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Le trésor des templiers de Gisors
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Le trésor des templiers de Gisors
Vous connaissez l'énigme du trésor des templiers de Gisors ?
Depuis son enfance, Roger Lhomoy, enfant du Vexin Normand, avait entendu parler de la légende d'un trésor enfoui dans le château de Gisors. Au cours des années 40 Roger Lhomoy parvient à se faire embaucher comme gardien du Château.
Là en toute quiétude il se met à creuser chaque nuit à la recherche du trésor ! Il creuse un puits. De ce puits en repartant à l'horizontale il aurait découvert une salle:
« Je suis dans une chapelle Romane en pierre de Louveciennes, longue de trente mètres, large de neuf, haute d’environ quatre mètres cinquante à la clef de voûte. Tout de suite à ma gauche, près du trou par lequel je suis passé, il y a un autel, en pierre, lui aussi, ainsi que son tabernacle. A ma droite tout le reste du bâtiment. Sur les murs, à mi-hauteur, soutenus par des corbeaux de pierre, les statuts du Christ et des douze apôtres, grandeur nature. Le long des murs, posés sur le sol, des sarcophages de pierre de 2 mètres de long et de 60 centimètres de larges : il y en a 19. Et dans la nef, ce qu’éclaire ma lumière est incroyable : trente coffres en métal précieux, rangés par colonnes de dix. Et le mot coffre est insuffisant : c’est plutôt d’armoires couchées qu’il faudrait
parler, d’armoires dont chacune mesure 2,20 m de long, 1,80 m de haut, 1,60 m de large. »
Il va chercher le maire qui refuse d'entrer dans le tunnel.
Ils rebouchent le tunnel et on n'en entendra plus parler.
En 1964, c'est carrément un détachement du 12ème régiment du Génie qui conduit une nouvelle campagne de fouilles, toujours sans aucun résultat, sauf celui de miner la stabilité du donjon. Il faudra des travaux fort coûteux pour établir des fondations en béton et le sauver de l'écroulement. Quant au trésor, toujours pas la moindre trace.
On n'a jamais rien trouvé là-bas finalement.
En fait de trésor l'Etat français y a dépensé beaucoup.
Depuis son enfance, Roger Lhomoy, enfant du Vexin Normand, avait entendu parler de la légende d'un trésor enfoui dans le château de Gisors. Au cours des années 40 Roger Lhomoy parvient à se faire embaucher comme gardien du Château.
Là en toute quiétude il se met à creuser chaque nuit à la recherche du trésor ! Il creuse un puits. De ce puits en repartant à l'horizontale il aurait découvert une salle:
« Je suis dans une chapelle Romane en pierre de Louveciennes, longue de trente mètres, large de neuf, haute d’environ quatre mètres cinquante à la clef de voûte. Tout de suite à ma gauche, près du trou par lequel je suis passé, il y a un autel, en pierre, lui aussi, ainsi que son tabernacle. A ma droite tout le reste du bâtiment. Sur les murs, à mi-hauteur, soutenus par des corbeaux de pierre, les statuts du Christ et des douze apôtres, grandeur nature. Le long des murs, posés sur le sol, des sarcophages de pierre de 2 mètres de long et de 60 centimètres de larges : il y en a 19. Et dans la nef, ce qu’éclaire ma lumière est incroyable : trente coffres en métal précieux, rangés par colonnes de dix. Et le mot coffre est insuffisant : c’est plutôt d’armoires couchées qu’il faudrait
parler, d’armoires dont chacune mesure 2,20 m de long, 1,80 m de haut, 1,60 m de large. »
Il va chercher le maire qui refuse d'entrer dans le tunnel.
Ils rebouchent le tunnel et on n'en entendra plus parler.
En 1964, c'est carrément un détachement du 12ème régiment du Génie qui conduit une nouvelle campagne de fouilles, toujours sans aucun résultat, sauf celui de miner la stabilité du donjon. Il faudra des travaux fort coûteux pour établir des fondations en béton et le sauver de l'écroulement. Quant au trésor, toujours pas la moindre trace.
On n'a jamais rien trouvé là-bas finalement.
En fait de trésor l'Etat français y a dépensé beaucoup.
- chevalierdelombre
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- Message(s) : 2643
- Inscription : Lun Juillet 11, 2005 02:37
- Localisation : Somewhere in the 21st century...
- Homme Curieux
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- Message(s) : 664
- Inscription : Mer Août 03, 2005 18:38
- Localisation : Région Parisienne
L'Ordre du Temple était riche, très riche...
Il payait des turcopoles (mercenaires), édifiait ou entretenait des forteresses en Terre Sainte, bâtissait des églises et des Commanderies en métropole, gérait des exploitations agricoles, pratiquait des activités de banque, etc...
Il est même possible que le Temple ai financé, au moins en partie, l'édification des cathédrales gothiques en France.
Il convient également de garder à l'esprit que l'Ordre du Temple payait plus ou moins régulièrement des rançons pour les prisonniers de guerre Chrétiens. La plus célèbre fut celle payée pour la libération de Saint-Louis en ....
C'est d'ailleurs pour ses qualités d'administrateur bancaire que Philippe le Bel fait transférer au Temple de Paris le trésor royal en .... Philippe le Bel fit aussi appel plusieurs fois aux richesses du Temple en contractant auprès d'eux des emprunts!
Enfin, les Templiers ne payaient aucune dîme ou impôt sur leurs activités économiques de métropole.
La richesse "globale" du Temple ne fait aucun doute, bien que les dernières années en Terre Sainte montrèrent les limites de leurs ressources et que les dons en métropole se soient taris à partir de la seconde moitié du XIIIème siècle.
Paradoxalement, lors de l'arrestation des Templiers le vendredi 13 octobre 1307, aucune richesse particulière n'est saisie dans les maisons du Temple. Bien sur, il y a des objets et les meubles de la vie courante, mais ni or, ni monnaie, ni valeur fiduciaire...
Le rapport d'Alain de Pareilles, chef des archers du Roi, à Guillaume de Nogaret a été fait par écrit et relate ce qui a été trouvé au Temple de Paris: pratiquement rien! Le même état a été remis à Enguerrand de Marigny. Les deux documents figurent aux Archives Nationales.
Il est interressant de se tourner vers une déclaration effectuée devant le Pape même par le Templier Jean de Châlon, du Temple de Nemours, en juin 1308. Ce dernier y déclare que la veille de l'arrestation des Templiers, un cortège comprenant trois chariot recouverts de paille et une cinquantaine de chevaux quittèrent le Temple de Paris sous la conduite de deux Templiers, Hugues de Chalons et, surtout, Gérard de Villers, le précepteur de France.On peut facilement imaginer ces chariots chargés d'archives et d'or, les 50 chevaux étant destinés à remplacer ceux qui étaient épuisés lors d'un long voyage...
Gérard de Sède corrobore cette hypothèse dans son ouvrage "Les Templiers Sont Parmi Nous" en citant un document conservé dans les archives secrètes du Vatican sous la cote "Register Aven -N°48 Benedicti XII, Tome I, folios 448-451". Selon ce document, le contenu des chariots aurait dû être chargé sur des navires dans le nord de la France...Un document de la Bibliothèque Nationale de France fait état d'une liste de frères qui se sont enfuis. On y retrouve le nom de Gérard de Villers et celui de Jean de Châlon. Gérard de Sède considère qu'il authentifie sa version...
On sait que le Moyen-Age avec ses Abbayes spécialisées dans la production de documents a fourni un certain nombre de faux (palimpsestes,...). Pourquoi pas la déposition de Jean de Châlon...
Malgré celà, nous considérons l'hypothèse des chariots comme tangible pour les raisons suivantes:
- Le Temple de Paris a été trouvé pratiquement vide par les archers du Roi.
- Les Templiers ne POUVAIENT pas ignorer l'ordre d'arrestation lancé contre eux et diffusé dans tout le royaume près d'un mois avant la date fatidique.
L'existence d'un Trésor Templier (ésotérique, religieux, intellectuel ou financier, peu importe) reste probable...
De ce Trésor, il reste 3 pistes plus ou moins crédibles et bien des légendes...
La première piste est celle du Château de Gisors, dans l'Eure, où les chariots auraient fait escale. Hypothèse peu crédible, car si des Templiers ont été détenus à Gisors, à cette période le château est forteresse royale, gardée par les hommes de Philippe Le Bel.
La seconde piste est celle d'Humbert Blanc, le précepteur d'Auvergne qui s'est enfui en Angleterre, pays où les Templiers furent bien moins persécutés qu'en France. Il y aurait rejoint Gérard de Villers et ses chariots, le temps de laisser passer la vague d'arrestations. Ils seraient par la suite repassés en France, via l'Aquitaine pour rejoindre les monts d'Auvergne qu'Humbert Blanc connait comme sa poche. Le Comté d'Auvergne relève alors du Duché d'Aquitaine, terre Anglaise. Autant dire que les gens de Philippe le Bel n'y sont pas les bienvenus... Dans ces contrées désertiques et sans guère de voies de communication, il leur aura été facile de dissimuler un Trésor dans une cache creusée dans la roche volcanique...
Humbert Blanc sera arrêté en définitive en 1309, mais il aurai largement eu le temps de remplir sa mission. Cette piste ne nous semble pas dénuée de fondement, le tristement célèbre Routier anglais Aimerigot Marches ayant passé des années à mettre à feu et à sang l'Auvergne entre 1370 et 1390. Ce n'est sans doute pas pour les richesses des seigneurs ruraux de cette contrée. Et Aimerigot Marches laisse, lui aussi, derrière lui une légende de trésor fabuleux caché dans les Monts d'Auvergne...
La dernière piste passe également par l'Angleterre, les chariots sortis du Temple de Paris au soir du 12 octobre 1307 se seraient dirigés vers le Nord de la France pour charger leur cargaison sur des bâteaux. Du Nord de la France, l'Angleterre n'est qu'à quelques minutes et l'on sait que les Templiers n'y seront pas persécutés comme en France. Même, un chevalier anglais, John Mark Laermanius aurait reçu de Jacques de Molay peu avant sa mort, la mission de faire survivre le Temple. Si l'on étudie un peu les principes de la Franc-Maçonnerie dite de "Rite Ecossais", force est de constater que l'esprit du Temple souffla dans les iles Britanniques bien après son abolition en 1312...
Reste qu'entre la sortie des chariots du Temple de Paris et l'éxécution de Jacques de Molay, 7 ans s'écoulèrent...
Il payait des turcopoles (mercenaires), édifiait ou entretenait des forteresses en Terre Sainte, bâtissait des églises et des Commanderies en métropole, gérait des exploitations agricoles, pratiquait des activités de banque, etc...
Il est même possible que le Temple ai financé, au moins en partie, l'édification des cathédrales gothiques en France.
Il convient également de garder à l'esprit que l'Ordre du Temple payait plus ou moins régulièrement des rançons pour les prisonniers de guerre Chrétiens. La plus célèbre fut celle payée pour la libération de Saint-Louis en ....
C'est d'ailleurs pour ses qualités d'administrateur bancaire que Philippe le Bel fait transférer au Temple de Paris le trésor royal en .... Philippe le Bel fit aussi appel plusieurs fois aux richesses du Temple en contractant auprès d'eux des emprunts!
Enfin, les Templiers ne payaient aucune dîme ou impôt sur leurs activités économiques de métropole.
La richesse "globale" du Temple ne fait aucun doute, bien que les dernières années en Terre Sainte montrèrent les limites de leurs ressources et que les dons en métropole se soient taris à partir de la seconde moitié du XIIIème siècle.
Paradoxalement, lors de l'arrestation des Templiers le vendredi 13 octobre 1307, aucune richesse particulière n'est saisie dans les maisons du Temple. Bien sur, il y a des objets et les meubles de la vie courante, mais ni or, ni monnaie, ni valeur fiduciaire...
Le rapport d'Alain de Pareilles, chef des archers du Roi, à Guillaume de Nogaret a été fait par écrit et relate ce qui a été trouvé au Temple de Paris: pratiquement rien! Le même état a été remis à Enguerrand de Marigny. Les deux documents figurent aux Archives Nationales.
Il est interressant de se tourner vers une déclaration effectuée devant le Pape même par le Templier Jean de Châlon, du Temple de Nemours, en juin 1308. Ce dernier y déclare que la veille de l'arrestation des Templiers, un cortège comprenant trois chariot recouverts de paille et une cinquantaine de chevaux quittèrent le Temple de Paris sous la conduite de deux Templiers, Hugues de Chalons et, surtout, Gérard de Villers, le précepteur de France.On peut facilement imaginer ces chariots chargés d'archives et d'or, les 50 chevaux étant destinés à remplacer ceux qui étaient épuisés lors d'un long voyage...
Gérard de Sède corrobore cette hypothèse dans son ouvrage "Les Templiers Sont Parmi Nous" en citant un document conservé dans les archives secrètes du Vatican sous la cote "Register Aven -N°48 Benedicti XII, Tome I, folios 448-451". Selon ce document, le contenu des chariots aurait dû être chargé sur des navires dans le nord de la France...Un document de la Bibliothèque Nationale de France fait état d'une liste de frères qui se sont enfuis. On y retrouve le nom de Gérard de Villers et celui de Jean de Châlon. Gérard de Sède considère qu'il authentifie sa version...
On sait que le Moyen-Age avec ses Abbayes spécialisées dans la production de documents a fourni un certain nombre de faux (palimpsestes,...). Pourquoi pas la déposition de Jean de Châlon...
Malgré celà, nous considérons l'hypothèse des chariots comme tangible pour les raisons suivantes:
- Le Temple de Paris a été trouvé pratiquement vide par les archers du Roi.
- Les Templiers ne POUVAIENT pas ignorer l'ordre d'arrestation lancé contre eux et diffusé dans tout le royaume près d'un mois avant la date fatidique.
L'existence d'un Trésor Templier (ésotérique, religieux, intellectuel ou financier, peu importe) reste probable...
De ce Trésor, il reste 3 pistes plus ou moins crédibles et bien des légendes...
La première piste est celle du Château de Gisors, dans l'Eure, où les chariots auraient fait escale. Hypothèse peu crédible, car si des Templiers ont été détenus à Gisors, à cette période le château est forteresse royale, gardée par les hommes de Philippe Le Bel.
La seconde piste est celle d'Humbert Blanc, le précepteur d'Auvergne qui s'est enfui en Angleterre, pays où les Templiers furent bien moins persécutés qu'en France. Il y aurait rejoint Gérard de Villers et ses chariots, le temps de laisser passer la vague d'arrestations. Ils seraient par la suite repassés en France, via l'Aquitaine pour rejoindre les monts d'Auvergne qu'Humbert Blanc connait comme sa poche. Le Comté d'Auvergne relève alors du Duché d'Aquitaine, terre Anglaise. Autant dire que les gens de Philippe le Bel n'y sont pas les bienvenus... Dans ces contrées désertiques et sans guère de voies de communication, il leur aura été facile de dissimuler un Trésor dans une cache creusée dans la roche volcanique...
Humbert Blanc sera arrêté en définitive en 1309, mais il aurai largement eu le temps de remplir sa mission. Cette piste ne nous semble pas dénuée de fondement, le tristement célèbre Routier anglais Aimerigot Marches ayant passé des années à mettre à feu et à sang l'Auvergne entre 1370 et 1390. Ce n'est sans doute pas pour les richesses des seigneurs ruraux de cette contrée. Et Aimerigot Marches laisse, lui aussi, derrière lui une légende de trésor fabuleux caché dans les Monts d'Auvergne...
La dernière piste passe également par l'Angleterre, les chariots sortis du Temple de Paris au soir du 12 octobre 1307 se seraient dirigés vers le Nord de la France pour charger leur cargaison sur des bâteaux. Du Nord de la France, l'Angleterre n'est qu'à quelques minutes et l'on sait que les Templiers n'y seront pas persécutés comme en France. Même, un chevalier anglais, John Mark Laermanius aurait reçu de Jacques de Molay peu avant sa mort, la mission de faire survivre le Temple. Si l'on étudie un peu les principes de la Franc-Maçonnerie dite de "Rite Ecossais", force est de constater que l'esprit du Temple souffla dans les iles Britanniques bien après son abolition en 1312...
Reste qu'entre la sortie des chariots du Temple de Paris et l'éxécution de Jacques de Molay, 7 ans s'écoulèrent...
Carpe Diem
Je n'ai toujours pas compris le lien entre les templiers et Renne-le-Château... Dans la mesure où l'on sait que les Templiers combattaient auprès du roi contre les Albigeois... bref passons.
Ce que raconte Wormwood est de notoriété publique, à un détail près... L'armée est venue consolider la tour dans la mesure où Roger Lhomoy et ses comparses en avaient sapé les fondations. Rappelons qu'il s'agit de l'un des fleurons de l'architecture médiévale...
En attendant, ce lamentable mythomane est systématiquement déterré de son carton dès que les médias évoquent les templiers. Rappelons au cas où que ce mec s'était vanté d'avoir découvert le trésor des templiers, il n'en fallut pas moins qu'une qu'une foule de crétins vienne à Gisors avec une pelle et un seau. Mais que quand il fut interrogé par la gendarmerie, là, il était incapable de situer cette salle, ni même l'entrée...
Ce que raconte Wormwood est de notoriété publique, à un détail près... L'armée est venue consolider la tour dans la mesure où Roger Lhomoy et ses comparses en avaient sapé les fondations. Rappelons qu'il s'agit de l'un des fleurons de l'architecture médiévale...
En attendant, ce lamentable mythomane est systématiquement déterré de son carton dès que les médias évoquent les templiers. Rappelons au cas où que ce mec s'était vanté d'avoir découvert le trésor des templiers, il n'en fallut pas moins qu'une qu'une foule de crétins vienne à Gisors avec une pelle et un seau. Mais que quand il fut interrogé par la gendarmerie, là, il était incapable de situer cette salle, ni même l'entrée...
Certains dirons que "la vérité est ailleurs", moi je pense qu'elle n'est pas si loin que ça.
L'ineffable Gerard de Sèdes s'était encore une fois fourvoyé avec ce témoignage. Idem avec Plantard pour un autre livre.
Par contre son ouvrage avait déchaîné les passions : un vrai roman qui a failli coûter cher en travaux de consolidation...
Par contre son ouvrage avait déchaîné les passions : un vrai roman qui a failli coûter cher en travaux de consolidation...
Je ne sais pas si Dieu existe, mais si il existe, j'espère qu'il a une bonne excuse. (W.Allen)
- MysteresdeVendée
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- Message(s) : 27
- Inscription : Jeu Février 22, 2007 12:03
- Localisation : Les Herbiers - Vendée
Tetricus a écrit :Je n'ai toujours pas compris le lien entre les templiers et Renne-le-Château... Dans la mesure où l'on sait que les Templiers combattaient auprès du roi contre les Albigeois... bref passons.
Hello,
Le rapport tient essentiellement au fait qu'on a toujours soupçonné les Templiers d'avoir une commanderie au Bézu, près de Rennes-le-Château, ce qui cependant n'a jamais pu être démontré, ainsis qu'au motif de la dalle des Chevaliers découvertes par Saunière dans son église et que certains croyaient d'origine templière en y voyant deux chevaliers sur un seul cheval, symbole très fort du Temple.
En fait semble t-il un seul chevalier portant un enfant, et la dalle serait d'origine plus ancienne.
Jihem a écrit :L'ineffable Gerard de Sèdes s'était encore une fois fourvoyé avec ce témoignage. Idem avec Plantard pour un autre livre.
Pierre Plantard est déja à la base du premier bouquin de Gérard de Sède sur le sujet "Les Templiers sont parmi nous" puisque c'est de lui qu'il sagit dans l'entretien avec un hermetiste.

- Grahf-the seeker of power
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- Message(s) : 374
- Inscription : Mar Décembre 12, 2006 20:10
- Localisation : 66
Pour en revenir à la petite histoire du topic,
c'est vrai que ça ne semble pas très crédible,ne serai-ce que
(si j'ai bien compris) trover l'entrée de la salle en creusant au hasard,
puis une fois dedans prend le temps de bien détailler ce qu'il voit mais
pas de chercher la vraie entrée? et se contente d'observer les coffres
sans y toucher?? enfin p.être que tu poste qu'un extrait aussi, as-tu un lien vers l'histoire complete?
c'est vrai que ça ne semble pas très crédible,ne serai-ce que
(si j'ai bien compris) trover l'entrée de la salle en creusant au hasard,
puis une fois dedans prend le temps de bien détailler ce qu'il voit mais
pas de chercher la vraie entrée? et se contente d'observer les coffres
sans y toucher?? enfin p.être que tu poste qu'un extrait aussi, as-tu un lien vers l'histoire complete?
Doth thou desire the power? My fist is the divine breath! Blossom, o fallen seed, and draw upon thy hidden powers! ...
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