fathéo a écrit:
Lamart a écrit:
Un petit peu, disons que cela me rassure de savoir que je suis dans la partie haute de la moyenne, mais j'aurais très bien pu vivre sans savoir, de toute façon c'est très subjectif...
Pareil pour moi, j'en ai fait un pour le connaitre et je suis au dessus de la moyenne (comme quoi

) et ca m'a rassurée aussi.
Mais le QI n'est pas la preuve de l'intelligence mais la capacité a analyser les choses, la logique etc...
Pour ce qui est des tests de QI, j'ai rarement vu des gens au dessous de la moyenne, les tests sont surement un peu faits pour booster notre égo.
Je l'avais mis dans un autre topic, mais voilà un test ne faisant pas appel à la culture générale, ni même à la lecture :
http://www.iqtest.dk/main.swfJe l'ai bien aimé, et suite au résultat que j'avais obtenu sur celui-ci j'en ait fait d'autres mais qui m'ont beaucoup moins plus et faisaient appel à des connaissances en grammaire ou culture générale... (et en plus ils me donnaient des mauvais scores ces méchants tests

).
Pour revenir au sujet initial, j'ai rapidement parcouru quelques sites d'éleveurs de rats et on se rend compte que tous recommandent de ne pas trop nourrir les rats, que cela leur cause de gros problèmes (notamment rénaux) et qu'il est très facile d'obtenir des rats obèses.
Ici les scientifiques ont testés les effets d'aliments rendant obèses sur une espèce qui souffre de beaucoup de problèmes lorsqu'elle est obèse et à une très forte tendance à trop s'alimenter sans penser aux effets à long terme (ce qui doit être normal pour ce genre de bestiole qui ne fait pas de vieux os dans la nature/égoûts).
On peut se demander si le choix du modèle biologique était approprié pour faire une comparaison avec l'Homme.
S'ils avait choisis le porc comme modèle leurs résultats auraient sans douté été moins alarmistes car ces bestioles ont un % de masse grasse qui peut très bien monter assez haut sans que celui-ci ne souffre de problèmes rénaux ou cardio-vasculaires.
L'Homme n'est pas un porc (quoique parfois

...) mais on doit tout de même être plus proche du porc que du rat dans notre capacité à stocker d'importantes quantités de graisse sans en subir d'effets délétères pendant plusieurs années.