La vanité de l'homme est de croire qu'il est unique en son genre et qu'il serait impossible de l'imiter.
Et c'est pourtant ce qu'il essaye de faire depuis des années. La génétique a fait son apparition quand l'homme a cherché à comprendre les gènes et l'hérédité. On connaît tous la chanson. Au départ, on veut comprendre, puis ensuite, on veut jouer à l'apprenti sorcier.
Au premier abord, il faudrait être sûr de la définition de ce qu'est appelée une Intelligence. Qui jusqu'alors ne comprend encore que l'homme dans sa définition la plus globale. Mais séparant de loin l'intelligence animale et végétale.
Si une intelligence artificielle était créée, qu'est-ce qui la différencierait d'une intelligence spontanée ?
Avant de commencer, il faudrait prendre un type d'intelligence spontanée pour faire un duplicata et une comparaison. Comme expliqué ci-haut, il est très difficile à l'homme de s'imaginer une imitation parfaite de lui-même. Sa vanité tend à faire des blocages. Il est parfois préférable de prendre une plante pour commencer. Ensuite, cela dépend jusqu'à quel niveau elle a été mise au point. Il n'y a de limite que l'imagination. Aujourd'hui, nous nous basons uniquement sur les dernières créations robotiques intégrant des prémices à l'intelligence artificielle pour nous donner une idée. Dans l'absolu, rien ne devrait les différencier. L’AI devrait être capable de ressentir les émotions. Simplement, en intégrant ce que les "autres" ressentent comme de nouvelles données. En utilisant le même processus que nous utilisons via l'empathie. Plus couramment, il lui suffirait de se "mettre à la place" de quelqu'un pour essayer de comprendre ce qu'elle ressent. Actuellement, cela revient aux analyses et calculs complexes qu'opèrent les ordinateurs scientifiques. Nous ne pouvons jamais comprendre qui que ce soit de la plus parfaite façon. Nous ne pouvons que nous faire une idée en analysant la situation qu'au travers de ce que nous percevons chez les autres. Nous ne pouvons vraiment comprendre une situation qu'en la vivant nous-même. Et encore, notre vécu sera souvent différent de ce que les autres auront perçus. Chose que l'AI devrait être en mesure de réaliser si elle veut survivre : explorer par elle-même et mettre en pratique ses "données acquises". C'est un peu l'histoire du singe qui descend de son arbre pour devenir ce qu'il est aujourd'hui.
Mais sera-t-elle consciente de son existence et de son origine ?
Quant au HS, il ne l'est pas tant que ça. Le zombie existe depuis des nombreux siècles. On en trouve des traces dans toutes les grandes civilisations à travers le monde et l'histoire. Effectivement, chaque période a connu une créature la menaçant. A la différence, c'est qu'aujourd'hui, le zombie est rendu présent jusque dans les éprouvettes de nos scientifiques. Je ne sais pas si cela été validé, mais il y a cette histoire de
création de cellule morte-vivante dernièrement. Que le zombie soit plus effrayant que le vampire n'est que proportionnel à la possibilité d'expression. Quand le vampire déchaînait les passions dans le vieux Londres, il n'y avait qu'un ou deux romans pour se régaler de ces histoires. Bien que les moeurs sombres de cette époque lui ait offert un terrain dégagé pour la création de légendes urbaines. Le zombie a beaucoup plus de marge pour errer aujourd'hui sur les différents supports : films et séries, jeux vidéos de toutes plateformes, romans et autres créations artistiques.
Ceci n'est que mon avis personnel et de très tôt le matin sans café.
