Survivant d'un saut en parachute raté...

[Elorion Profil]

Bien qu'il s'entraîne depuis 12 ans et possède 2 000 sauts à son actif, James Boole a failli mourir en n'ouvrant pas son parachute à temps. Tombé dans une montagne enneigée, il est vivant malgré quelques blessures.

http://www.youtube.com/watch?v=Yd6z41Ds ... r_embedded

Je trouve ça impressionnant...

[Le petit baigneur]

Il y a déjà eu d'autres quelques cas comme ça. Mais ils sont rares ceux qui y survivent. Mais le pire, c'est leur condition après ça, ils sont cassés de partout.

[Valguard Profil]

Ca me rappelle le pilote de la seconde guerre mondiale qui avait été amorti par un arbre. Bilan: juste une jambe cassée!
Il y en a qui ont du bol (enfin si on peut dire).

[John-as]

Et d'autres se péte un pied , juste en marchant...
triste monde cruel ...

[Linele]

Ca arrive fréquemment lors de sauts en base jumping. Ces chutes sont vraiment impressionnantes

[Napoléon Profil]

Et l'hôtesse de l'air tchèque et son petit saut de 10 000 mètres.

[DRAGON Profil]

Cela s'appelle le " phénomène de fascination ", connu notamment en aviation de guerre, le pilote pique sur son objectif pour le bombarder et obnubilé par la cible, il oublie de redresser au bon moment et percute.

C'est pour cette raison que lors de la deuxième Guerre mondiale, des chasseurs bombardiers en piqués allemands et alliés, étaient équipés d'un système de redressement automatique de l'avion, basé sur l'altitude, la vitesse et le temps du piqué.

[Lilti Profil]

Et l'hôtesse de l'air tchèque et son petit saut de 10 000 mètres.

Ouais, j'allais parler de ça, c'était au dessus de la Yougoslavie non? Et amortie par un sapin mais aïe quoi, une épine de sapin après une chute de 10'000 mètres, ça doit pas faire du bien!

Sinon bah... J'aime bien sa femme.

[DRAGON Profil]

En ce qui concerne ce gars qui a chuté d'un bombardier en 1944 au-dessus des Ardennes Belges, par une soirée d'hiver, c'est authentique, l'aéronef étant en feu, son parachute était endommagé par les flammes à bord. Finalement, il est passé par-dessus bord par une brèche dans la carlingue.

Il se trouvait à 4.000 mètres d'altitude, cependant, il avait abondamment neigé et les sapins étaient couverts de neige ainsi que le sol. Il est donc tombé et à été freiné par les sapins couverts de neige et ensuite le sol qui était recouvert de presque deux mètres de neige molle, ce qui lui a sauvé la vie.

Il semble cependant, qu'il avait les parties du corps non couvertes par son équipement, piquées d'une multitude d'aiguilles de sapins.

Il était mitrailleur de queue sur bombardier.