2012 de Roland Emmerich

[Kyo Profil Site internet]

A ma bonne mémoire, je n'en note qu'un seul qui à était fait après les incidents.

[directeur adjoint Skinner]

Pourtant il y a eu beaucoup eu de film prémonitoire, ne serait-ce le film sur les tours de world trade centers, etc.............

Source ?

Il y avait la Tour infernale et Couvre-Feu par rapport au 11/09.

[Lamart]

La tour infernale n'a strictement aucuns rapports avec le 11 septembre...

[directeur adjoint Skinner]

euh si quand même un peu dans le sens que ce film n'a pas arrêté d'être cité par les présentateurs lors du direct le 11/09/01

[Lamart]

Cela devait être pour meubler, parce que à part qu'il s'agit d'un building, il n'y a aucunes similitudes.

[alexbrute Profil]

La tour infernale est un sperbe film pour l'époque où des personnes sont prisoniers par les flammes suite aux magouilles du gendre du propriétaires de l'immeuble.

Un film à voir pour les amateurs, mais qui n'a que pour seul point commun avec le 11/09 le décor (un immeuble).

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 34036.html

[Valguard Profil]

Ah oui, "couvre-feu" avec Bruce Willis.
Si on peut sortir quelquechose de positif du 11 septembre, on peut remarquer que ce qui est dans le film ne s'est pas passé (la prise de contrôle de New York par les militaires, l'execution, le parcage des musulmans etc...)
Certes, il y a bien eu Guantanamo et la guerre en Irak et en Afghanistan, mais rien à New York juste après les attentats.
Mais, bon...

[directeur adjoint Skinner]

Ce qui était intéressant et au combien prémonitoire, c'était la vision des cages dans le stade identiques au camp de Guantanamo. Et le problème de la torture ainsi que celle des exécutions sommaires qui ont bien été soulignées.

[Nagash Profil Site internet]

Mais des dizaines d'années plutôt Tolkien écrivait "Les Deux Tours" !!

[Napoléon Profil]

Et la scène finale de Fight club, énorme.

[Kyo Profil Site internet]

Comme quoi on peut balancer n'importe quelles rumeurs sur ce qui s'est passé le 11 septembre par rapport aux films

[shikamaru Profil]

Et la scène finale de Fight club, énorme.

C'est clair

[Sabou l'avisée Profil]

Comme quoi on peut balancer n'importe quelles rumeurs sur ce qui s'est passé le 11 septembre par rapport aux films

C' est hélas vrai...Rumeurs parfois d' un ridicule consternant.
Cependant, certaines similitudes bien exactes et précises de certains films ou livres sont troublantes, par rapport à des faits qui se sont réellement produits par la suite, mais je mets ça sur le compte des coïncidences, pour ma part.

[Sabou l'avisée Profil]

Et la scène finale de Fight club, énorme.

J' ai adoré le film, mais je préfère le livre, que je trouve bien plus fort encore...

[Napoléon Profil]

Clair que le Chuck, il assure. C'est un vrai auteur et il faut faire fort pour arriver au niveau de ses livres.

[directeur adjoint Skinner]

Sinon par rapport aux films prémonitoires, il y avait aussi Air Panic sorti au printemps 2001 parlant d'avions téléguidés se crashant contre des immeubles.

[Napoléon Profil]

Sans oublier l'épisode de la mini série des Lone gunmen, d'après les personnages d'X Files, et l'attentat contre les tours.

[directeur adjoint Skinner]

La Bande son officielle du film, histoire de se mettre dans le bain.


http://www.dailymotion.com/search/2012/video/xa1ur6_2012-musique-de-la-bande-annonce-ve_musi

[Napoléon Profil]

Il s'est fait VRAIMENT plaisir le Roland là, ça sent la fin du monde.

[directeur adjoint Skinner]

Nouvelle bande-annonce du film (assez proche de la première soit-dit en passant).

http://www.dailymotion.com/search/2012/video/xaj4dm_2012-nvelle-bande-annonce_shortfilms

[Napoléon Profil]

Il va vraiment finir par foutre la pétoche à tout le monde lui, et il s'est VRAIMENT fait plaisir là, il peut prendre sa retraire pépère.

[Senk4 Profil]

Je me pose une question...

Dans le Film, la fin du monde est présenté comment ?
Je veux dire c'est quoi la cause ?
- Chute de météorites ?
- Inversion des poles donc ras de marrée ?
- Eruption solaire comme dans "Prédiction" ?

Déjà dans la bande annonce les 2 premières phrase sont sorti de leur contexte..

Dailleur j'ai regardé une video d'une conférence qu'un gars qui expliquais plus précisément ce que le calendrier Maya représente. En aucun cas le calendrier prédit une fin du monde. Il s'agit en fait plus ou moins d'un shéma qui présente l'évolution de notre espèce avec les diférentes étapes parcouru et certain évenements. En fait le meilleur est à venir

[directeur adjoint Skinner]

Je me pose une question...

Dans le Film, la fin du monde est présenté comment ?
Je veux dire c'est quoi la cause ?
- Chute de météorites ?
- Inversion des poles donc ras de marrée ?
- Eruption solaire comme dans "Prédiction" ?

Un peu de tout ça et cet ensemble sera causé par le basculement de l'axe de la Terre .


Sinon voici le 1er long extrait du film
http://www.dailymotion.com/search/2012/video/xapr6a_2012-le-film-2ieme-extrait-en-franc_shortfilms

[shikamaru Profil]

Sachez que le film même pas encore sorti, on nous annonce une suite sous forme de série: apparemment ça raconterait l'histoire des survivants du cataclysme et leur repeuplement de l'espèce humaine (ce qui suggère déjà donc la fin du film) .....A prendre avec des énormes pincettes

[nirfosca Profil Site internet]

des avant premières du film un peu partout en France aujourd'hui

[Minia Profil]

Nirfoscaaaaaaa, ton smiley bave !

[nirfosca Profil Site internet]

Nirfoscaaaaaaa, ton smiley bave !

c'est depuis que je sais que t'auras 64 ans en 2036

aahhhhhhh les femme mûres.................... (soupirs)

[directeur adjoint Skinner]

Interview de Emmerich à l'occasion de la sortie du film.

INTERVIEW - Pour son troisième film catastrophe, dont le héros est incarné par John Cusack, le réalisateur Roland Emmerich déclenche tsunamis, tremblements de terre et séismes en cascade.

Depuis Independence Day ou Le Jour d'après, Roland Emmerich est fasciné par la fin du monde. S'inspirant d'une prophétie du calendrier maya, le cinéaste a mis en scène un spectaculaire film catastrophe de 200 millions de dollars, tourné en cinq mois à Vancouver, au Canada. La production a utilisé pas moins de 500 000 tonnes d'acier pour fabriquer des décors mobiles, disséminés dans cinq studios différents, dont deux plateaux extérieurs avec des «sols mouvants». Une énorme machinerie pour un pop-corn movie réussi.

LE FIGARO. - 2012 est votre troisième film catastrophe. Pourquoi êtes-vous attiré par ce genre en particulier ?

Roland EMMERICH. - Après le succès d'Independence Day, je me suis senti frustré de n'être pas allé au bout de mes idées. Le genre film catastrophe était tombé en désuétude. Nous l'avons remis à la mode. Ce qui me plaît, c'est de pouvoir embrasser une multitude de destins, pris au même moment. Avec 2012, j'ai surtout voulu offrir une relecture moderne du mythe de l'arche de Noé.

Quel est le premier film catastrophe que vous ayez vu enfant ?

Je m'en souviens très bien. Il s'agissait de L'Aventure du Poséidon, signé Ronald ­Neame, en 1972. Je l'avais vu à la télévision. J'ai trouvé que c'était une très grande histoire, avec d'incessants retournements de situation. Un véritable travail d'orfèvre.

Pourquoi, selon vous, voit-on sortir autant de films catastrophes post-apocalyptiques, ces temps-ci ?

Je pense que tout cela est intimement lié à un certain pessimisme ambiant. Nous vivons des temps incertains, plus sombres. Les gens ont tendance à être moins naïfs, moins innocents. J'ai pris conscience de cela en voyant Je suis une légende, la troisième adaptation du roman de Richard Matheson. J'ai eu le sentiment qu'une nouvelle vague de films post-apocalyptiques était en train de submerger les écrans. Je crois que ça a à voir avec l'esprit de nos sociétés.

Ces éruptions solaires qui déclenchent l'apocalypse constituent-elles une menace réelle ?

Bien sûr que non ! (Rires.) Ou nous serions déjà tous morts ! Dans mon film, le discours scientifique n'est présent que pour rendre plausible l'action. Prenez les neutrinos et leur mutation déclenchée par des orages solaires. Le temps d'une explication donnée par un scientifique, les spectateurs doivent y croire. C'est l'essentiel.

Pourquoi le mythe de la fin du monde vous fascine-t-il autant ?

Jetez un œil sur les différentes cultures des peuples de la Terre. Un peu comme un anthropologue, vous vous apercevrez qu'il existe au cœur de chaque culture, de chaque religion, à la fois un mythe des origines et un mythe de la fin des temps. Moi, je suis plutôt fasciné par celui de la fin du monde. Et plus je vieillis, plus je m'y intéresse. Je ne sais pas pourquoi. Mais il semble que nous portions tous au fond de nous la mémoire d'un cataclysme ancien qui a failli anéantir la race humaine.

Le fait de sauver un petit roquet à la fin du film est-il symbolique ou juste un trait d'humour ?

Ce n'était qu'une touche amusante, rassurez-vous. Il est important qu'une bulle d'humour puisse s'élever et rendre l'atmosphère soudain moins dramatique. Surtout dans ce genre de films. Et puis, après tout, pourquoi les chihuahuas n'auraient-ils pas leur place dans l'arche de Noé ? (Rires.)



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La critique du Figaro

Le 21 décembre 2012, ce sera la fin du monde. La civilisation maya nous a transmis cette prophétie, relayée depuis deux mille ans par des astrologues, numérologues et autres adeptes des parasciences. Les scientifiques n'y auraient guère prêté attention si leurs analyses n'avaient fini par aboutir à cette terrifiante conclusion. Quelques-uns parmi les puissants ont été prévenus. Ils se préparent en secret à la fin du monde. Et lorsque les plaques tectoniques se mettent à glisser, détruisant Los Angeles au passage, le romancier Jackson Curtis et sa famille se jettent à corps perdu, comme des millions d'individus, dans une délirante course contre la montre… Chaque film de Roland Emmerich est un événement. Pour son troisième long-métrage post-apocalyptique (après Le Jour d'après et Independance Day), le cinéaste allemand place la barre très haut. Véritable «grand huit», haletant et tendu, 2012 offre une relecture musclée de l'arche de Noé. Même si l'action, menée tambour battant, ne fait pas dans la nuance,on reste littéralement accroché à son siège durant deux heures quarante.

[shikamaru Profil]

J'ai vu le film hier. Verdict:
-Encore un film "à l'américaine" avec une leçon de morale américaine
-Des effets spéciaux énormissimes même si parfois ça sent un peu trop le numérique et la 3D non-photo-réaliste
-Des acteurs pas terrible dans l'ensemble
-Toujours le stéréotype américain de la famille décomposée, du père looser qui se trouve une âme de héros
-Un réalisme inexistant (à chaque scène la survit des protagonistes se joue a des centièmes de secondes ou des centimètres, certains passages frisant le ridicule)
-On retrouve pas mal de truc dont on discute sur PFN donc c'est sympa
-Le film est loooong, certaines scènes à rallonge et d'autres quasi-inutiles


Au final: un film à voir au ciné. Au moins pour 9.5€ on en a plein les mirettes, même si c'est un peu longuet et on passe un bon moment.
Un bon bluckbuster mais assurément loin d'être un chef d'œuvre.

[directeur adjoint Skinner]

Attention au spoiler quand même.

Laissez la surprise à ceux qui vont voir le film dans les prochains temps.