J'aime rentrer de vacances et pouvoir tout de suite répondre à un topic.
Donc, je peux dire que ça correspond pas mal à ce que je suis. En fait, j'ai un moment cherché l'intérêt de l'étude, parce que bon... Quelqu'un qui passe son temps assis sur sa chaise et qui ne mange pas forcément équilibré a peu de chance d'être taillé comme un héros de film d'action.
Je ne crois pas qu'un seul no-life ( Les purs et durs, quoi que très mous selon l'étude. ) se soit étonné de son gras devant le miroir. Quand on choisit un mode de vie ( Car au final, que les gens critiquent ou non, ce n'est rien d'autre. ) qui n'est pas "sain", on s'attend à en prendre les conséquences dans la face.
Concernant le côté dépressif, c'est possible que parmi les rangs des gamers, on en compte plus, mais cela s'explique à mon avis par le fait qu'un dépressif aura plus de chances de vouloir s'éloigner de la "vraie vie".
A part ceux-là, bien-sûr, les gamers devenus dépressifs existent, comme chez tout le monde, qu'ils soient plus nombreux que d'autres, j'en doute plutôt fortement.
Bref, ces derniers temps, on commence à pointer du doigt les no-life et les "drogués du pixel" ( J'ai vu ce petit nom dans un truc sur M6. ) comme de grands malades qui s'auto-détruisent et qui ont besoin d'aide le plus rapidement possible.
Bah, si ça peut faire penser aux gens qu'ils sont plus normaux que les autres, on aura au moins une utilité sociale. J'attends impatiament le jour où quand je lancerai un programme de jeu, le message "
Attention ! Jouer tue ! Et viol ton cochon d'Inde." apparaitra.