Je vivais la même chose quand j'étais petit, à l'école... La situation a beaucoup empiré quand ma mère s'en est mêlé... Les petits caïds de la cour de récré ont rarement peur des parents de leurs victimes... Au contraire, ils risquent d'interprêter ça comme une preuve de faiblesse et lui en faire baver d'autant plus...

(Bon sang, c'est horrible, j'ai l'impression de parler des règles de socialisation en prison ou dans une meute de fauves... )

@Soukeena:

Ça n'en est pas si éloigné, en effet...

L'infirmière du collège vient de m'appeler. Il se trouve que cette dame est également psy en ville et suit mon fils dans ce cadre depuis un mois et demi environ. Lorsqu'elle a appris ce qui se passait elle a voulu prendre des nouvelles de mon fils et aussi me raconter ce qui avait été fait.
La principale adjointe est allé dans leur classe et a poussé une gueulante. Elle leur a rappelé que les propos homophobes étaient interdits. Il parait que ça a charclé pendant de longues minutes.
Puis l'infirmière a vu arriver dans son bureau l'un des garçons de cette classe, l'un de ceux qui avaient rejeté mon fils et surtout il s'agit du garçon qui jusqu'à il y a deux semaines, était le meilleur ami de mon fils ^^
L'infirmière me disait qu'il se sentait très très mal vis à vis de ce qui s'est passé...
A suivre donc...

Tiens le vinaigre c'est pas une mauvaise idée, je n'y avais jamais pensé. Je vais tester ça ( j'adore le vinaigre en plus).

J'ai failli être victime de ça lorsque j'ai redoublé ma 3ème, quasiment seul donc. Je me suis retrouvé dans une classe avec des pseudos Caïd dont il y a toujours un chef parmi eux.

La première attaque a été verbale, du prénommé chef de meute, première attaque que je n'ai pas laissé passé, s'en est suivi un pugilat verbal avec évidement 3 ou 4 de ses amis autour de moi dans le cas ou la situation tournerais mal pour lui et pour l'effet de pression, ce qui n'a hélas pour lui pas marché.

Ce pugilat verbal l'avait plus ou moins calmé, ou plutôt mis dans le doute, c'est sans doute pour cela qu'il a été cherché un autre chef de meute qui avait quitté le collège. plus chef de meute que lui encore sauf qu'il n'a pas pensé à une chose, que ce chef de meute je l'ai connu et il m'appréciait. Dans l'impasse, fasse au doute créé il n'a pas eu d'autres choix que d'abandonner l'idée de faire de moi "la tête de turc" de sa classe.

En l’occurrence tout dépends de l'école dans laquelle il est, j'ai vu des rackets s'arrêter quand les parents ont portés plaintes et le directeur mis les hola, ça marche parfois, d'autre fois non. La pression psychologique quant à elle est souvent mal connu, ou pas reconnu, elle est comme le viol " et si la victime ne l'avait pas cherché par son comportement". Il faut savoir que ceux qui victimise une personne sont aussi victimes de part leur parents, leur grand frère ou autres. La plupart des problèmes que j'ai rencontré et vu, ont été réglés à coup de menace physique malheureusement.
Cependant faire un tête à tête entre celui qui en fait baver et la victime peut être une idée, savoir pourquoi, expliquer avec des mots, il peut arriver qu'une certaine compréhension s'installe ou pas...il y a plein de variables, trouver une solution comme ça sans connaitre la situation des uns et des autres est impossible.

Mais je rejoint le constat du système carcérale, si tu ne te trouve pas rapidement un groupe, tu as toute les chances d'être une victime. La réalité de l'école.

Je vous conseille de regarder le film "That's What I Am" c'est un premier film, par contre je ne sais pas s'il va sortir en France, il est assez touchant et plutôt réussi; sur ce thème.

Pour rien au monde je ne voudrais être enfant aujourd'hui pour affronter cette jungle de l'école... Le pire c'est les petits caïds lorsqu'ils rentrent chez eux après leur journée d'école, quand maman demande si ça s'est bien passé à l'école aujourd'hui et le môme de répondre : "Oui, une très bonne journée...". Et la maman de répondre : "Bravo, je suis fière de toi!".

Je les nourris tous les jours, les oiseaux. Et j' ai eu droit à tout un discours consternant de ma belle-doche, qui s' est pointée l' autre jour pendant que j' étais occupée à leur donner du pain et des graines, parce que les corbeaux viennent aussi se servir, que c' est mal de s' en occuper parce qu' ils viennent aussi du coup manger les pousses du potager, et qu'ils portent malheur... La phrase qui tue et qu' il ne fallait surtout pas me dire... J' ai rétorqué qu' ils sont surtout victimes de la co**erie humaine. Bizarrement, elle qui ne leur donne jamais rien se fait souvent ravager le jardin, alors que moi qui les nourris quotidiennement, juste sur le carré de pelouse à côté du potager, je peux constater qu' ils n' y touchent jamais, aux fruits et légumes... Une forme de reconnaissance ? Peut-être bien finalement.

Ben des pies y en a aussi qui viennent me rendre visite, entre autres espèces, et des hirondelles* également, et j' en ai toujours vu... Je les trouve beaucoup moins craintives que d' autres, comme les moineaux ordinaires, par exemple. Ceux-ci sont extrêmement méfiants vis-à-vis de l' espèce humaine.
Par contre des hérissons... Jamais vu encore dans mon jardin.

*On m' a dit que les hirondelles se faisaient de plus en plus rares, il doit y avoir des nids pas loin parce que j' en vois tous les jours, et chaque soir elles font leur ballet volant dans les airs avec leur cri strident, un joli spectacle.

( Je ne suis en maison avec jardin que depuis 1 an seulement, après avoir toujours vécu en appart', alors c' est un bonheur de tous les instants ).

Là-dessus je te comprend! J'ai moi-même planté beaucoup d'arbres fruitiers un peu partout sur mon terrain et ça attire les oiseaux de toutes sortes. Et ce n'est pas grave s'ils viennent ch*** après dans les fenêtres.

Sur les fenêtres ? Ils ne me font jamais ce coup-là ! Non, moi ce serait plutôt sur le sol de la terrasse, ou pire, sur la table de jardin.

Une amie donne du pain dans une forêt pour les corbeaux. Ils la reconnaissent. C'est impressionnant quand ils rappliquent en croassant, presque un film d'horreur.

Ce que je trouve marrant avec eux, c' est de les voir se batailler pour un petit morceau de pain, alors qu' il y en a tout un tas juste à côté. Pour sûr, ils ont l' esprit de compétition.

Allez vous faire la fête des voisins ?
Moi pas.

Non je ne fêterais pas la fête des voisins. D'ailleurs je les maudis ces voisins. Ça fait 1 an qu'on embêtés (pour rester polie) toutes les semaines par les travaux des voisins. On est 6 par étage et les travaux s'enchainent, un coup c'est truc, après c'est bidule et bien sûr machin suit. Vraiment ras-le-bol!

Moi non plus. J' ai hésité, mais finalement non... ce genre de fête n' est pas trop ma tasse de thé.

Ce truc n'est pas à la base un simple phénomène de marketing inspiré par la marque qui vend les Apéricubes ou une autre saleté à base de déchets laitiers ou de cacahuètes sursalées ?

non plus je déteste mes voisins

Le seul voisin que je croise régulièrement c'est un petit chat qui vient me rendre quelques visites sur mon balcon. Si jamais il vient taper à la fenêtre je veux bien partager un verre de lait mais pour les autres... Non. Rien de prévu à ma connaissance d'ailleurs, je découvre tout juste que c'est la fête des voisins (puis la fête des mères dimanche).

C'est quoi cette fête au juste?

C'est une fête qui a été instituée il y a quelques années. Ce jour là, tu invites tes voisins. Souvent, cela se fait dans la rue, quand c'est possible. quelques tables, un barbecue, chacun amène un petit quelque chose et tout le monde partage.

Le but est que tout le monde fasse connaissance et que comme ça, des relations pourront se nouer.

Pareil, j'en croise parfois et sous prétexte de demander de l'argent pour une asso ou une autre activité (sans papier ni permis quelconque ) ils ne te lâche pas la grappe. C'est du racket déguisé, faites attention.

Note: Les rastas membres de médecins sans frontières ou sidaction ou autre, NON je ne filerais pas de la thune ce n'est pas la peine de m'alpaguer (5 à la suite aujourd'hui) ! C'est quoi ces techniques marketing que même Edward Bernays est serait choqué ? Marre !

Sinon, pas de fête des voisins parce que ... je n'ai plus de voisins, tous partis. Donc j'ai tout le palier dispo, je vous invite tous !!!

D'accord, je vois à quoi ça peut ressembler!

Bon je vous souhaite une bonne fin de semaine (moi se sera sous la pluie).

Je suis allé à une soirée "fête des voisins" ce soir, j'habite dans un lotissement depuis 3 ans sans forcément connaître mes voisins, juste de vue, un bonjour au passage et ça s'arrête là.

J'ai passé une excellente soirée, avec des gens simples et agréables, on a bien sympatisé (surtout tisé ) ça permet déja de mettre un nom sur les personnes qu'on croise tous les jours, et surtout d'avoir une approche plus chaleureuse avec ceux qui vivent à quelques mètres de chez nous.
En une soirée mes voisins sont devenus plus abordables d'un coup, ce qui rend le lotissement plus convivial, et ça je trouve que c'est pas négligeable.

De là je me dis que finalement c'est un peu con d'attendre la seule occasion par an pour passer un moment de détente avec ses voisins.

J'habite une caserne de gendarmerie. Et comme elle est petite (10 familles), nous nous connaissons bien. Nous avons également la chance d'avoir un commandant de brigade très très axé sur la qualité de vie des familles de ses gendarmes. Donc tout est fait pour que cette vie "en collectivité" soit agréable: terrain de foot pour les gosses, un barbecue en dur... etc et SURTOUT des soirées organisées (ou pas) où nous nous retrouvons autour d'une salade, un barbecue, un paquet de chips ou une tarte aux pommes. Complètement le principe de la fête des voisins. Et franchement, moi j'aime! Les nouveaux sont vite intégrés, les gamins lient amitié rapidement, les compagnes ou compagnons de gendarmes également...
Pourtant je gardais un mauvais souvenir de cette fête ^^ A la suite de mon divorce, j'ai vécu un an et demi chez mon père dans un joli lotissement très calme dans un tout petit village breton. Mes voisins me paraissaient souriants et sympathiques. Jusqu'à cette fameuse fête des voisins... où j'ai vu ma gentille voisine se bourrait la g***** et faire du gringue à un voisin qui n'était pas son mari. Super l'ambiance d'une fête qui se termine par une bagarre entre deux hommes ivres morts

Mouais, l'ambiance Whisteria Lane, ce n'est pas mon truc. Je ne sympathise pas avec mes voisins. Ni avec les autres parents à l'école (ma fille est en grande section). Autant je n'hésite pas avec mes collègues que je vois plus que ma famille (bien que nous n'allions pas boustifailler les uns chez les autres, faut garder une bonne limite dans la vie privée), autant les voisins et autre, non. Chacun chez soi.

Moi, mes amis, je les ai choisis.

Tu l'as, ton explication.

(moi, j'ai sous-entendu que le fin fond de la Bretagne est peuplé de pécores ?.. Non, pas du tout...)

Fais gaffe la prochaine fois que tu débouches une bouteille de cidre brut, que le FLB ne l'ai pas piégé.............

Remarque, ça peut permettre aux gens ne voyant pas beaucoup leur famille de retrouver l'ambiance classique d'un bon repas de noël ou du nouvel an. ^^

Et comme le dit Ar Soner, vu que ton histoire se passait en Bretagne, tu peux t'estimer heureuse que ça n'ait pas fini en bataille de choux ou d’artichaut. (Stereotype rulz !)

C'est vrai que c'est très très lourd. Je déteste les gens qui nous aborde dans la rue comme ça.
Mais je suis rarement embêté. Le peu de fois où ça m'arrive je les envoie ch**r de manière un peu agressive comme ça ils n'insistent même pas. Suffit de montrer qu'on a aucune compassion et c'est bon.
Je fais pareil avec les lourds qui veulent refourguer leurs tracts ou les pires de tous, ceux avec leurs questionnaires.