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Kabbale et gématrie
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- Invité
Kabbale et gématrie
par Invité » Mar Septembre 14, 2004 14:09
je suis tombé sur ce site par hasard : http://gematrie.online.fr/666.htm
et j'aimerais avoir vos avis sur le sujet, car il est vrai que c'est assez troublant, mais en même temps je suis assez mefiant, car a la fin il demande une adhesion a la "KABBALE", qu'est ce que cette chose ?
si quelqu'un peut nous eclairer sur le sujet d'avance merçi.
et j'aimerais avoir vos avis sur le sujet, car il est vrai que c'est assez troublant, mais en même temps je suis assez mefiant, car a la fin il demande une adhesion a la "KABBALE", qu'est ce que cette chose ?
si quelqu'un peut nous eclairer sur le sujet d'avance merçi.
par DRAGON » Mar Septembre 14, 2004 14:59
La kabbale ou qabbale est un texte attribué pour la plus grande partie au rabbin Shimon Bar Yochai au IIe siècle. Elle a connu un grand essor après la publication du Zohar (ou « livre de la splendeur ») par Moïse de Léon en 1286. Il s'agit d'une compilation de textes en araméen transmis par la tradition orale.
Outre des prophéties messianiques, elle peut se définir comme un ensemble de spéculations métaphysiques sur Dieu, l'homme et l'univers, qui prend racine dans les traditions ésotériques du judaïsme. Cependant, cette définition académique ne rend pas bien compte de l'universalité de la Kabbale et de la richesse des thèmes qu'elle aborde.
Le thème du kabbalisme a été repris par nombre de nouveaux mouvements religieux, dont le centre de la Kabbale qui connaît actuellement une certaine notoriété
La Kabbale est un ensemble de spéculations métaphysiques sur Dieu, l'homme et l'univers, qui prend racine dans les traditions ésotériques juives. La kabbale propose des réponses aux questions essentielles concernant l'origine de l'univers, le rôle de l'homme et son devenir.
Le mot Kabbale vient de l'hébreu (qabalah) qui signifie "tradition" ou encore "reçu par tradition". Ce mot est construit à partir de la racine (qabel) qui signifie "recevoir".
Je pense qu'il faut être vigilant, car des sectes ont repris le principe à leur profit, mais n'ont plus rien à voir avec le principe fondamental.
Outre des prophéties messianiques, elle peut se définir comme un ensemble de spéculations métaphysiques sur Dieu, l'homme et l'univers, qui prend racine dans les traditions ésotériques du judaïsme. Cependant, cette définition académique ne rend pas bien compte de l'universalité de la Kabbale et de la richesse des thèmes qu'elle aborde.
Le thème du kabbalisme a été repris par nombre de nouveaux mouvements religieux, dont le centre de la Kabbale qui connaît actuellement une certaine notoriété
La Kabbale est un ensemble de spéculations métaphysiques sur Dieu, l'homme et l'univers, qui prend racine dans les traditions ésotériques juives. La kabbale propose des réponses aux questions essentielles concernant l'origine de l'univers, le rôle de l'homme et son devenir.
Le mot Kabbale vient de l'hébreu (qabalah) qui signifie "tradition" ou encore "reçu par tradition". Ce mot est construit à partir de la racine (qabel) qui signifie "recevoir".
Je pense qu'il faut être vigilant, car des sectes ont repris le principe à leur profit, mais n'ont plus rien à voir avec le principe fondamental.
par DRAGON » Mar Septembre 14, 2004 23:52
La gématrie est l'association de chiffres aux lettres de textes religieux ou de n'importe quel mot. Le but de la gématrie étant de donner un nouveau sens au texte, ou d'en définir le sens caché
La gématrie (ou guématrie) est l'une des trois méthodes de lecture des textes sacrés rédigés en hébreu. Elle permet de rapprocher des mots dont la somme des lettres qui les composent est identique. Ce procédé est possible car, en hébreu, il n'existe pas de chiffres et chaque lettre de l'alphabet est associée à un nombre. On distingue trois façons d'associer une valeur à une lettre :
- la gématrie par rang : chaque lettre a la valeur du rang qu'elle occupe (aleph vaut 1, vav vaut 6, ...)
- la gématrie classique : même principe que la gématrie par rang jusqu'à la dixième lettre, les lettres qui suivent valent 20, 30, etc (beth vaut 2, lamed vaut 30, shin vaut 300, ...)
- la gématrie carrée : chaque lettre vaut le nombre donné par la gématrie classique mais élevé au carré (beth vaut 4, yod vaut 100, ...)
Certaines lettres ont deux valeurs suivant qu'elles se situent à l'intérieur d'un mot ou à la fin de celui-ci. Parfois la valeur d'une lettre finale n'est pas prise en compte, on utilise alors sa valeur normale.
C'est un outil pour relativiser la façon dont on perçoit la signification d'un texte. Les dérives de la gématrie sont hélas fort nombreuses : elle est assénée comme "preuve irréfutable" de théories farfelues, elle est utilisée avec n'importe quelle langue alors que, il faut le rappeler, elle est directement liée aux particularités de l'hébreu.
Encore une fois, sortie de son contexte original, il convient de rester vigilant envers cette pratique.
La gématrie (ou guématrie) est l'une des trois méthodes de lecture des textes sacrés rédigés en hébreu. Elle permet de rapprocher des mots dont la somme des lettres qui les composent est identique. Ce procédé est possible car, en hébreu, il n'existe pas de chiffres et chaque lettre de l'alphabet est associée à un nombre. On distingue trois façons d'associer une valeur à une lettre :
- la gématrie par rang : chaque lettre a la valeur du rang qu'elle occupe (aleph vaut 1, vav vaut 6, ...)
- la gématrie classique : même principe que la gématrie par rang jusqu'à la dixième lettre, les lettres qui suivent valent 20, 30, etc (beth vaut 2, lamed vaut 30, shin vaut 300, ...)
- la gématrie carrée : chaque lettre vaut le nombre donné par la gématrie classique mais élevé au carré (beth vaut 4, yod vaut 100, ...)
Certaines lettres ont deux valeurs suivant qu'elles se situent à l'intérieur d'un mot ou à la fin de celui-ci. Parfois la valeur d'une lettre finale n'est pas prise en compte, on utilise alors sa valeur normale.
C'est un outil pour relativiser la façon dont on perçoit la signification d'un texte. Les dérives de la gématrie sont hélas fort nombreuses : elle est assénée comme "preuve irréfutable" de théories farfelues, elle est utilisée avec n'importe quelle langue alors que, il faut le rappeler, elle est directement liée aux particularités de l'hébreu.
Encore une fois, sortie de son contexte original, il convient de rester vigilant envers cette pratique.
par DRAGON » Jeu Septembre 16, 2004 16:25
Gématrie est un mot d'origine grecque, il s'agit de l'altération de guéômétria, géométrie. Voilà pour la précision, néanmoins des groupes obscurs ont repris cette pratique à leur compte, comme dans tous les domaines il y a des déviances.
- Lilys4
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- Message(s) : 60
- Inscription : Jeu Décembre 01, 2005 03:46
- Localisation : Montréal, Québec
Re: Kabbale et gématrie
par Lilys4 » Ven Décembre 02, 2005 04:05
Anonymous a écrit :je suis tombé sur ce site par hasard : http://gematrie.online.fr/666.htm
et j'aimerais avoir vos avis sur le sujet, car il est vrai que c'est assez troublant, mais en même temps je suis assez mefiant, car a la fin il demande une adhesion a la "KABBALE", qu'est ce que cette chose ?
si quelqu'un peut nous eclairer sur le sujet d'avance merçi.
La Kabbale c'est ce que j'appelle la secte des artistes, c'est une secte comme toutes les autres finalement (à but lucratif), il faut que tu te procures le fameux bracelet rouge, de l'eau bénite je ne sais pas où et puis d'autres trucs pas donnés, j'ai été décue quand j'ai vu que ma chanteuse préférée a adhéré à la Kabbale (Kabbala en anglais)
- strighnave
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- Message(s) : 1474
- Inscription : Mer Octobre 26, 2005 16:46
par strighnave » Ven Décembre 02, 2005 10:19
La gématrie permet des coïncidences étonnantes.
Par exemple :
Emblemes, envies, trahir, jésus, fantome, lucifer, guerre, crucifié, mediter, tombes.
Tous ces mots en gématrie donnent le nombre 666.
Et les exemples sont nombreux, comme les dérives inhérentes à ce genre de pratique.
Tout est une question d'interprétation de ce que l'on trouve.
Par exemple :
Emblemes, envies, trahir, jésus, fantome, lucifer, guerre, crucifié, mediter, tombes.
Tous ces mots en gématrie donnent le nombre 666.
Et les exemples sont nombreux, comme les dérives inhérentes à ce genre de pratique.
Tout est une question d'interprétation de ce que l'on trouve.
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