. . . Voici l'or qui détecte les maladies (pas les angines, les grosses méchantes!

*CLIC*

Du grand "port'nawak", pour faire jeun's !

En gros, ce serait un test qui permettrait de dire que le patient a soit un cancer (on ne sait pas lequel, mais probablement celui de prostate ), soit le VIH, au choix... après, il faut quand même faire les tests courants, puisque celui vous dit seulement que vous êtes malade, mais ne dit pas ce que vous avez exactement...
Autrement dit, un test inutile, puisque si on en vient à rechercher un cancer ou le VIH, on sait déjà grosso modo ce qu'on cherche, on est juste en quête de confirmation...

Et après tout, pourquoi pas? Si ça marche, où est le mal? Grâce aux nanos, il est clair que le champs des possibles va de plus en plus s'agrandir. Qu'est- ce qui vous choque là-dedans?

Un procédé peut couteux, ha bon?

L'or n'est donné il me semble.

C'est vrai que la question du coût est surprenante. Je fouille sur le net pour comprendre mais ne trouve pas grand chose .

Ben ils parlent de nanoparticules, j'imagine que la quantité d'or dans la solution doit être minime... Mais bon, j'imagine aussi que la procédure d'extraction des nanoparticules a son coût.

Pas si inutile que ça puisqu'en pratique, et comme le souligne l'article, ce test permettrait un dépistage précoce que n'offrent pas forcément encore nos méthodes actuelles. Certes ce test semble pour l'instant assez limité puisqu'il ne répond que par la positive et la négative et ne permet par exemple pas d'indiquer de manière précise le taux de marqueurs présent dans le sang. Mais dans le cas d'un cancer, cela permettrait déjà d'anticiper l'apparition des premiers signes de la maladie, et donc d'être plus à même de les traiter de la manière la plus efficace qui soit.

En plus de cela l'utilisation des nanoparticules d'or peut s'étendre à bien d'autres domaines que le seul dépistage. Chauffées par un laser infrarouge, ces particules peuvent aussi être utilisées à des fins curatives dans le cadre de la photothermie. Ce système permettrait de détruire les tumeurs sans risque pour les cellules saines, et en évitant les nombreux effets secondaires que l'on retrouve par exemple dans la chimiothérapie. Pour l'instant ce procédé n'en est qu'à l'état expérimental, mais les premiers tests réalisés en laboratoire sur des souris se sont montrés tout à fait satisfaisants. Pour l'heure le seul risque que semble comporter l'utilisation de ces nanoparticules, c'est leur effet nocif sur l'environnement.