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Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
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Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Je suis en train de regarder envoyé spécial et il y a un reportage sur le procès d'un violeur en série. Il a violé 15 femmes. Je poste ce topic car je me demande qu'est ce qui peut pousser un homme à violer une femme. J'arrive pas à imaginer qu'un mec se lève un matin et se dise "tiens je vais agresser une nana!". Qu'est ce que vous en pensez?
" In this world nothing can be said to be certain, except death and taxes".
[ B. Franklin]
[ B. Franklin]
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Le sujet étant très sensible, j'avertis qu'au premier dérapage ou propos déplacé, je ferme sans préavis. Merci d'avance.
Pour la carotte, le lapin représente le mal absolu.
- Redrum
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- Inscription : Ven Juillet 11, 2008 18:34
- Localisation : Somewhere over the rainbow
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Je viens de terminer le reportage.
En fait, il faut le remettre dans son contexte : il s'agit du dernier volet de 3 documentaires sur une même affaire. La journaliste a suivi 4 femmes qui ont accepté de témoigner et d'être filmées après avoir été agressées/violées par cet homme (qui au final a abusé de 15 victimes). Le premier reportage a été fait il y a 4 ans alors qu'elles déposaient plainte, le 2e, il y a 2 ans (je crois) consacré à la vie de ces victimes et le dernier c'était sur le procès qui s'est tenu il y a un an.
Qu'est-ce qui peut pousser un homme à violer ? Il y a une foultitudes de réponses, du mec froid qui va "consommer" une femme à quelqu'un de traumatisé comme semble-t-il celui du procès (victime lui-même d'abus sexuels dans son enfance). Du coup, je pense qu'il n'y a pas vraiment de débat à avoir sur le sujet : c'est compliqué et c'est au cas par cas.
Quoi qu'il en soit, ce que je retiens surtout de cette série de reportages, c'est la souffrance des victimes, cette culpabilité et envie de mourir qui les a détruites.
En fait, il faut le remettre dans son contexte : il s'agit du dernier volet de 3 documentaires sur une même affaire. La journaliste a suivi 4 femmes qui ont accepté de témoigner et d'être filmées après avoir été agressées/violées par cet homme (qui au final a abusé de 15 victimes). Le premier reportage a été fait il y a 4 ans alors qu'elles déposaient plainte, le 2e, il y a 2 ans (je crois) consacré à la vie de ces victimes et le dernier c'était sur le procès qui s'est tenu il y a un an.
Qu'est-ce qui peut pousser un homme à violer ? Il y a une foultitudes de réponses, du mec froid qui va "consommer" une femme à quelqu'un de traumatisé comme semble-t-il celui du procès (victime lui-même d'abus sexuels dans son enfance). Du coup, je pense qu'il n'y a pas vraiment de débat à avoir sur le sujet : c'est compliqué et c'est au cas par cas.
Quoi qu'il en soit, ce que je retiens surtout de cette série de reportages, c'est la souffrance des victimes, cette culpabilité et envie de mourir qui les a détruites.
GNB we care
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Mec froid ou pas, en tout cas ce n'est certainement pas un comportement "normal", évidemment les victimes paient un lourd tribu, mais je ne peux m'empêcher de penser à la souffrance potentielle d'un violeur, ou de quelqu'un qui s'apprêterait à basculer. c'est sûrement tabou ceci dit.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Ils agissent par pulsions. Si j'osais, je dirais que ça se situe au niveau psychiatrique...
Apocalypse 2012 : I'm alive !
- Redrum
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- Message(s) : 1762
- Inscription : Ven Juillet 11, 2008 18:34
- Localisation : Somewhere over the rainbow
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Minia a écrit :Ils agissent par pulsions. Si j'osais, je dirais que ça se situe au niveau psychiatrique...
Je ne sais pas si on peut toujours parler de pulsions. Dans le reportage en question, il semblerait que ce soit ça (après les pulsions s'expliquent par ceci ou cela). mais par exemple en temps de guerre quand le viol des femmes des ennemis est massif, ce n'est pas une "pulsion" : le mec le fait parce qu'il a envie de le faire et que ça humilie tant la femme que l'ennemi.
GNB we care
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Oui c'est vrai. Le viol est utilisé encore aujourd'hui dans certains états où il y a des conflits. C'est comme une arme de guerre. Là c'est tout à fait différent.
Concernant les pulsions des autres, je trouve que ça explique pas tout. On dirait même que ça dédouane car ils ont eu une pulsion et finalement ça n'est pas de leur faute.
Sauf que ce sont des humains donc ils devraient pouvoir se contrôler, non?
Concernant les pulsions des autres, je trouve que ça explique pas tout. On dirait même que ça dédouane car ils ont eu une pulsion et finalement ça n'est pas de leur faute.

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[ B. Franklin]
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Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Il est difficile de classer chaque violeur dans une catégorie bien précise tant il existe de raisons complexes qui peuvent motiver son acte. Dans certains cas il peut aussi tout simplement s'agir de pulsions qui correspondent à un acte de violence pouvant par exemple traduire un besoin de puissance et de domination sur l'autre, ou une manière d'extérioser sa colère. Mais dans tous les cas, cela relève d'un dérèglement mental qui a autant de chances de se produire si l'homme en question ne possède pas une sexualité épanouie, et/ou s'il n'a pas reçu une éducation tendant à le rendre respectueux des autres, lui-même ayant également ainsi été respecté.
On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux. (Antoine de Saint-Exupéry)
- John Force
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
La pulsion du viol est comme la pulsion pédophile. Quand il s'agit d'une pathologie qui fait autant souffrir la victime qu'elle n'est un danger pour la société, on devrait songer, avec l'accord du malade ou par décision de justice, à pouvoir procéder à la castration chimique.
C'est comme pour la pédophilie, certains sont naturellement attiré par les enfants, mais n'ont jamais passés à l'acte, et sont mariés. Mais cette souffrance morale amène au suicide parfois.
C'est comme pour la pédophilie, certains sont naturellement attiré par les enfants, mais n'ont jamais passés à l'acte, et sont mariés. Mais cette souffrance morale amène au suicide parfois.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Mon Dieu, c'est compliqué.
Pourquoi un homme apparemment normal devient un violeur de femmes.
Dieu seul sait ce qui se passe dans sa tête.
Je vais ici faire part des idées de la plupart des hommes qui, lorsqu'ils repèrent une jolie fille, ont envie de la prendre sexuellement.
Pas la peine de nier, les hommes " normaux " parfois ont une méchante envie sur une femme pour des raisons connues d'eux seuls.
Personnellement, j'ai un grand respect des femmes, jamais je ne pourrais
forcer par la violence une femme à céder à une relation, j'ai toujours invité une femme à une relation par la douceur et l'amour, surtout ma propre femme que j'adore depuis 16 ans et que je n'ai jamais trahis.
La majorité des hommes, gardent le contrôle et se contentent du coup d'oeil, d'autres ne se contiennent pas et passent à l'action, même jusque tuer leur victime.
Heureusement, la majorité des hommes, soit, abandonnent ou prennent contact avec une femme avec gentillesse et se retirent en douceur, s'ils sont éjectés.
Pourquoi un homme apparemment normal devient un violeur de femmes.
Dieu seul sait ce qui se passe dans sa tête.
Je vais ici faire part des idées de la plupart des hommes qui, lorsqu'ils repèrent une jolie fille, ont envie de la prendre sexuellement.
Pas la peine de nier, les hommes " normaux " parfois ont une méchante envie sur une femme pour des raisons connues d'eux seuls.
Personnellement, j'ai un grand respect des femmes, jamais je ne pourrais
forcer par la violence une femme à céder à une relation, j'ai toujours invité une femme à une relation par la douceur et l'amour, surtout ma propre femme que j'adore depuis 16 ans et que je n'ai jamais trahis.
La majorité des hommes, gardent le contrôle et se contentent du coup d'oeil, d'autres ne se contiennent pas et passent à l'action, même jusque tuer leur victime.
Heureusement, la majorité des hommes, soit, abandonnent ou prennent contact avec une femme avec gentillesse et se retirent en douceur, s'ils sont éjectés.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Linele a écrit :
En effet, les profils de violeurs sont souvent assez différents en fonction des circonstances du crime...
J'ai trouvé cette catégorisation qui me semble pas mal juste, dans cet article de criminologie :
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:eJ267rsjD8gJ:stigma.site.free.fr/textes/2007/6.doc+viol+criminologie&cd=2&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
Pour ce qui est de la victimologie, j'ajouterais que contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les filles "libérées" qui ont le plus de risques de se faire violer, mais au contraire celles qui apparaissent le moins sûres d'elles... tout simplement parce qu'elles sont instinctivement détectées comme des "proies faciles".
De plus, toujours selon les statistiques criminelles, exactement comme pour les meurtres, le violeur en série représente une quantité très faible de victimes. Le violeur "type" fait partie de l'entourage de la victime ( ami, collègue, voisin etc... ), et agit généralement chez la victime ou chez lui...
En gros, on est moins en sécurité chez soi avec un ami que dans un parking souterrain ou une ruelle sombre...
Il est difficile de classer chaque violeur dans une catégorie bien précise tant il existe de raisons complexes qui peuvent motiver son acte. Dans certains cas il peut aussi tout simplement s'agir de pulsions qui correspondent à un acte de violence pouvant par exemple traduire un besoin de puissance et de domination sur l'autre, ou une manière d'extérioser sa colère. Mais dans tous les cas, cela relève d'un dérèglement mental qui a autant de chances de se produire si l'homme en question ne possède pas une sexualité épanouie, et/ou s'il n'a pas reçu une éducation tendant à le rendre respectueux des autres, lui-même ayant également ainsi été respecté.
En effet, les profils de violeurs sont souvent assez différents en fonction des circonstances du crime...
J'ai trouvé cette catégorisation qui me semble pas mal juste, dans cet article de criminologie :
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:eJ267rsjD8gJ:stigma.site.free.fr/textes/2007/6.doc+viol+criminologie&cd=2&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
1. Les violeurs de femmes adultes
Les violeurs intrafamiliaux se répartissent schématiquement en deux catégories :
1)Le violeur « dépendant » qui attend et revendique affection et sécurité vis-à-vis de son conjoint et qui ne peut supporter l'idée d'une séparation ou d'un refus sexuel.
2)Le violeur « psychopathe » qui est un individu dominant et violent manifestant sa colère, sa toute puissance et son désir de contrôle sur son partenaire sexuel.
Les violeurs extrafamiliaux constituent un groupe hétérogène, les trois-quarts d'entre eux ayant des antécédents criminels de nature sexuelle ou non sexuelle. La synthèse des travaux internationaux (Knight, McKibben, Jackson, Turvey) permet de classer les viols en six catégories principales selon les motivations ou les affects prédominants au moment du passage à l'acte :
1)Le viol par recherche de réassurance ou de compensation (« power-reassurance rape »). Pour ce type d'agresseur, le viol est un moyen de se rassurer, un test de compétence sexuelle qui vise à restaurer sa masculinité. Ce violeur n'utilise que la force nécessaire pour soumettre sa victime et il renonce en cas de résistance de cette dernière.
2)Le viol par recherche de pouvoir, de domination (« power-assertive rape »). L'auteur de cette catégorie de viol, qui donne une image virile, cherche la domination, la capture, la conquête de la proie qui répond à ses fantasmes sexuels. Il utilise une violence importante qui augmente avec la résistance de la victime.
3)Le viol par rage (« anger-retaliatory rape »). C'est un viol par colère sexualisée, hostilité envers les femmes, représailles, vengeance. Il n'y a pas d'élaboration fantasmatique suscitant l'excitation sexuelle de l'agresseur qui agit de manière impulsive, spontanée, désorganisée.
4)Le viol par sadisme (« sadistic rape », « anger-excitation rape »). Dans ce cas, le violeur prépare soigneusement son crime, l'organise, se munit d'un « nécessaire de viol », torture physiquement et psychologiquement sa victime, lui infligeant des violences sur les organes génitaux. Ce viol répond à un imaginaire érotique sadique chez son auteur. La récidive est fréquente (viols en série).
5)Le viol par comportement antisocial (« antisocial rape »). Contrairement aux quatre types précédents, cette catégorie de violeur ne présente pas de problématique sexuelle particulière. Il s'agit d'un sociopathe amoral, prédateur et opportuniste qui recherche la satisfaction immédiate de ses besoins. Le viol est souvent accompagné de vol.
6)Le viol psychotique (« psychotic rape »). Ce sont ici des motivations délirantes qui poussent un malade mental schizophrène à passer à l'acte de façon impulsive et désorganisée.
Pour ce qui est de la victimologie, j'ajouterais que contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les filles "libérées" qui ont le plus de risques de se faire violer, mais au contraire celles qui apparaissent le moins sûres d'elles... tout simplement parce qu'elles sont instinctivement détectées comme des "proies faciles".
De plus, toujours selon les statistiques criminelles, exactement comme pour les meurtres, le violeur en série représente une quantité très faible de victimes. Le violeur "type" fait partie de l'entourage de la victime ( ami, collègue, voisin etc... ), et agit généralement chez la victime ou chez lui...
En gros, on est moins en sécurité chez soi avec un ami que dans un parking souterrain ou une ruelle sombre...

J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.
Charles Baudelaire
Charles Baudelaire
- John Force
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Hormis le trouble comportemental, il y une foule de raisons qui amène le viol : l'éducation (chez certains assistés, la rente financière telle que l'allocation chomage est du, ainsi que la femme qu'il convoite), la position philosophique (là où la femme est considérée comme inférieure à l'homme), et l'interprétation (la femme qui aguiche l'homme et qui apprend à ses dépends qu'il s'agit d'une énorme erreur)... Aucune n'est cautionnable mais font partie d'une triste réalité.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Chimère a écrit :Linele a écrit :Il est difficile de classer chaque violeur dans une catégorie bien précise tant il existe de raisons complexes qui peuvent motiver son acte. Dans certains cas il peut aussi tout simplement s'agir de pulsions qui correspondent à un acte de violence pouvant par exemple traduire un besoin de puissance et de domination sur l'autre, ou une manière d'extérioser sa colère. Mais dans tous les cas, cela relève d'un dérèglement mental qui a autant de chances de se produire si l'homme en question ne possède pas une sexualité épanouie, et/ou s'il n'a pas reçu une éducation tendant à le rendre respectueux des autres, lui-même ayant également ainsi été respecté.
En effet, les profils de violeurs sont souvent assez différents en fonction des circonstances du crime...
J'ai trouvé cette catégorisation qui me semble pas mal juste, dans cet article de criminologie :
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:eJ267rsjD8gJ:stigma.site.free.fr/textes/2007/6.doc+viol+criminologie&cd=2&hl=fr&ct=clnk&gl=fr1. Les violeurs de femmes adultes
Les violeurs intrafamiliaux se répartissent schématiquement en deux catégories :
1)Le violeur « dépendant » qui attend et revendique affection et sécurité vis-à-vis de son conjoint et qui ne peut supporter l'idée d'une séparation ou d'un refus sexuel.
2)Le violeur « psychopathe » qui est un individu dominant et violent manifestant sa colère, sa toute puissance et son désir de contrôle sur son partenaire sexuel.
Les violeurs extrafamiliaux constituent un groupe hétérogène, les trois-quarts d'entre eux ayant des antécédents criminels de nature sexuelle ou non sexuelle. La synthèse des travaux internationaux (Knight, McKibben, Jackson, Turvey) permet de classer les viols en six catégories principales selon les motivations ou les affects prédominants au moment du passage à l'acte :
1)Le viol par recherche de réassurance ou de compensation (« power-reassurance rape »). Pour ce type d'agresseur, le viol est un moyen de se rassurer, un test de compétence sexuelle qui vise à restaurer sa masculinité. Ce violeur n'utilise que la force nécessaire pour soumettre sa victime et il renonce en cas de résistance de cette dernière.
2)Le viol par recherche de pouvoir, de domination (« power-assertive rape »). L'auteur de cette catégorie de viol, qui donne une image virile, cherche la domination, la capture, la conquête de la proie qui répond à ses fantasmes sexuels. Il utilise une violence importante qui augmente avec la résistance de la victime.
3)Le viol par rage (« anger-retaliatory rape »). C'est un viol par colère sexualisée, hostilité envers les femmes, représailles, vengeance. Il n'y a pas d'élaboration fantasmatique suscitant l'excitation sexuelle de l'agresseur qui agit de manière impulsive, spontanée, désorganisée.
4)Le viol par sadisme (« sadistic rape », « anger-excitation rape »). Dans ce cas, le violeur prépare soigneusement son crime, l'organise, se munit d'un « nécessaire de viol », torture physiquement et psychologiquement sa victime, lui infligeant des violences sur les organes génitaux. Ce viol répond à un imaginaire érotique sadique chez son auteur. La récidive est fréquente (viols en série).
5)Le viol par comportement antisocial (« antisocial rape »). Contrairement aux quatre types précédents, cette catégorie de violeur ne présente pas de problématique sexuelle particulière. Il s'agit d'un sociopathe amoral, prédateur et opportuniste qui recherche la satisfaction immédiate de ses besoins. Le viol est souvent accompagné de vol.
6)Le viol psychotique (« psychotic rape »). Ce sont ici des motivations délirantes qui poussent un malade mental schizophrène à passer à l'acte de façon impulsive et désorganisée.
En gros, on est moins en sécurité chez soi avec un ami que dans un parking souterrain ou une ruelle sombre...
C'est rassurant...
Pas mal du tout sinon le lien. Ça donne une idée des différentes "motivations" (si je puis dire...).
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[ B. Franklin]
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- Redrum
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- Inscription : Ven Juillet 11, 2008 18:34
- Localisation : Somewhere over the rainbow
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
John Force a écrit :Hormis le trouble comportemental, il y une foule de raisons qui amène le viol : l'éducation (chez certains assistés, la rente financière telle que l'allocation chomage est du, ainsi que la femme qu'il convoite), la position philosophique (là où la femme est considérée comme inférieure à l'homme), et l'interprétation (la femme qui aguiche l'homme et qui apprend à ses dépends qu'il s'agit d'une énorme erreur)... Aucune n'est cautionnable mais font partie d'une triste réalité.
Euh... parler "d'assistés" et faire des amalgales douteux entre chômeur/assisté/violeur, c'est non seulement fumeux comme raisonnement mais je ne vois pas le rapport avec le sujet.

GNB we care
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Redrum a écrit :John Force a écrit :Hormis le trouble comportemental, il y une foule de raisons qui amène le viol : l'éducation (chez certains assistés, la rente financière telle que l'allocation chomage est du, ainsi que la femme qu'il convoite), la position philosophique (là où la femme est considérée comme inférieure à l'homme), et l'interprétation (la femme qui aguiche l'homme et qui apprend à ses dépends qu'il s'agit d'une énorme erreur)... Aucune n'est cautionnable mais font partie d'une triste réalité.
Euh... parler "d'assistés" et faire des amalgales douteux entre chômeur/assisté/violeur, c'est non seulement fumeux comme raisonnement mais je ne vois pas le rapport avec le sujet.
Effectivement c'est pas très malin... Certains préjugés ont la vie dure...

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- John Force
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Vous généralisez, j'ai jamais dit que tous les chomeurs étaient des violeurs
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Non ce sont tes propos qui sont généralistes. Si on commence à vouloir trouver des raisons à tout, la liste peut facilement s'allonger. On peut donc rajouter tous ceux qui sont mal dans leur peau, ceux qui viennent de divorcer, ceux qui n'ont pas obtenu leur promotion de fin d'année, ceux qui ont perdu leurs clés de voiture etc... A fortiori une bonne partie de la population. Est-ce que ça en fait des violeurs en puissance pour autant ? As-tu une étude statistique fiable qui démontre le lien de cause à effet entre les viols et le taux de chômage ? Ca risque d'ailleurs de faire plaisir à bon nombre de demandeurs d'emploi de passage sur le forum
Attention à ne pas se laisser influencer par ses préjugés et ses idées reçues...

Attention à ne pas se laisser influencer par ses préjugés et ses idées reçues...
On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux. (Antoine de Saint-Exupéry)
- John Force
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Vous ne voulez pas comprendre ce que j'ai voulu dire mais c'est pas grave.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Ce qu'il faut savoir, c'est que dans notre société contemporaine, plusieurs types de violeurs de femmes existent.
Ceux qui violent sans plus, ceux qui tuent leurs victimes après l'acte, ceux qui torturent et tuent après l'acte, ceux qui violent et torturent suivant un rituel et s'arrangent pour que leurs victimes meurent des suites des tortures, mais pas trop vite et se délectent du spectacle. Et il y en a bien d'autres encor.
En fait, c'est très complexe, d'abord le tueur, le violeur peut paraître normal, même avoir une famille et des enfants, être respectable en façade et être un monstre déguisé, ( c'est arrivé en Belgique il y a quelques mois ).
Jamais il ne faut se fier aux apparences d'un homme, ( je dis cela pour les femmes), il peut avoir un look du tonnerre, un beau métier, une belle voiture, de l'argent, de l'élégance et être un monstre sous sa forme primitive.
Le pire c'est qu'il existe ce genre d'invidus, qui s'en prenent à des gamines en dessous des dix ans.
N'oubliez jamais que ce genre de personnage, sont très intelligents, ont des QI au-dessus de la moyenne et que certains n'ont jamais été intercepté, même en France.
Ce sont de véritables prédateurs au sens propre du terme, l'intelligence au service du mal.
Ceux qui violent sans plus, ceux qui tuent leurs victimes après l'acte, ceux qui torturent et tuent après l'acte, ceux qui violent et torturent suivant un rituel et s'arrangent pour que leurs victimes meurent des suites des tortures, mais pas trop vite et se délectent du spectacle. Et il y en a bien d'autres encor.
En fait, c'est très complexe, d'abord le tueur, le violeur peut paraître normal, même avoir une famille et des enfants, être respectable en façade et être un monstre déguisé, ( c'est arrivé en Belgique il y a quelques mois ).
Jamais il ne faut se fier aux apparences d'un homme, ( je dis cela pour les femmes), il peut avoir un look du tonnerre, un beau métier, une belle voiture, de l'argent, de l'élégance et être un monstre sous sa forme primitive.
Le pire c'est qu'il existe ce genre d'invidus, qui s'en prenent à des gamines en dessous des dix ans.
N'oubliez jamais que ce genre de personnage, sont très intelligents, ont des QI au-dessus de la moyenne et que certains n'ont jamais été intercepté, même en France.
Ce sont de véritables prédateurs au sens propre du terme, l'intelligence au service du mal.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
DRAGON a écrit :Ce qu'il faut savoir, c'est que dans notre société contemporaine, plusieurs types de violeurs de femmes existent.
Ceux qui violent sans plus, ceux qui tuent leurs victimes après l'acte, ceux qui torturent et tuent après l'acte, ceux qui violent et torturent suivant un rituel et s'arrangent pour que leurs victimes meurent des suites des tortures, mais pas trop vite et se délectent du spectacle. Et il y en a bien d'autres encor.
En fait, c'est très complexe, d'abord le tueur, le violeur peut paraître normal, même avoir une famille et des enfants, être respectable en façade et être un monstre déguisé, ( c'est arrivé en Belgique il y a quelques mois ).
Jamais il ne faut se fier aux apparences d'un homme, ( je dis cela pour les femmes), il peut avoir un look du tonnerre, un beau métier, une belle voiture, de l'argent, de l'élégance et être un monstre sous sa forme primitive.
Le pire c'est qu'il existe ce genre d'invidus, qui s'en prenent à des gamines en dessous des dix ans.
N'oubliez jamais que ce genre de personnage, sont très intelligents, ont des QI au-dessus de la moyenne et que certains n'ont jamais été intercepté, même en France.
Ce sont de véritables prédateurs au sens propre du terme, l'intelligence au service du mal.
Mais justement comment les reconnaître? Comment savoir que le mec qu'on vient de rencontrer est un pervers? D'ailleurs ça me rappelle l'épisode de "faites entrer l'accusé" qui est passé dimanche. Un pervers à enfermé sa nouvelle copine pendant trois semaines chez lui et l'a torturée. Ça fait vraiment peur! Comme tu dis c'est pas écrit sur leur tronche qu'ils sont déviants. Alors il y a aucun moyen de les reconnaître?
" In this world nothing can be said to be certain, except death and taxes".
[ B. Franklin]
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- Redrum
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- Message(s) : 1762
- Inscription : Ven Juillet 11, 2008 18:34
- Localisation : Somewhere over the rainbow
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Justement, on ne peut pas les reconnaître. Comme on ne peut pas savoir qui bat sa femme derrière son sourire avenant ou qui envoie donne aux Restos du Coeur alors qu'il vous regarde en grognant au lieu de dire bonjour.
GNB we care
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
soukeena a écrit :DRAGON a écrit :Ce qu'il faut savoir, c'est que dans notre société contemporaine, plusieurs types de violeurs de femmes existent.
Ceux qui violent sans plus, ceux qui tuent leurs victimes après l'acte, ceux qui torturent et tuent après l'acte, ceux qui violent et torturent suivant un rituel et s'arrangent pour que leurs victimes meurent des suites des tortures, mais pas trop vite et se délectent du spectacle. Et il y en a bien d'autres encor.
En fait, c'est très complexe, d'abord le tueur, le violeur peut paraître normal, même avoir une famille et des enfants, être respectable en façade et être un monstre déguisé, ( c'est arrivé en Belgique il y a quelques mois ).
Jamais il ne faut se fier aux apparences d'un homme, ( je dis cela pour les femmes), il peut avoir un look du tonnerre, un beau métier, une belle voiture, de l'argent, de l'élégance et être un monstre sous sa forme primitive.
Le pire c'est qu'il existe ce genre d'invidus, qui s'en prenent à des gamines en dessous des dix ans.
N'oubliez jamais que ce genre de personnage, sont très intelligents, ont des QI au-dessus de la moyenne et que certains n'ont jamais été intercepté, même en France.
Ce sont de véritables prédateurs au sens propre du terme, l'intelligence au service du mal.
Mais justement comment les reconnaître? Comment savoir que le mec qu'on vient de rencontrer est un pervers? D'ailleurs ça me rappelle l'épisode de "faites entrer l'accusé" qui est passé dimanche. Un pervers à enfermé sa nouvelle copine pendant trois semaines chez lui et l'a torturée. Ça fait vraiment peur! Comme tu dis c'est pas écrit sur leur tronche qu'ils sont déviants. Alors il y a aucun moyen de les reconnaître?
Et bien, la prudence est toujours de mise quand tu rencontres quelqu'un. Et même en prenant des précautions, tu peux pas savoir...
Pour la carotte, le lapin représente le mal absolu.
- John Force
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Vous pensez réellement que le viol n'est que perpetré par des hommes ? Des femmes aussi peuvent violer. Violer d'autres femmes, tout d'abord. Ou des enfants. Ou alors, le viol va se faire de façon plus sournoise et moins brute, en tendant un piège à l'homme, en le droguant. Ou même en tirant parti de la situation, quand l'homme se croyait consentant, n'imaginant pas tomber dans un piège. Ce qui l'attend après peut être considéré comme un viol, car s'il avait su, il n'aurait certainement pas cédé.
Je demanderais aux bien-pensants de bien lire mes lignes plutôt que d'en tirer de quoi interpréter mes propos.
Le viol, comme le meurtre, la pédophilie, n'a pas de genre.
Je demanderais aux bien-pensants de bien lire mes lignes plutôt que d'en tirer de quoi interpréter mes propos.
Le viol, comme le meurtre, la pédophilie, n'a pas de genre.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Prudence ok mais pas paranoïa non plus.
D'une manière générale, les violences sont commises par des personnes du foyer ou bien par des psychopathes lors de crimes "d'occasion". La meilleure façon de les éviter reste la prudence et le sens des responsabilités : on ne fréquente pas des gens qui ont facilement tendance à la violence, et on quitte rapidement un conjoint qui dérape, ne serait-ce qu'une fois. On hésite pas non plus à alerter les services sociaux ou de police pour les cas justifiés.
Les victimes ne choisissent pas de se faire agresser ou violer - en parallèle, 60 % des morts de la route sont des usagers hors de cause dans l'accident qui leur a coûté la vie.
Il faut être informé(e), savoir que ces choses existent et s'en prémunir en mettant de la distance avec un individu incertain s'il y a un risque de danger avéré. En revanche, se méfier de tout le monde ne fera pas avancer les choses.
Pour avoir été plusieurs fois la cible d'agressions gratuites dans la rue (violences physiques, vol à l'arrachée), je sais pertinemment que ce genre de choses arrive à n'importe qui et sans aucune raison, et le seul moyen que j'aurais eu de m'en prémunir aurait été de rester chez moi. Je précise avoir déjà été menacé au couteau en plein jour par un fou furieux, dans un parc public plein de mamans avec des poussettes. Alors à part admettre que les problèmes peuvent surgir de n'importe où, je ne vois pas comment les empêcher de vous nuire s'ils vous tombent dessus.
On peut agir sur ce qu'on peut (son foyer, son entourage), pour le reste on ne peut qu'être positivement prudent. Se méfier sans raison de ses voisins, de ses collègues de boulot etc. ne mène à rien de bon.
Pour en revenir au sujet proprement dit, je ne sais pas ce qui pousse quelqu'un à devenir un violeur, j'imagine que c'est une psychose lourde pour le cas des récidivistes, du sadisme ou une obsession aveugle pour les violeurs qui s'attaquent à leurs proches (inceste, harcèlement) et des pulsions incontrôlées pour les occasionnels. Il doit aussi y avoir le cas des passages à l'acte dûs à la drogue ou l'alcool, l'instinct grégaire et le sentiment d'impunité pour le phénomène des viols en réunion... C'est un crime grave, je doute que quelqu'un un tant soit peu sain d'esprit ou en pleine possession de ses moyens soit capable de le commettre, à moins d'être un fumier qui se donne de bonnes raisons pour se donner bonne conscience (elle disait non mais ça voulait dire oui, ce genre d'horreurs), bref, quelqu'un qui a quitté l'espèce humaine depuis longtemps pour rejoindre l'équipe des nuisibles à neutraliser.
Edit : message de JForce entre-temps auquel je réagis. Je crois que statistiquement les hommes sont plus souvent mêlés dans des affaires de viol que les femmes, et je suis tellement sûr de ça que je ne me donne pas la peine de faire une recherche Google... J'ai déjà rencontré plusieurs femmes qui avaient été violées par des hommes, des hommes qui avaient été violés par d'autres hommes étant enfant, mais jamais personne qui avait eu l'expérience d'être violé par une femme. Il doit bien y en avoir, du genre Myriam Badaoui, mais ça doit être une très faible minorité. De plus, la pédophilie est à priori une autre perversion criminelle, qui s'apparente davantage au sadisme qu'à l'assouvissement immédiat de ses "besoins" (souces : pfou, je sais plus, un bouquin qui s'appelle Des femmes qui tuent ou quelque chose dans ce genre-là et que j'ai lu il y a un moment je crois). Statistiquement, les femmes tuent, violent et agressent beaucoup moins que les hommes.
D'une manière générale, les violences sont commises par des personnes du foyer ou bien par des psychopathes lors de crimes "d'occasion". La meilleure façon de les éviter reste la prudence et le sens des responsabilités : on ne fréquente pas des gens qui ont facilement tendance à la violence, et on quitte rapidement un conjoint qui dérape, ne serait-ce qu'une fois. On hésite pas non plus à alerter les services sociaux ou de police pour les cas justifiés.
Les victimes ne choisissent pas de se faire agresser ou violer - en parallèle, 60 % des morts de la route sont des usagers hors de cause dans l'accident qui leur a coûté la vie.
Il faut être informé(e), savoir que ces choses existent et s'en prémunir en mettant de la distance avec un individu incertain s'il y a un risque de danger avéré. En revanche, se méfier de tout le monde ne fera pas avancer les choses.
Pour avoir été plusieurs fois la cible d'agressions gratuites dans la rue (violences physiques, vol à l'arrachée), je sais pertinemment que ce genre de choses arrive à n'importe qui et sans aucune raison, et le seul moyen que j'aurais eu de m'en prémunir aurait été de rester chez moi. Je précise avoir déjà été menacé au couteau en plein jour par un fou furieux, dans un parc public plein de mamans avec des poussettes. Alors à part admettre que les problèmes peuvent surgir de n'importe où, je ne vois pas comment les empêcher de vous nuire s'ils vous tombent dessus.
On peut agir sur ce qu'on peut (son foyer, son entourage), pour le reste on ne peut qu'être positivement prudent. Se méfier sans raison de ses voisins, de ses collègues de boulot etc. ne mène à rien de bon.
Pour en revenir au sujet proprement dit, je ne sais pas ce qui pousse quelqu'un à devenir un violeur, j'imagine que c'est une psychose lourde pour le cas des récidivistes, du sadisme ou une obsession aveugle pour les violeurs qui s'attaquent à leurs proches (inceste, harcèlement) et des pulsions incontrôlées pour les occasionnels. Il doit aussi y avoir le cas des passages à l'acte dûs à la drogue ou l'alcool, l'instinct grégaire et le sentiment d'impunité pour le phénomène des viols en réunion... C'est un crime grave, je doute que quelqu'un un tant soit peu sain d'esprit ou en pleine possession de ses moyens soit capable de le commettre, à moins d'être un fumier qui se donne de bonnes raisons pour se donner bonne conscience (elle disait non mais ça voulait dire oui, ce genre d'horreurs), bref, quelqu'un qui a quitté l'espèce humaine depuis longtemps pour rejoindre l'équipe des nuisibles à neutraliser.
Edit : message de JForce entre-temps auquel je réagis. Je crois que statistiquement les hommes sont plus souvent mêlés dans des affaires de viol que les femmes, et je suis tellement sûr de ça que je ne me donne pas la peine de faire une recherche Google... J'ai déjà rencontré plusieurs femmes qui avaient été violées par des hommes, des hommes qui avaient été violés par d'autres hommes étant enfant, mais jamais personne qui avait eu l'expérience d'être violé par une femme. Il doit bien y en avoir, du genre Myriam Badaoui, mais ça doit être une très faible minorité. De plus, la pédophilie est à priori une autre perversion criminelle, qui s'apparente davantage au sadisme qu'à l'assouvissement immédiat de ses "besoins" (souces : pfou, je sais plus, un bouquin qui s'appelle Des femmes qui tuent ou quelque chose dans ce genre-là et que j'ai lu il y a un moment je crois). Statistiquement, les femmes tuent, violent et agressent beaucoup moins que les hommes.
Dernière édition par Salaryman le Mar Juin 01, 2010 17:59, édité 1 fois.
Nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes.
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Salaryman: oui, évidemment, quand je parlais de prudence, je parlais bien de précautions de base (éviter d'aller seule chez un inconnu ou d'en inviter chez soi par exemple), pas de se terrer et de soupçonner tout homme adulte d'être un prédateur potentiel.
Pour la carotte, le lapin représente le mal absolu.
- Redrum
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Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Tu parles sagement salaryman.
John Force, pour revenir sur tes propos.
Oui, il y a des femmes qui violent, c'est déjà arrivé et personne ne le nie ici, tout simplement parce qu'on en a pas parlé. On parlait seulement, avec pour point de départ le doc de France 2, du cas des hommes. Après, comme dit plus haut, la grosse majorité, ce sont des hommes qui violent.
Ensuite, pénalement parlant, le viol inclut de pénétrer la victime. Une femme qui drogue un homme et le viole en se faisant pénétrer, ce n'est pas un viol mais une agression sexuelle. Je ne suis pas juriste mais j'avais déjà abordé le sujet et il me semble qu'en droit français on en est là. Ce qui est aberrant.
Enfin, je crois tu es vexé par ce que je t'ai dit alors je vais être plus claire. Tu as employé le mot "assisté", ce qui est péjoratif et ça me gêne énormément. Percevoir des allocations chômage, ce n'est pas être "un assisté", c'est bénéficier d'un système qui ne vous laisse pas au bord de la route quand vous n'avez pas de boulot. Premier point.
Deuxième point dire que pour certains l'allocation est dûe comme la femme, je trouve que c'est un raisonnement tordu même si je pense voir là où tu veux en venir.

John Force, pour revenir sur tes propos.
Oui, il y a des femmes qui violent, c'est déjà arrivé et personne ne le nie ici, tout simplement parce qu'on en a pas parlé. On parlait seulement, avec pour point de départ le doc de France 2, du cas des hommes. Après, comme dit plus haut, la grosse majorité, ce sont des hommes qui violent.
Ensuite, pénalement parlant, le viol inclut de pénétrer la victime. Une femme qui drogue un homme et le viole en se faisant pénétrer, ce n'est pas un viol mais une agression sexuelle. Je ne suis pas juriste mais j'avais déjà abordé le sujet et il me semble qu'en droit français on en est là. Ce qui est aberrant.
Enfin, je crois tu es vexé par ce que je t'ai dit alors je vais être plus claire. Tu as employé le mot "assisté", ce qui est péjoratif et ça me gêne énormément. Percevoir des allocations chômage, ce n'est pas être "un assisté", c'est bénéficier d'un système qui ne vous laisse pas au bord de la route quand vous n'avez pas de boulot. Premier point.
Deuxième point dire que pour certains l'allocation est dûe comme la femme, je trouve que c'est un raisonnement tordu même si je pense voir là où tu veux en venir.
GNB we care
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Le problème c'est que même en faisant attention on n'est pas à l'abri. En fait j'ai posté ce sujet car j'ai moi même été victime de ce genre de cas. Je me suis fait agressée à la cité U par un gars qui sortait de nulle part. Pourtant je n'ai pas été plus imprudence que d'habitude. Et donc je me demande souvent ce qu'il avait dans la tête ce gars là. J'arrive pas à imaginer qu'on ait envie de faire ça à quelqu'un. 

" In this world nothing can be said to be certain, except death and taxes".
[ B. Franklin]
[ B. Franklin]
- John Force
Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
Redrum a écrit :Enfin, je crois tu es vexé par ce que je t'ai dit alors je vais être plus claire. Tu as employé le mot "assisté", ce qui est péjoratif et ça me gêne énormément. Percevoir des allocations chômage, ce n'est pas être "un assisté", c'est bénéficier d'un système qui ne vous laisse pas au bord de la route quand vous n'avez pas de boulot. Premier point.
Deuxième point dire que pour certains l'allocation est dûe comme la femme, je trouve que c'est un raisonnement tordu même si je pense voir là où tu veux en venir.
Je ne suis pas vexé mais je trouve ridicule de chercher à retourner les propos de quelqu'un contre lui alors qu'il est clair qu'il ne parlait de tous les assistés comme des violeurs en puissance.
Donc, je confirme mes propos, chez certains assistés (donc les gens qui n'ont perdu les repères nécessaires à la prise en charge de soi, en essayant d'être plus clair), la femme peut être vue comme un bien leur appartenant, d'une manière ou d'une autre. Evidemment, je ne cautionne pas cet état d'esprit (avant de voir s'ouvrir des dizaines de quotes). Point.
- Redrum
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Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
soukeena a écrit :Le problème c'est que même en faisant attention on n'est pas à l'abri. En fait j'ai posté ce sujet car j'ai moi même été victime de ce genre de cas. Je me suis fait agressée à la cité U par un gars qui sortait de nulle part. Pourtant je n'ai pas été plus imprudence que d'habitude. Et donc je me demande souvent ce qu'il avait dans la tête ce gars là. J'arrive pas à imaginer qu'on ait envie de faire ça à quelqu'un.
Sincèrement désolée pour ce qui t'est arrivé.
Dans le reportage, ils disaient justement que les victimes espéraient comprendre pourquoi c'était arrivé lors du procès, en se confrontant à l'accusé. Malheureusement elles n'ont pas eu de réponse à leur question. Je pense qu'il est vraiment difficile de comprendre pourquoi et comment, on le voit depuis le début de cette discussion, c'est du cas par cas.
Le principal, et c'est le plus dur d'après tous les témoignages que j'ai pu entendre, c'est de ne pas culpabiliser.
GNB we care
- Redrum
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Re: Reportage envoyé spécial sur violeur en série.
John Force a écrit :Redrum a écrit :Enfin, je crois tu es vexé par ce que je t'ai dit alors je vais être plus claire. Tu as employé le mot "assisté", ce qui est péjoratif et ça me gêne énormément. Percevoir des allocations chômage, ce n'est pas être "un assisté", c'est bénéficier d'un système qui ne vous laisse pas au bord de la route quand vous n'avez pas de boulot. Premier point.
Deuxième point dire que pour certains l'allocation est dûe comme la femme, je trouve que c'est un raisonnement tordu même si je pense voir là où tu veux en venir.
Je ne suis pas vexé mais je trouve ridicule de chercher à retourner les propos de quelqu'un contre lui alors qu'il est clair qu'il ne parlait de tous les assistés comme des violeurs en puissance.
Donc, je confirme mes propos, chez certains assistés (donc les gens qui n'ont perdu les repères nécessaires à la prise en charge de soi, en essayant d'être plus clair), la femme peut être vue comme un bien leur appartenant, d'une manière ou d'une autre. Evidemment, je ne cautionne pas cet état d'esprit (avant de voir s'ouvrir des dizaines de quotes). Point.
Disons que tes propos n'étaient pas clairs et que le rendu était un amalgame dangereux. Heureusement qu'on peut en discuter pour s'expliquer. Malgré tout le terme d'"assisté" me gêne toujours mais ça, c'est un autre débat.

GNB we care
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