Bonjour,
En surfant sur Internet, je suis retombé sur votre site, et je viens donc de prendre connaissance des différents échanges relatifs à « La conspiration des anges », changes pour le moins animés.
De prime abord, je n’ai pas souhaité y participer pour ne pas alimenter la controverse, et me plonger de nouveau dans le cercle sans fin de la polémique.
Mais face à quelques contrevérités difficiles à laisser sans rectifications, je reviens vers vous dans le seul but de les lever.
Je tiens à redire que ce roman, contre toute attente en prenant connaissance de son contenu, s’appuie sur des faits réellement vécus. Toutes les expériences citées se sont réellement produites, avec validation et sous contrôle scientifique (certaines sont malgré tout imaginaires afin de traduire l’esprit de beaucoup d’autres dont il faillait réduire le nombre dans le contexte d’un roman). Évidemment, il y a de grandes parties fictives qui se justifient pour réunir l’ensemble de nos investigations au sein d’une intrigue commune, également destinée à distraire, tout en respectant l’état d’esprit. Les effets comiques (comme les tribulations totalement décalées et imaginaires des personnages au Bohemian Grove) sont volontaires pour permettre au lecteur de prendre de la distance au sein de situations qui se produisent chaque année en juillet, en Californie, comme des fêtes païennes auxquelles se prêtent nos dirigeants, en théâtralisant les aspects les plus sombres de l’être humain.
Je précise qu’en 2003 Valérie Giscard d’Estaing s’y trouvait pour présenter son projet de constitution européenne. Bop Hope y est effectivement décédé dans des circonstances assez troubles, comme décrites dans ce chapitre (rassurez-vous, dans la vraie vie je ne suis pas responsable de sa mort
, et le reste ne me sert qu’à lier les personnages entre eux). Mon appartenance à certaines associations me permet d’obtenir de solides informations auprès de sources crédibles, que je ne peux livrer en pâture, à l’instar des journalistes. Idem pour Nicolas Sarkozy, Michel Rocard, et Schwarzy, n’en déplaise aux septiques. Ce roman se veut un témoignage doublé d’une sensibilisation à des événements que peu connaissent et qui alimentent pourtant la vie politique.
Bien évidemment que je ne partage pas tout ce que j’avance dans mon roman, comme le fait David Ike qui a refusé de me rencontrer pour que je puisse recouper ses informations et enquêter sur elles. Non, je ne crois pas que certains personnages connus puissent se transformer en reptiles
. Néanmoins, des gens sont morts pour l’avoir prétendu (cas d’un journaliste dont on a retrouvé le corps carbonisé sur le plateau du Larzac,…). Alors j’ai pris la résolution de traduire leurs mésaventures, même si je ne partage pas leurs déclarations. Au lecteur de s’informer…
Moi-même, j’ai reçu pas mal de pressions (sans menaces directes) pour renoncer à coucher sur le papier ce que certains ont déjà lu.
Quant aux tablettes sumériennes, certains sur votre forum n’ont visiblement qu’une connaissance limitée de leur contenu, en ramenant tout à Sitchin, et à Nibirou SON amour. Il existe différents corpus traduits et commentés par des archéologues spécialisés en assyriologie de renom, qui n’ont rien à voir avec l’ufologie ni avec la théorie des anciens astronautes, de purs universitaires, comme Samuel Noah Kramer, Jean Bottéro, et d’autres dont je conseille la lecture. Pour ceux qui suivent de près leur diffusion, ils pourraient constater qu’il y a une volonté délibérée d’en réduire l’accès au public. Récemment, l’Épopée de Zu est devenu inaccessible (j’ai un ami libraire qui a tout fait pour essayer de m’en obtenir un exemplaire, en vain), et bien d’autres écrits de Kramer. Sa dernière parution rééditée que j’ai commandée, et qui date de mars 2011, s’appelle « L’érotisme sacré », en Mésopotamie of course, possède un descriptif assez pauvre (je ne l’ai pas encore reçu, et je ne peux donc pas me prononcer totalement).
N’oubliez pas que le sac du musée de Bagdad en avril 2003 par des g.i. nous a privé de tablettes en cours de traduction, comme les sites archéologique près du temple pyramidal d’Ur, également détruits. J’ai pu savoir que l’état-major des forces armées américaines s’était fait remettre par l’UNESCO une liste des sites à protéger, et qui au final ont été détruits par leurs protecteurs, alors qu’ils ne présentaient aucun point stratégique, car seulement occupés par des éleveurs de poulets (peut-être des poulets islamistes kamikazes après tout).
Pour ce qui est des expériences sur les billets de banque (à partir de 10 €) et de la carte d’identité, nous avions révélé ce fait dès fin 2002 ou 2003 (à partir d’une expérience décrite dans le roman, et la suggestion associée d’un four à micro-ondes). Je peux vous affirmer qu’un chercheur au CNRS a utilisé un microscope électronique à balayage et à effet de champ, donc à très fort grossissement, plusieurs millions de fois, et dans son cas plus de huit je crois, pour examiner sa propre carte d’identité (et quelques billets) et a découvert des nanocircuits qui l’ont effrayé dont il a fait part à sa hiérarchie. Plus tard, il a été révoqué pour utilisation privée d’un matériel appartenant à l’État (info obtenue grâce à une personne très proche du patron de la DCRI). Essayez par vous-même l’expérience décrite, même si vous ne possédez pas de microscope d’une telle puissance. Ce ne sont pas des nanoparticules qui en sont responsables, vous verrez des trous parfaitement tracés où se trouvaient de petits artefacts métalliques sur vos billets, et une pastille dure au niveau de la gorge de votre photographie d’identité. N’ayez aucune inquiétude pour votre four à micro-ondes, il survivra.
Il est faux de prétendre que j’ai été refusé par tous les éditeurs, laissant entendre que ce roman ne présentait aucun intérêt. Dès le début, le tome 1 a été accepté par JC Lattès, mais le directeur des manuscrits Laurent Laffont m’avait demandé (en décembre 2008 et janvier 2009 au cours de conversations téléphoniques ayant duré des heures) de caviarder les noms de certains personnages illustres présents et malmenés dans le tome 2 (le groupe Lagardère en finançait certains). J’ai refusé et il m’a répondu : « Alors l’aventure se fera sans nous. » Mais il s’est empressé de poursuivre : « Quand le tome 3 sera terminé, faites m’en passer un exemplaire. » À vous de vous renseigner, je ne peux pas mieux dire.
Enfin, les Éditions Persée ont accepté de l’éditer. Il est vrai qu’il s’agit d’une édition participative qui ponctionne mes ressources financières. Mais je viens récemment de rencontrer un éditeur qui publiera de nouveau les 2 tomes, et les autres, sans ma contribution.
Je ne fais pas non plus de la promotion pour m’enrichir. À preuve, j’en suis à plus de 8 000 € de ma poche pour les deux tomes (pour le troisième, j’ai trouvé un sponsor, où je signerais avec l’éditeur dont j’ai parlé supra). À ce jour, je n’ai reçu des Éditions Persée qu’un chèque de 250 € pour les comptes dits de reddition. Je tiens à la disposition de mes contradicteurs mes contrats et le décompte de ce que j’ai perçu de mon éditeur avec lequel je peux aussi les mettre en relation).
Je pourrais aussi débattre du problème de la preuve en science. Car visiblement certains ne savent pas comment cela se passe dans le milieu scientifique. Si chaque chercheur avait à prouver l’antériorité sur laquelle il s’appuie, la science n’avancerait pas, ou si lentement que nous en serions encore à l’ère de la machine à vapeur (vous savez comme dans la récente pub). En fait, les publications avec comité de lecture font confiance aux auteurs dont elles publient les travaux, car toutes ne possèdent pas des IRM à fort champ, des accélérateurs de particules, des microscopes électroniques, ni même ne simples paillasses équipées pour de la synthèse en chimie organique.
Sachez qu’un homme qui n’a aucune raison de mentir ne ment pas. Et que dire de ceux dont le témoignage provoque les ennuis, les embarras financiers, les complications professionnelles, ou tout simplement le ridicule.
Pour conclure avec une synthèse, je dirai que mon roman est un témoignage authentique (lui, mais pas nécessairement tous les faits rapportés, je suis résolument honnête, et je les décris tels qu’ils nous ont été rapportés) et sincère (si, si, c’est possible) d’expériences (qui ne sont pas vraiment du oui-ja même si cela y ressemble beaucoup) qui se sont réellement produites avec de vrais phénomènes physiques dûment constatés (auxquels le laboratoire de Zététique a refusé de participer pour expertise, malgré six mois d’insistance auprès de son président, prétextant à l’époque, fin 2002 et mi-2003, un calendrier chargé). Ces expériences nous ont révélés des informations que nous avons rapportés (seulement certaines ont pu être validées comme authentiques). Celles-ci étaient tellement incroyables que j’ai voulu les faire partager à une communauté intéressée par cette thématique et le conspirationnisme en général. J’ai été amené à lier tout les faits au sein d’une intrigue imaginaire, insérée elle-même dans l’environnement ufologique le plus vaste qui soit, tout en conservant l’esprit de l’aventure insolite que nous avions vécue pendant plusieurs années, avec la famille Étienne, Sylvain Naudin et les autres… Actuellement l’aventure continue avec quelques rebondissements grâce au roman tombé entre les mains de VRAIS scientifiques, que je ne connaissais pas, qui ont reproduit les expériences avec succès, et qui m’ont envoyé leurs rapports très récemment.
Voilà, je n’ai plus rien à vous dire…
Bien cordialement,
Thomas Allen