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Auto persuasion...
Modérateurs : Webmasters, Administrateurs du forum
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Auto persuasion...
Bonsoir à tous !
Je voudrais faire part d'une petite expérience qu'il m'est arrivé l'autre nuit.
Je suis asthmatique dû à une allergie d'origine encore inconnue. Toutes les nuits après une bonne crise d'éternuement j'ai la crise d'asthme qui suit (jamais la journée)... au début je ne prenais pas de traitement car la flemme d'aller au médecin jusqu'à ce que vraiment les crises deviennent de plus en plus importantes. Avant de consulter le seul moyen que j'avais de calmer les crises était de prendre l'inhalateur de ma mère.
Aujourd'hui j'ai un traitement que je dois prendre avant de dormir qui calme les éternuements et l'asthme mais comme je n'aime pas trop les médoc' je l'ai pris une ou deux fois vu que sa marchait pas mal et que ça durais plusieurs jours...
Depuis quelques nuits vu que je ne prend pas le traitement correctement les crises recommences.
La nuit dernière j'ai juste eu de l'asthme et étant à moitié endormie la flemme de prendre l'inhalateur... puis je me vois prendre l'inhalateur, tourner la petite "molette" (ce n'est pas un truc pchit pchit) et aspirer... mais en réalité j'ai pris conscience que je n'avais pas touché à l'inhalateur mais que c'était une sorte de rêve... mon asthme c'est calmé sur le coup et j'ai pu me rendormir sans bouger le petit doigt.
Pensez vous que pour certaines choses il est possible de se "soigner" rien qu'avec la force de l'esprit ? Vous est il déjà arrivé quelque chose de similaire ?
Je voudrais faire part d'une petite expérience qu'il m'est arrivé l'autre nuit.
Je suis asthmatique dû à une allergie d'origine encore inconnue. Toutes les nuits après une bonne crise d'éternuement j'ai la crise d'asthme qui suit (jamais la journée)... au début je ne prenais pas de traitement car la flemme d'aller au médecin jusqu'à ce que vraiment les crises deviennent de plus en plus importantes. Avant de consulter le seul moyen que j'avais de calmer les crises était de prendre l'inhalateur de ma mère.
Aujourd'hui j'ai un traitement que je dois prendre avant de dormir qui calme les éternuements et l'asthme mais comme je n'aime pas trop les médoc' je l'ai pris une ou deux fois vu que sa marchait pas mal et que ça durais plusieurs jours...
Depuis quelques nuits vu que je ne prend pas le traitement correctement les crises recommences.
La nuit dernière j'ai juste eu de l'asthme et étant à moitié endormie la flemme de prendre l'inhalateur... puis je me vois prendre l'inhalateur, tourner la petite "molette" (ce n'est pas un truc pchit pchit) et aspirer... mais en réalité j'ai pris conscience que je n'avais pas touché à l'inhalateur mais que c'était une sorte de rêve... mon asthme c'est calmé sur le coup et j'ai pu me rendormir sans bouger le petit doigt.
Pensez vous que pour certaines choses il est possible de se "soigner" rien qu'avec la force de l'esprit ? Vous est il déjà arrivé quelque chose de similaire ?
“Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, vous vous rendrez compte que l’argent ne se mange pas"
Re: Auto persuasion...
Avec l'asthme, l'effet placebo n'est, à mon humble avis, pas négligeable.
Mon fils est asthmatique. J'avais toujours sur moi son spray de ventoline mais il ne fait pas beaucoup de crises: ce n'était donc pas une énorme crainte chez moi et un jour je l'ai oublié.
Nous étions dans la campagne, la crise débute. Sans ventoline, j'ai eu un tit moment de stress... puis j'ai demandé à mon fils de faire comme s'il avait le spray dans sa main et d'aspirer de l'air. Il s'est prêté au jeu et rapidement il a su contrôler sa respiration et la crise est passée.
Je sais bien que l'asthme est souvent déclenché par une allergie, mais il y a une grosse part de nervosité et donc de psy dans tout ça aussi.
Mon fils est asthmatique. J'avais toujours sur moi son spray de ventoline mais il ne fait pas beaucoup de crises: ce n'était donc pas une énorme crainte chez moi et un jour je l'ai oublié.
Nous étions dans la campagne, la crise débute. Sans ventoline, j'ai eu un tit moment de stress... puis j'ai demandé à mon fils de faire comme s'il avait le spray dans sa main et d'aspirer de l'air. Il s'est prêté au jeu et rapidement il a su contrôler sa respiration et la crise est passée.
Je sais bien que l'asthme est souvent déclenché par une allergie, mais il y a une grosse part de nervosité et donc de psy dans tout ça aussi.
J'ai rencontré Dieu. Elle m'a dit "chut, ne leur dis pas que je suis noire".
Administration Mon Amour... http://titelo.unblog.fr
Administration Mon Amour... http://titelo.unblog.fr
Re: Auto persuasion...
J'ai beau lire des tonnes de définitions de "l'effet placebo" je n'ai jamais compris réellement ce que c'était... c'est comme l'auto persuasion finalement non ?
“Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché, vous vous rendrez compte que l’argent ne se mange pas"
- Ar Soner
-
- Message(s) : 8459
- Inscription : Mer Février 07, 2007 01:15
- Localisation : Septentrion oriental
Re: Auto persuasion...
Lucky20 a écrit :J'ai beau lire des tonnes de définitions de "l'effet placebo" je n'ai jamais compris réellement ce que c'était... c'est comme l'auto persuasion finalement non ?
Selon le VIDAL, un placebo est un "médicament factice ne contenant aucune substance active. Le placebo est utilisé pour l'étude scientifique des médicaments : un groupe de malades prend un médicament présumé actif, tandis qu'un autre groupe prend un placebo d'aspect identique. L'attribution du vrai médicament ou du placebo se fait par tirage au sort et en aveugle. La comparaison de l'amélioration observée dans les deux groupes permet de déterminer la part de l'amélioration qui revient à l'activité propre du médicament de celle qui est due à l'effet placebo. Cet effet placebo est très important : près de la moitié des douleurs, par exemple, quelle qu'en soit la cause, sont soulagées par la prise d'un placebo. Cet aspect complexe de la thérapeutique illustre l'importance du psychisme dans l'expression ou au contraire la guérison des symptômes et des maladies."
Donc, oui, le fonctionnement d'un placebo s'apparente à de l'auto-suggestion, il s'appuie sur la part psychologique des phénomènes d'immunité, de cicatrisation et de "résilience" (la résistance aux agressions).
Les pierres d'Ica : fausse controverse, ou vraie arnaque ? Ar Soner fait le point.
>> Pierres d'Ica <<
>> Pierres d'Ica <<
- nico_virtua
-
- Message(s) : 2408
- Inscription : Lun Juin 23, 2008 22:26
- Localisation : Lausanne
Re: Auto persuasion...
Au sujet de l'effet placebo, voici un article assez intéressant tiré du cerce de la Zététique.
http://www.zetetique.org/itvaulas.html
http://www.zetetique.org/itvaulas.html
"Normal ? C'est pas normal quand on est pas normal !" House
Re: Auto persuasion...
J'avais déjà dû le raconter, mais je n'avais jamais eu d'explication...Il m'est arrivé en tout quatre fois des choses "bizarres", deux fois dans le bon sens, et deux fois dans le mauvais, les mauvaises en premier.
La première fois, je devais avoir environ 9 ans et, après-midi piscine avec ma mère, ma meilleure copine, ma demi-soeur et sa cousine. On s'est disputée, ça a fait des clans, et ma mère a pris partie pour le "clan demi-soeur". J'en ai été très malheureuse et, sur le chemin du retour, j'ai "prié" frénétiquement, avec des trucs du genre "pourvu que je tombe bien malade, comme ça ma maman s'occupera de moi". Ma mère a déposé ma meilleure amie et moi chez mes grands parents et...je me suis fait déchiqueté le visage par le chien de mon oncle (je vous rassure, ça a été très bien recousu...Mais ça explique ma signature)...Ben je vous garantis qu'effectivement, durant les quinze jours qui ont suivi, ma mère s'est sacrément occupée de moi!
Deuxième fois, je devais avoir douze ans, j'avais fait, le matin, tout un speach à ma mère comme quoi je n'avais rien à me mettre et que je n'osais pas me montrer au collège. Elle a cédé, je suis restée à la maison, mais elle était vraiment fâchée, et, rebelotte, j'ai "prié" pour être malade...L'après-midi même, je me suis lamentablement pris les pieds dans le coussin qui était disposé sur le tapis du salon (pour cacher une tache...ma maman a toujours eu des goûts décoratifs...Spéciaux!
) et je me suis éclatée la tempe sur le meuble du téléphone...Urgence, points de sutture, et maman drôlement moins en colère contre moi
Il n'empêche que, tenant tout de même un peu à ma tronche, ben je n'ai plus jamais demandé à être "un peu malade pour que maman s'occupe de moi"!
Les deux autres fois, ça rejoindrait tout-à-fait le sujet du post, mais je n'ai jamais réussi à comprendre si c'est moi qui avait provoqué ou si j'avais révé ce qui était en train de se passer. Je raconte :
Je me suis retrouvée complètement malade : mal de gorge, courbatures, nez complètement pris, pas arrêter de tousser, mal de tête, bref! Mais je n'avais ni thermomètre, ni le moindre petit bout de doliprane (ça s'est passé dans des circonstances identiques, à quelques années d'intervale).
Je vais donc me coucher, fin mal, me disant que j'irai voir le médecin le lendemain.
La première fois, j'ai rêvé que j'étais une église, et deux moines m'exorcisaient. J'étais à la fois le bâtiment, totalement "maléfique" et gangréné, et les deux moines qui exorcisaient, nettoyaient et réparaient.
La deuxième fois, j'étais encore un bâtiment. Il n'y avait pas de notion de "maléfique", mais j'étais vétuste, gangrénée...Et de la même façon, j'étais deux femms qui faisaient tout ce qui était nécéssaire.
Les deux fois, j'ai été vraiment surprise de me réveiller fraîche comme une rose...plus de nez même coulotant, plus de sensibilité de la gorge, plus rien!
Alors que bon! En temps normal, même sans fièvre, même pour un truc sans gravité, c'est bien trois jours pour que ça passe complètement!
Alors je me suis toujours posé la question : j'ai eu ces deux fois un virus-éclair qui dure à peine 24 heures ou je me suis soignée en rêvant?
La première fois, je devais avoir environ 9 ans et, après-midi piscine avec ma mère, ma meilleure copine, ma demi-soeur et sa cousine. On s'est disputée, ça a fait des clans, et ma mère a pris partie pour le "clan demi-soeur". J'en ai été très malheureuse et, sur le chemin du retour, j'ai "prié" frénétiquement, avec des trucs du genre "pourvu que je tombe bien malade, comme ça ma maman s'occupera de moi". Ma mère a déposé ma meilleure amie et moi chez mes grands parents et...je me suis fait déchiqueté le visage par le chien de mon oncle (je vous rassure, ça a été très bien recousu...Mais ça explique ma signature)...Ben je vous garantis qu'effectivement, durant les quinze jours qui ont suivi, ma mère s'est sacrément occupée de moi!
Deuxième fois, je devais avoir douze ans, j'avais fait, le matin, tout un speach à ma mère comme quoi je n'avais rien à me mettre et que je n'osais pas me montrer au collège. Elle a cédé, je suis restée à la maison, mais elle était vraiment fâchée, et, rebelotte, j'ai "prié" pour être malade...L'après-midi même, je me suis lamentablement pris les pieds dans le coussin qui était disposé sur le tapis du salon (pour cacher une tache...ma maman a toujours eu des goûts décoratifs...Spéciaux!
Il n'empêche que, tenant tout de même un peu à ma tronche, ben je n'ai plus jamais demandé à être "un peu malade pour que maman s'occupe de moi"!
Les deux autres fois, ça rejoindrait tout-à-fait le sujet du post, mais je n'ai jamais réussi à comprendre si c'est moi qui avait provoqué ou si j'avais révé ce qui était en train de se passer. Je raconte :
Je me suis retrouvée complètement malade : mal de gorge, courbatures, nez complètement pris, pas arrêter de tousser, mal de tête, bref! Mais je n'avais ni thermomètre, ni le moindre petit bout de doliprane (ça s'est passé dans des circonstances identiques, à quelques années d'intervale).
Je vais donc me coucher, fin mal, me disant que j'irai voir le médecin le lendemain.
La première fois, j'ai rêvé que j'étais une église, et deux moines m'exorcisaient. J'étais à la fois le bâtiment, totalement "maléfique" et gangréné, et les deux moines qui exorcisaient, nettoyaient et réparaient.
La deuxième fois, j'étais encore un bâtiment. Il n'y avait pas de notion de "maléfique", mais j'étais vétuste, gangrénée...Et de la même façon, j'étais deux femms qui faisaient tout ce qui était nécéssaire.
Les deux fois, j'ai été vraiment surprise de me réveiller fraîche comme une rose...plus de nez même coulotant, plus de sensibilité de la gorge, plus rien!
Alors que bon! En temps normal, même sans fièvre, même pour un truc sans gravité, c'est bien trois jours pour que ça passe complètement!
Alors je me suis toujours posé la question : j'ai eu ces deux fois un virus-éclair qui dure à peine 24 heures ou je me suis soignée en rêvant?
Prends garde à ce que tu souhaites, les dieux pourraient te l'accorder.
(proverbe ténébran)
(proverbe ténébran)
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