, vu que je ne suis pas encore mort.
- Lilys4
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- Inscription : Jeu Décembre 01, 2005 03:46
- Localisation : Montréal, Québec
strighnave a écrit :Le paradis et l'enfer n'existe que dans la tête.
L'au-delà est comme notre monde, chacun cohabite avec ses nuances personnelles.
Un suicidé erre effectivement mais au milieu des autres.
Ce que nous appelons "entrer dans la lumière" n'est en fait, que lui faire retrouver sa sérénité.
Libérer une âme veut dire "libérée d'elle même"
Ceci est une première hypothèse.
La seconde :
L'univers est composé de différentes dimensions.
La notre, l'au-delà et le monde de lumière (celui de Dieu)
L'au-delà dans ce cas précis est une sorte de purgatoire où les âmes attendent d'être libérées pour aller enfin vers la lumière.
Mais certaines âmes profitent de cette situation grâce à la proximité de notre dimension. Elles ne veulent pas rejoindre la lumière.
Mais ce n'est qu'un point de vue, pas une certitude, vu que je ne suis pas encore mort.
Ben encore là les seules personnes qui le savent ce sont les revenants,
c'est-à-dire ceux qui ont vécu une expérience de mort imminente, mais
encore là c'est pas évident parce qu'ils n'ont pas tous vu la même chose
et qu'une fois sur dix en moyenne c'était une mauvaise expérience.......
donc le mystère persiste même avec des témoignages.
Mieux vaut tard que jamais...
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