Boujour
Le feu.
La menace des super volcans, leur éventuelle irruption avec les conséquences que l’on devine.
Par ailleurs les rejets de co2 dues aux activités industrielles des humains.
Quels enseignements pouvons nous en tirer ?
Le niveau du sol qui s’élève dans le Yellowstone du à la pression des laves souterraines ou les tremblements de terre répété à Sumatra, île sur laquelle ne semble dormir que d’un œil le super volcan Toba !
Tout cela mis en parallèle avec l’activité frénétique des hommes sur terre nous force à la comparaison.
Serait-ce la « course du feu » ? Ce serait à celui qui brûlerait le plus d’énergie ?
L’homme qui déscent du singe n’en est-il pas arrivé à un certain paroxysme dans son processus d’imitation ? Ne semble-t-il pas vouloir reproduire comme en synthèse ce qui se passe dans ce fourneau incandescent qui se trouve être au cœur même de notre planète.
Même la fusion solaire intéresse notre demande en énergie.
Au niveau technologique avons-nous seulement dépassé le stade de la découverte du feu ?
Le feu pour cuire les aliments certes ! Mais aussi le feu issue de la poudre qui fait cracher les armes. Depuis le mousquet jusqu’au armes les plus modernes rien n’est vraiment nouveau nous avons toujours besoin de la même l’étincelle.
Le feu des hauts fourneaux de nos aciéries, le feu des moteurs à explosion pour nos moyens de transport ! Celui qui fait décoller nos fusées au risque de passer de la combustion contrôlée à l’explosion pure et simple.
Même l’électricité cette prodigieuse découverte ne semble pas échapper à cette règle issue de la friction des atomes.
Seule la découverte de la radio et de ses possibilités inouïes permettant de transmettre des messages à distance que ce soit en différé ou en direct semble sortir de cette condition exigée par la combustion.
Idem pour le domaine des images depuis la première photo, puis le cinémascope jusqu’aux retransmissions en direct que nous connaissons aujourd’hui.
Les ondes utilisées comme canal de retransmission ! La voila l’invention qui semble vraiment sortir de cette condition ! C’est encore à la communication que l’être humain doit toute son originalité. La communication, les images, les mots…..le verbe !
