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Biefeld-Brown et ARDA : une reponse à nos Ovnis ?

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Biefeld-Brown et ARDA : une reponse à nos Ovnis ?

Message par Chevalier Baran » Mar Décembre 28, 2004 03:29

Salut à tous.

Pour tous ceux qui connaissent le projet ARDA j'aimerai savoir ce qu'ils en pensent ;je trouve ces inventions fabuleuses, et je suis sûr que l'homme y est allé plus loin que ce que l'on nous montre.
Imaginez que quelqu'un ait enfin réussi a incorporé une source d'énergie énorme dans un de ces fameux lifters.Cette nouvelle physique et dynamique des objets ne vous heurte-t-elle pas quand on pense a ce que l'on sait sur la plupart des ovnis ?

J'attends vos réactions.

Sir Baran.
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Message par Sycron » Mar Décembre 28, 2004 10:50

Salut a toi ^^

Pourrais-tu nous éclairer sur ce projet ARDA dont tu nous as parlé ?

Au plan technologique,c'est quasi certain que des inventions révolutionnaires sont à l'étude, ou sont déjà créée, mais pas dévoilé au grand public, je pense surtout aux technologies militaires si on arrivait à les pomper sur les OVNI :(

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Message par DRAGON » Mar Décembre 28, 2004 12:55

Liens d'information :

- ARDA Mk3.

- Lifter.

- L’EFFET BIEFELD-BROWN.

Le phénomène, étant connu comme l’effet Biefeld-Brown, a été découvert en 1921 par Thomas Townsend Brown. Il travaillait alors sur une expérience portant sur les tubes à rayons X. Le jeune chercheur de 16 ans eut l’idée de monter son tube en équilibre instable et de lui appliquer une forte tension électrique de l’ordre des 10 000 volts. Le tube eut un léger sursaut, un peu comme s’il essayait de décoller. Mr. Brown consacra ensuite toute son existence à ce principe qu’il venait de découvrir. En 1923, l’effet a été examiné pour la première fois en détail par lui et le physicien Dr. Paul Alfred Biefeld, professeur à l’université de Denison dans l’Ohio. Selon ce nouveau principe, un condensateur électrique chargé et déchargé de façon alternative a tendance à se soulever dans la direction de son pôle positif. Cet effet est clairement décrit dans le brevet
N° 2 949 550 de Thomas Townsend Brown. Celui-ci présente un appareil utilisant une énergie électrocinétique : « L'invention utilise un phénomène électrocinétique jusqu'ici inconnu que j’ai découvert; à savoir, quand une paire d'électrodes de forme appropriée sont tenues dans une relation fixe, espacée entre eux et immergées dans un milieu diélectrique et puis chargées de manière opposée à un degré approprié, une force est produite tendant à déplacer la paire d'électrodes à travers son milieu. » Très longtemps, le silence a été maintenu au sujet de l’effet Biefeld-Brown. Bien des scientifiques ont pris plus ou moins le temps de comprendre cet effet, n’ayant pas les moyens d’apporter une réponse claire sur la source de ce phénomène. De plus, en 1953, Thomas Townsend Brown fit une démonstration si spectaculaire que les résultats furent immédiatement classés « top secret » par la Marine Américaine! Pour ce qui est du Dr. Paul Alfred Biefeld, le mystère est d’autant plus grand, car les maigres informations à son sujet proviennent davantage plus du mythe que de la réalité. Nous savons pour sûr que le Dr. Paul Alfred Biefeld est astronome et physicien à l'institut de la Californie où il est professeur en études avancées. Il avait noté qu'un condensateur électrique fortement chargé se déplaçait vers son pôle positif. En 1921, il a invité son étudiant T.T. Brown à étudier l'effet comme projet de recherche. Biefeld est allé à l'école avec Albert Einstein, et ils sont restés amis. Pour ce qui suit, l’incertitude la plus grande règne, car il aurait eu soi-disant la chance de connaître Nikola Tesla. Certains disent que Biefeld était l'un des premiers hommes du gouvernement à arriver à l'emplacement de l'accident de Roswell , d'autres affirment qu’il a été impliqué dans l'expérience de Philadelphie . Cela prouve efficacement le manque d’information sur cet homme. On nous a caché des informations scientifiques importantes, et dans quel but ? Alors, je pose la question : « Avons-nous le droit de limiter les avancées technologiques en censurant et en désinformant au nom d’une pseudo démocratie qui se dit prendre la meilleure décision pour son peuple? » Ces longues années de silence n’ont pourtant rien rapporté aux États-Unis.

En juin 2001, la société Transdimensional Technologies présenta le Lifter 1 et le Lifter 2. Ces machines sont capables de soulever leur propre poids et sont une adaptation récente du système de propulsion électrocinétique de Townsend Brown breveté en 1960. Le Lifter est un petit appareil facile à construire, il requière seulement un montage triangulaire en bois léger, une bande d’aluminium à la base et un fils de cuivre qui fait le tour du triangle à son plus haut point. Vous branchez une tension d’au delà de 20 kV. L’électrode positive est le fils de cuivre et l’électrode négative est la bande d’aluminium. Jusqu’à ce jour, il y a plus de 271 lifter construit à travers le monde. - Auteur : Inconnu.

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Merci Dragon

Message par Chevalier Baran » Mar Décembre 28, 2004 13:07

Merci Dragon tout est dit pour ceux qui ne connaissent pas cette technologie découverte en 1921

Je rajoute quand même un lien pour que tout soit complet.

http://jlnlabs.imars.com/lifters/index.htm

Voilà ce site vous montre un peu l'étendue "actuelle" d'ARDA, j'attends vos réactions.
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Message par fujoubou » Mar Décembre 28, 2004 20:41

Mmmmm très très très très... intéressant. Quelle bonne idée aussi.

Je crois que je vais le tester dans les jours à suivre.

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tester?

Message par Chevalier Baran » Jeu Décembre 30, 2004 00:31

Fujoubou ça paraît simple à réaliser mais crois-moi il faut du matos quand même lol. Rien que pour trouver l'électricité de cette puissance c'est tendu. Cela dit si tu essayes tiens nous au courant.
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Message par DRAGON » Jeu Décembre 30, 2004 13:55

Pour en fabriquer un tout petit et le faire "voler", tu dois lui appliquer une tension de plus de 30.000 volts, tu peux la créer à partir de la HT d'un moniteur d'ordinateur, (pas celui que tu utilises actuellement de préférence :wink: ).

Voici un lien sérieux ou tu pourra t'informer sur le principe et le lifter : La révolution de la propulsion électrocinétique

fujoubou, soit très prudent avec cette chose, il s'agit de haute tension et la plus grande attention est de mise. Je te conseille de très bien te documenter si tu veux passer à la pratique.

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Message par ObiWanSpaceKiller » Mer Juillet 13, 2005 19:18

Voici quelqu'un qui essaie de recréer l'effet Biefeld-brown chez lui :

http://ataraxie.free.fr/Lifter/Lifter.htm

C'est très intéressant, il faudrait que je me procure le seul et unique bouquin sur le sujet, mais est-ce possible de pouvoir utiliser cette science pour des prototypes d'avions ?

Plus abordable scientifiquement que l'anti-gravité sans doute ? :?

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Message par DarkSide » Mer Juillet 13, 2005 20:49

Il n'y a aucun rapport entre les performances d'un de ces triangles en aluminium et celles d'un OVNI!

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Message par Chevalier Baran » Jeu Juillet 14, 2005 14:20

Darkside sois un peu plus ouvert d'esprit s'il te plaît, et imagine. Ces ovnis que nous connaissons si mal, terrestres ou extraterrestres, quelle technologie peuvent-ils bien utiliser, pour acquérir de telles compétences en vol (vitesse, décrochés, virages en équerre et j'en passe...). L'effet Biefeld-Brown est PEUT-ETRE une réponse. C'est un effet que nous commençons tout juste à apprendre, encore trop méconnu. Qui sait si nous pouvions un jour le développer de façon plus importante, quelles possibilités nous pourrions en tirer.

As-tu observé les réactions en l'air de ces "triangles en alu" ? Sur le peu d'espace que l'on leur accorde, je trouve cela très concluant. Mais ça n'engage que moi. 8)
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Cel

Message par Cel » Jeu Juillet 14, 2005 14:43

Même si ce n'est pas le cas, cette propulsion est une formidable avancée qui s'en rapproche effectivement pour quelques caractéristiques essentielles : c'est un moteur statique (donc très peu d'usure) électrique (donc qui résoud la masse de carburant embarquée) son principe est autonome ( fonctionne dans le vide, l'air, sous l'eau)
C'est un principe qui peut permettre d'élaborer des aéronefs type soucoupe, capables d'aller dans l'espace, et de revenir se poser au sol sans contrainte.

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Message par Chevalier Baran » Jeu Juillet 14, 2005 17:37

Merci Cel de me comprendre. Personnellement, et ca ne vise que moi encore une fois, je suis convaincu que cet effet physique a été bien plus poussé scientifiquement que le projet ARDA. Si presque n'importe qui peut tester ce phénomène chez soi (merci de prendre des précautions on ne le dira jamais assez), je pense qu'il est quasimment impossible que les plus éminents scientifiques voir l'Armée ne se soient pas intéressés à tout cela. :?

De là à affirmer que ce que nous voyons d'étrange en l'air vienne de ce principe il n'y a qu'un pas. Maintenant, terrestre ou extraterrestre, je citerai Mike Brant; "Qui saura?"
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Message par Wormwood » Jeu Mars 02, 2006 21:56

Technologie du bouclier propulseur ionique du B-2A Spirit

Fondamentalement, le générateur de bouclier propulseur ionique du Spirit n'est pas différent du condensateur asymétrique décrit précédemment. Dans la pratique toutefois, le système est beaucoup plus complexe car il doit remplir plusieurs fonctions: générer un bouclier ionique et une force de propulsion complémentaire pour franchir le mur du son, contrôler les écoulements aérodynamiques de l'avion, et enfin, protéger l'avion contre les armes électromagnétiques. Dans la pratique, le Spirit possède deux systèmes indépendants pour générer le bouclier propulseur ionique. L'avant du Spirit comprend cinq antennes radar à synthèse d'ouverture, réparties suivant une ligne à l'intérieur de tout le bord d'attaque. La première de ces antennes, que l'on nommera ici par convention antenne axiale, s'étend de part et d'autre du nez de l'appareil sur environ 8% de l'envergure. Deux autres antennes, conventionnellement baptisées antennes médianes, sont placées dans la zone du bord d'attaque située devant les moteurs du Spirit. Elles sont légèrement plus larges que les entrées d'air des réacteurs. Les deux dernières antennes s'étirent le long des bords d'attaque, en partant des bords extérieurs des antennes médianes, jusqu'au extrémités distales des deux ailes. On les baptisera antennes distales. Une électrode pariétale, c'est-à-dire placée sur la paroi, court tout le long du bord d'attaque. Traversée par un courant à haute tension, cette électrode pariétale permet de polariser positivement l'air ionisé par les antennes à synthèse d'ouverture. À l'activation du bouclier, l'ensemble des antennes du bord d'attaque génère deux faisceaux électromagnétiques focalisés suivant une ligne sur toute l'envergure de l'aile. Ceci a pour effet d'ioniser l'air en contact avec le bord d'attaque. Les deux faisceaux ionisant l'air par résonance électromagnétique sont émis à deux fréquences différentes proches de trois gigahertz. L'antenne axiale et les deux antennes distales ont le même mode de fonctionnement. Les antennes médianes émettent des impulsions plus puissantes, susceptibles de varier en fréquence, en intensité et en géométrie. Les antennes médianes du radar APQ-181 fonctionnent en mode radar classique lorsque le bouclier ionique est désactivé. En résumé, les antennes en réseau de phase à synthèse d'ouverture et l'électrode pariétale forment le ''fil'' du condensateur asymétrique décrit précédemment dans l'article. La ''plaque'' du condensateur asymétrique est générée de plusieurs manières. Tout d'abord, les surfaces d'intrados et d'extrados en uranium appauvri sont soumises à une tension de puissance moyenne et de polarité négative. Cela suffit à créer un bouclier ionique antiradar uniforme, mais reste insuffisant pour créer une force de propulsion. L'extrados du Spirit est mis sous tension par des électrodes pariétales placées sous la surface des capotages des moteurs. La localisation du générateur de tension sous les capotages a pour effet de créer un volume d'air ionisé non uniforme, l'air étant beaucoup plus ionisé au-dessus des capotages moteurs ainsi que du fuselage encadré par ceux-ci. C'est donc dans cette zone qu'on accélèrera l'air ionisé lors du passage en propulsion ionique.

L'augmentation de tension est obtenue par une intense ionisation des gaz éjectés par les réacteurs. Cette technique présente aussi l'avantage d'abaisser brutalement la température des gaz. Voici maintenant, détaillées pour la première fois, les techniques utilisées par le B-2 pour générer les quantités énormes d'énergie électrique nécessaires au bouclier propulseur ionique.

Comme tout bombardier, le Spirit dispose de générateurs électriques entraînés par les réacteurs. Cela lui permet de disposer en permanence d'une énergie électrique de l'ordre du mégawatt, ce qui assure l'alimentation des radars ainsi que de tous les systèmes électriques de bord. Cette énergie est suffisante pour générer la ligne d'ionisation sur le bord d'attaque du Spirit. Elle est par contre tout à fait insuffisante pour alimenter en continu l'ensemble du générateur de bouclier propulseur ionique. Afin de fournir les dizaines de mégawatts nécessaires au bouclier propulseur ionique, les ingénieurs de Northrop font appel à la technique de la torche à plasma ionique ou générateur à jet de flamme. Cette technique fut brevetée dans les années 50 par le pionnier de la propulsion électrocinétique Townsend Brown. Des électrodes en pointes, montées dans les chambres de combustion des réacteurs, sont traversées par des décharges à haute tension. Ces décharges produisent des ions négatifs dans le flux d'échappement. Le gaz négativement ionisé se décharge à travers les tuyères à l'arrière de l'avion. Comme les ions négatifs sont éjectés à grande vitesse, une différence de potentiel croissante se développe entre le corps du réacteur et l'air ionisé derrière le Spirit. En isolant électriquement les moteurs on amène les charges positives sur l'électrode pariétale du bord d'attaque via des conducteurs, ce qui permet de charger positivement la couche d'air ionisé devant l'aile. Les flancs ainsi que la face inférieure des tuyères du Spirit sont tapissées de grilles d'électrodes qui collectent quelques électrons à haute énergie et les recyclent dans le générateur d'ions de la tuyère. Une différence de potentiel d'environ 15 millions de volts est ainsi crée à la surface du B-2. Le kérosène utilisé comme carburant des réacteurs du Spirit n'est pas conducteur, il faut donc le rendre conducteur avant de l'enflammer et de l'ioniser dans la chambre de combustion. Pour cela, on mélange un polymère de carbone 60 (Fullerène ou C 60) au kérosène et on le ionise avec une décharge électrique avant de l'injecter dans la chambre de combustion. Le Spirit n'étant somme toute qu'un gigantesque condensateur asymétrique, il est impératif d'équilibrer les charges positives et négatives dans toutes les phases de vol. Ce résultat est obtenu très élégamment en modulant la fréquence et la puissance des impulsions émises par les deux antennes médianes du radar APQ-181. Lorsque le Spirit vole la nuit, l'ionisation de l'air devant les antennes médianes émettant à pleine puissance génère deux rectangles lumineux de couleur dorée du plus bel effet. Le Spirit est équipé de volets ''crocodile'', c'est-à-dire de volets qui s'ouvrent simultanément vers le haut et vers le bas comme la gueule d'un crocodile. Lorsque le bouclier est actif, les deux volets intérieurs les plus proches des tuyères permettent un contrôle presque instantané de la couche d'air ionisée. Il faut savoir en effet que lorsque l'on augmente la pression d'un gaz son ionisation diminue. L'ouverture de ces volets crée en amont de l'aile une zone de surpression qui fait baisser l'ionisation. Il est donc facile de comprendre que le Spirit dispose de toute une palette de moyens permettant de contrôler les écoulements aérodynamiques autour de lui par la modulation de son bouclier propulseur ionique. Reste deux problèmes à résoudre: tout d'abord, avant que le bouclier ne soit entretenu il faut amorcer son ionisation par une décharge de grande puissance; ensuite, il faut se garder la possibilité d'augmenter instantanément sa puissance afin de se protéger d'une attaque par faisceaux électromagnétiques de puissance (armes HPRF ou HPM) ou par lasers de combat. Sur le B-2 le problème trouve sa solution grâce à des générateurs de Marx. Les générateurs de Marx comprennent une série de condensateurs de grande capacité pouvant se décharger instantanément en série. Leur recharge nécessitant plusieurs minutes, il s'agit d'un système non récurrent, le nombre de décharges disponibles dépendant du nombre de condensateurs du générateur de Marx. Il semble que sur le Spirit les condensateurs du générateur de Marx soient des bobines supraconductrices délivrant des décharges de plusieurs centaines de milliers d'Ampères.

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Message par DRAGON » Ven Mars 03, 2006 08:57

Ne pas oublier de citer la source des informations, soit dans le cas présent : encyclomancie

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Message par Wormwood » Ven Mars 03, 2006 11:19

En fait, presque vrai mais j'ai retrouvé la souce de Encyclomancie qui est un forum MSN. Perdue là tout de suite !

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Message par YuKI » Ven Mars 03, 2006 22:55

:shock:

Bé moi j'ai pas tout compris, mes connaissances en physique et électronique sont restées au lycée :? .

Ca sert à quoi en gros et en quelques mots ?

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Message par Wormwood » Ven Mars 03, 2006 23:01

Grossierement des effets ioniques et de charge électrique donnée à l'air qui aiderait la sustentation.
A ce sujet c'est le principe du lifter:

http://jlnlabs.imars.com/index.htm
http://www.futura-sciences.com/comprend ... r198-4.php

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Message par YuKI » Ven Mars 03, 2006 23:04

Oki merci, c'est déja un peu plus clair :wink:

Razor

Message par Razor » Sam Mars 04, 2006 01:39

Complètement dingue, surtout qu’a priori,ce procédé est réalisable avec une armature type soucoupe ou triangulaire ?

Autre question d'ignare, quels ressemblance ou lien avec ce qu'on appelle drone ? Si tant est qu'il y ait un rapport, ce dont je doute.

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Message par DRAGON » Sam Mars 04, 2006 08:35

Un drone ou UAV (Uninhabited Aerial Vehicle) est un aéronef inhabité, piloté à distance, semi-autonome ou autonome, susceptible d’emporter différentes charges utiles le rendant capable d’effectuer des tâches spécifiques pendant une durée de vol pouvant varier en fonction de ses capacités. Il est plus juste de parler de système de drone. En effet, le drone fait partie d’un système qui est composé :

d’un ou plusieurs vecteurs aériens ;
d’une ou plusieurs stations sol de commande ;
de liaisons de données entre le vecteur et la partie sol. Le terme drone désignera la plupart du temps le vecteur.
La famille des drones comprend cinq grandes catégories :

- les mini drones ;
- les drones tactiques, lents ou rapides, à voilure fixe ou tournante ;
- les drones de moyenne altitude, longue endurance désignés MALE ;
- les drones stratégiques, encore appelés HALE ;
- les drones de combat, encore appelés UCAV.
- Le mot «drone» vient de l'anglais et signifie «faux-bourdon».

Source et plus d'informations : wikipedia

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