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Analyse de l'eau de la Tamise cocaïnée
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Analyse de l'eau de la Tamise cocaïnée
L'eau de la Tamise montre une hausse de la consommation de cocaïne.
LONDRES (AFP) - La consommation de cocaïne à Londres est en forte augmentation, selon les résultats d'une analyse des eaux de la Tamise présentés dimanche par l'hebdomadaire conservateur Sunday Telegraph.
L'étude a consisté à mesurer la quantité de cette drogue passée des urines des consommateurs aux eaux du fleuve via les égouts.
Quelque 150.000 "lignes" (doses) du stupéfiant sont absorbées chaque jour dans la capitale britannique, ressort-il de cette enquête suggérant que les statistiques officielles sont 15 fois inférieures aux chiffres réels.
LONDRES (AFP) - La consommation de cocaïne à Londres est en forte augmentation, selon les résultats d'une analyse des eaux de la Tamise présentés dimanche par l'hebdomadaire conservateur Sunday Telegraph.
L'étude a consisté à mesurer la quantité de cette drogue passée des urines des consommateurs aux eaux du fleuve via les égouts.
Quelque 150.000 "lignes" (doses) du stupéfiant sont absorbées chaque jour dans la capitale britannique, ressort-il de cette enquête suggérant que les statistiques officielles sont 15 fois inférieures aux chiffres réels.
- ProcolHarum
Bonjour Wormwood,
How shocking!
Pour soutenir les autorités de sa gracieuse Majesté, c'est décidé : cette année, je ne participerai pas à la Peter Pan Cup Swimming Race! God save the Thames!
Plus sérieusement, savez-vous si de telles études ont été menées sur d'autres cours d'eau européens? Je serais curieux de connaître les résultats concernant la Seine, par exemple.
How shocking!
Pour soutenir les autorités de sa gracieuse Majesté, c'est décidé : cette année, je ne participerai pas à la Peter Pan Cup Swimming Race! God save the Thames!
Plus sérieusement, savez-vous si de telles études ont été menées sur d'autres cours d'eau européens? Je serais curieux de connaître les résultats concernant la Seine, par exemple.
Plus sérieusement, savez-vous si de telles études ont été menées sur d'autres cours d'eau européens? Je serais curieux de connaître les résultats concernant la Seine, par exemple.
Effectivement, il me semble qu'une étude semblable a été faite sur le Pô en Italie, et que les résultats étaient à peu de chose près les mêmes.
No comment...

J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.
Charles Baudelaire
Charles Baudelaire
- ProcolHarum
Très juste : http://eau.apinc.org/article.php3?id_article=391Chimère a écrit :Effectivement, il me semble qu'une étude semblable a été faite sur le Pô en Italie, et que les résultats étaient à peu de chose près les mêmes.
- Soleil_Noir
-
- Message(s) : 526
- Inscription : Dim Octobre 23, 2005 13:11
- Localisation : Sud
ProcolHarum a écrit :Plus sérieusement, savez-vous si de telles études ont été menées sur d'autres cours d'eau européens? Je serais curieux de connaître les résultats concernant la Seine, par exemple.
Pas que dans l'eau..

L'AFP et France Soir reviennent sur l'étude qui montre que les coupures en euro présentent des trace de cocaïne.
L'AFP qui note que les billets espagnols sont les plus contaminés, précise que selon les chercheurs ils comportent une valeur moyenne de 335 microgrammes de cocaïne contre 71 microgrammes pour les euros italiens, 6,6 microgrammes pour les euros allemands, les valeurs les plus faibles ayant été trouvées sur les billets finlandais (0,145) et français (0,102).
Soulignant que ces traces permettent de se faire une idée de la consommation dans la zone euro, car selon le directeur de l'étude, les consommateurs roulent les billets afin d'inhaler les « rails »de cocaïne, l'agence précise que les sondages semblent corroborer les résultats de l'étude, les jeunes espagnols étant en tête de la consommation déclarée de cocaïne (2,6% des moins de 21 ans), alors que les jeunes consommateurs allemands représentent 1,9% des moins de 21 ans % et les français 0,5% .
France Soir qui rapporte qu'en Allemagne « neuf coupures d'euros sur 10 portent des traces de cocaïne » et qui fait état pour sa part de « 0,4 microgrammes sur chacune », explique le grand nombre de billets concernés, par les mélanges qui se produisent dans les distributeurs et tiroirs caisse. Le quotidien , précise qu'en 1999 « une étude similaire menée à Londres avait montré que 99% des livres sterling révélaient des traces de coke et que dans 4% des cas la quantité de drogue mesurée suggérait que le billet avait bien été utilisé pour sniffer ».
http://www.drogues.gouv.fr/fr/actualite ... asp?id=960
Rêve comme si tu vivais éternellement, vis comme si tu allais mourir demain. J.Dean
- ProcolHarum
samyel a écrit :Le fait que certains fleuves et rivieres relevent regulierement par le biais de la presse et des medias,que certaines villes,voire villages,ont des anomalies(drogue,crocodiles....)
Excusez-moi, je ne comprends pas très bien ce que vous voulez dire. Si les cocaïnomanes se mettent à uriner des crocodiles, c'est sûrement que leur cocaïne était coupée!

Ma question n'était peut-être pas assez claire. Je précise donc : quels sont les éléments qui relèvent de la légende urbaine dans les articles de l'A.F.P. et de Libération?
L'impact des susbstances pharmacologiques, et des métabolites qui en résultent, sur l'environnement est une source d'inquiétude. C'est bien pourquoi on fait régulièrement des campagnes d'information pour nous enjoindre de ne pas rejeter les médicaments inutilisés à la poubelle, mais plutôt de les rapporter aux pharmaciens (opération cyclamed, par exemple).
Le problème des études citées me semble résider plutôt dans le fait qu'il n'est pas précisé si les rejets des hôpitaux sont pris en compte. On y consomme en effet de la morphine dont certains métabolites sont communs à la dégradation par le corps humain de la cocaïne et de la morphine.
Les autres subtances trouvées dans l'eau :
Au cours des dernières années, les substances perturbatrices du système endocrinien présentes dans l'environnement sont devenues un sujet de préoccupation.
Des études réalisées au Canada et dans d'autres pays ont montré que ces substances peuvent interagir avec les systèmes endocriniens des invertébrés, des poissons, des reptiles, des oiseaux et des mammifères. Ces composés peuvent avoir un effet sur la croissance, la reproduction et le développement d'un grand nombre d'espèces.
Même aux très faibles concentrations que l'on retrouve couramment dans l'environnement, bon nombre de ces produits chimiques peuvent avoir des effets biologiques. Par le passé, les scientifiques croyaient que de faibles concentrations de ces substances comportaient peu de risque pour l'environnement.
source :
http://www.ec.gc.ca/spse/fiche/index.htm
Au cours des dernières années, les substances perturbatrices du système endocrinien présentes dans l'environnement sont devenues un sujet de préoccupation.
Des études réalisées au Canada et dans d'autres pays ont montré que ces substances peuvent interagir avec les systèmes endocriniens des invertébrés, des poissons, des reptiles, des oiseaux et des mammifères. Ces composés peuvent avoir un effet sur la croissance, la reproduction et le développement d'un grand nombre d'espèces.
Même aux très faibles concentrations que l'on retrouve couramment dans l'environnement, bon nombre de ces produits chimiques peuvent avoir des effets biologiques. Par le passé, les scientifiques croyaient que de faibles concentrations de ces substances comportaient peu de risque pour l'environnement.
source :
http://www.ec.gc.ca/spse/fiche/index.htm
- Romanix
Wormwood a écrit :Des études réalisées au Canada et dans d'autres pays ont montré que ces substances peuvent interagir avec les systèmes endocriniens des invertébrés, des poissons, des reptiles, des oiseaux et des mammifères. Ces composés peuvent avoir un effet sur la croissance, la reproduction et le développement d'un grand nombre d'espèces.
Heureusement ma petite ville a son système d'assainissement des eaux (égoût) et qu'il en est ainsi pour la plupart des villes et villages de ma région. Mais il reste beaucoup à faire!
Pour ce qui est des hôpitaux, il ne sont pas supposés jetés médicaments et autres ordures du genre dans les toilettes... Ils sont supposés d'avoir leurs incinérateurs. Remarquez que là non plus c'est pas mieux, c'est dans l'air que ces déchêts finissent par aboutir...

- ProcolHarum
Bonjour Tives,TIVES a écrit :Pour ce qui est des hôpitaux, il ne sont pas supposés jetés médicaments et autres ordures du genre dans les toilettes... Ils sont supposés d'avoir leurs incinérateurs. Remarquez que là non plus c'est pas mieux, c'est dans l'air que ces déchêts finissent par aboutir...
Vous avez tout à fait raison en ce qui concerne les "déchets" humains consécutifs aux opérations et aux biopsies.
Toutefois, je ne suis pas certain que tous les autres déchets (seringues, emballages etc.) soient traités dans les hôpitaux. En France, il y a quelques années il y a eu un scandale à propos de déchets médicaux allemands qui avaient traversé la frontière et s'étaient retrouvés sur un site de retraitement français. Je me demande même s'il ne s'agissait pas d'une simple décharge publique.
Par contre, les déjections des patients, elles, finissent aux toilettes. J'ignore si les égouts des hôpitaux subissent un traitement différent de celui des particuliers. C'est pourquoi je me pose la question de savoir si les études toxicologiques citées plus haut tiennent compte de ce fait.
- clermont
À moins que j'aie manqué un bout de votre conversation, j'ose croire que vous ne croyez pas réellement cette histoire de vérification du taux de coke des habitants par les rejets des eaux usées ?
Par les billets, parfait pas de problème. Mais dans les rejets d'eaux usées, vous ne trouvez pas ça un peu gros. Je ne sais pas ce que vous faites dans la vie, personnellement j'ai un ami très proche qui travaille au gouvernement du Québec à vérifier les rejets d'eau ainsi que les systèmes d'approvisionnements en eau potable de tous les commerces dans la grande région de Montréal. (Ce con passe son temps à me parler de sa job
sans arrêt je vous dis ) en tout cas je serais très, très surpris que ce soit fondé.
Des preuves, liens svp.
Par les billets, parfait pas de problème. Mais dans les rejets d'eaux usées, vous ne trouvez pas ça un peu gros. Je ne sais pas ce que vous faites dans la vie, personnellement j'ai un ami très proche qui travaille au gouvernement du Québec à vérifier les rejets d'eau ainsi que les systèmes d'approvisionnements en eau potable de tous les commerces dans la grande région de Montréal. (Ce con passe son temps à me parler de sa job

Des preuves, liens svp.
- ProcolHarum
clermont a écrit :Des preuves, liens svp.
Bonjour Clermont,
Allons allons, un peu d'urbanité, que diable. Nous ne sommes pas des golden retrievers.

Trois liens ont déjà été postés dans le cours du débat. Si vous en souhaitez d'autres, il vous suffit d'utiliser un moteur de recherche.

Je vous suggère de vous intéresser plus particulièrement au métabolite suivant : la benzoylecgonine.
- Romanix
Ça m'étonnerait que les eaux usées de Montréal soit exclue d'une telle possibilité. Surtout que les eaux usées de la ville de Montréal sont refiltrées puis redistribuées dans le système d'aquaduc de la ville. Que diraient les Montréalais s'ils apprennaient qu'ils boivent peut-être de l'eau ayant comporté des traces de cocaïnes avant d'être traitées?
Après tout, selon la GRC (Gendarmerie Royale du Canada) Montréal est quand même la plaque tournante du traffic de drogue vers les États-Unis et le reste du Canada... Il doit bien s'en trouver dans ses égouts...
Après tout, selon la GRC (Gendarmerie Royale du Canada) Montréal est quand même la plaque tournante du traffic de drogue vers les États-Unis et le reste du Canada... Il doit bien s'en trouver dans ses égouts...

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