Voila, j'ai retrouvé un petit passage qui répond à ta question Chimère :
Citation:
EN FRANCE, LA MEDECINE NE SUPPORTE NI DEBAT, NI CONTRADICTION DANS LA PRESSE !
Le 19 juillet dernier, nous apprenions le refus de la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) de permettre à NEXUS (bimestriel alternatif - tirage : 23000 ex) de continuer à bénéficier du taux de TVA à 2,10 %, comme c’est le cas de l’ensemble de la presse d’information, dans le but de favoriser la pluralité de la presse. Il ne fait décidemment pas bon informer sur le principe vaccinal au pays de Pasteur.
Ainsi : "En ce qui concerne NEXUS, il ressort des pièces versées au dossier, et notamment des numéros 37 à 43, que cette publication, en contestant dans de nombreux articles les acquis positifs de la science, mettant en doute l’innocuité des vaccins, et partant, le principe même de la vaccination ou celui des greffes d’organes, est susceptible, si elle est lue au premier degré, d’inquiéter les esprits les plus fragiles et ne présente pas, de ce fait, le caractère d’intérêt général quant à la diffusion de la pensée requis par les textes."
Créée en 1950 avec pour objectif de contribuer à la liberté d'expression, la CPPAP, officiant au sein des services de Matignon, et à laquelle ne siège aucun scientifique, ne nous donne pas plus de détails sur le fondé de sa décision.
Le problème reste que la médecine n’étant pas une science exacte, la remise en cause des acquis permet justement ses avancées. La presse se voit ainsi directement empêchée de jouer son rôle essentiel de critique et de contre pouvoir. Comment le débat d'idée peut-il avoir lieu si les opinions "différentes" sont administrativement évincées de la scène publique ?
Lorsque l'on connaît la part importante des laboratoires pharmaceutiques parmi les annonceurs de grands médias, on comprend l'absence de réactions défendant NEXUS chez les représentants de la presse siégeant à la CPPAP.
Le journaliste scientifique se doit donc, s'il veut être accessible sur un marché très concurrentiel, d'être conforme aux principes de la médecine "officielle".
Attaché à la liberté d'expression, NEXUS se voit obligé de répercuter, à partir de septembre, sur son prix de vente la hausse de TVA, au risque de ne plus être compétitif avec les grands groupes de presse.
Dormez tranquilles, braves gens. Que vos "esprits fragiles", qui ne connaissent que le "premier degré", ne s’inquiètent de rien, les praticiens et les experts, même s’ils reçoivent leurs informations du lobby pharmaceutique pour lequel l’enjeu scientifique s'évalue en milliards d’euros, savent bien ce qui est bon pour vous.
En kiosque début septembre, NEXUS n°46 avec un dossier explosif établissant scientifiquement que le cerveau n’est ni la cause, ni le siège de la conscience humaine, mais opère comme une interface. Les résultats des dernières études scientifiques sur les expériences de mort imminente sont précurseurs d’un changement de paradigme dont la portée reste difficile à mesurer : la conscience n’est pas la résultante des processus neurologiques.
David Dennery, directeur de publication de NEXUS.