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Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
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Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Voila,je me suis posé une question l'autre jour,au sujet de la vitesse de la lumiere.
Vous le savez tous,elle est(pour arrondir)de l'ordre des 300000KM/s.
Maintenant,je derive juste un peu sur la vitesse du son,et le passage du "mur du son".
Vous connaissez tous aussi,le principe.
Si j'applique ce meme principe pour la lumiere,que ce passe-t-il?
Imaginons une source de lumiere(dans l'espace et donc dans le vide),pouvant atteindre et meme depasser la vitesse de la lumiere.(de sa propre lumiere)
L'onde choc qui se produit avec le son,nous revient avec le "BANG"
mais avec la lumiere,qu'est ce que ca pourrait bien provoquer?
Sachant que la lumiere est composé d'ondes electromagnietiques.
Quelqu'un s'est deja penché sur le sujet?il existe des etudes la dessus?
MERCI!
Vous le savez tous,elle est(pour arrondir)de l'ordre des 300000KM/s.
Maintenant,je derive juste un peu sur la vitesse du son,et le passage du "mur du son".
Vous connaissez tous aussi,le principe.
Si j'applique ce meme principe pour la lumiere,que ce passe-t-il?
Imaginons une source de lumiere(dans l'espace et donc dans le vide),pouvant atteindre et meme depasser la vitesse de la lumiere.(de sa propre lumiere)
L'onde choc qui se produit avec le son,nous revient avec le "BANG"
mais avec la lumiere,qu'est ce que ca pourrait bien provoquer?
Sachant que la lumiere est composé d'ondes electromagnietiques.
Quelqu'un s'est deja penché sur le sujet?il existe des etudes la dessus?
MERCI!
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- Ar Soner
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- Message(s) : 8459
- Inscription : Mer Février 07, 2007 01:15
- Localisation : Septentrion oriental
Re: et si l'on depasse....
nrgtik a écrit :Imaginons une source de lumiere(dans l'espace et donc dans le vide),pouvant atteindre et meme depasser la vitesse de la lumiere.(de sa propre lumiere)
L'onde choc qui se produit avec le son,nous revient avec le "BANG"
mais avec la lumiere,qu'est ce que ca pourrait bien provoquer?
Lorsqu'un particule dépasse la vitesse de la lumière, il se produit un effet de Cherenkov, c'est-à-dire un sorte de flash lumineux très bref (tellement bref qu'il en est invisible à l'oeil nu d'ailleurs).
C'est lui qui est responsable de la lueur bleutée des piscines entourant le noyau des réacteurs nucléaires, cette lueur étant liée à la succession très rapide d'une multitude d'effets de Cherenkov indissociables à l'oeil nu.
On peut dire que c'est l'équivalent lumineux (et à une échelle miscroscopique) du "bang" supersonique qui se produit lorsqu'un avion dépasse le mur du son.
L'effet de Cherenkov est un phénomène bien connu, très étudié dans le cadre de la physique nucléaire. Ils sont également beaucoup utilisés en astrophysique, dans l'étude des rayonnements spatiaux.
Les pierres d'Ica : fausse controverse, ou vraie arnaque ? Ar Soner fait le point.
>> Pierres d'Ica <<
>> Pierres d'Ica <<
Re: Et si l'on dépasse....
Lorsqu'un particule dépasse la vitesse de la lumière
Je croyais que rien ne pouvait dépasser la vitesse de la lumière?
Re: Et si l'on dépasse....
Valguard a écrit :Lorsqu'un particule dépasse la vitesse de la lumière
Je croyais que rien ne pouvait dépasser la vitesse de la lumière?
La vitesse de la lumière est une constante, cela ne veut pas dire que tu ne peux pas ralentir ou accélérer un photon.
Il existe une vitesse , qui n'en ait pas réellement une, qui est de loin incomparable avec la vitesse du photon dans le vide, c'est le cas de l'intrication quantique, effet immédiat garanti.
Pour l'effet cherenkov voir le message de ar soner.
Re: Et si l'on dépasse....
Ok.
Pour ceux qui comme moi ne savent pas se qu'est "l'intricaton quantique", c'est ici:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intrication_quantique
Est ce que la physique quantique explique cette "intéraction" entre deux éléments spatialement séparés mais quand même dépendants (bien qu'on est du mal à l'imaginer)?
Pour ceux qui comme moi ne savent pas se qu'est "l'intricaton quantique", c'est ici:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intrication_quantique
Est ce que la physique quantique explique cette "intéraction" entre deux éléments spatialement séparés mais quand même dépendants (bien qu'on est du mal à l'imaginer)?
Re: et si l'on depasse....
Ar Soner a écrit :nrgtik a écrit :Imaginons une source de lumiere(dans l'espace et donc dans le vide),pouvant atteindre et meme depasser la vitesse de la lumiere.(de sa propre lumiere)
L'onde choc qui se produit avec le son,nous revient avec le "BANG"
mais avec la lumiere,qu'est ce que ca pourrait bien provoquer?
Lorsqu'un particule dépasse la vitesse de la lumière, il se produit un effet de Cherenkov, c'est-à-dire un sorte de flash lumineux très bref (tellement bref qu'il en est invisible à l'oeil nu d'ailleurs).
C'est lui qui est responsable de la lueur bleutée des piscines entourant le noyau des réacteurs nucléaires, cette lueur étant liée à la succession très rapide d'une multitude d'effets de Cherenkov indissociables à l'oeil nu.
On peut dire que c'est l'équivalent lumineux (et à une échelle miscroscopique) du "bang" supersonique qui se produit lorsqu'un avion dépasse le mur du son.
L'effet de Cherenkov est un phénomène bien connu, très étudié dans le cadre de la physique nucléaire. Ils sont également beaucoup utilisés en astrophysique, dans l'étude des rayonnements spatiaux.
Il est balèze quand même

Re: Et si l'on dépasse....
Valguard a écrit :Ok.
Pour ceux qui comme moi ne savent pas se qu'est "l'intricaton quantique", c'est ici:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Intrication_quantique
Est ce que la physique quantique explique cette "intéraction" entre deux éléments spatialement séparés mais quand même dépendants (bien qu'on est du mal à l'imaginer)?
Non, elle ne l'explique pas elle la constate
- Ar Soner
-
- Message(s) : 8459
- Inscription : Mer Février 07, 2007 01:15
- Localisation : Septentrion oriental
Re: Et si l'on dépasse....
Valguard a écrit :Lorsqu'un particule dépasse la vitesse de la lumière
Je croyais que rien ne pouvait dépasser la vitesse de la lumière?
Dans le vide, théoriquement rien ne peut aller plus vite que la lumière.
En revanche dans certains milieux, comme l'eau et l'air, il existe un grand nombre de particules qui vont plus vite que la lumière.
Les pierres d'Ica : fausse controverse, ou vraie arnaque ? Ar Soner fait le point.
>> Pierres d'Ica <<
>> Pierres d'Ica <<
Re: Et si l'on dépasse....
Ok!
D'accord!
Mais la on parle d'un particule normal,classique....
Si une source de lumiere,depasse en vitesse SA PROPRE lumiere.
comme l'avion son propre bruit!
qu'est ce que ca peu engendrer?
D'accord!
Mais la on parle d'un particule normal,classique....
Si une source de lumiere,depasse en vitesse SA PROPRE lumiere.
comme l'avion son propre bruit!
qu'est ce que ca peu engendrer?
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- Roger CHEHET
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- Inscription : Jeu Novembre 30, 2006 17:55
- Localisation : DEAUVILLE
Re: Et si l'on dépasse....
nrgtik a écrit :Ok!
Si une source de lumiere,depasse en vitesse SA PROPRE lumiere.
comme l'avion son propre bruit!
qu'est ce que ca peu engendrer?
Alors la, moi qui n'y connait rien je peux tenter une hypothèse:
Savoir que la lumière,de la lumière, étant aussi lumière, en tout état de cause elle devrait être limitée à... la vitesse de la lumière!
J'ai dit une connerie la ?

Un peuple n'a qu'un ennemi dangereux c'est son gouvernement !
Saint-just.
Saint-just.
- Psyr
Re: Et si l'on dépasse....
La vitesse de la lumière est une constante, cela ne veut pas dire que tu ne peux pas ralentir ou accélérer un photon.
La vitesse de la lumière dans le vide est une constante ... cette vitesse n'est pas la même dans tout les milleu.
Dans un milleu diélectrique d'indice "n" (ceux qui se souvienne des cours d'optique au lycée sur la réfraction), la lumière va à une vitesse c/n (avec c la vitesse de la lumière dans le vide).
Mais le photon ayant une masse nul, il se déplace forcément à la vitesse de la lumière (voire relativé restreinte) dans le milleu considéré.
Et comme Ar soner l'expliquait, quand une particule va plus vite que la lumière dans un milleu diélectrique donné (genre de l'eau), cependant elle va toujours moin vite que la lumière dans le vide, il se produit l'effet Cherenkov.
Il existe une vitesse , qui n'en ait pas réellement une, qui est de loin incomparable avec la vitesse du photon dans le vide, c'est le cas de l'intrication quantique, effet immédiat garanti.
Non, on n'associe aucune vitesse au paradox EPR, la communication d'information longue distance du à des état intriqué ne se propage pas comme un signal :
En fait dans ce cas l'univers ce comporte comme une sorte d'hologramme (analogie de merde, ne pas prendre au pied de la lettre) si bien qu'il se comporte comme si chaqu'un de ces élément contenait l'information relative à l'ensemble de "l'image"/univers (ici un système de 2 photon intriqué).
Re: Et si l'on dépasse....
Euh.....je suis un peu depassé la.
Et plus simplement?
avec le son,ca fait du bruit,
avec la lumiere..........??????

Et plus simplement?
avec le son,ca fait du bruit,
avec la lumiere..........??????
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- Psyr
Re: Et si l'on dépasse....
nrgtik a écrit :Euh.....je suis un peu depassé la.![]()
Et plus simplement?
avec le son,ca fait du bruit,
avec la lumiere..........??????
Je vais essayer de faire simple :
-Dans le cas du sons, lorsque tu te déplace tu provoque des vibration acoustique de la matière dans laquelle tu bouge (en gros tu agite le milleu), si tu va moin vite que le son, lorsque tu va d'un point A à un point B, l'onde produite lorsque tu était en A est arrivé avant toi en B, si tu va plus vite que le sons tu arrive en B avant la perturbation acoustique produite en A. Ce qu'il ce passe ensuite c'est que les onde émit successiment en chaque point de ta trajectoire, se renforce l'une l'autre créant un front d'onde amplifier (sous la forme d'un cone, dont l'angle d'ouverture va dépendre de ta vitesse) ... qui dans le cas du son fait un gros "Bang".
-Dans le cas de la lumière, c'est pareil (en gros), sauf que tu remplace vitesse du son par vitesse de la lumière et onde accoustique par Onde EM. Et au résultats tu emet de la lumière sous forme de cone autour de ta trajectoire (effet Cherenkov, fréquement utilisé en physique des particule pour l'identification des dite particule).
En rappelant biensur que l'objet qui va plus vite que la lumière le fait dans un milleu dielectrique, mais va toujours moin vite que la lumière dans le vide.
- SansIPfixe
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- Inscription : Lun Avril 17, 2006 16:45
- Localisation : dans mon esprit.
Re: Et si l'on dépasse....
Psyr a écrit :nrgtik a écrit :Euh.....je suis un peu depasser la.![]()
Et plus simplement?
avec le son,ca fait du bruit,
avec la lumiere..........??????
Je vais essayer de faire simple :
-Dans le cas du sons, lorsque tu te déplace tu provoque des vibration acoustique de la matière dans laquelle tu bouge (en gros tu agite le meilleur), si tu va moin vite que le son, lorsque tu va d'un point A à un point B, l'onde produite lorsque tu était en A est arrivé avant toi en B, si tu va plus vite que le sons tu arrive en B avant la perturbation acoustique produite en A. Ce qu'il ce passe ensuite c'est que les onde émit successivement en chaque point de ta trajectoire, se renforce l'une l'autre créant un front d'onde amplifier (sous la forme d'un conte, dont l'angle d'ouverture va dépendre de ta vitesse) ... qui dans le cas du son fait un gros "Bang".
-Dans le cas de la lumière, c'est pareil (en gros), sauf que tu remplace vitesse du son par vitesse de la lumière et onde acoustique par Onde EM. Et au résultats tu permet de la lumière sous forme de cone autour de ta trajectoire (effet Cherenkov, fréquemment utilisé en physique des particule pour l'identification des dite particule).
En rappelant bien sur que l'objet qui va plus vite que la lumière le fait dans un milieu dielectrique, mais va toujours moin vite que la lumière dans le vide.
Écrire des messages pertinents est une chose, écrire comme un cochon fainéant en est une autre, surtout lorsque l'on est supposé avoir eu son BEPC.
C'est la dernière fois que je me répète

«Caressez un cercle et il deviendra vicieux», Ionesco
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Bon,je penses avoir compris.
MERCI!
Mais,je me suis quand meme aventuré sur un terrain que je ne maitrise pas du tout.
J'ai quand meme l'air moins c***.
MERCI!
Mais,je me suis quand meme aventuré sur un terrain que je ne maitrise pas du tout.
J'ai quand meme l'air moins c***.

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- ananaskiller
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Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
L'intrication quantique est tout de même quelque chose d'incroyable, comme quoi, tout est lié.
It's gonna be legen... wait for it... dary !
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Bonjour.
Aller au-delà de la vitesse de la lumière (dans le vide) signifierait une remontée du temps. Or, puisqu’il semble impossible de se mouvoir à "rebrousse temps", on considère que rien ne peut aller au-delà de cette vitesse limite. Donc ici, comme il l'a été expliqué, seul l’effet Tcherenkov peut se rapprocher de l’idée du bang sonique.
Aller au-delà de la vitesse de la lumière (dans le vide) signifierait une remontée du temps. Or, puisqu’il semble impossible de se mouvoir à "rebrousse temps", on considère que rien ne peut aller au-delà de cette vitesse limite. Donc ici, comme il l'a été expliqué, seul l’effet Tcherenkov peut se rapprocher de l’idée du bang sonique.
- Psyr
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Sinthome a écrit :Bonjour.
Aller au-delà de la vitesse de la lumière (dans le vide) signifierait une remontée du temps. Or, puisqu’il semble impossible de se mouvoir à "rebrousse temps
Assertion que l'on rencontre fréquement et qui pourtant est fausse, au dela de la vitesse de le lumière dans le vide, le temps devient imaginaire (au sens algébrique du terme, dans le cadre de la relativité restreinte) ... bref ça n'a plus de sens physique, donc dans le cadre des théorie actuelle ça n'a pas de sens.
Maintenant rien d'un point de vue physique n'empèche des chose de ce déplacé à "rebrousse temps" ... les antiparticule d'ailleur peuvent etre considéré comme des particules voyageant du futur vers le passé.
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Oui c’est exact, on parle même d’un temps "imaginaire pur" ou encore "perpendiculaire" au nôtre, ce qui n’est pas qu’une simple image métaphorique. Le sens physique est à exclure, mais le sens mathématique reste tout à fait valable. C’est une simple question de référentiel qui peut être expliqué assez facilement à l’aide de schémas.
Il semble ici y avoir une confusion souvent effectuée. La dualité matière / antimatière d’une particule ne témoigne pas d’une inversion de la dimension temps puisqu’elle n’inverse pas le signe de la masse, mais seulement de sa charge. Or, dans son ouvrage Structure des Systèmes Dynamiques, le mathématicien J.M. Souriau (1972), montre la relation d’un mouvement à rebrousse temps avec une énergie et une masse négative. Ce qui paraît être une conséquence logique de la plus célèbre formule d’Einstein liant énergie, masse, et bien sûr, la vitesse de la lumière.
D’autre part, à partir du moment où, pour un objet, on sait qu’à l’approche de la vitesse limite de la lumière, il y a un "ralentissement du temps", une "contraction" de l’espace-temps et, surtout, une augmentation de sa masse, l’idée d’un mouvement à rebrousse temps peut en être logiquement déduite. D’ailleurs, le lien entre masse et énergie négative et mouvement à rebrousse temps vient régulièrement nourrir les nombreuses théories sur la physique des "trous de ver", "fontaines blanches" et autres concepts reliés à la physique énigmatique des corps si denses que rien n’empêche d’imaginer l’existence d’une inversion de masse en un point de l'espace (trou noir, voire étoile à neutrons extrêmement denses...)
Mais encore, le paradoxe des jumeaux de Langevin peut également être aisément expliqué par ce phénomène de vitesse limite, où le jumeau Statique semble avoir vieilli plus rapidement que le jumeau Voyageur se déplaçant à grande vitesse et effectuant un aller-retour (obligatoire pour revenir sur Terre) impliquant un nécessaire changement de référentiel. (Voir page Wikipedia sur le paradoxe de Langevin)
Il faut ainsi considérer l’Univers dans un minimum de quatre dimensions (et peut-être cinq avec cette histoire de charge particulaire) dont la dimension "temps" est constitutive. À partir de cette considération, et pour simplifier les choses, il est possible d’imaginer une réduction du tout à l’échelle d’une sphère sur laquelle il est nécessaire de connaître seulement deux coordonnées pour se situer (longitude / latitude). En considérant la coordonnée "temps" comme étant représentée sur la longitude et la coordonnée "espace" en latitude, on comprend qu’un point immobile suivra la longitude selon l’axe passé-futur. Si l’objet se déplace, il subira toujours cet axe passé-futur, mais aura tendance à "s’éloigner" de ce méridien. Enfin, si cet objet se déplace à une vitesse maximale (lumière), alors on réalise qu’il tend à s’éloigner perpendiculairement de ce méridien temporel, c’est-à-dire qu’ici l’objet suivra un parallèle (latitude) et donnera l’impression de "fuir" la ligne du temps (il s'agit donc d'un temps imaginaire pur avec contraction de l’espace-temps, masse et énergie infinie. Autrement dit, pour cet hypothétique voyageur le temps physique semblerait s’arrêter).
On comprend le lien unissant vitesse et temps. Dès lors, en imaginant qu’un objet puisse se déplacer encore plus rapidement, sa trajectoire sur cette sphère imaginaire, décrirait un angle obtus, c’est-à-dire supérieur à 90°, ce qui se traduirait authentiquement par une remontée du temps physique.
Maintenant rien d'un point de vue physique n'empèche des chose de ce déplacé à "rebrousse temps" ... les antiparticule d'ailleur peuvent etre considéré comme des particules voyageant du futur vers le passé.
Il semble ici y avoir une confusion souvent effectuée. La dualité matière / antimatière d’une particule ne témoigne pas d’une inversion de la dimension temps puisqu’elle n’inverse pas le signe de la masse, mais seulement de sa charge. Or, dans son ouvrage Structure des Systèmes Dynamiques, le mathématicien J.M. Souriau (1972), montre la relation d’un mouvement à rebrousse temps avec une énergie et une masse négative. Ce qui paraît être une conséquence logique de la plus célèbre formule d’Einstein liant énergie, masse, et bien sûr, la vitesse de la lumière.
D’autre part, à partir du moment où, pour un objet, on sait qu’à l’approche de la vitesse limite de la lumière, il y a un "ralentissement du temps", une "contraction" de l’espace-temps et, surtout, une augmentation de sa masse, l’idée d’un mouvement à rebrousse temps peut en être logiquement déduite. D’ailleurs, le lien entre masse et énergie négative et mouvement à rebrousse temps vient régulièrement nourrir les nombreuses théories sur la physique des "trous de ver", "fontaines blanches" et autres concepts reliés à la physique énigmatique des corps si denses que rien n’empêche d’imaginer l’existence d’une inversion de masse en un point de l'espace (trou noir, voire étoile à neutrons extrêmement denses...)
Mais encore, le paradoxe des jumeaux de Langevin peut également être aisément expliqué par ce phénomène de vitesse limite, où le jumeau Statique semble avoir vieilli plus rapidement que le jumeau Voyageur se déplaçant à grande vitesse et effectuant un aller-retour (obligatoire pour revenir sur Terre) impliquant un nécessaire changement de référentiel. (Voir page Wikipedia sur le paradoxe de Langevin)
Il faut ainsi considérer l’Univers dans un minimum de quatre dimensions (et peut-être cinq avec cette histoire de charge particulaire) dont la dimension "temps" est constitutive. À partir de cette considération, et pour simplifier les choses, il est possible d’imaginer une réduction du tout à l’échelle d’une sphère sur laquelle il est nécessaire de connaître seulement deux coordonnées pour se situer (longitude / latitude). En considérant la coordonnée "temps" comme étant représentée sur la longitude et la coordonnée "espace" en latitude, on comprend qu’un point immobile suivra la longitude selon l’axe passé-futur. Si l’objet se déplace, il subira toujours cet axe passé-futur, mais aura tendance à "s’éloigner" de ce méridien. Enfin, si cet objet se déplace à une vitesse maximale (lumière), alors on réalise qu’il tend à s’éloigner perpendiculairement de ce méridien temporel, c’est-à-dire qu’ici l’objet suivra un parallèle (latitude) et donnera l’impression de "fuir" la ligne du temps (il s'agit donc d'un temps imaginaire pur avec contraction de l’espace-temps, masse et énergie infinie. Autrement dit, pour cet hypothétique voyageur le temps physique semblerait s’arrêter).
On comprend le lien unissant vitesse et temps. Dès lors, en imaginant qu’un objet puisse se déplacer encore plus rapidement, sa trajectoire sur cette sphère imaginaire, décrirait un angle obtus, c’est-à-dire supérieur à 90°, ce qui se traduirait authentiquement par une remontée du temps physique.
- Psyr
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Bonjour,
Ou et ? Nous vivons dans un monde physique et non mathématique ... il est question ici des conséquence physique d'une vitesse supérieur à la vitesse maximale de la relativité restreinte.
Je vois pas ce qu'une interprétation mathématique vient faire ici. On vit dans un monde physique, ce qui s'y passe est physique (jusqu'a preuve du contraire).
Non, non nul confusion ... juste que les anti-particules sont considéré comme les solution pour des énergie négative dans l'équationde Dirac ... et qu'une interprétation pour ces énergie (en l'occurence le produit E*t) serait qu'il s'agirait de particule d'énergie positive voyageant à "rebrousse temps".
Et ? Encore faudrait-il connaitre le mécanisme de génération de la masse pour se prononcé non ? En fait dans le cadre du mécanisme de Higgs un déplacement temporelle inversé n'a aucune raison d'entrainer une inversion du signe de la masse.
En outre la masse inertiel des anti-particule est connu ... il n'en est rien pour la masse gravitationelle ... ces deux grandeur sont égal (au incertitude de mesure prés) dans le cas des particules, mais on en sait rien dans le cas des antiparticule.
Donc même dans le cas d'un mécanisme de génération de masse à base de dimention suplémentaire, on pourrait tout à fait ce trouvé dans le cas ou les antiparticules sont des particule qui remonte le temps.
Ou pas ... j'attend des observable allant dans le sens de tes dire.
Pour l'augmentation de la masse ... il ya maintenant quelque temps que cette aproche à été mise au rancart ... on préfère généralement voir la dilation du temps comme du à la courbure provoqué sur l'espace temps par la quantité d'énergie de la particule (énergie de masse ou cinétique peut-importe).
L'idée d'un mouvement à rebrousse temps n'a rien de logique en l'occurence ... l'objet atteignant la vitesse limite "c" possède une énergie infinni (donc déjà il arrivera pas à atteindre rigoureusement c si il est massique) ... donc il ira pas plus vite et donc il ira pas à rebrousse temps ... je ne vois pas bien ou tu veut e venir.
L'explication de ce paradox n'a rien avoir avec la vitesse limite ... ce paradox était une tentative de contredire la relativité restreinte en montrant que tout les référentiel galileen n'était pas équivalent ... la réponse est bien sur la nessessité d'un changement de référentiel pour l'un des deux jumeaux ... sinon il ne se retrouveront jamais en un point de l'espace temps, pour que l'on puisse comparé le age.
Mais de toute façon l'équivalence de tout les référentiel galileen, c'est un peut moisi comme concept ... c'est pratique comme postulat, mais ça reste prouvé.
Merci, pour la partie, conjecture théorique gratuite, mais cela n'a rien de physique, il n'ya aucune observable à l'heure actuelle pour testé ce genre de théorie.
Et effectivement, la valeur de la norme du quadrivecteur vitesse (toujours c), tend à montré finalement que tout objet se déplace à la même vitesse ... mais avec des composante différente dans le temps et l'espace.
Non ça n'as rien de physique ... pour aller plus vite que "c", il te faudrait une énergie plus grande qu'infinni ... c'est un non-sens.
Explique comment dans ce cas tu veut pouvoir retourner la vitesse de déplacement dans le temps ... au mieux tu l'annulera.
Cordialement.
Oui c’est exact, on parle même d’un temps "imaginaire pur" ou encore "perpendiculaire" au nôtre, ce qui n’est pas qu’une simple image métaphorique. Le sens physique est à exclure, mais le sens mathématique reste tout à fait valable. C’est une simple question de référentiel qui peut être expliqué assez facilement à l’aide de schémas.
Ou et ? Nous vivons dans un monde physique et non mathématique ... il est question ici des conséquence physique d'une vitesse supérieur à la vitesse maximale de la relativité restreinte.
Je vois pas ce qu'une interprétation mathématique vient faire ici. On vit dans un monde physique, ce qui s'y passe est physique (jusqu'a preuve du contraire).
Il semble ici y avoir une confusion souvent effectuée.
Non, non nul confusion ... juste que les anti-particules sont considéré comme les solution pour des énergie négative dans l'équationde Dirac ... et qu'une interprétation pour ces énergie (en l'occurence le produit E*t) serait qu'il s'agirait de particule d'énergie positive voyageant à "rebrousse temps".
La dualité matière / antimatière d’une particule ne témoigne pas d’une inversion de la dimension temps puisqu’elle n’inverse pas le signe de la masse, mais seulement de sa charge.
Et ? Encore faudrait-il connaitre le mécanisme de génération de la masse pour se prononcé non ? En fait dans le cadre du mécanisme de Higgs un déplacement temporelle inversé n'a aucune raison d'entrainer une inversion du signe de la masse.
En outre la masse inertiel des anti-particule est connu ... il n'en est rien pour la masse gravitationelle ... ces deux grandeur sont égal (au incertitude de mesure prés) dans le cas des particules, mais on en sait rien dans le cas des antiparticule.
Donc même dans le cas d'un mécanisme de génération de masse à base de dimention suplémentaire, on pourrait tout à fait ce trouvé dans le cas ou les antiparticules sont des particule qui remonte le temps.
Ce qui paraît être une conséquence logique de la plus célèbre formule d’Einstein liant énergie, masse, et bien sûr, la vitesse de la lumière.
Ou pas ... j'attend des observable allant dans le sens de tes dire.
D’autre part, à partir du moment où, pour un objet, on sait qu’à l’approche de la vitesse limite de la lumière, il y a un "ralentissement du temps", une "contraction" de l’espace-temps et, surtout, une augmentation de sa masse, l’idée d’un mouvement à rebrousse temps peut en être logiquement déduite.
Pour l'augmentation de la masse ... il ya maintenant quelque temps que cette aproche à été mise au rancart ... on préfère généralement voir la dilation du temps comme du à la courbure provoqué sur l'espace temps par la quantité d'énergie de la particule (énergie de masse ou cinétique peut-importe).
L'idée d'un mouvement à rebrousse temps n'a rien de logique en l'occurence ... l'objet atteignant la vitesse limite "c" possède une énergie infinni (donc déjà il arrivera pas à atteindre rigoureusement c si il est massique) ... donc il ira pas plus vite et donc il ira pas à rebrousse temps ... je ne vois pas bien ou tu veut e venir.
Mais encore, le paradoxe des jumeaux de Langevin peut également être aisément expliqué par ce phénomène de vitesse limite, où le jumeau Statique semble avoir vieilli plus rapidement que le jumeau Voyageur se déplaçant à grande vitesse et effectuant un aller-retour (obligatoire pour revenir sur Terre) impliquant un nécessaire changement de référentiel. (Voir page Wikipedia sur le paradoxe de Langevin)
L'explication de ce paradox n'a rien avoir avec la vitesse limite ... ce paradox était une tentative de contredire la relativité restreinte en montrant que tout les référentiel galileen n'était pas équivalent ... la réponse est bien sur la nessessité d'un changement de référentiel pour l'un des deux jumeaux ... sinon il ne se retrouveront jamais en un point de l'espace temps, pour que l'on puisse comparé le age.
Mais de toute façon l'équivalence de tout les référentiel galileen, c'est un peut moisi comme concept ... c'est pratique comme postulat, mais ça reste prouvé.
Il faut ainsi considérer l’Univers dans un minimum de quatre dimensions (et peut-être cinq avec cette histoire de charge particulaire) dont la dimension "temps" est constitutive. À partir de cette considération, et pour simplifier les choses, il est possible d’imaginer une réduction du tout à l’échelle d’une sphère sur laquelle il est nécessaire de connaître seulement deux coordonnées pour se situer (longitude / latitude). En considérant la coordonnée "temps" comme étant représentée sur la longitude et la coordonnée "espace" en latitude, on comprend qu’un point immobile suivra la longitude selon l’axe passé-futur. Si l’objet se déplace, il subira toujours cet axe passé-futur, mais aura tendance à "s’éloigner" de ce méridien. Enfin, si cet objet se déplace à une vitesse maximale (lumière), alors on réalise qu’il tend à s’éloigner perpendiculairement de ce méridien temporel, c’est-à-dire qu’ici l’objet suivra un parallèle (latitude) et donnera l’impression de "fuir" la ligne du temps (il s'agit donc d'un temps imaginaire pur avec contraction de l’espace-temps, masse et énergie infinie. Autrement dit, pour cet hypothétique voyageur le temps physique semblerait s’arrêter).
Merci, pour la partie, conjecture théorique gratuite, mais cela n'a rien de physique, il n'ya aucune observable à l'heure actuelle pour testé ce genre de théorie.
Et effectivement, la valeur de la norme du quadrivecteur vitesse (toujours c), tend à montré finalement que tout objet se déplace à la même vitesse ... mais avec des composante différente dans le temps et l'espace.
On comprend le lien unissant vitesse et temps. Dès lors, en imaginant qu’un objet puisse se déplacer encore plus rapidement, sa trajectoire sur cette sphère imaginaire, décrirait un angle obtus, c’est-à-dire supérieur à 90°, ce qui se traduirait authentiquement par une remontée du temps physique.
Non ça n'as rien de physique ... pour aller plus vite que "c", il te faudrait une énergie plus grande qu'infinni ... c'est un non-sens.
Explique comment dans ce cas tu veut pouvoir retourner la vitesse de déplacement dans le temps ... au mieux tu l'annulera.
Cordialement.
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Psyr, merci pour ce développement assez précis et tout à fait crédible au vu des références théoriques auxquelles tu te réfères. Toutefois, et outre les difficultés d’ordre épistémologique (fausses distinctions entre Univers physique et Univers mathématique...) auxquelles nous sommes confrontés, il sera malheureusement impossible de trouver un terrain d’entente quant à la finalité de cette réflexion pour la simple et bonne raison que je ne me réfère absolument pas au même modèle théorique.
Je me réfère en effet à un modèle d’Univers 5D de type hypertore comme l’ont proposé certains physiciens (sur arXiv notamment on a un excellent article de J.P. Petit : http://arxiv.org/abs/0805.1423 ). Partant du postulat d’un Univers à cinq dimensions (espace + temps + charge particulaire ou "dimension dite de Kaluza") il ne peut rigoureusement pas exister de particules à énergie négative.
En restant sommaire, il suffit de signaler que lors d’une collision entre deux particules de matière et antimatière il n’y a pas "annihilation", c’est-à-dire annulation pure et simple, puisque l’énergie est conservée (photons). C’est un fait connu depuis longtemps en cosmologie, puisqu’on sait aujourd’hui, avec précision, que 10^-35 secondes après le Big Bang (pour les non matheux : 0,00000000000000000000000000000000001 s), la grande "bataille" particule-antiparticule nous a laissé comme lointain héritage le fameux fond diffus cosmologique qui n’incarne justement rien d’autre qu’un rayonnement fossile, c’est-à-dire l’expression ancestrale de photons de très basse énergie.
Par contre, et pour conclure, si deux particules d’énergie (et de masse) contraires venaient à se rencontrer, là effectivement il n’y aurait plus rien, plus d’espace-temps. Le malentendu se situe donc bel et bien ici.
Je me réfère en effet à un modèle d’Univers 5D de type hypertore comme l’ont proposé certains physiciens (sur arXiv notamment on a un excellent article de J.P. Petit : http://arxiv.org/abs/0805.1423 ). Partant du postulat d’un Univers à cinq dimensions (espace + temps + charge particulaire ou "dimension dite de Kaluza") il ne peut rigoureusement pas exister de particules à énergie négative.
En restant sommaire, il suffit de signaler que lors d’une collision entre deux particules de matière et antimatière il n’y a pas "annihilation", c’est-à-dire annulation pure et simple, puisque l’énergie est conservée (photons). C’est un fait connu depuis longtemps en cosmologie, puisqu’on sait aujourd’hui, avec précision, que 10^-35 secondes après le Big Bang (pour les non matheux : 0,00000000000000000000000000000000001 s), la grande "bataille" particule-antiparticule nous a laissé comme lointain héritage le fameux fond diffus cosmologique qui n’incarne justement rien d’autre qu’un rayonnement fossile, c’est-à-dire l’expression ancestrale de photons de très basse énergie.
Par contre, et pour conclure, si deux particules d’énergie (et de masse) contraires venaient à se rencontrer, là effectivement il n’y aurait plus rien, plus d’espace-temps. Le malentendu se situe donc bel et bien ici.
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Mais de toute façon l'équivalence de tout les référentiel galileen, c'est un peut moisi comme concept ... c'est pratique comme postulat, mais ça reste prouvé.
tout ce qu tu dis est juste mais t'y va fort là, "moisi"

"il faut se donner au départ un référentiel galiléen arbitrairement choisi". Faire "comme si" il s'agissait de l'espace absolu de Newton. Mais au lieu de se satisfaire de ce point de vue situé, il faut construire "le point de vue de nulle part", c'est-à-dire extraire l'invariant de tous les points de vue situés, dont chacun reflète un choix particulier du référentiel "pseudo-absolu" de départ. On peut alors créer la notion de "classe d'équivalence galiléenne" stipulant que deux référentiels sont équivalents au sens "galiléen" du terme si et seulement si leur mouvement relatif est rectiligne et uniforme. L'accélération devient alors une notion relative permettant de différencier ou de comparer les classes d'équivalence. Une théorie "relativiste" exigerait alors que les "lois de la physique" exprimées dans divers référentiels appartenant à une même classe puissent seulement différer par la valeur de la vitesse relative de ces référentiels. Et si elles étaient exprimées dans des référentiels appartenant à des classes différentes, elles ne pourraient différer que par la valeur de l'accélération relative entre les classes et les vitesses relatives entre les référentiels.
- Psyr
Re: Et si on dépassait la vitesse de la lumière?
Sinthome a écrit :Je me réfère en effet à un modèle d’Univers 5D de type hypertore comme l’ont proposé certains physiciens (sur arXiv notamment on a un excellent article de J.P. Petit : http://arxiv.org/abs/0805.1423 ). Partant du postulat d’un Univers à cinq dimensions (espace + temps + charge particulaire ou "dimension dite de Kaluza") il ne peut rigoureusement pas exister de particules à énergie négative.
Merci pour la condescendance, mais ce référé à JP petit on touche le fond.
En restant sommaire, il suffit de signaler que lors d’une collision entre deux particules de matière et antimatière il n’y a pas "annihilation", c’est-à-dire annulation pure et simple, puisque l’énergie est conservée (photons). C’est un fait connu depuis longtemps en cosmologie, puisqu’on sait aujourd’hui, avec précision, que 10^-35 secondes après le Big Bang (pour les non matheux : 0,00000000000000000000000000000000001 s), la grande "bataille" particule-antiparticule nous a laissé comme lointain héritage le fameux fond diffus cosmologique qui n’incarne justement rien d’autre qu’un rayonnement fossile, c’est-à-dire l’expression ancestrale de photons de très basse énergie.
Par contre, et pour conclure, si deux particules d’énergie (et de masse) contraires venaient à se rencontrer, là effectivement il n’y aurait plus rien, plus d’espace-temps. Le malentendu se situe donc bel et bien ici.
Explication foireuse qui enplus est fausse.
Justement dans l'interprétation de dirac quand 2 particule une d'énergie positive et une d'énergie négative (il n'est pas question de masse ici mais d'énergie) ce rencontre on se trouve dans le même cas qu'une reconbinaison d'une paire eletron trou dans un semi conducteur. Dans cette interprétation les anti-particule sont des "trou" dans un "océan" d'énergie est le particule sont des "goute" au dessus de cet "océan" (le haut de l'océan (qui serait infinniment profond) étant considéré comme le niveau d'énergie 0 de l'univers).
En fait dans le cas d'une rencontre particule + anti-particule il ya reconbinaison donc l'anergie n'est pas détruite mais au final on rend bien l'énergie de masse plus les énergie cinétique incidente, généralement sous forme de photons.
PS : le fond diffus cosmologique na pas grand chose à voir avec l'anihilation matière/antimatière, il à été émit 380 000 ans aprés le big bang suite au découplage baryon/photon.
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