salut à tous
un pulsar est un astre (appelé aussi étoile à neutrons), qui a la particularité d'émettre un fort rayonnement électromagnétique par ses pôles et d'avoir une période de rotation rapide.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pulsarconnaissant sa position dans la galaxie, on peut se servir des plusars comme de phares pour déterminer notre position dans l'espace.
la courbure de l'espace-temps d'un champ de gravitation dévie la trajectoire des photons (géodésique :
http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9od%C3%A9sique) à la manière d'une lentille optique convergente; d'où la notion de lentille gravitationnelle
(
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_gravitationnelle ).
dans le cadre du principe de distorsion, la vitesse serait augmenté à des valeurs allant bien au delà de celle de la célérité critique (ou le nom que vous voudrez bien lui donner) que je décrits dans la théorie des bulles spatiotemporelles comme étant la plus grande vitesse de propagation naturelle de la lumière dans le vide, là où l'intensité du champ de gravitation est nulle. j'ai de bonnes raisons de croire que la célérité critique n'est pas beaucoup plus grande que la vitesse de la lumière que nous connaissons sur Terre.
Donc, en augmentant artificiellement de façon la vitesse de la lumière autour du vaisseau de plusieurs dizaines de fois celle de la célérité critique, je crois que l'on génère un champ d'antigravitation qui déviera la trajectoire des photons à la manière d'une lentille optique divergente; une lentille antigravitationnelle.
si on imagine un vaisseau se déplaçant à vitesse supraluminique, la bulle spatiotemporelle induit un décallage vers le rouge (effet doppler) pour la lumière lui arrivant de face et, malgré le sillage, les photons lui arrivant par derrière seraient à la traîne; car à vitesse supraluminique la bulle spatiotemporelle ressemble à une comète entourant le vaisseau. ce décallage vers le rouge serait en partie compensé par le vitesse supraluminique du vaisseau.
la vision que l'on aurait de l'espace lors des voyage supraluminique pourrait être si différente de ce qu nous pouvons observer qu'il serait pratiquement impossible, même à des ordinateurs surpuissants d'interprêter l'image panoramique, nous contraignant ainsi à la navigation à l'estime et faire comme le propose le capitaine Roussetman de segmenter la course du navire pour faire le point sur la position et naviguer en toute sécurité.
Maintenant si le champ d'antigravitation induit par la bulle peut repousser ou dévier la poussière de la trajectoire du vaisseau, cela risque d'être plus problématique pour des objets un peu plus lourds comme les comètes. dans ce cas je pense qu'il vaut mieux placer un radar à l'avant du navire, l'onde radar se déplacerait plus vite que la lumière et nous reviendrait si elle était réfléchie par un objet se trouvant sur notre route.
Je suis d'accord avec Dragon et je pense qu'il nous faudra développer un propulseur ionique (
http://fr.wikipedia.org/wiki/Propulsion_ionique) qui tiendra sa puissance de la fusion nucléaire. cette maîtrise de la propulsion ionique sera aussi nécessaire pour accélérer le vaisseau à vitesse supraluminique.
Bonne soirée