Metronomia a écrit:
Sa lecture m'a mise très mal à l'aise...
Faut relativiser, y'a pas mort d'homme(s).
Metronomia a écrit:
Si tout ceci est vrai, ça met un sacré plomb dans l'aile à toute cette histoire.
Faut voir. L'ennui avec ce documentaire, c'est le nombre de questions qu'il ouvre, vaste. Les critiques sont nombreuses (quelle dépense de temps et d'énergie; quelle passion. Instructif en tout cas)
[1], et certaines prennent pour base sa version anglaise (U.S.), dénaturée (voir la différence de traitement concernant ces hiéroglyphes faisant penser à des véhicules de combat modernes).
Une curiosité légitime, candide et sans rien à défendre sur le sujet, réclamerait d'entendre ce que J. Grimault et P. Pooyard disent au travers de leurs entretiens radio, et c'est long, très long. Certaines questions quant au contenu du documentaire y trouvent une réponse. D'autres éclaircissements en farfouillant sur la page, ou les pages, Facebook, également, ce joyeux bord** (par exemple, la question du comment technique des trous percés dans le granit, où l'on passe du peut-être (dans les commentaires) d'une machinerie impensable pour l'époque à un outil de bois et de cordelette (des auteurs) avec dans ce cas une autre question ouverte).
[2]Metronomia a écrit:
..., mais je ne pensais pas que Grimaud était un personnage aussi obscur.
Certaines questions sur la forme également. Et l'argent. Un ou des procès sont en cours,
un des trois souhaitant apparemment accaparer tous les bénéfices de l'entreprise. Rapport avec ce qui précède ou pas, je l'ignore, des liens sont peut-être aussi à tisser entre l'aventure de la version U.S. du documentaire et ces personnages nommés sur la page de
l'Imposture.
Un lien, toujours sur cette page
l'Imposture, pointant vers un site où se trouvent des vidéos d'entretiens avec J. Grimaud (sur d'autres sujets), permet de le "connaître" mieux. À chacun de décider s'il faut le suivre ou pas.
L'aspect sectaire supposé de l'association Atlantis: euh ... , chacun peut décider subjectivement de l'étendue de la définition du terme
secte et de ce qui peut y entrer (on va éviter de déraper)
L'idéologie nazie sous-jacente à certain traitement du mythe de l'Atlandide: mystère, je n'ai aucune connaissance précise du sujet (mais écoutez tout de même l'un des entretiens; lequel je ne sais plus).
Obscur, je ne sais pas, il ne se cache pas, ou plus (je renvoie vers la forme imposée). Le "léger détail" évoqué se rapportait aux circuits financiers, eux bien obscurs en effet, jusqu'à plus amples renseignements, ou issue au(x) procès.
Ce qui précède n'enlevant rien de pertinence aux questions soulevées dans le documentaire.
Et la masse d'infos à vérifier, notes prises, titanesque. Je laisse ça à d'autres, plus courageux, ou plus motivés.
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1. En vrac, la vérité étant ailleurs, reste à savoir où dans cette foire d'empoigne tragi-comique:
Le Zen ... & l'Art de la Déboulonnerie. Comment déboulonner pratiquement n'importe quoi.
Précis de réfutation
Les techniques secrètes pour contrôler les forums et l’opinion publique
2. Sur la base de ce qui est suggéré, je cite seulement un truc lu ailleurs il y a longtemps: " Dans la cité maya de Chichén Itza au Yucatàn, il y a des dizaines de mètres de bas-reliefs, dont beaucoup sont sculptés presque en ronde-bosse par un peuple sans outils de métal. Dans les murailles de la ville inca de Cuzco, au Pérou, il y a des vastes blocs de pierre de forme irrégulière qui ont été si parfaitement découpés qu' il s'emboitent les uns dans les autres sans laisser la place d' introduire entre eux une lame de couteaux. Les ingénieurs et les architectes sont frappés de stupeur devant ces exploits qu' avec tous nos talents techniques nous trouvons malaisé de renouveler aujourd'hui. Il est possible qu' il soient dus à un progrès scientifique depuis lors perdu. Les incas pourraient avoir connu le moyen d'amollir la pierre. Le colonel Fawcett, l'explorateur britanique qui finit par disparaître dans les jungles de l' Amazone, rapporte dans son journal que lors d' une promenade au bord de la rivière Perené, au Pérou, une paire de gros éperons de type mexicain furent en un jour corrodés jusqu' au coeur par le jus d' un buisson de plantes aux feuilles rouges et charnues. Un propriétaire de ranch local les appelaient " le truc employé par les incas pour façonner les pierres ". On parle aussi d' un petit oiseau pareil à un martin-pêcheur, probablement le merle d 'eau à coiffe blanche Cinclus Leucocephalus, lequel niche en des trous sphériques des Andes Boliviennes, trous qu'il fore dans la roche dure sur les berges des cours d' eau montagnards en frottant une feuille contre la pierre jusqu' a ce qu' elle devienne tendre et puisse être enlevée avec le bec. Il semble que les incas avaient assez de connaissances en chimie pour extraire et distiller cette substance. La fouille d' un terrain funéraire au Pérou central a fait découvrir une cruche en terre contenant un liquide noir et visqueux, lequel, renversé par terre, transformait les rocs sur quoi il tombait en mastic tendre et malléable."
Propos dont il a été débattu sur quelques forums (il me semble que le texte anglais est légèrement différent).