Excellent reportage sur les traces du Mokele-Mbembe dans le secteur des chutes de Nki, frontalières avec le Congo.
(en français, narré par le journaliste voyageur Alexandre Brecher) : http://youtu.be/9c0VCPwBV5c

Merci beaucoup pour ce partage.

Cela nous permet de nous faire une meilleure idée du déroulement de ces expéditions et de ses difficultés.

Il faut rester prudent mais c'est vrai qu'il y a des indices troublants. Peut-être faudrait-il qu'ils mettent sur cette île une caméra permanente pendant quelques jours pour voir si c'est faisable.

Un beau piège à touristes ça
On va avoir des scalps de mokem-machin en peau de chèvre dans quelques années

C'est loin d'être une balade en forêt, c'est sûr.

Souvent le temps imparti est trop court pour arriver jusqu'au bout fixé de ces expéditions, la surface à couvrir à pied et en pirogue trop grande à parcourir. Il y a aussi les risques sanitaires (fièvre jaune, malaria), les groupes armés et les braconniers (deux touristes britanniques et leur chauffeur ont été kidnappés pas plus tard qu'hier en RDC). À côté de ça, le Loch Ness c'est pour les rigolos.





Pour rappel, Christophe Dogliani, français expatrié au Cameroun travaillant pour une multinationale, a aperçu un gros animal dans un bras de la rivière Sangha en 2009. Il ne l'a vu que de dos mais a certifié qu'il était de la taille d'un éléphant avec une queue très large et une démarche souple. C'est le témoignage le plus récent et crédible d'un "blanc".

Le même témoin avait déjà photographié ce beau spécimen de Python en 2005 au Nord-Cameroun, d'environ 7 mètres :

Le Mokele-Mbembe - Dinosaure au Congo oui pourquoi pas surtout en Afrique ou il y a au moins 25% des espèces non répertorier et non découvert.

De plus le climat y est propice à un développement dépèces géant du à la chaleur et le tôt d’humidement très élever en pleine jingle c'est pour cela plus au va au centre et plus les animaux sont énorme et géant comme les salamandre géante d’Afrique qui sont capable d'avaler des enfant de 8 à 10ans et qui mesure entre 2 à 5m de long sans parler des serpent géant ect ect .

Sources ? pourquoi 25% et pas 35% ou plus ?



Il n'existe pas de salamandres géantes en Afrique, il y en a en Chine, elles sont bien incapable de manger un enfant surtout de 8 à 10 ans, même un bébé elles y arriveraient pas et elles mesurent moins de 2m.

Je te demanderai aussi un petit effort rédactionnel, pas évident de tout décrypter, merci d'avance.

Oui en Asie je me suis tromper loll, il y a des salamandres géante de plus de 2m par exemple le Metoposarus algarvensis découvert au Portugal qui fessait plus de 2m de long.

Et oui elles peuvent engloutir des enfants, mes sources le net et la télé des docs, il y à même un homme qui fait une émission sur les poissons d'eau douce et en mer dans le monde qui en as parlé lors d'une émission.

Et moi, je te garantis que non. En aucun cas une salamandre géante ne peut manger un enfant, c'est des légendes. Comment veux-tu qu'une bestiole de moins de deux mètres puisse avalé un enfant qui fait environ la moitié de sa taille ?

C'est ce que j'ai vu dans une des émissions du mec, ses émissions passe souvent le dimanche.

Pour les salamandres, les Metoposarus n'en n'étaient pas, ce n'est même pas sûr s'ils avaient une lointaine parenté. C'est juste qu'ils avaient vaguement la même forme. Et à propos des salamandres géantes, leur taille n'est pas en lien avec la chaleur, ces animaux la supportent plutôt mal en fait. C'est même une des explications de l'absence de tritons et de salamandres en Afrique (à part quelques uns dans les montagnes en Afrique du nord).


Il y a un problème, sur la photo ce n'est pas un python mais un anaconda, espèce sud américaine. Et une recherche sur google avec cette image donne d'autres versions de son contexte (et ça à l'air d'être une photo qui a été très réutilisée). Si ce n'est pas une erreur de lien, la crédibilité du témoin a des plombs de très gros calibres dans l'aile.

Je pense que tu parles de cette vidéo, mais Jeremy Wade, le dit au cours de la vidéo, ce ne sont que des légendes...

https://www.dailymotion.com/video/xnujei

Probablement un constricteur avec des tâches claires sous le ventre rappelant celles d'un Eunectes ? Ou un spécimen non endémique ?
Dogliani prétendrait l'avoir photographié "entre Meiganga et Ngaoundéré" (Cameroun).

Ce qui me fait penser au récit de l'aventurier Jean Michonet qui a décrit des anacondas au Gabon dans les années 50-60, dont un énorme spécimen près de la mission catholique Sainte Anne.

« Je ne vois pas le tête mais je discerne le corps d'un énorme serpent glissant sur un tronc comme sur une poulie (...) Affolé, je me pose une question : « un python ou un anaconda ? » Un python n'atteindrait jamais de pareilles proportions. Un python n'aurait pas ces cercles d’écailles plus claires que des taches de soleil. Les pythons se laissent choir des arbres mais ne descendent jamais à l'eau...Il ne peut s'agir que d'un anaconda ! »

« Je raconte brièvement ma mésaventure à ces compagnons de dernière heure [quatre indigènes ndr], et sur un ton de reproche moqueur :
- Pour un pays où, parait-il, on ne connaitrait pas ce genre de serpents...
- Comment, des m'boumba ?
Les braves garçons étaient formels, le coin en était rempli. Au dire de leurs anciens, on en voyait d'énormes.
- Mais on prétend dans mon dictionnaire qu'il n'y a pas de m'boumba au Gabon. Il n'y aurait même pas de boas. Seulement des pythons !
[Les indigènes sont hilares] 
- Est-ce que les Blancs savent de quoi ils parlent ? »

("La Mémoire du fleuve", récit de voyage, éditions Phébus, 1984)

Ça me parait clair qu'il s'agit d'un anaconda vert, Eunecte murinus. Ce n'est pas une ressemblance, c'est quand même l'un des serpents les plus connus et des plus faciles à reconnaître. Et si en soit c'est pas impossible d'importer un de ces serpents au Cameroun et de le relâcher là-bas, ce serait quand même une sacré coïncidence.
Cette photo n'a probablement pas été prise en Afrique. Elle apparait comme ayant été postée en juillet 2012 sur le blogspot MOKELE - MBEMBE EXPEDITIONS, mais est facilement trouvable sur un grand nombre de sites à des dates antérieures, et sans le watermark de copyright de m.Dogliani. La plupart du temps elle est présentée comme une photo d'anaconda prise en Amazonie. Ça sent quand même "l'emprunt" de photo et l'invention d'une histoire autour. Je me demande ce qu'en penserait le véritable auteur de ce cliché. En tout cas, ça baisse la crédibilité de cette personne qui dit voir des gros animaux extraordinaires.

Pour les récits d'aventuriers, je préfère les prendre avec des pincettes, surtout quand ça parle pêle-mêle d'un animal vu une fraction de secondes, de pythons, d' anacondas et de m'boumba, sans donner de grandes précisions sur ce que ça désigne. ( une recherche rapide me donne juste serpent et fétiche comme traduction de ce terme). Sans compter que d'un pays à l'autre les termes peuvent désigner des animaux différents, par exemple, au Sénégal, caïman peut désigner ce qu'ici on appelle crocodile du Nil, et en Amérique latine tigre et cobra peuvent désigner le jaguar et plus ou moins n'importe quelle espèce de serpents.

Désolé si ça nous éloigne du Mokele-Mbembe, mais à chaque fois qu'il y a du vérifiable dans cette affaire, la peinture s'effrite.

Merci pour ces précisions, Zamenis !

L'histoire autour de cette photographie et du watermark est en effet floue.

Mais ça ne décrédibilise en rien les témoignages sur la présence d'un gros animal inconnu au Congo et Nord-Cameroun qui se recoupent sur plus d'un siècle. L'hypothèse du "dinosaure" est ridicule, il s'agit très probablement d'un genre de reptile (varan) ou d'un mammifère semi-aquatique.

Rien d'extraordinaire quand on sait que de nouveaux animaux ont été découverts en 2017 comme un requin à Hawaï, un orang-outan en Indonésie (800 individus), un gecko à Madagascar ou un rat marsupial en Australie.

À écouter : Sur la trace du Mokélé M’Bembé, interview de l'explorateur Serge Grispoux par Lionel Camy : http://www.youtube.com/watch?v=BJOvt-hNDfc

Euh pour rappel, le topic est consacré au mokele-Mbembe, la question des serpents géants c'est un autre sujet.

Je ne savais pas ! On peut avoir des images ?

Vas chercher bonheur :
http://www.maxisciences.com/nouvelle-espece/

Pour les orang-outans, ce n'est pas la découverte d'une nouvelle population, on c'est juste rendu compte que la population d'un lieu donné était une espèce différente (et donc nouvelle) de celle à laquelle on l'avait rattaché préalablement.

Merci pour le lien !

Du coup, je ne sais pas si l'interview de Serge Grispoux, (qui a participé à des expéditions avec Michel Ballot (chercheur en cryptozoologie) pour trouver une preuve de l'existence du Mokele), par Lionel Camy a été mise en lien. Dans le cas contraire =>

Des images des expéditions http://mokelembembeexpeditions.blogspot.com/

Le Mokélé-mbembé sera l'objet d'un nouveau film-documentaire français, "L'Explorateur" réalisé par Alexandre Brecher.

Chaque année, Michel Ballot part en expédition au Congo et Nord-Cameroun à la recherche de la bête. Le film sera projeté cette année 2020 dans le cadre de nombreux festivals.

Retour sur les témoignages les plus intéressants sur le Mokele-Mbembe.

- Le premier témoignage par un européen : L'abbé Liévin-Bonaventure Proyart (1776)
L'abbé Proyart était un écrivain catholique, farouche monarchiste et contre-révolutionnaire. Alors en Afrique centrale, il note les moeurs des animaux. "Les missionnaires ont observé, en passant le long d'une forêt, la piste d'un animal qu'ils n'ont pas vu; mais qui doit être monstrueux : les traces de ses griffes s'apercevoient sur la terre, et y formoient une empreinte d'environ 3 pieds de circonférence. En observant la disposition de ses pas, on a reconnu qu'il ne couroit pas dans cet endroit de son passage, et qu'il portoit ses pattes à la distance de 7 à 8 pieds les unes des autres." (Oeuvres complètes de l'abbé Proyart Tome XVII)

- Le capitaine Ludwig Freiherr von Stein zu Lausnitz (1913, 1914)
Cet officier allemand s'est aventuré dans la région du Likouala, qui faisait alors partie de la colonie allemande du Cameroun. Likouala doit son nom au cours d'eau "la Likouala aux Herbes", affluent de la rivière Sangha. Il entend parler d'une étrange créature redoutée par les pygmées : "La créature doit se retirer au sein des cavernes innombrables creusées sous la surface de l'eau, dans les berges argileuses. En plein jour, il lui arrive cependant de grimper sur la rive pour aller y chercher sa nourriture strictement végétale, trait incompatible avec l'idée selon laquelle il s'agirait d'une légende ! La plante favorite de la bête serait une sorte de liane riveraine à grandes fleurs blanches, qui sécrète un latex capable de fournir du caoutchouc et donne des fruits ressemblant à des pommes. On m'a même montré, à proximité d'un amas de plantes de cette sorte, la prodigieuse trouée que l'animal avait frayée dans l'épais taillis bordant la rivière, afin d'atteindre cette nourriture (...)"
"L'animal aurait la peau lisse et de couleur gris-brun. Sa taille serait à peu près celle de l'éléphant, celle au moins de l'hippopotame en tout cas. Il semble avoir un long cou flexible et une dent unique, mais très longue, qu'on décrit parfois comme une corne. Quelques-uns parlent aussi d'une très longue queue, aussi puissante que celles des crocodiles. Les pirogues qui s'approchent de la bête seraient attaquées sur-le-champ et renversées, et les occupants en seraient tués, mais non dévorés." (Bölsche, 1929).



- Herman Regusters (1981)
Herman Regusters, ancien ingénieur en aérospatiale au Jet Propulsion Laboratory de la NASA (Pasadena, Californie). Il a visité la région du lac Télé fin octobre 1981 avec son épouse. Le couple prétend avoir observé une créature à deux reprises, alors qu'ils étaient accompagnés de fonctionnaires du Ghana et de la République du Congo. La "chose" avait un long cou sombre et une taille avoisinant celle de l'hippopotame.

- Le dernier témoignage "crédible" par un européen : Christophe Dogliani (2009)
Ce français expatrié au Cameroun, ancien responsable des installations pour MTN (filiale de télécommunications de la multinationale sud-africaine), aurait observé un gros animal dans un bras de la rivière Sangha. Tôt un matin, alors qu'il puise de l'eau pour des travaux de coulage de béton, il observe pendant quelques secondes l'arrière d'un "gros animal recouvert de boue" à 150 mètres sur la rive opposée. Il ressemble vaguement à un hippopotame vu de dos, à la différence qu'il a "une queue massive et longue". L'observation est très brève, mais le français note une couleur grise, des pattes courtes, des bourrelets, et une queue au départ large qui s'amincit en pointe. Il ne verra jamais la tête de l'animal.


Pygmées sur la rivière Sangha, affluent du fleuve Congo.

Je relance car il semble que le documentaire de Ballot ait été mis à jour et que des médias officiels s'en font l'écho.

https://www.dna.fr/culture-loisirs/2020/11/21/grand-format-la-traque-du-monstre-du-fleuve-congo?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2nFne2ZFi3CO7JZsEs5s-VAql38K1qeW4uFzUWQ_HJgX0lWMg-zIlE4DQ#Echobox=1605958500

Merci ! Ballot est toujours sympa à écouter ou à lire. L'aspect "voyage" qui se dégage de ses expéditions est passionnant. À défaut de trouver la "bête", on découvre des coins encore sauvages de la jungle africaine et les populations pygmées (entre modernité et traditions ancestrales). Dinosaure ? Tortue géante ? Mammifère aquatique inconnu ? Dans ces zones encore inexplorées du Sud-Cameroun, même en 2020, on se surprend à se demander "Pourquoi pas ?..."



Bonus : Michel Ballot et Bernard Heuvelmans.

Sur les traces du dinosaure du Congo (Dernières Nouvelles d'Alsace)

1. La traque du monstre du fleuve Congo. Dans ce décor végétal hors de propos, inviolé depuis des siècles, depuis la création du monde si ça se trouve, l’homme n’est rien. Un point minuscule, le plus vulnérable des animaux qui s’avance en pétaradant sur ces eaux boueuses, entre Congo-Brazzaville et Cameroun...
http://www.dna.fr/culture-loisirs/2020/11/22/grand-format-sur-la-route-du-sud

2. Sur la route du Sud. Suite de notre voyage au cœur du continent africain dans les pas de l’explorateur Michel Ballot parti à la recherche du mokele mbembe, fantasmatique animal qui se cacherait en pleine forêt vierge. Mais d’abord il faut quitter Douala et avaler des centaines de kilomètres de pistes. Récit.
http://www.dna.fr/culture-loisirs/2020/11/22/grand-format-sur-la-route-du-sud

3. À l’orée des ténèbres. À l’extrême sud-est du Cameroun prend naissance l’une des toutes dernières forêts primaires du continent, ces «ténèbres» dont parlait Joseph Conrad. Un écosystème remarquable qui entoure la Dja, frontière naturelle avec le Congo-Brazzaville. Découvrez le troisième volet de cette série africaine...
http://www.dna.fr/culture-loisirs/2020/11/23/grand-format-a-l-oree-des-tenebres

4. Le monde perdu du peuple de la forêt. Peuple de chasseurs-cueilleurs, les pygmées sont chassés des forêts où ils vivaient depuis près de 70 000 ans. Exploité, déraciné, acculturé, un peuple se meurt et un savoir remarquable disparaît. Reportage au sein de la tribu Baka.
http://c.dna.fr/culture-loisirs/2020/11/24/grand-format-le-monde-perdu-du-peuple-de-la-foret

5. Les éléphants en sursis. Longtemps massacré à grande échelle, l’éléphant de forêt est aujourd’hui une espèce sérieusement menacée d’extinction.
http://www.dna.fr/culture-loisirs/2020/11/25/grand-format-les-elephants-en-sursis

Hyper intéressant, ça réveille des envies d'explorations que je croyais disparues depuis longtemps.

Michel Ballot a sorti son second livre.

Après À la recherche du Mokélé-Mbembé aux Éditions du Trésor en 2014, il publie cette année Nki, l'ultime frontière chez Ethos. 164 pages.

Pas encore lu.

Mokele-mbembe : la question de l'alimentation

Le Mokele-mbembe n'est pas un dinosaure. Affirmer le contraire serait ridicule. Aucun sauropode n'a survécu à l'extinction de masse KT au Crétacé supérieur. Ce mystérieux animal n'est pas une descendance du Mésozoïque, il n'a pas "évolué" à partir de ces titans herbivores dont le cou pouvait atteindre jusqu'à quatre fois la longueur du tronc.



Mais alors comment expliquer son cou long et flexible, l'une de ses principales caractéristiques ?...Principalement par son adaptation au biotope. Et la nourriture.

Selon les témoins, cet animal semi-aquatique lèverait son cou hors de l'eau pour atteindre les feuilles en hauteur. Dans la tradition orale et le folklore pygmée, depuis la nuit des temps, il serait particulièrement friand d'un fruit magique appelé Malombo qui pousse le long du fleuve Dja et de la Sangha (affluent du fleuve Congo). Les premiers explorateurs ne prenaient pas cette histoire de "fruit magique" au sérieux...Jusqu'à ce que l'on découvre son existence : il provient de la liane Goyine (Saba senegalensis), une plante grimpante qui cherche un support chez d’autres espèces végétales pour s’accrocher et se développer. Le fruit orange renferme des graines enrobées de pulpe au goût acidulé et sucré, il aurait des vertus médicales indéniables.

L'industrie pharmaceutique a découvert que ce fruit est riche en provitamine A (bêta-carotène), en vitamine C, en thiamine (vitamine B1), en riboflavine (vitamine B2), en niacine (vitamine PP ou B3), en pyridoxine (vitamine B6) et en vitamine K. De nombreuses études ont démontré qu’une consommation élevée de ces fruits pouvait réduire le risque de développer une maladie cardiovasculaire. Le bêta-carotène pourrait aider à retarder la dégénérescence maculaire liée à l’âge et favoriser une diminution de risque de la déficience visuelle. La vitamine C permet d’améliorer les défenses immunitaires et de mieux fixer le fer. La vitamine K permet l’absorption du calcium par le corps. La haute teneur en eau et en fibres prévient et soulage les problèmes de constipation chronique.





Quand la réalité rejoint l'imaginaire...Le mystérieux animal a donc un régime alimentaire varié, qu'il trouve sur les berges des fleuves, mais se nourrit surtout de Malombo, un fruit ultra-vitaminé et maintenant recherché par la science ! Les populations locales connaissaient déjà ses vertus médicinales. Le mystérieux Mokele pourrait être à la base un animal de forêt, adapté au biotope marécageux du bassin du Congo, qui aurait transmis ses gènes par mutation génétique naturelle. Au fil des siècles, cette mutation a permis à l'animal de développer son cou, et d'atteindre le fruit sucré des lianes en hauteur. Il s'agit très probablement d'un mammifère semi-aquatique, au mode de vie amphibie, peut-être lié aux hippopotames actuels.

Oui c'est ce que Ballot dit aussi : il affirme n'avoir jamais cru à l'hypothèse du dinosaure.