source: La Dernière Heure, le 28/07/2006
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Citation:
Dans la zone des crop circles de Waterloo, les blés ont été couchés à 10 cm de haut. Et égrenés comme déjà arrivés à maturité...
WATERLOO Il se passe là-bas des choses qu'un esprit cartésien a du mal à comprendre. On y a vu un chien refuser d'entrer dans la zone. Une dame qui avait des problèmes de respiration depuis la canicule est ressorti de l'endroit sans plus ressentir le moindre mal à la poitrine. D'autres se couchent dans les blés couchés pour ressentir les ondes positives qui s'en dégagent. Et puis, il y a la manière dont les blés ont été pliés et égrenés qui laissent vraiment perplexes...
Depuis leur apparition au pied de la Butte du Lion, ils sont 250 par jour à se rendre sur place pour découvrir le magnifique spectacle. Surtout celui de la rue de la Croix, en direction de La Marache. Et il faudra se dépêcher puisque ce week-end, ce crop circle ou agroglyphe en français ne sera plus visible dans un champ qui sera fauché. On comprend d'ailleurs mal comment l'agriculteur, qui a été forcé de canaliser les visiteurs, ne s'est pas arrangé avec la Maison du tourisme pour promouvoir une attraction d'une telle beauté.
"C'est devenu une zone sacrée, nous expliquait ce jeudi matin une géobiologue occupée à mesurer les forces avec ce qui ressemble à une baguette de sourcier sophistiquée. Partout sur le champ de bataille, les ondes sont négatives à cause des douleurs ressenties par les combattants décédés en 1815. C'est ce qui explique d'ailleurs que les géobiologues ont tant de mal à rééquilibrer les forces dans les maisons des alentours. Ici, par contre, c'est une zone à part. Au point que des personnes malades peuvent aisément venir faire redémarrer leur système lymphatique."
Ce qui frappe surtout, c'est la manière dont les blés ont été couchés. Bien sûr, avec une planche et une corde attachée à un pieu, on pourrait aisément réaliser de tels ronds dans les blés. Mais alors comment expliquer que les blés sont couchés à dix centimètres de haut. Un agriculteur retraité ne pouvait s'empêcher de lâcher qu'il ne connaissait "pas de machines agricoles capables de réaliser un tel travail. Ces blés ne sont pas cassés, mais couchés, pliés aux jonctions tubulaires, et entrelacés."
Plus mystérieux encore, "plus on se rapproche du centre des cercles, plus les blés sont égrenés. Aujourd'hui, c'est dur de vous le montrer car les blés sont arrivés à maturité, mais ils étaient encore verts lorsque ceci s'est dévoilé. C'était alors impossible de le faire à la main sans arracher l'épi, voire les racines. Je ne vois qu'un battage à l'ancienne pour arriver à un tel résultat. Bref, c'est comme si ces blés avaient mûri d'un coup, prématurément. Je ne vois aucun humain capable de faire cela..."
Jean-Philippe de Vogelaere
En quinze jours, les blés alors encore un peu verts lors de la prise de cette photo, ont bien mûri, mais alors déjà au centre des ronds, les blés bien égrenés avaient mûri plus vite que dans le reste du champ... (DH)
Les blés ont été couchés à dix centimètres de haut, aux jonctions tubulaires. Qui a pu faire cela ? (DH)
Troublant, n'est-ce pas ?