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Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
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- morgane9513
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Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Quand il y a du fric en jeu (comme dans le cas qui est donné en lien) , on peut se demander où est la limite en mythomanie et escroquerie.
Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Morgane: ça, on l'ignore. Le mensonge a été prouvé, par l'escroquerie (pas la volonté d'escroquer, en tous cas). J'aimerais éviter de sombrer dans des accusations infondées même si aucun nom n'a été cité.
Pour la carotte, le lapin représente le mal absolu.
- directeur adjoint Skinner
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Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
L'Apocalypse du 21 décembre 2012 n'a pas eu lieu. Ce ne fut pourtant pas une surprise. Lisez cet article et vous comprendrez:
http://www.paranormal-encyclopedie.com/wiki/Articles/2012
http://www.paranormal-encyclopedie.com/wiki/Articles/2012
- Le petit baigneur
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Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Les joies du Facebook quand on ne le maîtrise pas... 

TAKE A KAYAK! / Céline Dion
Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Je veux bien que ce soit la faute de la petite, mais là les gens sont tout aussi débiles de venir se taper l'incruste et de mettre le bazar. Ils n'ont que ça à faire ou quoi ?
"La vérité appartient à ceux qui la cherchent et non point à ceux qui prétendent la détenir."
Condorcet
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Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Une autre histoire d'horreur à propos de Facebook...

Quand Facebook vous salit
Marie-Claude Malboeuf
La Presse
Une enseignante montréalaise qui s'affiche nue sur le site web MySpace, y étale ses préférences sexuelles et invite ses élèves à consulter le tout: plusieurs jeunes y ont cru. Et la direction de son école aurait bien pu les imiter lorsqu'un parent outré lui a transmis près d'une dizaine de photos compromettantes.
L'adresse, le lieu de travail et le salaire de la jeune femme (que nous appellerons Anne) avaient beau être exacts, son profil avait pourtant été fabriqué de toutes pièces, quelques semaines après une rupture ayant mal tourné.
Dans une autre école de Montréal, Sonia, une autre enseignante, a pour sa part découvert par pur hasard une page Facebook destinée à la haïr. On y montrait une femme nue, souffrant d'obésité morbide et allongée sur un lit. Sous cette photo, qui n'était pas la sienne, une soixantaine de commentaires cinglants la taillaient en pièces. «Pourvu qu'elle se suicide», a même écrit un élève.
«Quand ça arrive, c'est un séisme. La honte. J'ai développé un traumatisme par rapport à l'internet», nous a confié l'enseignante quelques mois après sa découverte.
Un an après sa propre humiliation, Anne demeure tout aussi bouleversée. «C'est un viol complet, dit-elle. J'ai voulu mourir. J'ai arrêté de travailler, alors que je dois faire vivre mes deux enfants. Je veux retourner en classe, mais je vis dans la peur que cette histoire me rattrape.»
Deux enseignantes, deux histoires, le même constat d'impuissance. Car la police ne peut apparemment rien pour elles - ni pour plusieurs autres Montréalais qui vivent la même chose chaque année. «L'enquêteur m'a dit de procéder au civil, s'indigne Anne. Mais comment puis-je monter ma preuve moi-même quand tout a été fait de façon anonyme?»
Outrée devant l'impunité des cyberagresseurs, la jeune femme a créé un blogue et une page Facebook pour que les victimes se liguent et fassent moderniser les lois.
«L'internet m'a détruite, et je vais maintenant m'en servir pour me défendre, dit-elle. Il y a une grosse faille dans le système depuis que les médias sociaux nous ont fait perdre le contrôle de notre vie privée. N'importe qui peut mettre des photos de toi saoule dans un party: ton employeur va les voir et peut-être te renvoyer. Le droit n'est pas adapté aux nouvelles réalités.»
Sur la Toile, on n'a pas à chercher très loin pour trouver semblables cris du coeur et groupes de soutien. Car les faux profils et autres campagnes de salissage sont innombrables. «On reçoit environ 70 appels par semaine à ce sujet, et ça ne cesse d'augmenter. Des tas de vie sont détruites, parfois de façon permanente», révèle en entrevue l'ancien policier et détective privé américain Bruce Anderson, qui a ouvert, il y a un an, une société spécialisée en cyberenquêtes, ReputationDefenseOnline.com.
«Quand les gens en arrivent à nous appeler, la situation est critique, précise-t-il. Ils ont perdu le sommeil et leur emploi parce qu'ils font face à des sociopathes qui se sont donné pour mission de les détruire.»
Des entreprises diffamées par des clients, des employés ou des concurrents représentent environ 40% de sa clientèle. Les nombreux individus qu'il aide le reste du temps sont généralement connus ou fortunés: mannequins, PDG, etc. Faute de moyens, les gens ordinaires n'ont nulle part où aller, déplore-t-il, sauf lorsque l'affaire est très grave.
«Il y a un vide immense. Plusieurs avocats ne savent pas comment procéder devant les attaques anonymes. Le FBI est trop occupé à enquêter sur des crimes plus menaçants pour la sécurité du pays. Et la police locale n'a pas assez de ressources pour s'occuper de ces dossiers. À moins qu'ils n'impliquent des sommes importantes ou une figure publique susceptible de la faire bien paraître...»
Fausses escortes
Au Service de police de la Ville de Montréal, l'an dernier, la section des crimes technologiques a été appelée en renfort dans une soixantaine de dossiers du genre, indique son chef, Francesco Secondi. Selon le Code criminel, se faire passer pour une autre personne dans l'intention de «causer un désavantage» ou «d'obtenir un avantage» (ce qui s'appelle la supposition de personne) est passible d'une peine maximale de 10 ans de prison. Le libelle diffamatoire est par ailleurs passible d'une peine de cinq ans.
Mais cela ne suffit pas à déclencher une enquête. «Tout est évalué à la pièce, précise M. Secondi. Ça aide lorsqu'un autre crime s'ajoute. Est-ce répétitif au point de constituer du harcèlement? Des menaces ont-elles été proférées? Est-ce un cas d'extorsion? Tout dépend aussi de la profession de la victime et des dommages qu'elle risque de subir.»
«Quand quelqu'un se sert de l'internet pour offrir des faveurs sexuelles au nom de son ex et que l'autre reçoit soudain des centaines d'appels, cela devient une forme de harcèlement et on s'en occupe», illustre-t-il.
En 2007, un militaire a par exemple inscrit son ancienne conjointe, animatrice de télé à Québec, sur le site de rencontres Réseau Contact, écrivant qu'elle était «une bisexuelle à la recherche du mâle parfait ouvert aux expériences». Même si la jeune femme a craint pour sa sécurité et celle de sa fille de 3 ans, elle a préféré intenter une poursuite au civil que de porter plainte au criminel. L'an dernier, elle a obtenu 17 500 $ de dommages moraux et punitifs.
Les amoureux éconduits qui tentent de se venger en diffusant photos et vidéos dérangeantes sont de plus en plus nombreux, dit M. Secondi, mais leurs victimes sont souvent invitées à porter une plainte privée.
Que faire lorsqu'on n'a pas les moyens de se battre? Le commun des mortels commence par réclamer - avec plus ou moins de succès - le retrait des pages web offensantes. Le processus peut être long et ard u, déplorent les internautes sur des dizaines de sites. Les images peuvent par ailleurs se répandre comme un virus et réapparaître sans cesse.
«Dans mon cas, MySpace a mis trois jours à réagir, raconte Anne. Pendant ce temps, de plus en plus d'élèves avaient accès aux photos. Il faut mieux encadrer ces réseaux. Ils font de gros profits avec leurs membres et devraient investir davantage pour les protéger.»
En attendant, contrairement à une victime d'agression physique, la jeune femme ne peut compter sur le soutien de la CSST, ni sur celle du Centre d'aide aux victimes d'actes criminels (CAVAC). «J'ai pourtant bel et bien été victime d'un crime. La société doit évoluer», dit-elle.
Selon l'Alliance des professeurs de Montréal - qui a géré une douzaine de cas depuis cinq ans -, les écoles ont aussi des progrès à faire. «Ça prendrait des sanctions uniformes dans leurs codes de vie, plaide le porte-parole du syndicat, Yves Parenteau. C'est plus facile de protéger son personnel quand on ne perd pas de temps à se demander comment procéder.»
Les élèves ayant tourmenté Sonia ont été rapidement convoqués par la direction de son école. «Des remontrances, c'est maigre comme conséquence, estime-t-elle tout de même. Il faut punir les lâches pour les dissuader. Sinon, en quelques clics, ils peuvent faire tomber quelqu'un en dépression, le mettre au chômage, faire éclater son couple ou traumatiser ses enfants.»
***
Le lot des vedettes
Les faux profils et faux comptes Twitter de vedettes abondent. Même le grand patron d'Apple, Steve Jobs, n'y a pas échappé. Au Québec, une demi-douzaine de vedettes comme Dominique Michel et Pénélope McQuade ont réussi cette année à faire fermer de fausses pages ouvertes par un adolescent de 15 ans, qui s'amusait à correspondre en leur nom avec leurs admirateurs. Au lendemain des dernières élections fédérales, c'est la députée mystère du NPD, Ruth Ellen Brosseau, qui a connu le même sort, après avoir créé la surprise en étant élue dans Berthier-Maskinongé. Dès 2009, l'animatrice Clodine Desrochers avait dénoncé son usurpateur Facebook parce qu'il l'avait associée à un groupe vantant la fellation. Aux États-Unis, la femme de chambre disant avoir été agressée par l'ex-patron du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn a déjà été victime d'au moins deux faux profils.
TAKE A KAYAK! / Céline Dion
Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
La magie du net.
Les corbeaux ont un sacré parc de loisirs à disposition, et à part commencer à crypter tous les sites à la manière des https, je vois pas bien comment le problème va se résoudre.
Les corbeaux ont un sacré parc de loisirs à disposition, et à part commencer à crypter tous les sites à la manière des https, je vois pas bien comment le problème va se résoudre.
Ce que j'écris, ça se lit au 1er degré, des fois au second. Faites votre choix.
Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Pourtant tout cela me rappelle l'une, sinon la première, scène de Sexe intentions, où Sébastian balancent sur internet des images cochonnes de son ex avec des commentaires limites, après l'avoir manipulée. Pourtant ce film à une douzaine d'années.
"La vérité appartient à ceux qui la cherchent et non point à ceux qui prétendent la détenir."
Condorcet
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Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Comme quoi le concept n'est pas nouveau et fait toujours recette
Il suffit de voir certains jeunes à la sortie des collèges ou lycées, en train d'immortaliser leurs bagarres et autres bêtises sur téléphone portable avant d'en diffuser les images sur le net. Et encore, quand ce ne sont pas des images beaucoup plus trash mettant en scène leurs petites amies dénudées...

On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux. (Antoine de Saint-Exupéry)
Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
Linele a écrit :Comme quoi le concept n'est pas nouveau et fait toujours recetteIl suffit de voir certains jeunes à la sortie des collèges ou lycées, en train d'immortaliser leurs bagarres et autres bêtises sur téléphone portable avant d'en diffuser les images sur le net. Et encore, quand ce ne sont pas des images beaucoup plus trash mettant en scène leurs petites amies dénudées...
Oui en effet, et la massification de l'accès à internet a eu pour effet de voir ce phénomène s'accroitre rapidement.
"La vérité appartient à ceux qui la cherchent et non point à ceux qui prétendent la détenir."
Condorcet
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- directeur adjoint Skinner
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Re: Les bons réflexes à avoir vis-à-vis d'Internet
On peut désormais acheter Internet.fr, Hitler.fr, et Dieu.fr
L'Expansion.com avec AFP - publié le 05/07/2011 à 10:46
30 000 noms de domaines dits "sensibles" viennent d'être libérés par l'Afnic, qui a déjà reçu plus de 3500 demandes. Mais attention, tout le monde ne pourra pas prétendre à ces adresses.
"Entreprise", "email", "internet", mais aussi "islam", "genocide" et "rabbin": 30 000 noms de domaines internet jusqu'à présent interdits car jugés sensibles, peuvent désormais être achetés par toute personne ayant un motif "légitime", terme qui doit être défini par décret. "Il ne faut pas nier le fait que parmi ces noms, certains sont 'innocents' mais d'autres sont vraiment très sensibles", résume à l'AFP Loïc Damilaville, directeur général adjoint de l'Association française pour le nommage internet en coopération (Afnic), l'office d'enregistrement officiel du .fr.
Hitler.fr et Dieu.fr vont pouvoir trouver preneur
Les termes concernés sont répartis en plusieurs catégories: dans "Crimes", on trouve "camp-de-concentration", "hitler", "xenophobie", "nazisme"; dans "Libertés", "coran", "mosquee", "syndicat", "satan", "dieu" ou encore "eglise"; ou encore dans "Valeurs": "esclave", "maison-close", "mutilation".
Des milliers de noms de pays et de communes françaises ont également été mis à disposition d'éventuels acheteurs.
En octobre dernier, le Conseil constitutionnel avait censuré la loi de 2004 encadrant l'attribution des noms de domaine sur internet et fixé au 1er juillet la date limite pour revoir la législation. Le Conseil avait en effet estimé qu'au regard du "développement généralisé des services de communication au public en ligne", l'encadrement "du choix et de l'usage des noms de domaine affectait la liberté de communication et la liberté d'entreprendre". Cette "inconstitutionnalité" a donc pris fin vendredi, avec la "libération" de quelque 30 000 noms de domaines.
"Motifs légitimes"
Toute personne physique ou entreprise "démontrant des motifs légitimes" et ayant été la première à déposer son dossier pourra devenir propriétaire d'un de ces nouveaux noms de domaine, pour développer un site internet ou rediriger les internautes vers un autre site.
Depuis vendredi 1er juillet, l'Afnic a indiqué avoir reçu plus de 3550 dossiers de demande. Reste à savoir ce qui sera reconnu comme un "motif légitime" pour acquérir tel ou tel nom de domaine: "le décret d'application, qui devrait sortir dans les prochains jours, devrait encadrer ce que l'on entend par légitime, et il faudra voir de qui émanent les demandes que nous recevons", indique Loïc Damilaville. "Ensuite bien sûr, si l'utilisation du nom de domaine n'est pas conforme à ce qui était indiqué dans le dossier, s'il y a des utilisations excessives ou des dérives, le nom de domaine pourra potentiellement être repris", souligne-t-il.
"Ces demandes concernent plus d'un millier de termes différents, nous avons donc en moyenne trois demandes pour un même terme. Les mots les plus demandés sont 'internet', 'webmaster', 'email' ou encore 'entreprise'", indique Isabelle Toutaud, responsable juridique de l'Afnic.
Dans l'attente de la publication du décret, les dossiers ne peuvent pas encore être étudiés, a-t-elle précisé.
Le tarif médian d'un nom de domaine en .fr est en moyenne de 12 euros hors taxe par an.
En avril dernier, le nombre de noms de domaines se terminant par .fr avait dépassé la barre des deux millions. Au niveau mondial, le .fr occupe la 15e place. En tête du palmarès, l'extension .com qui compte quelque 85 millions de noms enregistrés. Deux autres extensions dépassent les 10 millions: le .de (Allemagne) et le .net (générique).
L'Apocalypse du 21 décembre 2012 n'a pas eu lieu. Ce ne fut pourtant pas une surprise. Lisez cet article et vous comprendrez:
http://www.paranormal-encyclopedie.com/wiki/Articles/2012
http://www.paranormal-encyclopedie.com/wiki/Articles/2012
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