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Hotel California : Les Paroles mystérieuses
Modérateurs : Webmasters, Administrateurs du forum
32 message(s)
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Hotel California : Les Paroles mystérieuses
Vous connaissez tous la chanson Hotel California du groupe EAGLES.
Cette chanson est un classique, et perso je l'apprécie pas mal ! Pourtant les paroles sont un vrai mystère !
Jugez
Pour ma part je pense qu'il s'agit d'une allusion à la drogue mais rien n'est sûr.
Je ne sais pas si certains veulent une traduction. Je vais tout de même le faire en me répondant à moi-même ! Sentez-vous libre de vous exprimer en attendant sur le sujet.
Cette chanson est un classique, et perso je l'apprécie pas mal ! Pourtant les paroles sont un vrai mystère !
Jugez
EAGLES - Hotel California Lyrics
On a dark desert highway, cool wind in my hair
Warm smell of colitas, rising up through the air
Up ahead in the distance, I saw a shimmering light
My head grew heavy and my sight grew dim
I had to stop for the night
There she stood in the doorway;
I heard the mission bell
And I was thinking to myself,
'This could be Heaven or this could be Hell'
Then she lit up a candle and she showed me the way
There were voices down the corridor,
I thought I heard them say...
Welcome to the Hotel California
Such a lovely place
Such a lovely face
Plenty of room at the Hotel California
Any time of year, you can find it here
Her mind is Tiffany-twisted, she got the Mercedes bends
She got a lot of pretty, pretty boys, that she calls friends
How they dance in the courtyard, sweet summer sweat.
Some dance to remember, some dance to forget
So I called up the Captain,
'Please bring me my wine'
He said, 'We haven't had that spirit here since nineteen sixty
nine'
And still those voices are calling from far away,
Wake you up in the middle of the night
Just to hear them say...
Welcome to the Hotel California
Such a lovely place
Such a lovely face
They livin' it up at the Hotel California
What a nice surprise, bring your alibis
Mirrors on the ceiling,
The pink champagne on ice
And she said 'We are all just prisoners here, of our own device'
And in the master's chambers,
They gathered for the feast
The stab it with their steely knives,
But they just can't kill the beast
Last thing I remember, I was
Running for the door
I had to find the passage back
To the place I was before
'Relax,' said the night man,
We are programmed to receive.
You can checkout any time you like,
but you can never leave!
Pour ma part je pense qu'il s'agit d'une allusion à la drogue mais rien n'est sûr.
Je ne sais pas si certains veulent une traduction. Je vais tout de même le faire en me répondant à moi-même ! Sentez-vous libre de vous exprimer en attendant sur le sujet.
Tout ce que je souhaite, c'est que l'on me démontre que j'ai tord
Sur une sombre ( ou en roulant de nuit ) autoroute du desert, le vent frais dans mes cheveux
L'odeur chaude des colitas, parfumant l'air
Au loin, à l'horizon, je voyais une lumiere floue ( floue n'est pas une traduction tout à fait rigoureuse, je trouve pas l'équivalent pour shimmering, je vois l'idée mais trouve pas le mot en francais dsl )
Ma tete devenait lourde, et mes reflexe diminuaient
Il fallait que je m'arrête pour la nuit
Là, elle se tenait à l'entrée
J'entendais la cloche de l'église
Et je pensais
Ceci pourrait aussi bien etre le paradis ou l'enfer
Alors elle alluma une bougie, et me montra le chemin
Il y avait des voix dans le corridor
Et j'aurai juré les entendre dire ...
Bienvenu à l'Hotel California
Un si bel endroit
Un si joli visage
Il y a plein de chambre / place à l'hotel California
A n'importe quelle époque de l'année, vous en trouverez
Son esprit est attiré par le luxe, elle à une Mercedes Bens ( je suis pas à 100% sur de cette traduction, le Mind is tiffany twisted me fait pensé aux magasin de luxe Tiffany, donc l'esprit tourné vers ca, mais je ne connais pas l'expression, c'est de la pure déduction )
Elle à plein de jolis, jolis garcons, qu'elle appelle ses amis
Leur manière de dancer dans la cours, la douce chemise d'été ( un doute aussi sur sweat, je me demande si ca n'est pas une allusion à une plante, à confirmer )
Certains dansent pour se souvenir, d'autre pour oublier
Alors j'ai appelé le capitaine
"Merci de bien vouloir m'amener mon vin"
Il dit : " Nous n'avions plus vu cet esprit ici depuis 1969"
Et ces voix qui continuaient d'appeler de loin
Vous réveillant au milieu de la nuit
Juste pour vous entendre dire
Bienvenu à l'Hotel california
Un si joli endroit
Un si joli visage
Ils le vivent à l'Hotel california
Quelle belle surprise, amenez vos alibis
Les miroirs au plafond
Le Champagne rose sur la glace
Et elle dit "Nous sommes tous prisonnier ici, de nos propres pièges" ( confirmation svp de piege pour device dans ce contexte )
Et dans la chambre du maitre
Ils se rassemblaient pour le festin
Ils le piquaiet avec leur couteau en métal,
Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bete
La derniere chose dont je me souviene, j'étais
en train de courir vers la porte
Je devais trouver une sortie
Revenir là ou j'étais avant
"Relax" me dit l'homme de la nuit
Nous somme programmé pour recevoir
Vous pouvez redemander, revenir quand vous voulez
Mais vous ne pouvez jamais partir
Voilà ma traduction doit etre plus ou moins juste,j'exclu pas quelques fautes, n'hésitez pas à me corriger si je me suis tromper
L'odeur chaude des colitas, parfumant l'air
Au loin, à l'horizon, je voyais une lumiere floue ( floue n'est pas une traduction tout à fait rigoureuse, je trouve pas l'équivalent pour shimmering, je vois l'idée mais trouve pas le mot en francais dsl )
Ma tete devenait lourde, et mes reflexe diminuaient
Il fallait que je m'arrête pour la nuit
Là, elle se tenait à l'entrée
J'entendais la cloche de l'église
Et je pensais
Ceci pourrait aussi bien etre le paradis ou l'enfer
Alors elle alluma une bougie, et me montra le chemin
Il y avait des voix dans le corridor
Et j'aurai juré les entendre dire ...
Bienvenu à l'Hotel California
Un si bel endroit
Un si joli visage
Il y a plein de chambre / place à l'hotel California
A n'importe quelle époque de l'année, vous en trouverez
Son esprit est attiré par le luxe, elle à une Mercedes Bens ( je suis pas à 100% sur de cette traduction, le Mind is tiffany twisted me fait pensé aux magasin de luxe Tiffany, donc l'esprit tourné vers ca, mais je ne connais pas l'expression, c'est de la pure déduction )
Elle à plein de jolis, jolis garcons, qu'elle appelle ses amis
Leur manière de dancer dans la cours, la douce chemise d'été ( un doute aussi sur sweat, je me demande si ca n'est pas une allusion à une plante, à confirmer )
Certains dansent pour se souvenir, d'autre pour oublier
Alors j'ai appelé le capitaine
"Merci de bien vouloir m'amener mon vin"
Il dit : " Nous n'avions plus vu cet esprit ici depuis 1969"
Et ces voix qui continuaient d'appeler de loin
Vous réveillant au milieu de la nuit
Juste pour vous entendre dire
Bienvenu à l'Hotel california
Un si joli endroit
Un si joli visage
Ils le vivent à l'Hotel california
Quelle belle surprise, amenez vos alibis
Les miroirs au plafond
Le Champagne rose sur la glace
Et elle dit "Nous sommes tous prisonnier ici, de nos propres pièges" ( confirmation svp de piege pour device dans ce contexte )
Et dans la chambre du maitre
Ils se rassemblaient pour le festin
Ils le piquaiet avec leur couteau en métal,
Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bete
La derniere chose dont je me souviene, j'étais
en train de courir vers la porte
Je devais trouver une sortie
Revenir là ou j'étais avant
"Relax" me dit l'homme de la nuit
Nous somme programmé pour recevoir
Vous pouvez redemander, revenir quand vous voulez
Mais vous ne pouvez jamais partir
Voilà ma traduction doit etre plus ou moins juste,j'exclu pas quelques fautes, n'hésitez pas à me corriger si je me suis tromper
Tout ce que je souhaite, c'est que l'on me démontre que j'ai tord
- Dark_Archon
-
- Message(s) : 56
- Inscription : Mar Août 24, 2004 21:00
he bien effectivement c etrange...
On dirait que ca parle legerement de voyage astraux
On dirait que ca parle legerement de voyage astraux
Les traces de la Branche Rouge.
- nyarlathotep-np
Quel voyage astral ? Peut-on me dire où diable on voit des éléments qui font penser à un voyage astral ?
C'est drôle, mais dès qu'on parle de phénomènes un peu bizarres auxquels on ne sait pas quel nom mettre, on lui colle l'étiquette "voyage astral". Savez vous au moins ce que c'est ? Moi je vois juste un texte un peu tarabiscoté, qui peut éventuellement rappeler le langage du rêve, mais sinon, franchement, pour voir un voyage astral là-dedans, faut vraiment le vouloir très fort.
C'est drôle, mais dès qu'on parle de phénomènes un peu bizarres auxquels on ne sait pas quel nom mettre, on lui colle l'étiquette "voyage astral". Savez vous au moins ce que c'est ? Moi je vois juste un texte un peu tarabiscoté, qui peut éventuellement rappeler le langage du rêve, mais sinon, franchement, pour voir un voyage astral là-dedans, faut vraiment le vouloir très fort.
- petit coeur
-
- Message(s) : 543
- Inscription : Mer Mars 17, 2004 19:43
- Localisation : Belgique
Tout comme toi Fredn, je me suis toujours demandé de quoi il voulait parler dans cette chanson.
Chanson que j'aime beaucoup aussi
Chanson que j'aime beaucoup aussi

Se faire passer pour un imbécile aux yeux d'un crétin est une volupté de fin gourmet.
(Courteline)
(Courteline)
- Scorian
-
- Message(s) : 927
- Inscription : Mer Mars 31, 2004 11:26
- Localisation : Yvelines (Pres de Paris, en France)
"And she said 'We are all just prisoners here, of our own device' ", pourrait eventuellement signifier "Nous sommes tous prisonniers ici, de notre propre chef"
Si il y a un bilingue francais-anglais ici, qu'il se montre !
Si il y a un bilingue francais-anglais ici, qu'il se montre !

Celle qui porte la vie, porte l'avenir...
petit coeur a écrit :Tout comme toi Fredn, je me suis toujours demandé de quoi il voulait parler dans cette chanson.
Chanson que j'aime beaucoup aussi
Pour moi il s'agit d'une métaphore relative au piège de la drogue...
L'odeur des colitas au début, les apparitions abbracadabrantes, et la mention de 1969, et le fait qu'ils combattent à la fin une bête qui semble impossible à défaire, m'ont fait penser à la drogue !
Mais toute autre intérprétation est bienvenue
Tout ce que je souhaite, c'est que l'on me démontre que j'ai tord
Une traduction intégrale des paroles de cette chanson trouvée sur le Net.
Sur une autoroute sombre et déserte
Un vent frais passe dans mes cheveux
La senteur tiède des colitas (petits bourgeons)
S'élevant à travers l'atmosphère
Au loin
J'aperçois une lumière vacillante
Ma tête devient lourde et ma vue s'assombrit
Je dois m'arrêter pour la nuit
Elle se tenait debout dans l'encadrement de la porte
J'entendais la cloche de l'église
Et je pensais :
Ca pourrait être le paradis comme ça pourrait être l'enfer
Puis elle alluma une chandelle
Et me montra la route
Il y avait des voix au fond du couloir
Il me semblait les entendre dire
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Il y a plein de chambres à l'Hôtel California
Tout au long de l'année
Vous pouvez le trouver ici
Son esprit est entortillé
Elle avait les courbes d'une Mercedes
Elle avait plein de très, très beaux mecs
Qu'elle appelait ses amis
Comme ils dansent dans la cour
Douce sueur estivale
Certains dansent pour se souvenir
D'autres pour oublier
Alors j'ai appelé le Capitaine
Apportez-moi mon vin s'il vous plaît
Il me répondit
Nous n'avons plus cet alcool depuis 1969
Et toujours ces voix qui m'appellent de loin
Qui te réveillent au milieu de la nuit
Juste pour les entendre dire
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Ils font leurs noces à l'Hôtel California
Quelle belle surprise
Apporte tes alibis
Il y a des miroirs au plafond
Le champagne rose sur la glace
Et elle dit
Nous sommes juste des prisonniers ici
De notre plein gré
Et dans les chambres des maîtres d'hôtel
Ils se réunissaient pour le festin
Ils la piquaient avec leur couteaux d'acier
Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bête
La dernière chose dont je me souviens
Je courrais en direction de la porte
Je devais trouver le chemin du retour pour revenir à l'endroit où j'étais avant
Reste calme me dit un gardien de nuit
Nous sommes programmés pour accueillir
Tu peux quitter l'hôtel quand tu veux
Mais tu ne peux jamais partir
Un avis anonyme.
Voilà, uniquement pour information.
Sur une autoroute sombre et déserte
Un vent frais passe dans mes cheveux
La senteur tiède des colitas (petits bourgeons)
S'élevant à travers l'atmosphère
Au loin
J'aperçois une lumière vacillante
Ma tête devient lourde et ma vue s'assombrit
Je dois m'arrêter pour la nuit
Elle se tenait debout dans l'encadrement de la porte
J'entendais la cloche de l'église
Et je pensais :
Ca pourrait être le paradis comme ça pourrait être l'enfer
Puis elle alluma une chandelle
Et me montra la route
Il y avait des voix au fond du couloir
Il me semblait les entendre dire
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Il y a plein de chambres à l'Hôtel California
Tout au long de l'année
Vous pouvez le trouver ici
Son esprit est entortillé
Elle avait les courbes d'une Mercedes
Elle avait plein de très, très beaux mecs
Qu'elle appelait ses amis
Comme ils dansent dans la cour
Douce sueur estivale
Certains dansent pour se souvenir
D'autres pour oublier
Alors j'ai appelé le Capitaine
Apportez-moi mon vin s'il vous plaît
Il me répondit
Nous n'avons plus cet alcool depuis 1969
Et toujours ces voix qui m'appellent de loin
Qui te réveillent au milieu de la nuit
Juste pour les entendre dire
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Ils font leurs noces à l'Hôtel California
Quelle belle surprise
Apporte tes alibis
Il y a des miroirs au plafond
Le champagne rose sur la glace
Et elle dit
Nous sommes juste des prisonniers ici
De notre plein gré
Et dans les chambres des maîtres d'hôtel
Ils se réunissaient pour le festin
Ils la piquaient avec leur couteaux d'acier
Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bête
La dernière chose dont je me souviens
Je courrais en direction de la porte
Je devais trouver le chemin du retour pour revenir à l'endroit où j'étais avant
Reste calme me dit un gardien de nuit
Nous sommes programmés pour accueillir
Tu peux quitter l'hôtel quand tu veux
Mais tu ne peux jamais partir
Un avis anonyme.
Anonyme a écrit :La rumeur parlait d'une secte satanique.
D'ailleurs dans les paroles ils parlent en gros d'un hôtel duquel tu ne peux plus ressortir:
"You check in anytime you want but you can never leave".
Sur la pochette, on voit une photo d'un patio et sur une fenêtre on peut distinguer le visage d'un mec qui serait le leader d'un groupuscule satanique.
Voilà, uniquement pour information.
- Dairadatzu
-
- Message(s) : 439
- Inscription : Jeu Juillet 15, 2004 10:48
- Localisation : Choisy-le-Roi (94)
Pour ma part ça me fait penser à une maison close, ou à n'importe quel lieu de perdition ou de dépravation sexuelle...
Souvent c'est des hotels perdus au milieu des routes et on peut penser que le vin, et les femmes ont eu raison de l'auteur de ces paroles, ce qui donne un coté un peu "relaché" à la situation...
Enfin je trouve que l'on ressent une certaine ivresse, un laissé allé...
Un vent frais passe dans mes cheveux
La senteur tiède des colitas (petits bourgeons)
S'élevant à travers l'atmosphère
Au loin
J'aperçois une lumière vacillante
Ma tête devient lourde et ma vue s'assombrit
Je dois m'arrêter pour la nuit
La, suite a la fatigue que l'on ressent la nuit sur la route, il décide de s'arreter dans un hotel
Elle se tenait debout dans l'encadrement de la porte
J'entendais la cloche de l'église
Et je pensais :
Ca pourrait être le paradis comme ça pourrait être l'enfer
Puis elle alluma une chandelle
Et me montra la route
Il y avait des voix au fond du couloir
Il me semblait les entendre dire
En arrivant il voit des femmes, mais "la cloche de l'église", comprendre par cette métaphore, la bonne morale, lui dit que ce n'est peut étre pas une bonne idée, mais cette jeune femme, hotesse, à raison de lui et le fait pénétrer dans ce lieu de pérdition
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Il y a plein de chambres à l'Hôtel California
Tout au long de l'année
Vous pouvez le trouver ici
Rien a expliquer ici, a part que l'on baigne dans le luxe, la luxure, dans un hotel
Son esprit est entortillé
Elle avait les courbes d'une Mercedes
Elle avait plein de très, très beaux mecs
Qu'elle appelait ses amis
Visiblement il y'a plutot de belles femmes de joies !
Comme ils dansent dans la cour
Douce sueur estivale
Certains dansent pour se souvenir
D'autres pour oublier
Alors j'ai appelé le Capitaine
Apportez-moi mon vin s'il vous plaît
Il me répondit
Nous n'avons plus cet alcool depuis 1969
Et toujours ces voix qui m'appellent de loin
Qui te réveillent au milieu de la nuit
Juste pour les entendre dire
Une beuverie, ce qui est coutume dans les maisons closes
Il y a des miroirs au plafond
Le champagne rose sur la glace
Et elle dit
Nous sommes juste des prisonniers ici
De notre plein gré
La dure loi du métier...C'est contre la morale mais on aime ça, et les maques ont peut étre une emprise forte sur ces demoiselles
Et dans les chambres des maîtres d'hôtel
Ils se réunissaient pour le festin
Ils la piquaient avec leur couteaux d'acier
Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bête
Un festin, propres aux fétes
La dernière chose dont je me souviens
Je courrais en direction de la porte
Je devais trouver le chemin du retour pour revenir à l'endroit où j'étais avant
Reste calme me dit un gardien de nuit
Nous sommes programmés pour accueillir
Tu peux quitter l'hôtel quand tu veux
Mais tu ne peux jamais partir
Visiblement il a abusé sur l'alcool !
Voila ce que je pense de ce texte...
Souvent c'est des hotels perdus au milieu des routes et on peut penser que le vin, et les femmes ont eu raison de l'auteur de ces paroles, ce qui donne un coté un peu "relaché" à la situation...
Enfin je trouve que l'on ressent une certaine ivresse, un laissé allé...
Un vent frais passe dans mes cheveux
La senteur tiède des colitas (petits bourgeons)
S'élevant à travers l'atmosphère
Au loin
J'aperçois une lumière vacillante
Ma tête devient lourde et ma vue s'assombrit
Je dois m'arrêter pour la nuit
La, suite a la fatigue que l'on ressent la nuit sur la route, il décide de s'arreter dans un hotel
Elle se tenait debout dans l'encadrement de la porte
J'entendais la cloche de l'église
Et je pensais :
Ca pourrait être le paradis comme ça pourrait être l'enfer
Puis elle alluma une chandelle
Et me montra la route
Il y avait des voix au fond du couloir
Il me semblait les entendre dire
En arrivant il voit des femmes, mais "la cloche de l'église", comprendre par cette métaphore, la bonne morale, lui dit que ce n'est peut étre pas une bonne idée, mais cette jeune femme, hotesse, à raison de lui et le fait pénétrer dans ce lieu de pérdition
Bienvenu à l'Hôtel California
Quel endroit délicieux
Quel visage ravissant
Il y a plein de chambres à l'Hôtel California
Tout au long de l'année
Vous pouvez le trouver ici
Rien a expliquer ici, a part que l'on baigne dans le luxe, la luxure, dans un hotel
Son esprit est entortillé
Elle avait les courbes d'une Mercedes
Elle avait plein de très, très beaux mecs
Qu'elle appelait ses amis
Visiblement il y'a plutot de belles femmes de joies !
Comme ils dansent dans la cour
Douce sueur estivale
Certains dansent pour se souvenir
D'autres pour oublier
Alors j'ai appelé le Capitaine
Apportez-moi mon vin s'il vous plaît
Il me répondit
Nous n'avons plus cet alcool depuis 1969
Et toujours ces voix qui m'appellent de loin
Qui te réveillent au milieu de la nuit
Juste pour les entendre dire
Une beuverie, ce qui est coutume dans les maisons closes
Il y a des miroirs au plafond
Le champagne rose sur la glace
Et elle dit
Nous sommes juste des prisonniers ici
De notre plein gré
La dure loi du métier...C'est contre la morale mais on aime ça, et les maques ont peut étre une emprise forte sur ces demoiselles
Et dans les chambres des maîtres d'hôtel
Ils se réunissaient pour le festin
Ils la piquaient avec leur couteaux d'acier
Mais ils ne pouvaient tout simplement pas tuer la bête
Un festin, propres aux fétes
La dernière chose dont je me souviens
Je courrais en direction de la porte
Je devais trouver le chemin du retour pour revenir à l'endroit où j'étais avant
Reste calme me dit un gardien de nuit
Nous sommes programmés pour accueillir
Tu peux quitter l'hôtel quand tu veux
Mais tu ne peux jamais partir
Visiblement il a abusé sur l'alcool !
Voila ce que je pense de ce texte...
- seb1976
DRAGON a écrit :Anonyme a écrit :La rumeur parlait d'une secte satanique.
D'ailleurs dans les paroles ils parlent en gros d'un hôtel duquel tu ne peux plus ressortir:
"You check in anytime you want but you can never leave".
Sur la pochette, on voit une photo d'un patio et sur une fenêtre on peut distinguer le visage d'un mec qui serait le leader d'un groupuscule satanique.
Voilà, uniquement pour information.
Beaucoup de groupes "rock" des années 70 était accusé de satanisme, et les Eagles n'y ont pas échappé.
Il y avait même une rumeur qui disait que ces chansons comportaient des messages subliminaux, par exemple si on passait la chanson à l'envers on entendait des paroles du style "Yeah Satan, we love you". Sans commentaires...
Fredn a écrit :Pour moi il s'agit d'une métaphore relative au piège de la drogue...
Je crois qu'ils avaient confirmé que cela avait un rapport avec la cocaïne.
Oui beaucoup de groupes étaient reliés a satan et a l'enfer. Si on se met a chercher partout des liens avec satan, on ne finira plus d'en trouver. Même aujourd'hui. Je crois que ce sont simplement des coincidences. Et puis, même si c'était fait exprès, on pourrait douter que c'était fait pour provoquer. Chaque temps a sa ''provocation''.
ZoZoH
ZoZoH
Parlant "un peu" l'anglais, j'ai une autre traduction à vous proposer...la version trouvée par Dragon n'est pas mal mais son gros handicap est...de ne pas tenir compte, dans le texte, du fait que le texte, justement , est parfois au présent,parfois au passé, ce qui change pas mal de choses...Et puis certains mots, disons-le, sont un peu trop pris au pied de la lettre (si je puis dire), d'où parfois des phrases un peu incompréhensibles, voire des paragraphes...
c'est parti....
[b]Sur une autoroute sombre et déserte,
Le vent frais dans les cheveux,
La senteur tiède des colitas qui embaument l'air
Loin devant, j'aperçus une lumière vaciller.
Ma tête s'alourdissait, ma vue devenait floue,
Je devais m'arrêter pour la nuit.
Là elle se tenait à l'entrée,
J'ai entendu sonner la cloche de la mission
Et je me suis dit
Que ce pourrait aussi bien être le Paradis que l'Enfer...
Et puis elle a allumé une bougie pour me montrer le chemin
Il y avait des voix au bout du couloir
Et j'ai bien cru les entendre dire:
Bienvenu à l'hôtel Californie
Quel endroit adorable,
Quel visage adorable...
Il y a plein de chambres à l'hôtel Californie,
N' importe quand dans l'année, vous en trouverez une...
Son esprit est tortueux, elle a les courbes d'une Mercedes
Elle a tout un tas de mecs vraiment, vraiment très charmants,
Qu'elle appellent ses amis...
Et comme ils dansent dans le patio, douce odeur estivale,
Certains pour se souvenir, certains pour oublier...
Alors j'ai appelé le Capitaine
"Amène-moi mon vin s'il te plait"
Il m'a dit qu'ils n' avaient pas eu de cet alcool ici depuis 1969
Et toujours ces voix qui appellent de très loin
Tu te réveilles en plein milieu de la nuit
Juste pour les entendre te dire...
Bienvenu à l'hôtel Californie,
quel endroit adorable,
Quel visage adorable,
On oublie tout à l'hôtel Californie
Quelle belle surprise, préparez vos alibis...
Et dans les quartiers du commandant,
Ils étaient réunis pour le banquet,
Ils s'acharnaient avec leurs couteaux en acier
Mais ils ne pouvaient même pas tuer la bête
La dernière chose dont je me souviens
C' est que je courais vers la porte
Il fallait que je trouve le passage
Pour revenir au point de départ...
"relax" m'a dit le veilleur de nuit
"On est programmés pour assimiler (au sens de recevoir, d'apprendre)
Tu peux bien verifier encore et encore,
Tu ne pourras jamais partir ..."[/b]
Voilà c'est fini...l'explication de texte en règle viendra un jour prochain mais là, helas, il se fait tard et j'ai sommeil....
as de voyage astral, hélas...
Qaunt à la traduction, ayant à mon actif la traduction de plus de 250 chansons anglophones, je ne pensent pas m'être trop trompé...
c'est parti....
[b]Sur une autoroute sombre et déserte,
Le vent frais dans les cheveux,
La senteur tiède des colitas qui embaument l'air
Loin devant, j'aperçus une lumière vaciller.
Ma tête s'alourdissait, ma vue devenait floue,
Je devais m'arrêter pour la nuit.
Là elle se tenait à l'entrée,
J'ai entendu sonner la cloche de la mission
Et je me suis dit
Que ce pourrait aussi bien être le Paradis que l'Enfer...
Et puis elle a allumé une bougie pour me montrer le chemin
Il y avait des voix au bout du couloir
Et j'ai bien cru les entendre dire:
Bienvenu à l'hôtel Californie
Quel endroit adorable,
Quel visage adorable...
Il y a plein de chambres à l'hôtel Californie,
N' importe quand dans l'année, vous en trouverez une...
Son esprit est tortueux, elle a les courbes d'une Mercedes
Elle a tout un tas de mecs vraiment, vraiment très charmants,
Qu'elle appellent ses amis...
Et comme ils dansent dans le patio, douce odeur estivale,
Certains pour se souvenir, certains pour oublier...
Alors j'ai appelé le Capitaine
"Amène-moi mon vin s'il te plait"
Il m'a dit qu'ils n' avaient pas eu de cet alcool ici depuis 1969
Et toujours ces voix qui appellent de très loin
Tu te réveilles en plein milieu de la nuit
Juste pour les entendre te dire...
Bienvenu à l'hôtel Californie,
quel endroit adorable,
Quel visage adorable,
On oublie tout à l'hôtel Californie
Quelle belle surprise, préparez vos alibis...
Et dans les quartiers du commandant,
Ils étaient réunis pour le banquet,
Ils s'acharnaient avec leurs couteaux en acier
Mais ils ne pouvaient même pas tuer la bête
La dernière chose dont je me souviens
C' est que je courais vers la porte
Il fallait que je trouve le passage
Pour revenir au point de départ...
"relax" m'a dit le veilleur de nuit
"On est programmés pour assimiler (au sens de recevoir, d'apprendre)
Tu peux bien verifier encore et encore,
Tu ne pourras jamais partir ..."[/b]
Voilà c'est fini...l'explication de texte en règle viendra un jour prochain mais là, helas, il se fait tard et j'ai sommeil....
as de voyage astral, hélas...
Qaunt à la traduction, ayant à mon actif la traduction de plus de 250 chansons anglophones, je ne pensent pas m'être trop trompé...

Finalement, j'ai pas si sommeil
alors c'est parti
Sur une autoroute sombre et déserte
ici, la route peut être assimilée à la vie du chanteur : sombre, déserte; il est perdu, ne sait plus trop où il (en ) est.
Le vent frais dans les cheveux,
La senteur tiède des colitas qui embaument l'air,
autre traduction possible :"le parfum doux et enivrant des colitas qui flotte dans l'air".
Loin devant, j'aperçus une lumière vaciller
Perdu, le chanteur semble entrevoir une lueur d'espoir, mais ce n'est pas tres nette: la lumière est loin, et elle vacille en plus.
Ma tête s'alourdissait, ma vue devenait floue,
Je devais m'arrêter pour la nuit
Visiblement, il n'en peut plus, il est à bout de force; la vie (la route) a fini par le fatiguer, l'user.
Là, elle se tenait à l'entrée
J'ai entendu sonner la cloche de la mission
indication géographique : Eagles est un groupe américain. Les missions (couvents, monastères) sont fréquents dans les petits villages du sud des USA et de l'Amérique Centrale; il se trouve donc dans le sud des USA (dans le désert en fait) dans un village perdu au milieu de nulle part.
Et je me suis dit
Ca pourrait aussi bien être le Paradis que l'Enfer
premiere allusion à la tentation : le mot "elle" représente-t-il une femme ou bien la tentation, la drogue ?Et de là découle "le paradis ou l'enfer", car tout dépend si on parle du plaisir procuré par la femme/drogue ou bien du malaise quand on y est accroc.
Puis elle a allumé une bougie
Pour me montrer le chemin
Il y avait des voix au bout du couloir
Et j'ai bien cru les entendre dire
Il décide d'entrer, de s'engager, même si il ne fait que "entendre les voix au bout du couloir"; il ne distingue rien,à cause de la faible lueur. C'est en quelque sorte un appel. Maintenant à vous de voir si il se laisse faire (car trop fatigué pour se battre), ou bien si il décide de lui-même d'y aller pour satisfaire sa curiosité. A mon avis, un peu des deux.
Bienvenu à l'hotel californie
Dans les années 70, la Californie représentait l'eldorado des hippies; la ville de San Francisco en regorgeait. Cet état apparait donc comme un but à atteindre, la récompense d'une quête, ce qui nous ramène à la route que parcourait le chanteur en début de chanson.
Quel endroit adorable,
Quel visage adorable,
Il y a plein de chambres à l'hotel californie
N'importe quand dans l'année, vous en trouverez une
en effet, en mars ou en aout, il suffit d'allumer un pétard pour tout oublier. La chambre incarne le repos, le côté "je me mets à l'écart de ce monde car j'en ai marre" que recherche tout accroc à la drogue.
Son esprit est tortueux, elle a les courbes d'une Mercedes
A noter : Mercedes est aussi un prénom hispanique; l'auteur nous rappelle encore une fois la californie, le mexique, le sud des USA
Elle a tout un tas de mecs vraiment, vraiment très charmants
Qu'elle appelle ses amis
La femme/drogue a fait chavirer le coeur de nombreux mecs, sans doute des gars égarés comme le chanteur qui ont succombé, et elle les appellent "amis" pour ne pas dire "esclaves"...
Et comme ils dansent dans le patio, douce odeur estivale,
Certains pour se souvenir, certains pour oublier
Les junkies se droguent pour oublier leur vie, ce qu'ils sont devenus, d'autres pour oublier les galères qu'ils ont traversées. De plus,dansent-ils vraiment, ou bien sont-ils immobiles, allongés, inertes, perdus dans leurs délires, et c'est le chanteur qui croient les voir danser, bouger, car la drogue commence à faire effet, car qu'est donc cette douce odeur estivale (si ce n'est le parfum de la drogue) ? Et si le chanteur succombe, tout va alors se mettre à tanguer comme sur un..bateau... d'où... :
Alors j'ai appelé le capitaine
"Amene moi mon vin s'il te plait"
Cette fois, c'est clair, il veut se laisser succomber...
Il m'a dit qu'ils n'avaient pas eu cet alcool ici depuis 1969
Et toujours ces voix qui appellent de tres loin
Tu te réveilles en plein milieu de la nuit
Juste pour les entendre te dire...
Allusion directe à 1969, année d'un célebre festival...et donc à la drogue, aux hippies. Mais finalement la drogue, c'est l'enfer car les voix qu'il entend font terriblement penser aux voix des damnés qui appellent à l'aide depuis le purgatoire.
Le refrain n'ayant rien de bien copliqué, je le passe...ok...?
Et là je me rends compte que j'ai oublié un refrain dans mon precédent post...pfff...je répare mon oubli...
Des miroirs au plafond
Du champagne rosedans (un seau à...) de la glace
Finalement le mec se réveille. la femme/drogue était sans doute vraiment une femme de chair et d'os...et il se trouve dans une maison close. Ou bien la femme n'existe pas, et il s'agisssait de la drogue, de l'alcool, qui l'ont fait halluciner...ou bien il y avait les deux...Rien de tel qu'une bonne orgie pour tout oublier...
A noter, la couleur du champagne: il existe bien du champagne rosé, mais le champagne est en général d'un jaune tres pale, et la drogue altère la perception des couleurs.
Et elle dit
"Nous sommes justes des prisonniers de notre plein gré"
Finalement, il semblerait qu'ils se complaisent dans leur misere. ils n'ont plus la force de combattre, mais à quoi bon puisque leur vie n'en valent plus la peine...
Et dans les quartiers du commandant
De nouveau une allusion à un bateau...tout bouge, tout tangue...
Ils étaient réunis pour le banquet
Les "habitués" viennent chercher de quoi "s'enfuir"...
Ils s'acharnaient avec leurs couteaux en acier
Un bon "fix" se prépare en faisant chauffer la drogue dans une cuillère ( ici remplacée par un couteau, sans doute pourmarquer le coté blessant de la chose, la torture mentale et physique endurée par les junkies dans l'attente de leur dope)
Mais ils ne pouvaient même pas tuer la bête
Tu as beau te droguer, tes problèmes (ici, la bête) reviennent toujours et parallelement, il est atrocément difficile de s'arracher à l'emprise de la drogue (la bete représente aussi cette emprise).
La dernière chose dont je me souviens
c'est que je courais vers la porte
Il fallait que je trouve le passage
Pour revenir au point de départ...
Ben là, pas grand'chose à expliquer....
"relax", m'a dit le veilleur de nuit
"On est programmés pour assimiler
Tu peux ien vérifier encore et encore,
Tu ne pourras jamais partir"
Hélas oui... une fois enfermé dans l'enfer de la drogue, dur de s'en sortir, pour ne pas dire impossible...
AYE
C' EST FINI !!!!!!!!!
Donc pour résumer : c'est un gars qui n'a plus le moral, qui s'arrete un soir dans un motel miteux et qui tombe dans la débauche. fatigué,il semble qu'il succombe à la drogue, ou à une femme (ou aux deux).
Les images dans le texte sont magnifiques. Pour un peu, au début, on se sent presque dans la voiture avec lui. Et puis tout bascule...ça balance, ça tangue,on plonge et on replonge, si bien qu'on ne sait plus exactement où l'on en est... Et c'est là toute la force de cette chanson: arriver à nous troubler pour nous faire partager le trouble du chanteur...
pas de voyage astral donc, ni trop de paroles mystérieuses...Quant à la pochette...hotel...drogue...
enfer?

Sur une autoroute sombre et déserte
ici, la route peut être assimilée à la vie du chanteur : sombre, déserte; il est perdu, ne sait plus trop où il (en ) est.
Le vent frais dans les cheveux,
La senteur tiède des colitas qui embaument l'air,
autre traduction possible :"le parfum doux et enivrant des colitas qui flotte dans l'air".
Loin devant, j'aperçus une lumière vaciller
Perdu, le chanteur semble entrevoir une lueur d'espoir, mais ce n'est pas tres nette: la lumière est loin, et elle vacille en plus.
Ma tête s'alourdissait, ma vue devenait floue,
Je devais m'arrêter pour la nuit
Visiblement, il n'en peut plus, il est à bout de force; la vie (la route) a fini par le fatiguer, l'user.
Là, elle se tenait à l'entrée
J'ai entendu sonner la cloche de la mission
indication géographique : Eagles est un groupe américain. Les missions (couvents, monastères) sont fréquents dans les petits villages du sud des USA et de l'Amérique Centrale; il se trouve donc dans le sud des USA (dans le désert en fait) dans un village perdu au milieu de nulle part.
Et je me suis dit
Ca pourrait aussi bien être le Paradis que l'Enfer
premiere allusion à la tentation : le mot "elle" représente-t-il une femme ou bien la tentation, la drogue ?Et de là découle "le paradis ou l'enfer", car tout dépend si on parle du plaisir procuré par la femme/drogue ou bien du malaise quand on y est accroc.
Puis elle a allumé une bougie
Pour me montrer le chemin
Il y avait des voix au bout du couloir
Et j'ai bien cru les entendre dire
Il décide d'entrer, de s'engager, même si il ne fait que "entendre les voix au bout du couloir"; il ne distingue rien,à cause de la faible lueur. C'est en quelque sorte un appel. Maintenant à vous de voir si il se laisse faire (car trop fatigué pour se battre), ou bien si il décide de lui-même d'y aller pour satisfaire sa curiosité. A mon avis, un peu des deux.
Bienvenu à l'hotel californie
Dans les années 70, la Californie représentait l'eldorado des hippies; la ville de San Francisco en regorgeait. Cet état apparait donc comme un but à atteindre, la récompense d'une quête, ce qui nous ramène à la route que parcourait le chanteur en début de chanson.
Quel endroit adorable,
Quel visage adorable,
Il y a plein de chambres à l'hotel californie
N'importe quand dans l'année, vous en trouverez une
en effet, en mars ou en aout, il suffit d'allumer un pétard pour tout oublier. La chambre incarne le repos, le côté "je me mets à l'écart de ce monde car j'en ai marre" que recherche tout accroc à la drogue.
Son esprit est tortueux, elle a les courbes d'une Mercedes
A noter : Mercedes est aussi un prénom hispanique; l'auteur nous rappelle encore une fois la californie, le mexique, le sud des USA
Elle a tout un tas de mecs vraiment, vraiment très charmants
Qu'elle appelle ses amis
La femme/drogue a fait chavirer le coeur de nombreux mecs, sans doute des gars égarés comme le chanteur qui ont succombé, et elle les appellent "amis" pour ne pas dire "esclaves"...
Et comme ils dansent dans le patio, douce odeur estivale,
Certains pour se souvenir, certains pour oublier
Les junkies se droguent pour oublier leur vie, ce qu'ils sont devenus, d'autres pour oublier les galères qu'ils ont traversées. De plus,dansent-ils vraiment, ou bien sont-ils immobiles, allongés, inertes, perdus dans leurs délires, et c'est le chanteur qui croient les voir danser, bouger, car la drogue commence à faire effet, car qu'est donc cette douce odeur estivale (si ce n'est le parfum de la drogue) ? Et si le chanteur succombe, tout va alors se mettre à tanguer comme sur un..bateau... d'où... :
Alors j'ai appelé le capitaine
"Amene moi mon vin s'il te plait"
Cette fois, c'est clair, il veut se laisser succomber...
Il m'a dit qu'ils n'avaient pas eu cet alcool ici depuis 1969
Et toujours ces voix qui appellent de tres loin
Tu te réveilles en plein milieu de la nuit
Juste pour les entendre te dire...
Allusion directe à 1969, année d'un célebre festival...et donc à la drogue, aux hippies. Mais finalement la drogue, c'est l'enfer car les voix qu'il entend font terriblement penser aux voix des damnés qui appellent à l'aide depuis le purgatoire.
Le refrain n'ayant rien de bien copliqué, je le passe...ok...?

Et là je me rends compte que j'ai oublié un refrain dans mon precédent post...pfff...je répare mon oubli...

Des miroirs au plafond
Du champagne rosedans (un seau à...) de la glace
Finalement le mec se réveille. la femme/drogue était sans doute vraiment une femme de chair et d'os...et il se trouve dans une maison close. Ou bien la femme n'existe pas, et il s'agisssait de la drogue, de l'alcool, qui l'ont fait halluciner...ou bien il y avait les deux...Rien de tel qu'une bonne orgie pour tout oublier...

Et elle dit
"Nous sommes justes des prisonniers de notre plein gré"
Finalement, il semblerait qu'ils se complaisent dans leur misere. ils n'ont plus la force de combattre, mais à quoi bon puisque leur vie n'en valent plus la peine...
Et dans les quartiers du commandant
De nouveau une allusion à un bateau...tout bouge, tout tangue...
Ils étaient réunis pour le banquet
Les "habitués" viennent chercher de quoi "s'enfuir"...
Ils s'acharnaient avec leurs couteaux en acier
Un bon "fix" se prépare en faisant chauffer la drogue dans une cuillère ( ici remplacée par un couteau, sans doute pourmarquer le coté blessant de la chose, la torture mentale et physique endurée par les junkies dans l'attente de leur dope)
Mais ils ne pouvaient même pas tuer la bête
Tu as beau te droguer, tes problèmes (ici, la bête) reviennent toujours et parallelement, il est atrocément difficile de s'arracher à l'emprise de la drogue (la bete représente aussi cette emprise).
La dernière chose dont je me souviens
c'est que je courais vers la porte
Il fallait que je trouve le passage
Pour revenir au point de départ...
Ben là, pas grand'chose à expliquer....
"relax", m'a dit le veilleur de nuit
"On est programmés pour assimiler
Tu peux ien vérifier encore et encore,
Tu ne pourras jamais partir"
Hélas oui... une fois enfermé dans l'enfer de la drogue, dur de s'en sortir, pour ne pas dire impossible...
AYE

Donc pour résumer : c'est un gars qui n'a plus le moral, qui s'arrete un soir dans un motel miteux et qui tombe dans la débauche. fatigué,il semble qu'il succombe à la drogue, ou à une femme (ou aux deux).
Les images dans le texte sont magnifiques. Pour un peu, au début, on se sent presque dans la voiture avec lui. Et puis tout bascule...ça balance, ça tangue,on plonge et on replonge, si bien qu'on ne sait plus exactement où l'on en est... Et c'est là toute la force de cette chanson: arriver à nous troubler pour nous faire partager le trouble du chanteur...
pas de voyage astral donc, ni trop de paroles mystérieuses...Quant à la pochette...hotel...drogue...
enfer?
Moi non plus les paroles ne me suprennent pas tant que ça, mais il en reste que c'est une chanson absolument magnifique. Pour un peu, on peut voir un double sens derrière chaque phrase, une allusion, une image...
A noter : il y a ici trois traductions du même du même texte...et même si le sens est sensiblement le même, elle diffère quand même sur certains points...Imaginez un peu le travail de traduction qu'il faut fournir pour un texte ecrit en langue morte...
A noter : il y a ici trois traductions du même du même texte...et même si le sens est sensiblement le même, elle diffère quand même sur certains points...Imaginez un peu le travail de traduction qu'il faut fournir pour un texte ecrit en langue morte...

- JOHN BURROWS
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Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
Le King est vivant et en bonne santé
- aigledusud
-
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- Localisation : Herault
Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
NEMROD34 a écrit :Un bordel ça me parait clair.
C'est beau la poesie

Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
Mais non c'est l'histoire d'un mec qui s'arrête dans un hôtel après avoir bu qui ne s'est même pas rendu compte qu'il était mort
et au moment ou il voulait partir on lui a dit qu'il ne pouvait plus.
Donc pas de voyage astrale, message satanique ou autre
et au moment ou il voulait partir on lui a dit qu'il ne pouvait plus.
Donc pas de voyage astrale, message satanique ou autre

- aigledusud
-
- Message(s) : 1664
- Inscription : Jeu Février 14, 2008 15:05
- Localisation : Herault
Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
De toute façon je suis persuadé que même dans la chanson des bisounours y en a qui trouverait quelque chose de satanique alors.
- Petite-Fée
-
- Message(s) : 976
- Inscription : Lun Mars 17, 2008 19:09
Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
Pour ceux que ça intéresse...un (long) résumé des diverses interprétations de ces paroles sybillines.
http://crosstowntraffic.zumablog.com/index.php?sujet_id=5916&com=open
http://crosstowntraffic.zumablog.com/index.php?sujet_id=5916&com=open
"Je suis inculte parce que je n'en pratique aucun, et insecte parce que je me méfie de toutes. "
Raymond Queneau
Raymond Queneau
Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
J'ai entendu une explication de cette chanson à la radio (hier vers 16h45 sur France bleu Armorique je crois).
En fait, Hotel California se serait inspiré du film Psychose d'Alfred Hitchkock. Il s'agirait d'un hôtel hanté duquel on ne peut revenir. Donc, a priori, rien à voir avec la drogue
Résumé du film
http://cineclap.free.fr/?film=psychose&page=resume
Le vendredi 11, pendant la pause déjeuner, Marion Crane (Janet Leigh) reçoit dans une chambre d'hôtel son amant Sam Loomis (John Gavin), qui aimerait l'épouser et résoudre ses problèmes financiers. Lorsqu'elle revient à son agence immobilière, George Lowery (Vaughn Taylor), son patron, lui confie les quarante mille dollars en liquide de l'acheteur Tom Cassidy (Frank Albertson) à déposer à la banque. Cette employée jusque-là toujours honnête obtient son après-midi, empoche la liasse, et quitte Phoenix (Arizona) en direction de Fairvale pour rejoindre Sam. Fatiguée par la longue route, la fuyarde est réveillée le matin par un motard de la police (Mort Mills) alors qu'elle s'est endormie sur le bas-côté. Celui-ci est intrigué de la voir échanger précipitamment sa voiture auprès d'un vendeur d'occasions (John Anderson). Le soir, épuisée de conduire sous la pluie, ignorant n'être qu'à vingt kilomètres de sa destination, elle s'arrête au motel désert de Norman Bates (Anthony Perkins). Le gérant lui donne la chambre 1, mitoyenne de son bureau, et lui propose un repas frugal. Elle l'entend se faire réprimander par sa mère dans la maison voisine à cause de ce simple sandwich destiné à une attirante jeune femme. Pendant que Marion mange dans son bureau, Norman, taxidermiste à ses heures, lui explique que son père est mort quand il avait cinq ans, et que des années plus tard, le nouveau compagnon de sa mère avait incité celle-ci à construire ce motel avec leurs économies. Bien que la déviation de la route nationale ait réduit le nombre de clients, et que sa mère soit tombée malade, il continue d'allumer l'enseigne et de s'occuper des douze chambres. Quand elle rentre dans sa chambre, il l'épie grâce à un trou pratiqué dans le mur. Tandis que Marion, enregistrée sous un faux nom, prend une douche, la vieille mère jalouse vient la poignarder sauvagement. La découvrant ensanglantée, son fils fait disparaître le corps, les affaires et la voiture de la défunte dans un étang. Inquiète de ne pas avoir de nouvelles de sa sœur Marion qui est recherchée, Lila (Vera Miles) se rend à la quincaillerie de Sam, au courant de rien. Chargé par Lowery et Cassidy, qui ne veulent pas lancer de poursuites contre Marion, de retrouver l'argent volé, le détective privé Milton Arbogast (Martin Balsam) a filé Lila jusque là. Croyant que Sam ne dit pas tout et que la voleuse est cachée dans les environs, il entreprend de visiter tous les motels environnants, et arrive au bout de quelques jours chez Norman Bates. Celui-ci feint d'abord ne pas avoir vu Marion, puis prétend qu'elle n'est restée qu'une nuit. Essuyant un refus de parler avec madame Bates dont il a vu la silhouette à une fenêtre, Arbogast donne rendez-vous à Lila et Sam par téléphone. Puis il retourne au motel, s'introduit dans la maison où il est à son tour mortellement poignardé. Inquiet du retard du privé, Sam se rend au motel sans pouvoir trouver quiconque - Norman faisant de nouveau tout disparaître dans l'étang - ni parler à la vieille femme qui refuse de lui ouvrir. En pleine nuit, Sam emmène Lila expliquer l'affaire au shérif Al Chambers (John McIntire) et sa femme (Lurene Tuttle). Celui-ci appelle Norman qui assure ne pas avoir revu Arbogast, et révèle que madame Bates s'est en fait suicidée dix ans plus tôt après avoir empoisonné son compagnon... Craignant les embêtements, Norman descend sa mère à la cave malgré ses jérémiades. Le dimanche, Sam et Lila revoient le shérif, qui a rendu visite à Norman Bates sans trouver ni Marion, ni une quelconque vieille femme. Ils se rendent au motel et prennent la chambre 12. Des indices dans la chambre 1 les convainc que Norman a pu connaître l'existence des quarante mille dollars, qu'il aurait volé pour construire un nouveau motel auprès de la grand'route. Pendant que Sam le distrait et l'interroge insidieusement, Lila s'introduit dans la maison sans trouver âme qui vive à l'étage. Devinant le petit jeu du couple, le gérant assomme son interlocuteur et se précipite chez lui en espérant surprendre l'intruse. Mais celle-ci, qui s'est cachée dans la cave, découvre le cadavre embaumé de la mère... De nouveau déguisé en vieille femme, Norman surgit le poignard à la main, mais est maîtrisé par Sam. Au bureau du chef de la police (George Eldredge), le docteur Fred Richmond (Simon Oakland), psychiatre, explique que, jaloux de la présence du nouveau compagnon de sa mère qui l'a éloignée de lui, il les avait tué tous les deux. Perturbé par son crime, il avait fait survivre sa mère en volant son corps et en l'embaumant, et en abritant à la fois sa personnalité et celle de la défunte. Lorsqu'il se sentait attiré par une femme, "elle" se montrait jalouse et meurtrière. Sous l'emprise de sa mère, Norman Bates avait déjà tué deux jeunes filles avant Marion. Maintenant, la personnalité de la mère a complètement pris le dessus, celle du fils s'étant totalement dissoute...
En fait, Hotel California se serait inspiré du film Psychose d'Alfred Hitchkock. Il s'agirait d'un hôtel hanté duquel on ne peut revenir. Donc, a priori, rien à voir avec la drogue
Résumé du film
http://cineclap.free.fr/?film=psychose&page=resume
Le vendredi 11, pendant la pause déjeuner, Marion Crane (Janet Leigh) reçoit dans une chambre d'hôtel son amant Sam Loomis (John Gavin), qui aimerait l'épouser et résoudre ses problèmes financiers. Lorsqu'elle revient à son agence immobilière, George Lowery (Vaughn Taylor), son patron, lui confie les quarante mille dollars en liquide de l'acheteur Tom Cassidy (Frank Albertson) à déposer à la banque. Cette employée jusque-là toujours honnête obtient son après-midi, empoche la liasse, et quitte Phoenix (Arizona) en direction de Fairvale pour rejoindre Sam. Fatiguée par la longue route, la fuyarde est réveillée le matin par un motard de la police (Mort Mills) alors qu'elle s'est endormie sur le bas-côté. Celui-ci est intrigué de la voir échanger précipitamment sa voiture auprès d'un vendeur d'occasions (John Anderson). Le soir, épuisée de conduire sous la pluie, ignorant n'être qu'à vingt kilomètres de sa destination, elle s'arrête au motel désert de Norman Bates (Anthony Perkins). Le gérant lui donne la chambre 1, mitoyenne de son bureau, et lui propose un repas frugal. Elle l'entend se faire réprimander par sa mère dans la maison voisine à cause de ce simple sandwich destiné à une attirante jeune femme. Pendant que Marion mange dans son bureau, Norman, taxidermiste à ses heures, lui explique que son père est mort quand il avait cinq ans, et que des années plus tard, le nouveau compagnon de sa mère avait incité celle-ci à construire ce motel avec leurs économies. Bien que la déviation de la route nationale ait réduit le nombre de clients, et que sa mère soit tombée malade, il continue d'allumer l'enseigne et de s'occuper des douze chambres. Quand elle rentre dans sa chambre, il l'épie grâce à un trou pratiqué dans le mur. Tandis que Marion, enregistrée sous un faux nom, prend une douche, la vieille mère jalouse vient la poignarder sauvagement. La découvrant ensanglantée, son fils fait disparaître le corps, les affaires et la voiture de la défunte dans un étang. Inquiète de ne pas avoir de nouvelles de sa sœur Marion qui est recherchée, Lila (Vera Miles) se rend à la quincaillerie de Sam, au courant de rien. Chargé par Lowery et Cassidy, qui ne veulent pas lancer de poursuites contre Marion, de retrouver l'argent volé, le détective privé Milton Arbogast (Martin Balsam) a filé Lila jusque là. Croyant que Sam ne dit pas tout et que la voleuse est cachée dans les environs, il entreprend de visiter tous les motels environnants, et arrive au bout de quelques jours chez Norman Bates. Celui-ci feint d'abord ne pas avoir vu Marion, puis prétend qu'elle n'est restée qu'une nuit. Essuyant un refus de parler avec madame Bates dont il a vu la silhouette à une fenêtre, Arbogast donne rendez-vous à Lila et Sam par téléphone. Puis il retourne au motel, s'introduit dans la maison où il est à son tour mortellement poignardé. Inquiet du retard du privé, Sam se rend au motel sans pouvoir trouver quiconque - Norman faisant de nouveau tout disparaître dans l'étang - ni parler à la vieille femme qui refuse de lui ouvrir. En pleine nuit, Sam emmène Lila expliquer l'affaire au shérif Al Chambers (John McIntire) et sa femme (Lurene Tuttle). Celui-ci appelle Norman qui assure ne pas avoir revu Arbogast, et révèle que madame Bates s'est en fait suicidée dix ans plus tôt après avoir empoisonné son compagnon... Craignant les embêtements, Norman descend sa mère à la cave malgré ses jérémiades. Le dimanche, Sam et Lila revoient le shérif, qui a rendu visite à Norman Bates sans trouver ni Marion, ni une quelconque vieille femme. Ils se rendent au motel et prennent la chambre 12. Des indices dans la chambre 1 les convainc que Norman a pu connaître l'existence des quarante mille dollars, qu'il aurait volé pour construire un nouveau motel auprès de la grand'route. Pendant que Sam le distrait et l'interroge insidieusement, Lila s'introduit dans la maison sans trouver âme qui vive à l'étage. Devinant le petit jeu du couple, le gérant assomme son interlocuteur et se précipite chez lui en espérant surprendre l'intruse. Mais celle-ci, qui s'est cachée dans la cave, découvre le cadavre embaumé de la mère... De nouveau déguisé en vieille femme, Norman surgit le poignard à la main, mais est maîtrisé par Sam. Au bureau du chef de la police (George Eldredge), le docteur Fred Richmond (Simon Oakland), psychiatre, explique que, jaloux de la présence du nouveau compagnon de sa mère qui l'a éloignée de lui, il les avait tué tous les deux. Perturbé par son crime, il avait fait survivre sa mère en volant son corps et en l'embaumant, et en abritant à la fois sa personnalité et celle de la défunte. Lorsqu'il se sentait attiré par une femme, "elle" se montrait jalouse et meurtrière. Sous l'emprise de sa mère, Norman Bates avait déjà tué deux jeunes filles avant Marion. Maintenant, la personnalité de la mère a complètement pris le dessus, celle du fils s'étant totalement dissoute...
"Je ne connais pas la moitié d'entre vous à moitié autant que je le voudrais; et j'aime moins que la moitié d'entre vous à moitié aussi bien que vous le méritez"
Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
Et si ça se trouve, la chanson a été écrite alors qu'ils étaient un peu imbibés et ils ont rajouter de belles phrases sans sens précis, laissant le choix au public d'interpréter comme il le souhaite, suivant son humeur... 

Apocalypse 2012 : I'm alive !
- bur olec
-
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- Inscription : Ven Juin 30, 2006 17:19
- Localisation : Marchin, Belgique
Re: Hotel California : Les Paroles mystérieuses
Très belle chanson, mais en effet les paroles sont pour le moins étranges.
Mon interprétation est que l'homme a fait un accident de voiture au début, et qu'il est mort (c'est surtout l'histoire de l'odeur de bourgeons qui m'y fait penser).
Et l'hôtel serait une sorte de purgatoire ou un truc dans ce genre.
Mon interprétation est que l'homme a fait un accident de voiture au début, et qu'il est mort (c'est surtout l'histoire de l'odeur de bourgeons qui m'y fait penser).
Et l'hôtel serait une sorte de purgatoire ou un truc dans ce genre.
Ben ouais, j'ai mis une heure pour les écrire, j'croyais qu'y faudrait une heure pour les lire !
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