ce serait formidable
mais bon nous devons penser que maintenant, rien qu'un animal peché peut réduire une population de "prédateurs" a néant...
quand on lit ça...
Citation:
Lors du Sommet mondial sur le développement durable de 2002, et du troisième congrès mondial sur la biodiversité, en novembre 2004, les ONG et les instances gouvernementales s’étaient fixées comme objectif de réduire le taux de perte de diversité biologique d’ici 2010. Or les moyens pour sauver les espèces animales et végétales sont entre les mains des gouvernements et des citoyens, car les comportements individuels sont aussi déterminants dans cette lutte que les aides financières des gouvernements et les volontés politiques. Il faut donc bien avouer que la nature a encore du souci à se faire ! D’ailleurs, la communauté scientifique tire à nouveau la sonnette d’alarme.En 1996, une espèce d’oiseaux sur huit, une espèce de mammifères sur quatre étaient menacées d’extinction. Aujourd’hui, il faut ajouter une espèce d’amphibiens sur trois (ces animaux sont très sensibles aux pollutions de l’air et de l’eau), la moitié des espèces de tortues, aussi bien terrestres qu’aquatiques, une espèce de requins sur cinq...
L’UICN estime (tout en sachant que cette estimation doit être inférieure au nombre véritable) que 15.589 espèces sont menacées d’extinction. Il est déjà certainement trop tard pour l’olivier de Sainte-Hélène, la corneille d’Hawaï, le puffin des Baléares, le grand lézard de l’île d’Hispaniola, le bégonia africain. D’autres espèces, toujours extrêmement fragiles, doivent faire l’objet d’une protection maximale si on veut pouvoir les rencontrer encore à l’état sauvage dans une décennie : le rhinocéros blanc, la loutre d’Europe, le pigeon impérial de l’île Christmas, le putois aux pieds noirs, le poisson Napoléon et bien d’autres.
La surexploitation des océans, la déforestation, la destruction des habitats naturels mais aussi le commerce des animaux sauvages, qu’il soit encadré ou illégal, constituent les principales menaces. Le changement climatique est également de plus en plus incriminé dans les causes de disparition des espèces. Or, tous ces facteurs sont dus aux actions humaines. L’homme est seul responsable de cette perte de la biodiversité et malgré les mises en gardes répétées et les rapports alarmistes, les gouvernements, les entreprises de toutes tailles et les citoyens ne semblent guère enclins à prendre des mesures sérieuse et efficaces pour enrayer ce déclin dramatique. Une certaine catégorie de scientifiques avaient déjà analysé et prévu ce désastre. La sixième extinction de masse est en route, mais cette fois, elle sera due à l’Homme et non pas aux bouleversements géologiques. Les taux d’extinction actuels sont entre 100 et 1000 fois supérieurs aux taux qualifiés de « naturels ».
Pendant combien de temps encore les gouvernements fermeront-ils les yeux sur cette crise d’extinction majeure des espèces ? Il faut AGIR maintenant sous peine de provoquer un désastre sans précédent.
En tout les cas ,même passioné par les requins comme je suis, je n'irait pas lui brosser les dents...
Si quelqu'un a de bonnes infos sur le megalodon qu'il n'hésite surtout pas.