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Le cas Marius Dewilde
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Le cas Marius Dewilde
Le cas Marius Dewilde reste sans l'ombre d'un doute celui qui a provoqué le plus d'émoi dans la presse au moment des faits, à la fin de l'été 1954.
Il a été le point de départ de ce qui allait devenir la plus grande vague connue à ce jour de soucoupes volantes en France - véritable déclencheur de centaines de témoignages durant tout l'automne 1954, dont l'impact médiatique reste sans précédent. Par ailleurs, les contacts qui ont suivis avec les occupants de ces drôles de machines sont venus apporter des éléments qui méritaient une analyse plus attentive.
Cette affaire peut donc être fort logiquement présentée comme un maillon essentiel dans la quête de la compréhension du phénomène OVNI puisqu'elle a joué un rôle déterminant dans la séquence martienne des années 50.
A la lumière des éléments recueillis à cette époque encore présente dans les esprits, essayons maintenant de réfléchir plus longuement, avec le recul qui s'impose, aux répercussions d'une manifestation de ce type sur l'individu.
Nous sommes le Vendredi 10 septembre 1954, il est environ 22h30. Marius Dewilde habite une petite maison de garde barrière à Quarouble, dans le nord de la France. Homme simple, ouvrier métallurgiste, il lit le journal du jour quand soudain, Kiki, le chien, se met à aboyer d'une façon anormale depuis sa niche.
" Qu' est-ce qu' il lui prend ? " demande sa femme assise devant le poste de télévision.
" Je n'en sais rien, je vais aller voir " répond Marius. Il pose son journal et sort de la maison. Dehors, la nuit est sombre.
Il dirige donc sa torche électrique vers Kiki, littéralement terrorisé, levant le museau vers le ciel pour " hurler à la mort ".
" Tais-toi " lui dit Marius, Kiki obéît, mais en gémissant, comme s'il souffrait.
Marius observe ensuite les alentours en balayant avec sa lampe torche: rien de particulier ! Il se dirige alors vers la droite de la maison qui est entourée d'une palissade de 1m20 de hauteur, construite par Marius lui-même pour empêcher les enfants et le chien d'aller traîner sur la voie ferrée.
En arrivant près de la barrière, il éteint la torche et satisfait un besoin naturel. C'est alors qu'il aperçoit, sur sa gauche, une masse sombre posée sur les rails, à environ six ou sept mètres de lui.
" Instinctivement, j'ai d'abord pensé à un wagon mais, rapidement, j'ai compris qu'il ne pouvait pas s'agir de quoi que ce soit de ferroviaire. J'ai ensuite entendu brusquement derrière moi, près de la maison des bruits de pas. Le chien s'est alors mis à s'exciter à nouveau, tirant sur sa chaîne et s'agitant dans tous les sens.
J'ai distingué des ombres qui avançaient vers moi, pensant à des contrebandiers ou à des gamins voleurs de poules - du fait de leur petite taille et de leur envie de fuir.
D'un bond, je leur barre le chemin et braque vers eux le faisceau lumineux de ma torche jusqu'alors éteinte. Stupéfaction ! La lumière se réfléchit sur leur tête comme du verre.
Ils sont vêtus d'une sorte de combinaison sombre qui semble être de la matière très souple. Ma première idée était d'en capturer un.
On dirait alors que cette pensée agressive (probablement captée) déclenche un rayon de lumière qui jaillit de la masse sombre posée sur les rails. Ce rayon m'enveloppe en me paralysant de la tête aux pieds. Je voudrais crier, bouger : impossible. Seul mon cerveau fonctionne d'une manière on ne peut plus lucide. Je ressens des picotements dans tout le corps tandis que je vois et entends parfaitement.
Ils marchent sur la dalle de ciment, franchissent la porte de la palissade, se fondent dans la nuit, rejoignent la masse sombre posée sur la voie. Un bruit de porte a glissière me parvient et, bientôt, un sifflement qui s'intensifie. Je perçois un souffle tiède, très agréable à respirer, comme l'odeur des foins fraîchement coupés.
Le rayon lumineux disparaît et je retrouve, instantanément, l'usage de mes membres. Je vois alors l'engin - toujours une masse sombre - qui monte dans le ciel : peut-être à la verticale, à trente ou quarante mètres. L'engin s'illumine peu a peu, devient fluorescent, orange, presque rouge. C'est fini. Il a disparu ...
Je n'ai pas trouvé de topic sur ce cas emblématique, je mets donc à disposition ce début de récit, complété par les 3 liens, sur cette affaire, l'une des principale de la vague de 1954.
http://ufologie.net/1954/10sep1954quaroublef.htm
http://www.rr0.org/Dossier/1954-09-10_Quarouble/index.html
http://www.ovni007.com/id85.html
Il a été le point de départ de ce qui allait devenir la plus grande vague connue à ce jour de soucoupes volantes en France - véritable déclencheur de centaines de témoignages durant tout l'automne 1954, dont l'impact médiatique reste sans précédent. Par ailleurs, les contacts qui ont suivis avec les occupants de ces drôles de machines sont venus apporter des éléments qui méritaient une analyse plus attentive.
Cette affaire peut donc être fort logiquement présentée comme un maillon essentiel dans la quête de la compréhension du phénomène OVNI puisqu'elle a joué un rôle déterminant dans la séquence martienne des années 50.
A la lumière des éléments recueillis à cette époque encore présente dans les esprits, essayons maintenant de réfléchir plus longuement, avec le recul qui s'impose, aux répercussions d'une manifestation de ce type sur l'individu.
Nous sommes le Vendredi 10 septembre 1954, il est environ 22h30. Marius Dewilde habite une petite maison de garde barrière à Quarouble, dans le nord de la France. Homme simple, ouvrier métallurgiste, il lit le journal du jour quand soudain, Kiki, le chien, se met à aboyer d'une façon anormale depuis sa niche.
" Qu' est-ce qu' il lui prend ? " demande sa femme assise devant le poste de télévision.
" Je n'en sais rien, je vais aller voir " répond Marius. Il pose son journal et sort de la maison. Dehors, la nuit est sombre.
Il dirige donc sa torche électrique vers Kiki, littéralement terrorisé, levant le museau vers le ciel pour " hurler à la mort ".
" Tais-toi " lui dit Marius, Kiki obéît, mais en gémissant, comme s'il souffrait.
Marius observe ensuite les alentours en balayant avec sa lampe torche: rien de particulier ! Il se dirige alors vers la droite de la maison qui est entourée d'une palissade de 1m20 de hauteur, construite par Marius lui-même pour empêcher les enfants et le chien d'aller traîner sur la voie ferrée.
En arrivant près de la barrière, il éteint la torche et satisfait un besoin naturel. C'est alors qu'il aperçoit, sur sa gauche, une masse sombre posée sur les rails, à environ six ou sept mètres de lui.
" Instinctivement, j'ai d'abord pensé à un wagon mais, rapidement, j'ai compris qu'il ne pouvait pas s'agir de quoi que ce soit de ferroviaire. J'ai ensuite entendu brusquement derrière moi, près de la maison des bruits de pas. Le chien s'est alors mis à s'exciter à nouveau, tirant sur sa chaîne et s'agitant dans tous les sens.
J'ai distingué des ombres qui avançaient vers moi, pensant à des contrebandiers ou à des gamins voleurs de poules - du fait de leur petite taille et de leur envie de fuir.
D'un bond, je leur barre le chemin et braque vers eux le faisceau lumineux de ma torche jusqu'alors éteinte. Stupéfaction ! La lumière se réfléchit sur leur tête comme du verre.
Ils sont vêtus d'une sorte de combinaison sombre qui semble être de la matière très souple. Ma première idée était d'en capturer un.
On dirait alors que cette pensée agressive (probablement captée) déclenche un rayon de lumière qui jaillit de la masse sombre posée sur les rails. Ce rayon m'enveloppe en me paralysant de la tête aux pieds. Je voudrais crier, bouger : impossible. Seul mon cerveau fonctionne d'une manière on ne peut plus lucide. Je ressens des picotements dans tout le corps tandis que je vois et entends parfaitement.
Ils marchent sur la dalle de ciment, franchissent la porte de la palissade, se fondent dans la nuit, rejoignent la masse sombre posée sur la voie. Un bruit de porte a glissière me parvient et, bientôt, un sifflement qui s'intensifie. Je perçois un souffle tiède, très agréable à respirer, comme l'odeur des foins fraîchement coupés.
Le rayon lumineux disparaît et je retrouve, instantanément, l'usage de mes membres. Je vois alors l'engin - toujours une masse sombre - qui monte dans le ciel : peut-être à la verticale, à trente ou quarante mètres. L'engin s'illumine peu a peu, devient fluorescent, orange, presque rouge. C'est fini. Il a disparu ...
Je n'ai pas trouvé de topic sur ce cas emblématique, je mets donc à disposition ce début de récit, complété par les 3 liens, sur cette affaire, l'une des principale de la vague de 1954.

http://ufologie.net/1954/10sep1954quaroublef.htm
http://www.rr0.org/Dossier/1954-09-10_Quarouble/index.html
http://www.ovni007.com/id85.html
"La vérité appartient à ceux qui la cherchent et non point à ceux qui prétendent la détenir."
Condorcet
Condorcet
- Axelgrievous
- Message(s) : 41
- Inscription : Lun Avril 30, 2007 15:26
A sa me fais penser au sujet de l'émission de France3 sur les OVNI!!
Mais bon je met pas en doute la parole de cet homme mais des expertises ont été faites et on rien révélées...Juste des traces de brûler sur le sol à l'endroit de l'objet
mais je peut me tromper de sujet!!!

Mais bon je met pas en doute la parole de cet homme mais des expertises ont été faites et on rien révélées...Juste des traces de brûler sur le sol à l'endroit de l'objet

Rien.......Heu faut faire du sport
- PILOUFACE
-
- Message(s) : 2083
- Inscription : Mar Juin 07, 2005 13:18
- Localisation : ici ou ailleurs, qu'importe?
Merci Napoléon pour ce récit passionnant et on ne peut plus complet (on peut carrément parler de dossier d'ailleurs).
J'ai du mal d'après la lecture à trouver une explication rationnelle (pour autant que monsieur Dewilde soit sincère). J'attends avec impatience la réaction d'autres membres.
J'ai du mal d'après la lecture à trouver une explication rationnelle (pour autant que monsieur Dewilde soit sincère). J'attends avec impatience la réaction d'autres membres.
"Horum omnium fortissimi sunt Belgae"
Jules César.
Jules César.
- Saint Eloi
-
- Message(s) : 902
- Inscription : Jeu Septembre 02, 2004 18:44
- Localisation : Rouen
Il faudrait que je retrouve mes sources, mais suite à certaines lectures sur le sujet, il me semble que le rayon paralysant est fréquemment évoqué. Et en général il ne provient pas de l'appareil, mais d'un stylet porté à la main par un des aliens. Et ceci à travers le monde.
" Qu' est-ce qu' il lui prend ? " demande sa femme assise devant le poste de télévision
l(es récits signalent plutot que sa femme dormait..d'autant que la télévision en 1954, chez un ouvrier, et diffusant à 22h30.....mais simple deformation des infos je pense..)
Cortex aurait peut-être plus d'éléments sur ces affaires des années 50 françaises ? en tout cas, il est interessant de signaler l'aspect très "SF populaire" des engins et des personnages. Le rayon, les tenues..
adaptation du récit ou de ce que le protagoniste principal à vu à ce que les journeaux de l'époque évoquaient lorsqu'ils parlaient de science, de fusées ?
Je ne sais pas si Dieu existe, mais si il existe, j'espère qu'il a une bonne excuse. (W.Allen)
- Randolph Carter
-
- Message(s) : 1912
- Inscription : Sam Septembre 11, 2004 17:34
- Localisation : Ulthar
Oui, je connais cette histoire. Si mes souvenirs sont bons, ce gardien, chargé de lever et abaisser la barrière afin de laisser passer les voitures par la voie ferrée, a eu des problèmes par la suite. Je crois qu'il a été licencié ou muté, je ne sais plus, mais disons que ce récit sensationnel lui réussit beaucoup moins bien qu'à un Kenneth Arnold...
Comme quoi, les récits de ET ne rapportent pas toujours leurs gains aux témoins. Ceci dit, ce qui frappa les experts de l'époque ce fut la sincérité de ce monsieur, pas menteur pour un sous. Mais bon, il avait choisi la franchise et la vérité, on a préféré lui renvoyer la suspicion, dommage, car il y avait en plus des traces, paraît-il...
Finalement, il vaudrait peut-être mieux n'être qu'une belle Venusienne à peau bleue qui accepte les cartes bleues !!!

Comme quoi, les récits de ET ne rapportent pas toujours leurs gains aux témoins. Ceci dit, ce qui frappa les experts de l'époque ce fut la sincérité de ce monsieur, pas menteur pour un sous. Mais bon, il avait choisi la franchise et la vérité, on a préféré lui renvoyer la suspicion, dommage, car il y avait en plus des traces, paraît-il...
Finalement, il vaudrait peut-être mieux n'être qu'une belle Venusienne à peau bleue qui accepte les cartes bleues !!!

Kira se porte très bien, foutez lui la paix, Jen, quant à lui, est devenu sculpteur de créatures intempestives...
Tout cela est bien étrange, surtout en ce qui concerne le comportement du témoin.
En consultant attentivement les liens, d'abord, j'étais prêt à y croire, surtout le fait que le témoin parle de scaphandres, ce qui me paraît normal, lorsque l'on veut se protéger d'une atmosphère et surtout des germes qui pourraient s'y trouver.
Mais en suivant les liens, on s'aperçoit qu'au fil du temps, le récit et la description des faits, " aéronef " et êtres étranges s'enjolivent, se modernisent pour en arriver à ne plus ressembler au reportage filmé à " chaud ".
Les petits êtres, ressemblants à des tonneaux sur pattes, se transforment en humanoïdes proportionnés avec des bras. La Charrette à foin est un aéronef, pour ne pas dire une soucoupe volante de 30 tonnes. Où l'on s'étonne que l'on puise confondre une machine de 30 tonnes et une charrette à foin, qui plus est, en stationnement sur une voie de chemin de fer. Ce qui donne une indication, les " visiteurs " ne connaissent pas le transport par rail, très répandu sur la planète Terre.
Le téléphone aux batteries à plat, la lampe de poche aussi, mais apparemment la télé à continué à fonctionner sans le moindre problème, puisque l'épouse regardait une émission, alors que l'atterrissage avait déjà eu lieu.
Je n'écarte pas la possibilité que tout cela soit authentique, mais, la lecture des liens, me laisse sceptique.
En consultant attentivement les liens, d'abord, j'étais prêt à y croire, surtout le fait que le témoin parle de scaphandres, ce qui me paraît normal, lorsque l'on veut se protéger d'une atmosphère et surtout des germes qui pourraient s'y trouver.
Mais en suivant les liens, on s'aperçoit qu'au fil du temps, le récit et la description des faits, " aéronef " et êtres étranges s'enjolivent, se modernisent pour en arriver à ne plus ressembler au reportage filmé à " chaud ".
Les petits êtres, ressemblants à des tonneaux sur pattes, se transforment en humanoïdes proportionnés avec des bras. La Charrette à foin est un aéronef, pour ne pas dire une soucoupe volante de 30 tonnes. Où l'on s'étonne que l'on puise confondre une machine de 30 tonnes et une charrette à foin, qui plus est, en stationnement sur une voie de chemin de fer. Ce qui donne une indication, les " visiteurs " ne connaissent pas le transport par rail, très répandu sur la planète Terre.
Le téléphone aux batteries à plat, la lampe de poche aussi, mais apparemment la télé à continué à fonctionner sans le moindre problème, puisque l'épouse regardait une émission, alors que l'atterrissage avait déjà eu lieu.
Je n'écarte pas la possibilité que tout cela soit authentique, mais, la lecture des liens, me laisse sceptique.
- Randolph Carter
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- Message(s) : 1912
- Inscription : Sam Septembre 11, 2004 17:34
- Localisation : Ulthar
Bah, faut bien s'adapter à la demande...
Mais est-ce vraiment l'oeuvre du témoin principal ou d'un aménagement du style journalistique, victime peut-être lui aussi de l'évolution fashion ???

Mais est-ce vraiment l'oeuvre du témoin principal ou d'un aménagement du style journalistique, victime peut-être lui aussi de l'évolution fashion ???

Kira se porte très bien, foutez lui la paix, Jen, quant à lui, est devenu sculpteur de créatures intempestives...
- Randolph Carter
-
- Message(s) : 1912
- Inscription : Sam Septembre 11, 2004 17:34
- Localisation : Ulthar
Oui, mieux vaut ne pas trop se hâter en jugements, à sa place, on aurait peut-être également beaucoup morflé. Tout ça pour une envie pressante, quand même... 

Kira se porte très bien, foutez lui la paix, Jen, quant à lui, est devenu sculpteur de créatures intempestives...
Pour ce qu'il ne le savent pas, Claude Burkel avait interviewé Marius il y a une dizaine d'années (interview parue également dans le magazine n°17 de Top secret), peu avant sa mort. Voici un lien avec ce qu'il s'était dit:
http://tyron29.oldiblog.com/?page=articles&rub=191740
(en bas de page)
http://tyron29.oldiblog.com/?page=articles&rub=191740
(en bas de page)
"La vérité appartient à ceux qui la cherchent et non point à ceux qui prétendent la détenir."
Condorcet
Condorcet
- Axelgrievous
- Message(s) : 41
- Inscription : Lun Avril 30, 2007 15:26


C'est quand même la base de la vague OVNI des années 50.[/url]
Rien.......Heu faut faire du sport
Bonjour à tous,
Je n'ai pas oublié le forum mais j'étais en vacances quelques jours où j'ai eu le grand plaisir de rencontrer Nemrod34
Je vais lire correctement ce sujet puisque j'ai eu la chance de rencontrer le sieur Dewilde ainsi que RL Mary qui a écrit "Ne ressistez pas aux ET" avec le témoin. Il y a beaucoup à dire et...à savoir...
A bientôt
Patrice
Je n'ai pas oublié le forum mais j'étais en vacances quelques jours où j'ai eu le grand plaisir de rencontrer Nemrod34

Je vais lire correctement ce sujet puisque j'ai eu la chance de rencontrer le sieur Dewilde ainsi que RL Mary qui a écrit "Ne ressistez pas aux ET" avec le témoin. Il y a beaucoup à dire et...à savoir...

A bientôt
Patrice
Je suis tellement sceptique que je doute même de moi 

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