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Hydrolagus Matallanasi
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Hydrolagus Matallanasi
Découverte d'une espèce de poisson d'origine préhistorique
Au large des côtes de Rio de Janeiro, deux chercheurs brésiliens ont découvert un poisson dont l'origine remonte à plus de 150 millions d'années. Baptisé 'Hydrolagus Matallanasi', en hommage à l'ichtyologue catalan Jesus Matallanas, ce poisson cartilagineux qui évolue entre 400 et 750 mètres de profondeur appartient à la famille des chimères (celle des requins et des raies) et n'aurait presque pas évolué depuis la préhistoire. (AFP)

Au large des côtes de Rio de Janeiro, deux chercheurs brésiliens ont découvert un poisson dont l'origine remonte à plus de 150 millions d'années. Baptisé 'Hydrolagus Matallanasi', en hommage à l'ichtyologue catalan Jesus Matallanas, ce poisson cartilagineux qui évolue entre 400 et 750 mètres de profondeur appartient à la famille des chimères (celle des requins et des raies) et n'aurait presque pas évolué depuis la préhistoire. (AFP)

Ce poisson qui a été découvert il a été péché entre 400 et 750 mètres de profondeur ?? Ou alors, il a été trouvé mort et on a émis cette hypothèse ??? Si on l'a péché, pourrais-tu nous dire la méthode ?
Puis s'il était vivant, ils ont dû réussir a le maintenir en vie.......?
Enfin si on pouvait en savoir un peu plus cher Zeh
Puis s'il était vivant, ils ont dû réussir a le maintenir en vie.......?
Enfin si on pouvait en savoir un peu plus cher Zeh

°°° Kriskacore °°°
L'Hydrolagus Matallanasi, trouvé au large du Brésil, mesure entre 30 et 40 cm et est doté d'un crochet sur la tête. Son origine remonte à 150 millions d'années.
Deux chercheurs ont publié jeudi 17 juin la photo d'un poisson inconnu dont l'origine remonte à plus de 150 millions d'années.
Baptisé Hydrolagus Matallanasi, ce poisson cartilagineux qui évolue entre 400 et 750 mètres de profondeur appartient à la famille des chimères (celle des requins et des raies) et n'aurait pratiquement pas évolué depuis la préhistoire, a précisé Jules Soto, conservateur du Musée d'océanographie d'Itajai (Santa Catarina).
Jules Soto et Carolus Vooren ont découvert l'animal au large des côtes de Rio de Janeiro (sud-est du Brésil) et de Santa Catarina (sud). Les premiers Hydrolagus Matallanasi ont été remontés à la surface par hasard dans les filets de pêcheurs en 2002. L'année suivante, Soto et Vooren ont décidé de capturer d'autres specimens. Le résultat de leurs analyses vient d'être publié dans la revue internationale Zootaxa.
Epines
L'Hydrolagus Matallanasi, mesure entre 30 et 40 cm de long, deux fois moins que les espèces similaires observées auparavant
Il porte sur la tête une sorte de crochet couvert de petites épines. Selon des spécialistes, seuls les mâles seraient dotés de cet appendice, qui servirait à tenir la femelle lors de l'accouplement.
Selon Dominique Didier, de l'Académie des Sciences de Philadelphie aux Etats-Unis, "cette découverte constitue le maillon qui manquait pour comprendre la chaîne évolutive des chimères". - Source : nouvelobs
Ces spécimens ont été remontés à la surface, par hasard, dans les filets de pêcheurs.
- Léviathan
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- Message(s) : 1152
- Inscription : Lun Mars 17, 2003 20:41
- Localisation : Au fond des mers...
Exactement, on ne va pas s'en plaindre. Le tout est de protéger les espèces.
C'est comme le coelacanthe que tout le monde connaît maintenant. Lui aussi a été découvet par hasard en examinant les filets de pêches. En 1938... bien que les Comoriens le connaissait déjà sans savoir je pense qu'il s'agissait d'une espèce datant de la préhistoire. Ceux-ci le pêchaient et le mangeaient, simplement comme n'importe quel poisson.
C'est comme le coelacanthe que tout le monde connaît maintenant. Lui aussi a été découvet par hasard en examinant les filets de pêches. En 1938... bien que les Comoriens le connaissait déjà sans savoir je pense qu'il s'agissait d'une espèce datant de la préhistoire. Ceux-ci le pêchaient et le mangeaient, simplement comme n'importe quel poisson.
Parmi les nouvelles espèces découvertes, la plupart viennent des océans...
- Saint Eloi
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- Message(s) : 902
- Inscription : Jeu Septembre 02, 2004 18:44
- Localisation : Rouen
le coelacanthe est un poisson à la nage lente, qui rampe presque au fond de la mer. C'est pourquoi il est difficile a capturer avec des filets, qui en général se déchireraient sur les récifs à cette profondeur. Les individus pris étaient des téméraires ou curieux remontant un peu trop.
Un fossile vivant trouvé de manière vraiment étonante est cette crevette :
En 1975, deux spécialistes des crustacés du Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris découvrirent une sorte de crevette inconnue dans les collections de la Smithsonian Institution à Washington. Elle avait été pêchée par le navire océanographique Albatross au large des Philippines en 1908. Il s'avéra que ce crustacé appartenait à la famille des glyphéidés, présumée disparue depuis l'éocène, soit quelque 50 millions d'années, justifiant ainsi son nom scientifique de Neoglyphea inopinata (Forest et Saint-Laurent 1975).
issu de : http://perso.wanadoo.fr/cryptozoo/foss_viv.htm
Sinon, il y a ce fossile vivant bien connu : le nautile, apparut avant les ammonites (disparues à la fin du secondaire) au cambrien, et leur succède encore !
Un fossile vivant trouvé de manière vraiment étonante est cette crevette :
En 1975, deux spécialistes des crustacés du Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris découvrirent une sorte de crevette inconnue dans les collections de la Smithsonian Institution à Washington. Elle avait été pêchée par le navire océanographique Albatross au large des Philippines en 1908. Il s'avéra que ce crustacé appartenait à la famille des glyphéidés, présumée disparue depuis l'éocène, soit quelque 50 millions d'années, justifiant ainsi son nom scientifique de Neoglyphea inopinata (Forest et Saint-Laurent 1975).
issu de : http://perso.wanadoo.fr/cryptozoo/foss_viv.htm
Sinon, il y a ce fossile vivant bien connu : le nautile, apparut avant les ammonites (disparues à la fin du secondaire) au cambrien, et leur succède encore !
- Léviathan
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- Message(s) : 1152
- Inscription : Lun Mars 17, 2003 20:41
- Localisation : Au fond des mers...
Il y a bien des espèces que l'on ne peut garder en captivité, car elles meurent. Elles ne sont plus dans leur environnement naturel, et perdent tout leur repère.
Comme justement on ne les connaît pas, on ignore leur mode de vie et ne savons pas de quoi elles peuvent avoir besoin.
Quitte à ne rien savoir sur ces espèces, je préfère les savoir en liberté plutôt que de les voir dépérir dans des bassins ou aquariums.
Comme c'est le cas avec mon copain: le calmar géant qui ne survit pas à la captivité. Et malheureusement il a bien fallu se rendre à l'évidence lorsque toutes les tentatives de captivité échouèrent.
Comme justement on ne les connaît pas, on ignore leur mode de vie et ne savons pas de quoi elles peuvent avoir besoin.
Quitte à ne rien savoir sur ces espèces, je préfère les savoir en liberté plutôt que de les voir dépérir dans des bassins ou aquariums.
Comme c'est le cas avec mon copain: le calmar géant qui ne survit pas à la captivité. Et malheureusement il a bien fallu se rendre à l'évidence lorsque toutes les tentatives de captivité échouèrent.
Parmi les nouvelles espèces découvertes, la plupart viennent des océans...
- Ed_Hunter666
- Message(s) : 119
- Inscription : Ven Septembre 03, 2004 18:33
- Localisation : Toulouse
Léviathan a écrit :Exactement, on ne va pas s'en plaindre. Le tout est de protéger les espèces.
Je suis d'accord avec toi, mais alors qu'est-ce que tu fais des espèces hostiles à l'homme? Faut-il les exterminer ou au contraire les protéger pour que la nature garde un certain équilibre?
lorsqu'il n'y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur terre
- Noxpiritus
- Message(s) : 11
- Inscription : Sam Octobre 23, 2004 21:09
On dévie pas un peu du sujet? je vois pas personnellement en quoi un poisson blanchâtre de plusieurs millions d'années et de la taille d'une belle truite pourrait être dangereuse , ou alors elle a caché ses dents ...
J'ai souvent peur dans la nuit
D'être si seul et petit
Dans l'ombre qui sans cesse grandit
D'être si seul et petit
Dans l'ombre qui sans cesse grandit
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