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L'euthanasie ?
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L'euthanasie ?
Je suis allé voir dans le moteur de recherche et je n'ai rien trouvé.
La lettre de Vincent au président de la République
Devenu tétraplégique, muet et aveugle après un accident, Vincent a écrit au président de la République pour lui demander de lui acorder le droit de mourir.
Monsieur Chirac,
Tous mes respects, Monsieur le président. Je m'appelle Vincent Humbert, j'ai 21 ans, j'ai eu un accident de circulation le 24 septembre 2000. Je suis resté 9 mois dans le coma. Je suis actuellement à l'hôpital Hélio-Marins à Bercks, dans le Pas-de-Calais.
Tous mes sens vitaux ont été touchés, à part l'ouïe et l'intelligence, ce qui me permet d'avoir un peu de confort.
Je bouge très légèrement la main droite en faisant une pression avec le pouce à chaque bonne lettre de l'alphabet. Ces lettres constituent des mots et ces mots forment des phrases.
C'est ma seule méthode de communication. J'ai actuellement une animatrice à mes côtés, qui m'épelle l'alphabet en séparant voyelles et consonnes. C'est de cette façon que j'ai décidé de vous écrire. Les médecins ont décidé de m'envoyer dans une maison d'accueil spécialisée. Vous avez le droit de grâce et moi, je vous demande le droit de mourir.
Je voudrais faire ceci évidemment pour moi-même mais surtout pour ma mère; elle qui a tout quitté de son ancienne vie pour rester à mes côtés, ici à Berck, en travaillant le matin et le soir après m'avoir rendu visite, sept jours sur sept, sans aucun jour de repos. Tout ceci pour pouvoir payer le loyer de son misérable studio. Pour le moment, elle est encore jeune. Mais dans quelques années, elle ne pourra plus encaisser une telle cadence de travail, c'est à dire qu'elle ne pourra plus payer son loyer et sera donc obligée de repartir dans son appartement de Normandie.
Mais impossible d'imaginer rester sans sa présence à mes côtés et je pense que tout patient ayant parfaitement conscience est responsable de ses actes et a le droit de vouloir continuer à vivre ou à mourir.
Je voudrais que vous sachiez que vous êtes ma dernière chance. Sachez également que j'étais un concitoyen sans histoires, sans casier judiciaire, sportif, sapeur-pompier bénévole.
Je ne mérite pas un scénario aussi atroce et j'espère que vous lirez cette lettre qui vous est spécialement adressée. Vous direz toutes mes salutations distinguées à votre épouse. Je trouve que toutes les actions comme les pièces jaunes sont de bonnes oeuvres.
Quant à vous, j'espère que votre quinqennat se passe comme vous le souhaitez malgré tous les attentats terroristes.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes sentiments les plus distingués.
"Qu'il reprenne goût à la vie" a déclaré Jacques Chirac à la mère de Vincent: " c'est un ordre du président de la République."
Tandis que Jean-François Mattei réaffirme son refus de légifèrer sur l'euthanasie,
88% des Français s'y déclarent favorables.
Certaine personnes souffrant de maladies insupportables et incurables demandent parfois aux médecins une euthanasie, c'est à dire qu'on mette fin à leur vie, sans souffrance. Selon vous, la loi française devrait autoriser les medecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des ces personnes atteintes de maladis insupportables et incurables si elles le demandent ?
(Sondage IFOP pour le Journal du Dimanche, réalisé les 19 et 20 décembre 2002 auprès d'un échantillon de 957 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas)).
déc. 2002 avril 2001
oui, absolument 33 88% 38 88%
oui dans certains cas 55 50
Non 9 10
Ne se prononcent pas 3 2
Le sondage IFOP réalisé pour le JDD montre que 88% des français sont globalement favorables à l'euthanasie pour "des personnes atteintes de maladies insupportables et incurables". Mais il indique aussi qu'une majorité d'entre eux (55%) demandent que cette pratique ne soit appliquée que dans "certains cas".
Des réserves qui sont en progression de 5 points par rapport à avril 2001.
Les Français semblent s'interroger sur les dérives qui pourraient surgir quand il s'agit "d'autoriser un homme à donner la mort à un autre homme", comme l'a encore répété le ministre de la Santé, Jean-François Mattei. Partisan ds soins palliatifs, ce dernier a en effet redit que l'euthanasie est pour lui "une mauvaise réponse" à la douleur, la solitude et l'abandon. "Il peut y avoir des transgressions, mais la transgression ne peut être écrite dans la loi", a ajouté le ministre.
La lettre de Vincent au président de la République
Devenu tétraplégique, muet et aveugle après un accident, Vincent a écrit au président de la République pour lui demander de lui acorder le droit de mourir.
Monsieur Chirac,
Tous mes respects, Monsieur le président. Je m'appelle Vincent Humbert, j'ai 21 ans, j'ai eu un accident de circulation le 24 septembre 2000. Je suis resté 9 mois dans le coma. Je suis actuellement à l'hôpital Hélio-Marins à Bercks, dans le Pas-de-Calais.
Tous mes sens vitaux ont été touchés, à part l'ouïe et l'intelligence, ce qui me permet d'avoir un peu de confort.
Je bouge très légèrement la main droite en faisant une pression avec le pouce à chaque bonne lettre de l'alphabet. Ces lettres constituent des mots et ces mots forment des phrases.
C'est ma seule méthode de communication. J'ai actuellement une animatrice à mes côtés, qui m'épelle l'alphabet en séparant voyelles et consonnes. C'est de cette façon que j'ai décidé de vous écrire. Les médecins ont décidé de m'envoyer dans une maison d'accueil spécialisée. Vous avez le droit de grâce et moi, je vous demande le droit de mourir.
Je voudrais faire ceci évidemment pour moi-même mais surtout pour ma mère; elle qui a tout quitté de son ancienne vie pour rester à mes côtés, ici à Berck, en travaillant le matin et le soir après m'avoir rendu visite, sept jours sur sept, sans aucun jour de repos. Tout ceci pour pouvoir payer le loyer de son misérable studio. Pour le moment, elle est encore jeune. Mais dans quelques années, elle ne pourra plus encaisser une telle cadence de travail, c'est à dire qu'elle ne pourra plus payer son loyer et sera donc obligée de repartir dans son appartement de Normandie.
Mais impossible d'imaginer rester sans sa présence à mes côtés et je pense que tout patient ayant parfaitement conscience est responsable de ses actes et a le droit de vouloir continuer à vivre ou à mourir.
Je voudrais que vous sachiez que vous êtes ma dernière chance. Sachez également que j'étais un concitoyen sans histoires, sans casier judiciaire, sportif, sapeur-pompier bénévole.
Je ne mérite pas un scénario aussi atroce et j'espère que vous lirez cette lettre qui vous est spécialement adressée. Vous direz toutes mes salutations distinguées à votre épouse. Je trouve que toutes les actions comme les pièces jaunes sont de bonnes oeuvres.
Quant à vous, j'espère que votre quinqennat se passe comme vous le souhaitez malgré tous les attentats terroristes.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes sentiments les plus distingués.
"Qu'il reprenne goût à la vie" a déclaré Jacques Chirac à la mère de Vincent: " c'est un ordre du président de la République."
Tandis que Jean-François Mattei réaffirme son refus de légifèrer sur l'euthanasie,
88% des Français s'y déclarent favorables.
Certaine personnes souffrant de maladies insupportables et incurables demandent parfois aux médecins une euthanasie, c'est à dire qu'on mette fin à leur vie, sans souffrance. Selon vous, la loi française devrait autoriser les medecins à mettre fin, sans souffrance, à la vie des ces personnes atteintes de maladis insupportables et incurables si elles le demandent ?
(Sondage IFOP pour le Journal du Dimanche, réalisé les 19 et 20 décembre 2002 auprès d'un échantillon de 957 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas)).
déc. 2002 avril 2001
oui, absolument 33 88% 38 88%
oui dans certains cas 55 50
Non 9 10
Ne se prononcent pas 3 2
Le sondage IFOP réalisé pour le JDD montre que 88% des français sont globalement favorables à l'euthanasie pour "des personnes atteintes de maladies insupportables et incurables". Mais il indique aussi qu'une majorité d'entre eux (55%) demandent que cette pratique ne soit appliquée que dans "certains cas".
Des réserves qui sont en progression de 5 points par rapport à avril 2001.
Les Français semblent s'interroger sur les dérives qui pourraient surgir quand il s'agit "d'autoriser un homme à donner la mort à un autre homme", comme l'a encore répété le ministre de la Santé, Jean-François Mattei. Partisan ds soins palliatifs, ce dernier a en effet redit que l'euthanasie est pour lui "une mauvaise réponse" à la douleur, la solitude et l'abandon. "Il peut y avoir des transgressions, mais la transgression ne peut être écrite dans la loi", a ajouté le ministre.
Dernière édition par freedom le Ven Juillet 08, 2005 23:59, édité 1 fois.
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- fred'x
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- Message(s) : 3411
- Inscription : Mar Mai 10, 2005 18:00
- Localisation : Down in Dragontown.
Cependant (j'ai voté oui) la "malette d'euthanasie" mise en place en Belgique (il me semble) est peut-être un peu exagérée dans l'application.
"Dieu est mort" - Nietzsche
"Nietzsche est mort" - Dieu
"Nietzsche est mort" - Dieu
Je dirais que je suis pour mais pour ceux qui sont réellement comme Vincent Humbert, juste pour les personnes qui sont vraiment atteintes grièvement et lorsqu'il n' y a plus d'espoir au niveau médecine.
Je ne supporte pas voir des gens souffrir comme ceci et que la médecine ne peut plus rien faire. A quoi bon de continuer ce martyr?
Je ne supporte pas voir des gens souffrir comme ceci et que la médecine ne peut plus rien faire. A quoi bon de continuer ce martyr?
Dernière édition par freedom le Ven Juillet 08, 2005 12:11, édité 1 fois.
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- schattenjagger
Cette lettre me fait couler une triste larme sur ma joue.
C'est une question bien difficile, je ne peux pas répondre par oui ou par non à un tel sondage.
L'euthanasie peu être perçu par de nombreux points de vue, certes un homme peu souffrir au fond de lui et physiquement, telle la lettre que tu évoques et là, je pense qu'il a le droit de décider de son avenir.
C'est une question bien difficile, je ne peux pas répondre par oui ou par non à un tel sondage.
L'euthanasie peu être perçu par de nombreux points de vue, certes un homme peu souffrir au fond de lui et physiquement, telle la lettre que tu évoques et là, je pense qu'il a le droit de décider de son avenir.
Je ne sais si on peut modifier ou pas?
Au fait, j'ai regardé dans le moteur de recherche et je ne trouve rien.

Au fait, j'ai regardé dans le moteur de recherche et je ne trouve rien.

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- petit coeur
-
- Message(s) : 543
- Inscription : Mer Mars 17, 2004 19:43
- Localisation : Belgique
Il y avait effectivement un post à ce sujet, mais apparement il a disparu
C'est moi qui l'avait posté
Quoi qu'il en soit la réponse est Oui, en ce qui me concerne.

C'est moi qui l'avait posté

Quoi qu'il en soit la réponse est Oui, en ce qui me concerne.
Se faire passer pour un imbécile aux yeux d'un crétin est une volupté de fin gourmet.
(Courteline)
(Courteline)
Tout comme Laurie, je trouve ce sondage un peu trop manichéen. Bien sûr que quelqu'un qui en a exprimé le souhait en étant sain d'esprit a le droit de partir dans la dignité et sans que ceux qui l'aiment soient passibles de prison.
A condition d'un cadre bien précis pour éviter les abus.
A condition d'un cadre bien précis pour éviter les abus.

"Je suis nul en orthographe", ce n'est pas une excuse !
- Fée_Clochette
-
- Message(s) : 319
- Inscription : Jeu Mai 26, 2005 12:48
- Localisation : NORD
Je suis pour l'euthanasie. Mourir dans la dignité sans acharnement thérapeutique...ma grand mère a été "euthanasiée". Cela remonte à 12ans, elle avait un cancer généralisé qui métastasait sur ses organes digestifs. Elle souffrait énormément, en bonne polonaise, elle n'en a rien laissé paraître. Elle a demandé à ma mère et à son médecin de l'aider à partir. Elle est décédée chez elle, entourée par sa famille, un sourire aux lèvres.
Après avoir vécu cela je ne peux que dire oui au droit à mourir dans la dignité...certes il existe des centres de soins palliatifs, mais condamner quelqu'un à vivre alors que tout espoir est perdu, qu'il souffre trop et que la médecine ne peut plus rien faire...
Après avoir vécu cela je ne peux que dire oui au droit à mourir dans la dignité...certes il existe des centres de soins palliatifs, mais condamner quelqu'un à vivre alors que tout espoir est perdu, qu'il souffre trop et que la médecine ne peut plus rien faire...
La tendance naturelle de l'esprit humain est de croire avant de savoir
- wass
Fée_Clochette a écrit :...ma grand mère a été "euthanasiée". Cela remonte à 12ans, elle avait un cancer généralisé qui métastasait sur ses organes digestifs. Elle souffrait énormément, en bonne polonaise, elle n'en a rien laissé paraître. Elle a demandé à ma mère et à son médecin de l'aider à partir. Elle est décédée chez elle, entourée par sa famille, un sourire aux lèvres.
Après avoir vécu cela je ne peux que dire oui au droit à mourir dans la dignité...certes il existe des centres de soins palliatifs, mais condamner quelqu'un à vivre alors que tout espoir est perdu, qu'il souffre trop et que la médecine ne peut plus rien faire...
Idem pour moi, il s'agit de ma mère et il y a de ça 7 ans elle avait tout comme ta grand-mère un cancer (du sein) qui s'est généralisé et qui métastasait un peu partout dans son organisme (cerveau, foie, utérus..)



La belle-mère de ma soeur est infirmière et m'a dit que cette pratique était courante en France (elle l'a déjà pratiquée plusieurs fois, en cancérologie, à la demande des malades qui n'avaient aucune chance de se rétablir) mais que ce n'était pas une pratique encore tolérée et qu'on ne le crie pas sur tous les toits.
Je suis aussi pour l'euthanasie mais j'ai peur de certaines dérives . Imaginez , on pourrait voir des gens qui essayeraient de convaincre un membre de leur famille , âgé , et représentant une charge pour eux , de se faire euthanasier . Ce serait un choc psychologique pour cette personne , même si elle n'accepte pas . Mais je suis , malgré tout , pour l'euthanasie . Ce sujet est vraiment délicat et je tenais à donner mon avis mais je sais même pas si j'ai reussi à me faire comprendre .
Il faudrait que beaucoup de psychologues entourent la personne concernée et aussi sa famille.

Il faudrait que beaucoup de psychologues entourent la personne concernée et aussi sa famille.
Il ne faut pas non plus en abuser!
Je dis oui pour l'euthanasie mais il faut que tout soit bien étudié.
Je pense qu'il faudrait un médecin de chaque pays pour déterminer la fin d'une souffrance d'un patient en fin de vie.
Je dis oui pour l'euthanasie mais il faut que tout soit bien étudié.
Je pense qu'il faudrait un médecin de chaque pays pour déterminer la fin d'une souffrance d'un patient en fin de vie.
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- Fée_Clochette
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- Message(s) : 319
- Inscription : Jeu Mai 26, 2005 12:48
- Localisation : NORD
En Belgique c'est comme ça que ça marche. Il faut avis médical de plusieurs médecins il me semble, plus celui de la famille et un avis psychologique du patient. Si des Belges pouvaient nous en dire plus... ce ne sont que de vagues souvenirs des infos, j'ai pas une mémoire éidétique...
La tendance naturelle de l'esprit humain est de croire avant de savoir
C'est déjà très bien.
Mais, on n'est pas si évolués que cela, nous les Français. Je pense que l'on devrait prendre un peu d'évolution dans les cerveaux des Belges.

Mais, on n'est pas si évolués que cela, nous les Français. Je pense que l'on devrait prendre un peu d'évolution dans les cerveaux des Belges.
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- Fée_Clochette
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- Message(s) : 319
- Inscription : Jeu Mai 26, 2005 12:48
- Localisation : NORD
Ouais c'est sûr, c'est pour ça que je vais faire mes études là-bas!
La tendance naturelle de l'esprit humain est de croire avant de savoir
Faire cesser les souffrances d'une personne qui le demande, abréger la vie d'une personne se trouvant dans un état végétatif sachant que sa situation est irréversible, cela est juste.
Mais le problème est que si l'euthanasie devient légale il y aura assurément des excès.
Même si une loi définit parfaitement le contexte dans lequel l'euthanasie est applicable, il faudrait procéder à une enquète approfondie pour chaque cas, c'est à dire vérifier que cet acte soit bel et bien justifié.
Je pense notamment aux personnes agées dont l'entourage veut parfois se "débarrasser". C'est moche mais ça existe et c'est même assez courant...
Donc je trouverais cela inquiétant si l'acte d'oter la vie était autorisé par une loi.
Heureusement, comme cela a déjà été dit, les euthanasies sont pratiquées dans les hopitaux et par certains mèdecins, et l'illégalité de l'acte en question évite les abus.
Mais le problème est que si l'euthanasie devient légale il y aura assurément des excès.
Même si une loi définit parfaitement le contexte dans lequel l'euthanasie est applicable, il faudrait procéder à une enquète approfondie pour chaque cas, c'est à dire vérifier que cet acte soit bel et bien justifié.
Je pense notamment aux personnes agées dont l'entourage veut parfois se "débarrasser". C'est moche mais ça existe et c'est même assez courant...
Donc je trouverais cela inquiétant si l'acte d'oter la vie était autorisé par une loi.
Heureusement, comme cela a déjà été dit, les euthanasies sont pratiquées dans les hopitaux et par certains mèdecins, et l'illégalité de l'acte en question évite les abus.
- bouligoulga
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- Message(s) : 775
- Inscription : Lun Juin 27, 2005 23:38
Vous arriverez vous en étant médecin à tuer quelqu'un même s'il est en fin de vie ? Même s'il le demande ? Pour moi ce serait impossible.
Le geste d'euthanasier une personne ressemble un peu au fait de ne pas réanimer certaine personne qui le demandes . L'euthanasie est donc une façon de libérer une personne qui souffre et se sera à sa demande , donc ce ne sera pas un crime .
De toute façon seule certains médecins sélectionnés pourront le faire , ainsi ce qui ne sont pas partant pourront refuser .
De toute façon seule certains médecins sélectionnés pourront le faire , ainsi ce qui ne sont pas partant pourront refuser .
Je suis d'accord!
Pour l'abus, il faudrait être tout de même draconnien sur les examens.
Je pense que si une personne en état végétatif et qui souffre a le droit de s'en aller pour ne plus subir les souffrances qu'elle endure.
Pour l'abus, il faudrait être tout de même draconnien sur les examens.
Je pense que si une personne en état végétatif et qui souffre a le droit de s'en aller pour ne plus subir les souffrances qu'elle endure.
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