La pierre philosophale des alchimistes redécouverte .
Du moin une poudre qui en aurait les caractéristques .


Depuis des temps immémoriaux , sorciers et alchimistes prétendaient se servirent d’ une poudre blanche aux caractéristiques magiques .
Cette substance étrange aurait probablement été redécouverte en 1976 par un agriculteur de Phoenix Arizona , David Hudson . Il nous explique comment .
En fait sa terre souffrait d’ un taux élevé de sodium qui durcissait la surface et la rendait étanche a l’ eau . Pour modifier cela , il décida d’ injecter de l’ acide sulfurique dans le sol afin de briser cette croûte et de lui donner une consistance malléable .
En analysant les composants qui n’ avaient pas été dissous par l’ acide , il découvrit qu’ un des matériaux avait des propriétés inhabituelles .
Chauffé par le soleil , cet substance s’ enflammait et disparaissant en laissant échapper un grand éclat de lumière blanche .
On essaya par la suite d’ identifier cet élément , sans trop de succés . On décida d’ envoyer un échantillon à l’ académie des sciences soviétiques qui conclura par ses termes :
- cette matière blanchâtre brillante était entièrement composée de métaux platinoïdes sous une forme inconnu de la science . 
D’ après Hudson et suite à ses travaux , il semblerait qu’ un nombres importants de métaux précieux et d’ autres moins précieux , parmi lesquels le Rhodium , l’ Iridium , l’ Or , le Platine , le Palladium et le cuivre pourraient être isolés à l’ état solide bien que non métallique , sous forme d’ une poudre grise ou blanche aux propriétés fascinantes .
Hudson les appellera éléments Ormus ( éléments monoatomiques à orbites réorganisé ) .
Lors d’ une expérience Hudson aurait vu disparaître dans un vif éclat de lumière une préparation acqueuse de rhodium ormus , chauffé au soleil .
En soumettant plusieurs fois de l’ iridium ormus à des chauds et froids intenses , il s’ était aperçu que le poids de la matière oscillait brutalement à chaque cycle , au point de disparaître complètement puis de revenir à sa valeur initiale .
Atres étrangetés observés , des gouttelettes de liquide contenant un élément ormus se formait à l’ extérieur de récipients fermés , particulièrement sous l’ effet de champs magnétiques .
Les atomes ormus passeraient à travers les parois par des tunnels quantiques en transportant un peu d’ eau .
Exposer à une certaine température , la substance se désagrégeait pour devenir une poudre monoatomique ( un seul atome ) , et qu’ à se stade son poids diminuait de 56 % du poids d’ origine .
Amener à une température de 1100 ° , elle se transformait en verre clair et son poids retrouvait les 100 % d’ origines .
Un jours , Hudson décida d’ administrer une préparation à base d’ ormus à un chien atteint de cancer . L’ animal guérira et des volontaires humains se preterent à l’ expérience obtenant de très bon résultats .
Hudson en distribuera quelques échantillons à des médecins qui les prescriront à des malades en phase terminale .


Une importante quantité d’ éléments Ormus , qui serait soumis à un puissant champ magnétique pourrait dématérialiser la matière en la projetant vers une autre dimension .

Certaines de ses caractéristiques sont à peine redécouvertes et elles sont multiples . les éléments ormus défient toute les lois de la physique connues .

BM7 bonjour,
Tes articles sont intéressant mais ils le seraient encore plus si tu avais bien l'obligeance de citer tes sources sur lequel tu recopies ses textes.
Merci

Merci pour ce franc moment de rigolade ...

Un beau ramassi de patascience, faisons maintenant une bref revu de se texte :

Bon commençons par cette agriculteur qui fou de l'acide sulfurique dans ces champs ... pour rendre la terre plus molle ???????? Franchement je doute du resultat d'une part, et en plus je pense qu'il fera plus poussé grand chose aprés ce genre de traitement.




Chauffé par le soleil ? Quel température ? Par ce que sinon qu'on m'explique comment cette "poudre" à survécu jusqu'a ce que notre agriculteur la trouve ? Surtout en Arizona.



Qu'est-ce que les sovièt viennent faire la dedans ? Si je ne m'abuse l'histoire dont tu parle ce passe dans les année 70, hors les USA et l'URSS sont pas super pote ... et là tu laisse sous entendre qu'un échantillon de matière "extraordinaire" aurait quitté le territoire américain pour etre étudier par des Sovièt ?
Rien que le contexte politique pose problème, cette histoire pu l'incohérence.
Sans parler de la tournure "inconnu de la science", qui n'aura sans doute pas été employé dans un vrai rapport, ou l'on se serait contenté de mettre "inconnu" (un indice de plus pour dire que cette histoire est monté de toute pièce)



C'est bizarre ce cher Hudson qui il yza deux paragraphe était agriculteur ce retrouve tout un coup bombardé une espèce d'expert.
Ses travaux ? Avec quel moyen ? Quel connaissance à le bonhomme ? Quel protocole on été suivi ?
Ca devien lassant l'éternelle histoire du paysant solitaire qui fait une grande découverte et qui sans connaissance dans le domaine arrive à mieux étudier l'objet en question que des institu reconnu dont c'est la profession.



tien et comment prépare t-il ces Ormus ?



Ah bah là, il est fort ... ça ce passe de commentaire.




Ah bah oui forcément, la patascience n'est pas la patascience sans un peu de méca quantique ni de champs magnétique .... Teslas est pas le coup, à tout hasard ?
Le jour ou tu fera passé un objet de taille macrascopique au travers d'un récipient par effet tunnel, tu tien un prix nobel.



Ah la c'est puissant, donc notre poudre monoatomique ce désagrège pour devenir monoatomique, qu'elle interet elle l'est déjà ????
En outre comment ce bon vieu fermier à t-il pu conclure que l'objet obtenu était monoatomique (quel matos avait-il dans ça grange ?)




Mais bien sur ... et la marmotte elle mais le chocolat dans le papier d'ormus ...



Oh bah oui, pourquoi pas tant qu'on y est ... d'ailleur cet autre dimention il l'on trouvé comment ?



C'est pas les lois de la physique que ça défie, mais le bon sens ... ce genre de ramassi de foutaise est un insulte à l'intelligence du lecteur.

Pourquoi les patascientifique n'essaye t-il pas de rendre leur élugubration un poil plus crédible ? Ce serait pas dur, car là j'ai l'impression de lire une mauvaise rédaction d'un élève de primaire ...

PS : je demande pas de sources, je me doute du genre de site d'ou viennent ces histoires.

Là, oui, en effet, il est très fort... Rien ne se perd, tout se transforme. Qu'est donc devenu cet iridium?
Agriculteur, expert et magicien: bravo Hudson!

C'est à la limite du flood même...mais bon.

A la décharge de BM7, c'est peut-être la seule partie du texte qui soit crédible.

La sodisation correspond à une trop forte adsorption des ions sodium sur le complexe argilo-humique du sol, qui s'accumulent dans le sol en cas de forte chaleur et d'évaporation. Comme la sodisation s'accompagne souvent d'une salinisation, il se forme peu à peu une "croûte" saline à la surface du sol.

Pour remédier à ce problème, les agriculteurs d'autrefrois avaient l'habitude d'épandre sur leur parcelle des acides organiques (dont l'acide sulfurique) qui ont la propriété de renforcer la capacité d’échange cationique du complexe argilo-humique et de favoriser la désorption du sodium au profit d'ions plus bénéfiques (le calcium, par exemple).
Bien sûr, d'un point de vue écologique c'est une vraie catastrophe, on détruit la quasi-totalité de la micro-faune et de la flore du sol. Mais bon, à l'époque où cela se faisait, la protection de l'environnement et la gestion intelligente du sol ne s'étaient pas encore répandus dans les esprits.

Source . les élements ORMUS .
Magazine NEXUS 4 - 50 - 34

Je n' adhère pas à 100 % aux informations contenues dans ses magazines . Je me contente seulement de vous transmettre une information que j' ai puiser dans les magazines en questions .

Je me dis que peut - être d' autres internautes en lisant d' autres magazines seraient tombés sur se genre d' informations et qu' ils pourraient nous éclairer on ne peu plus sur la véracité de ses informations .

En tapant sur internet elment ORMUS , je suis tombé sur cet article .
du temps présent.


LA POUDRE D’OR BLANCHE REDECOUVERTE

Quittant le Moyen Orient, notre histoire se poursuit en Amérique où, tout à fait par hasard, les mystères de cette science depuis longtemps oubliée ont été redécouverts très récemment. Non seulement le mfkzt a refait surface pour prendre place au premier rang de la recherche en physique quantique, mais les histoires de l’Arche d’Alliance, les récits mettant en scène éclairs de lumière, lévitation et autres attributs divins des textes anciens, sont soudainement devenus des réalités scientifiques modernes.
L’histoire de cette première découverte a été relatée en 1996 dans des articles de NEXUS par l’agriculteur David Hudson de Phoenix, Arizona. Il expliquait que sa terre souffrait d’un taux élevé de sodium qui durcissait la surface et la rendait étanche à l’eau. Pour corriger cela, (en 1976), il injecta de l’acide sulfurique dans le sol afin de rompre cette croûte et de lui donner une consistance malléable. Mais en analysant les composants qui n’avaient pas été dissous par l’acide, il découvrit qu’un des matériaux avait des propriétés inhabituelles. Chauffé par le soleil de l’Arizona, ce composant s’enflammait en un grand éclat de lumière blanche et disparaissait complètement. Cependant, à l’analyse spectroscopique, cette substance se révéla être "du pur rien" !
Après des essais infructueux à l’université de Cornell, un échantillon fut envoyé aux laboratoires Harwell, dans l’Oxfordshire en Angleterre, pour une analyse d’activation neutronique, mais même cela ne permit pas une indentification valable. Finalement, moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrement composée de métaux platinoïdes sous une forme jusque-là inconnue de la science.
Au fil de la poursuite de ces recherches, le matériau fut régulièrement chauffé et refroidi, ce qui eut pour effet une fluctuation de son poids gravitationnel. On observa également qu’à une certaine température, la perle blanche se désagrégeait pour devenir une poudre monoatomique (un seul atome) et qu’à ce stade son poids diminuait de façon spectaculaire à 56% du poids d’origine. Une montée en température jusqu’à 1160°C transformait cette substance précieuse en un verre merveilleusement clair, tandis que son poids retrouvait les 100% d’origine. Cela semblait impossible, mais l’expérience fut répétée nombre de fois !

Complètement perplexes, les scientifiques poursuivirent leurs investigations. En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gaz inertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois sa valeur d’origine; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ils s’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque le matériau s’y trouvait et que la substance possédait la propriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait. En d’autres termes, même le plateau était en lévitation ! Ceci correspondait exactement à l’ancien texte alchimique alexandrin qui, 2000 ans plus tôt, disait de la Pierre en or du Paradis que : "la matière surpasse en poids sa quantité d’or d’origine, mais une fois transformée en poudre, elle ne fait pas le poids en balance avec une plume".

Il fut établi aussi que la substance était un supraconducteur naturel à champ magnétique nul, repoussant également les pôles magnétiques nord et sud, tout en ayant le pouvoir de lévitation et d’emmagasiner n’importe quelle quantité de lumière et d’énergie.
Parvenu à ce stade, David Hudson rencontra le Dr Hal Puthoff, Directeur de l’Institut des Etudes Avancées à Austin, Texas. Dans sa recherche sur l’énergie et la gravité au point zéro en tant que force fluctuante de point zéro, Puthoff avait établi que, lorsque la matière commence à réagir en deux dimensions (comme le faisaient les échantillons d’Hudson), elle devait théoriquement perdre environ 4 neuvièmes de son poids gravitationnel. Cela représente environ 44%, précisément le chiffre résultant des expériences sur la poudre blanche.
Hudson fut donc en mesure de confirmer, par la pratique, la théorie de Puthoff, selon laquelle lorsque la poudre monoatomique passe à un état de supraconductivité, elle n’accuse que 56 % de son poids d’origine ; et aussi que lorsqu’elle est chauffée elle peut parvenir à un état gravitationnel inférieur à zéro, si bien qu’à ce point le plateau pèse moins que lorsqu’il est vide.

···finalement moyennant l’assistance de l’Académie des Sciences Soviétique, on parvint à la conclusion que cette mystérieuse matière blanche brillante était entièrementcomposée de métaux du groupe platinique sous une formejusque-là inconnue de la science

En chauffant et en refroidissant de façon répétée, sous des gazinertes, ils découvrirent que la phase de refroidissement portait l’échantillon à un poids incroyable égal à 400 fois savaleur d’origine ; mais en le chauffant à nouveau, le poids diminuait à moins que rien, une valeur largement négative. Lorsqu’ils retirèrent l’échantillon du plateau, ilss’aperçurent que celui-ci était plus lourd que lorsque lematériau s’y trouvait et que la substance possédait lapropriété de transférer son apesanteur à l’objet qui le contenait.···


Comme la gravité détermine l’espace-temps, Puthoff conclut que la poudre était une "matière exotique", capable d’infléchir l’espace-temps.

Cependant la poudre mfkzt devait alors (selon la théorie) entrer en résonance dans une autre dimension, dans quel cas elle devait devenir complètement invisible. Hudson confirma une fois de plus que c’était exactement le cas : l’échantillon disparaissait en effet à la vue tandis que son poids s’annulait.
Ce dont il était question, ce n’était pas simplement la disparition visuelle de la substance, mais qu’elle était littéralement transportée dans un plan alternatif parallèle, une cinquième dimension de l’espace-temps. La démonstration en fut faite lorsqu’on tenta de là remuer et de la ramasser avec une spatule, de telle sorte que, lorsqu’elle réapparaîtrait à la vue, sa position soit différente. Mais cela ne se produisit pas, toute la substance réapparut exactement dans la même position et la même forme qu’au départ. Rien n’avait été dérangé pendant la période d’invisibilité, parce qu’il n’y avait plus rien eu de présent dans le plateau. Bref, la substance n’avait pas été invisible, elle avait en fait modifié son état physique et était passée dans une autre dimension.
Le Dr Puthoff expliqua que c’était analogue à la différence entre un avion furtif, qui ne peut être détecté par les radars, et un aéronef qui serait carrément passé dans une autre dimension.

Ceci donc, est la dimension supraconductrice de l’Orbite de la Lumière ou, comme il est écrit sur les tombes égyptiennes, Du Champ de Mfkzt.

Au début des années 1990, des articles concernant les atomes furtifs et la supraconductivité commencèrent à être publiés très régulièrement dans la presse scientifique. L’Institut Niels Bohr à l’université de Copenhagen, ainsi que les Argonne National Laboratories à Chicago et le National Laboratory Oak Ridge, au Tennissee, dépendants du Département US de l’Energie, confirmèrent tous que les éléments découverts par Hudson existaient certainement en l’état monoatomique. Ceux-ci incluaient l’or et le groupe des métaux platiniques : l’iridium, le rhodium, le palladium, le platine, l’osmium et le ruthénium.

En déposant ses brevets, Hudson fit classer les substances en tant qu’Eléments Monoatomiques à Réarrangement Orbital (EMRO) [Ndt : ORME en anglais], et la terminologie scientifique décrivant le phénomène monoatomique est : "haut-spin déformé assymétriquement". Ces substances sont supraconductrices parce que les atomes à haut-spin peuvent transmettre l’énergie de l’un à l’autre sans aucune perte.

Merci pour ce complément d'info, je l'ignorait totallement.

Aurait-tu des lien quelquonque qui parle des conséquence du dit procédé, et de la concentration des acide utilisé.
Les sol ainsi traité présentait-il toujours de bon rendement en terme de production ?

J'essaye, mais pour l'instant je n'ai réussi à en trouver aucun. J'explique cette absence d'informations par le fait que cette pratique est ancienne et est toujours restée assez marginale de toute façon.
Je vais éplucher le web anglais, pour voir s'il y a plus d'infos à ce sujet.

En revanche, si tu cherches des informations sur la sodisation, une recherche Google te donnera de nombreux résultats... car c'est un problème qui est encore cruellement d'actualité dans les PED.


Après l'épandage d'un acide, je suppose qu'il faut laisser un petit moment au sol pour qu'il se reconstruise, que le nouvel équilibre cationique du CEC s'établisse et que la micro-faune/flore réinvestisse le milieu.
Mais ensuite, oui, le rendement est nettement meilleur que lorsque le sol souffrait d'un excédent de sodium.

Ahhh Nexus, le monde de l'inconnu , Spiderman magazine.. autant de magazines on ne peut plus sérieux traitant les phénomènes inexpliqués avec un esprit Cartésiens et une solide approche scientifique .