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Le cratère du Nouveau-Quebec
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Le cratère du Nouveau-Quebec
LE MYSTERIEUX CRATERE DU NOUVEAU-QUEBEC
Il existe un mystérieux cratère parfaitement circulaire et maintenant rempli d'eau. Situé aux confins du Québec à 1000 milles (2500 km) de toute ci-vilisation, dans ce territoire que l'on surnomme "la Terre de Caïn". Le cratère, cercle parfait de plus de deux milles (5 km) de diamètre, surmonté d'une falaise de 400 pieds (150 mètres) au-dessus du niveau de l'eau et dont l'inclinaison uniforme est de 33 degrés. La profondeur de ce lac artificiel a été évalué à 1350 pieds (400 mètres) de profondeur, l'eau y est d'une transparence sans égale puisqu'on peut y distinguer un objet plongé à quelques 120 pieds (40 mètres).
Mystérieux, ce cratère l'est à plus d'un titre: contrairement à d'autres cratères comme le "Meteor" de l'Arizona, on n'a jamais pu trouver le moindre indice de matière météorique, ce qui exclurait la possibilité d'une chute de météore. Quant à la forme circulaire, il faudrait une chance inouïe pour qu'elle se produise dans un tel état de perfection comme celle de ce cratère.
Le cratère du Nouveau-Québec est encore peu connu puisqu'il n'a été atteint qu'en 1950, mais il se révèle plein de surprises. Par exemple, on a pu détecter en bordure du cratère une anomalie magnétique. L'étrange est que l'anomalie est causée par une différence dans l'attraction magnétique de la terre à un endroit précis; or, cette anomalie ne peut être causée que par la présence d'une MATIERE ETRANGERE. Ce qui détruit l'hypothèse de la chute d'une météorite, c'est indéniablement l'absence de débris météoriques. Cependant, l'âge probable du cratère qui se situerait entre 25 à 50000 ans ne peut expliquer d'une certaine façon cette absence puisque, selon les experts, le bolide responsable du trou aurait eu 120 pieds (40 mètres) de diamètre et sa force d'impact égalait 200 bombes atomiques, ce qui le rend parent du bolide sibérien.
Fait non moins étrange, les esquimaux de l'endroit prétendent que lors de tempêtes de neige, ils aprerçoivent souvent des OVNis dont la lueur ressemble à celle d'un éclair de magnésium. Or, ce coin du territoire québécois se trouve lui aussi dans cette fameuse ouverture de la ceinture radio-active terrestre qui permettrait, comme à Baïkounour en Russie et au Cap Kennedy, le loncement de fusées. Troublant, n'est-ce pas?
De plus, en aucun autre lieu ne se trouve une telle crevasse dans l'écorce terrestre, sauf comme je l'ai mentionné en Sibérie et en Amérique latine.
Il existe un mystérieux cratère parfaitement circulaire et maintenant rempli d'eau. Situé aux confins du Québec à 1000 milles (2500 km) de toute ci-vilisation, dans ce territoire que l'on surnomme "la Terre de Caïn". Le cratère, cercle parfait de plus de deux milles (5 km) de diamètre, surmonté d'une falaise de 400 pieds (150 mètres) au-dessus du niveau de l'eau et dont l'inclinaison uniforme est de 33 degrés. La profondeur de ce lac artificiel a été évalué à 1350 pieds (400 mètres) de profondeur, l'eau y est d'une transparence sans égale puisqu'on peut y distinguer un objet plongé à quelques 120 pieds (40 mètres).
Mystérieux, ce cratère l'est à plus d'un titre: contrairement à d'autres cratères comme le "Meteor" de l'Arizona, on n'a jamais pu trouver le moindre indice de matière météorique, ce qui exclurait la possibilité d'une chute de météore. Quant à la forme circulaire, il faudrait une chance inouïe pour qu'elle se produise dans un tel état de perfection comme celle de ce cratère.
Le cratère du Nouveau-Québec est encore peu connu puisqu'il n'a été atteint qu'en 1950, mais il se révèle plein de surprises. Par exemple, on a pu détecter en bordure du cratère une anomalie magnétique. L'étrange est que l'anomalie est causée par une différence dans l'attraction magnétique de la terre à un endroit précis; or, cette anomalie ne peut être causée que par la présence d'une MATIERE ETRANGERE. Ce qui détruit l'hypothèse de la chute d'une météorite, c'est indéniablement l'absence de débris météoriques. Cependant, l'âge probable du cratère qui se situerait entre 25 à 50000 ans ne peut expliquer d'une certaine façon cette absence puisque, selon les experts, le bolide responsable du trou aurait eu 120 pieds (40 mètres) de diamètre et sa force d'impact égalait 200 bombes atomiques, ce qui le rend parent du bolide sibérien.
Fait non moins étrange, les esquimaux de l'endroit prétendent que lors de tempêtes de neige, ils aprerçoivent souvent des OVNis dont la lueur ressemble à celle d'un éclair de magnésium. Or, ce coin du territoire québécois se trouve lui aussi dans cette fameuse ouverture de la ceinture radio-active terrestre qui permettrait, comme à Baïkounour en Russie et au Cap Kennedy, le loncement de fusées. Troublant, n'est-ce pas?
De plus, en aucun autre lieu ne se trouve une telle crevasse dans l'écorce terrestre, sauf comme je l'ai mentionné en Sibérie et en Amérique latine.
- Romanix
Voici une photo :
[img=http://img214.imageshack.us/img214/6557/newql2sa.th.jpg]
Pour ce qui est du cratère comme tel, voici une description venant du site de l'Université du Québec à Chicoutimi :
Remarquez, le cratère n'a pas été creusé il y a 50 000 ans, mais il y a 1.4 millions d'années
[img=http://img214.imageshack.us/img214/6557/newql2sa.th.jpg]
Pour ce qui est du cratère comme tel, voici une description venant du site de l'Université du Québec à Chicoutimi :
Le Cratère du Pingualuit (auparavant appelé le cratère Nouveau-Québec ou Chubb) est situé à l'extrémité nord de la péninsule d'Ungava. C'est un exemple classique de cratère simple et relativement petit. D'un diamètre d'environ 3.2 km, il est pratiquement circulaire avec un rebord de 163 m au dessus de la surface du lac occupant la dépression du cratère. Ce lac, d'une profondeur de 252 m, est le plus profond au Québec. Le cratère, qui est creusé dans les roches cristallines du Bouclier Canadien, fut reconnu comme une structure d'impact en 1950 par une équipe conduite par V.B.o Meen, du Musée Royal de l'Ontario. Son identification et sa description ont été à l'origine du programme d'études intensives des cratères animé par C.S. Beals et ses collègues de l'observatoire du Canada au début des années mille-neuf-cent-cinquante. L'événement qui créa ce cratère se serait produit il y a environ 1,4 millions d'années. (Image fournie gracieusement par la commision géologique du Canada)
Remarquez, le cratère n'a pas été creusé il y a 50 000 ans, mais il y a 1.4 millions d'années
Il faut dire que la chute d'une météorite crée rarement un beau cercle.
Suivant l'axe de rentrée dans l'atmosphère on a de belles éllipses.
Comme mes chouchous les Carolina Bays :
Lat : 34.853 Long -78.670 pour Google Earth
Allez regarder cette zone c'est spectaculaire.Il y en aurait 500000 !
La dernière hypothèse préconise une explosion d'une comète à haute altitude et des ondes de choc :
http://abob.libs.uga.edu/bobk/cbayint.html
Je reprend un extrait d'un autre post:
Éparpillés sur une bonne part de la côte est des États-Unis (approximativement du sud du New-Jersey au nord de la Floride) on dénombre quelques 500 000 dépressions de forme elliptique que l'on appelle les "Carolina Bays" (leur nom vient du 'bay-tree' -le laurier- qui y pousse en abondance).
Leur découverte remonte aux années 1930 pendant lesquelles des photos aériennes mirent en évidence l'existence de ces bassins peu profonds, de forme et d'orientation identiques. En effet, vues du sol, ils sont imperceptibles et ne se révèlent que vus des airs.
Pour expliquer leur formation, dès le départ, s'affrontèrent des théories faisant intervenir une origine "terrestre" et d'autres, évidemment, une origine "extraterrestre". Ce ne sont pas moins de seize théories que les scientifiques ont imaginées depuis les années 1930, toutes plus sérieuses et convaincantes les unes que les autres, on s'en doute, mais dont aucune cependant n'a encore réussi à s'imposer de nos jours...
Si la chute d'une pluie de météorites n'est plus sérieusement envisagée (d'une part aucun fragment pouvant être associé à une météorite n'a été retrouvé à proximité et d'autre part aucun météorite authentifié n'a, de par le monde, créé un phénomène identique aux Carolina Bays, en outre l'étude des anomalies magnétiques ne semble pas concluante.) il n'en reste pas moins que les hypothèses liées à une origine "terrestre" n'apportent pas une réponse satisfaisante à la morphologie et à la stratigraphie des "Bays".
Quelques caractéristiques des "Carolina Bays"
Les C-Bays sont des ellipses (d'autant plus elliptiques d'ailleurs que leur taille est importante). Leur symétrie n'est pas parfaite: le versant sud-est est souvent plus relevé que l'extrémité nord-ouest et le côté du nord-est s'enfle légèrement plus que le côté sud-ouest.
Les tailles sont très variables, les dimensions des axes variant de 50 m à 10 km (environ).
On constate un alignement très majoritaire sur le nord-ouest/sud-est. (Bien qu'il y ait de minimes fluctuations locales qui semblent être liées à la latitude.)
Les dépressions sont peu profondes (15 m de profondeur par rapport à la surface topographique environnante au grand maximum). Les dépressions les plus grandes ont tendance à être les plus profondes. Pour toutes, quelle qu'en soit la taille, la partie la plus profonde est excentrée au sud-est du centre de la dépression.
Beaucoup de C-Bays ont un bord sablonneux dont la hauteur varie selon les "Bays" de 0 à 7 m, la hauteur la plus élevé de ce bord irrégulier se trouvant au sud-est.
Les C-Bays se recouvrent fréquemment sans détruire la morphologie de l'une ou l'autre dépression. Une ou plusieurs petites pouvant être complètement contenues dans une plus grande.
Quelques C-Bays contiennent des lacs, certains sont marécageux, d'autres naturellement ou artificiellement ont été asséchés et sont cultivés, et d'autres encore sont naturellement secs.
Des études très poussées ont montré que la stratigraphie du terrain situé sous les C-Bays ne présente pas de distorsion.
Les C-Bays ne sont apparues que dans des sédiments non solidifiés.
En résumé, étant donné la régularité remarquable avec laquelle ces caractéristiques se retrouvent seul un mécanisme unique paraît devoir en justifier l'apparition.
Si ce n'est qu'une parmi les seize hypothèses évoquées précédemment on est bien obligé de reconnaître qu'elle a le grand mérite de "cadrer" de façon satisfaisante avec l'existence des C-Bays d'une part et, évidemment, avec la disparition d'une Atlantide située dans ce secteur d'autre part...
Dans cette hypothèse, on privilégie non plus un impact unique mettant en jeu un ou plusieurs objet(s) céleste(s) de style météorite mais l'explosion de toute une série de fragments de comète au-dessus de la surface et créant des ondes de choc successives dans un alignement semblable (en gros nord-ouest / sud-est). Les mêmes causes produisant les mêmes effets on pourrait avoir ici l'explication simple de la régularité d'aspect des C-Bays.
Les spécialistes pensent que les caractéristiques orbitales des comètes incitent à favoriser un modèle dans lequel soit une comète en rotation rétrograde de vitesse élevée, soit une comète en rotation directe de vitesse lente aurait heurté la Terre.
Les fragments, divergeant de la trajectoire principale, se seraient alors volatilisés et auraient plus tard éclaté dans l'atmosphère près de la surface. Les ondes de choc résultantes auraient créé les dépressions elliptiques peu profondes que l'on peut observer dans les sédiments sableux de la plaine côtière.
L'impact principal du noyau restant serait à rechercher au large des côtes américaines.
Les dernières datations semblent toutes converger vers la fin du Pléistocène.
Suivant l'axe de rentrée dans l'atmosphère on a de belles éllipses.
Comme mes chouchous les Carolina Bays :
Lat : 34.853 Long -78.670 pour Google Earth
Allez regarder cette zone c'est spectaculaire.Il y en aurait 500000 !
La dernière hypothèse préconise une explosion d'une comète à haute altitude et des ondes de choc :
http://abob.libs.uga.edu/bobk/cbayint.html
Je reprend un extrait d'un autre post:
Éparpillés sur une bonne part de la côte est des États-Unis (approximativement du sud du New-Jersey au nord de la Floride) on dénombre quelques 500 000 dépressions de forme elliptique que l'on appelle les "Carolina Bays" (leur nom vient du 'bay-tree' -le laurier- qui y pousse en abondance).
Leur découverte remonte aux années 1930 pendant lesquelles des photos aériennes mirent en évidence l'existence de ces bassins peu profonds, de forme et d'orientation identiques. En effet, vues du sol, ils sont imperceptibles et ne se révèlent que vus des airs.
Pour expliquer leur formation, dès le départ, s'affrontèrent des théories faisant intervenir une origine "terrestre" et d'autres, évidemment, une origine "extraterrestre". Ce ne sont pas moins de seize théories que les scientifiques ont imaginées depuis les années 1930, toutes plus sérieuses et convaincantes les unes que les autres, on s'en doute, mais dont aucune cependant n'a encore réussi à s'imposer de nos jours...
Si la chute d'une pluie de météorites n'est plus sérieusement envisagée (d'une part aucun fragment pouvant être associé à une météorite n'a été retrouvé à proximité et d'autre part aucun météorite authentifié n'a, de par le monde, créé un phénomène identique aux Carolina Bays, en outre l'étude des anomalies magnétiques ne semble pas concluante.) il n'en reste pas moins que les hypothèses liées à une origine "terrestre" n'apportent pas une réponse satisfaisante à la morphologie et à la stratigraphie des "Bays".
Quelques caractéristiques des "Carolina Bays"
Les C-Bays sont des ellipses (d'autant plus elliptiques d'ailleurs que leur taille est importante). Leur symétrie n'est pas parfaite: le versant sud-est est souvent plus relevé que l'extrémité nord-ouest et le côté du nord-est s'enfle légèrement plus que le côté sud-ouest.
Les tailles sont très variables, les dimensions des axes variant de 50 m à 10 km (environ).
On constate un alignement très majoritaire sur le nord-ouest/sud-est. (Bien qu'il y ait de minimes fluctuations locales qui semblent être liées à la latitude.)
Les dépressions sont peu profondes (15 m de profondeur par rapport à la surface topographique environnante au grand maximum). Les dépressions les plus grandes ont tendance à être les plus profondes. Pour toutes, quelle qu'en soit la taille, la partie la plus profonde est excentrée au sud-est du centre de la dépression.
Beaucoup de C-Bays ont un bord sablonneux dont la hauteur varie selon les "Bays" de 0 à 7 m, la hauteur la plus élevé de ce bord irrégulier se trouvant au sud-est.
Les C-Bays se recouvrent fréquemment sans détruire la morphologie de l'une ou l'autre dépression. Une ou plusieurs petites pouvant être complètement contenues dans une plus grande.
Quelques C-Bays contiennent des lacs, certains sont marécageux, d'autres naturellement ou artificiellement ont été asséchés et sont cultivés, et d'autres encore sont naturellement secs.
Des études très poussées ont montré que la stratigraphie du terrain situé sous les C-Bays ne présente pas de distorsion.
Les C-Bays ne sont apparues que dans des sédiments non solidifiés.
En résumé, étant donné la régularité remarquable avec laquelle ces caractéristiques se retrouvent seul un mécanisme unique paraît devoir en justifier l'apparition.
Si ce n'est qu'une parmi les seize hypothèses évoquées précédemment on est bien obligé de reconnaître qu'elle a le grand mérite de "cadrer" de façon satisfaisante avec l'existence des C-Bays d'une part et, évidemment, avec la disparition d'une Atlantide située dans ce secteur d'autre part...
Dans cette hypothèse, on privilégie non plus un impact unique mettant en jeu un ou plusieurs objet(s) céleste(s) de style météorite mais l'explosion de toute une série de fragments de comète au-dessus de la surface et créant des ondes de choc successives dans un alignement semblable (en gros nord-ouest / sud-est). Les mêmes causes produisant les mêmes effets on pourrait avoir ici l'explication simple de la régularité d'aspect des C-Bays.
Les spécialistes pensent que les caractéristiques orbitales des comètes incitent à favoriser un modèle dans lequel soit une comète en rotation rétrograde de vitesse élevée, soit une comète en rotation directe de vitesse lente aurait heurté la Terre.
Les fragments, divergeant de la trajectoire principale, se seraient alors volatilisés et auraient plus tard éclaté dans l'atmosphère près de la surface. Les ondes de choc résultantes auraient créé les dépressions elliptiques peu profondes que l'on peut observer dans les sédiments sableux de la plaine côtière.
L'impact principal du noyau restant serait à rechercher au large des côtes américaines.
Les dernières datations semblent toutes converger vers la fin du Pléistocène.
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