Oui, certes, mais si dorénavant tous les témoignages sont passés sous silence, ça va être encore plus difficile de démontrer quoi que ce soit

Sympa l'histoire

Bonsoir, sympa l'histoire !

Personnellement, je crois en la sincérité de l'auteur de ce sujet.
Ma mère travaille dans une clinique de soins de suites/soins palliatifs (mais qui est plus souvent appelée par les soignants "le mouroir") et il y a déjà eu des phénomènes similaires. Cette clinique se trouve à Marseille et c'est une structure d'ordre religieux.

C'était à l'époque un orphelinat, puis l'édifice fut reconverti en lieu de soins (Quand ? Ça je ne sais pas trop).
Composé d'environ 80 chambres, la structure s'élève sur 4 étages dont un servant de salle panoramique (à noter aussi, que sur la deuxième partie de la clinique, il y a également un 4ème étage qui servait à l'époque de bureau pour la direction, mais qui est désormais condamné). Il y a 2 ascenseurs, un au centre (servant à tout le monde) puis le second qui n'est utilisé que par les pompes funèbres lors d'un décès. Quelques fois, cet ascenseur est utilisé par les soignants lors de leur pause pour se rendre directement en salle du personnel, au RDC. Il est arrivé 1 ou 2 fois qu'une aide-soignante entende quelqu'un dire son prénom au creux de l'oreille en prenant cet ascenseur. Ou encore des patients (malades certes, mais ayant encore toute leur tête) se réveillant la nuit avec l'étrange sensation d'être épiés.

Puis, en ce moment il s'avère que certaines personnes entendent des enfants s'amuser dans le parc, aux environs de 2 ou 3 heures du matin ! Pas uniquement des malades, mais aussi les infirmiers de nuit. Évidement, il n'y a jamais personne dehors !
Et pour faire dans l'original, au 1er dans la chambre 122, occupée par un monsieur tétraplégique et quasi-inconscient, la sonnette se mettant en marche toute seule à plusieurs reprise, excusée par un soignant prétextant un faux-contact, et qui en faisant la toilette de se monsieur avec une collègue à eu la surprise d'un poste de radio qui se mettait en marche alors qu'il était dépourvu de piles.

Ma mère à eu la "joie" de voir un "homme" vêtu de blanc descendre les escaliers de l'aile ou se trouvait anciennement les bureaux de la direction, aujourd'hui condamnés... Évidement , là encore il n'y avait plus personne dans les escaliers lorsqu'elle s'est précipitée pour récupérer se patient qui aurait pu s'égarer !
Toujours dans cette aile, les femmes de ménage ramasse tout les jours des tapis de mouches qui viennent mourir devant l'unique fenêtre.
Et pour finir, une dame à été retrouvée par un infirmier devant cette fameuse fenêtre, regardant dehors. Avant même que l'infirmier ai pu lui demander ce qu'elle faisait là, elle lui aurait dit :"Ah ! Vous aussi ils vous ont appelés ? Vous les entendez ?"...

Bon, il est clair que certains faits peuvent avoir des excuses rationnelles, mais pour d'autres, j'aime à croire que le mystère existe vraiment

En tout les cas, je remarque que dans ces établissements de soins il se passe presque toujours les même phénomènes. N'est-ce seulement qu'un effet de folie collective ? Une espèce de légende urbaine qu'on tient à entretenir pour les hôpitaux ?

Marlandaise, ton histoire fiche le froid dans le dos!

Ma soeur est aide soignante, et elle m'a parlé de deux collègues ayant vécu une situation étrange et angoissante, quoique, après réflexion, il semble qu'il y ait des explications rationnelles. Je lui demanderai si elle veut bien témoigner.

Mais comme disait quelqu'un, j'ai l'impression de découvrir un type de "légendes hospitalières"...Après, avec tout le respect que je dois aux soignants, et en ayant l'exemple de ma soeur qui enchaîne des nuits, puis des journées de boulot ce qui bouleverse totalement son propre rythme, comment ne pas envisager que la fatigue conjuguée à des conditions de travail particulièrement éprouvantes, en plus du fait de vivre au quotidien des choses difficiles ne fassent pas, qu'une nuit, l'esprit gamberge et interprète mal certaines choses...

Bon, moi qui ai des problèmes de sommeil, c'est pas ce qui va m'aider à m'endormir!

Oui ça pourrait être vrais mais la tu ne tiens compte que du personnel soignant.

J'ai travailler un an au CHU de Rouen et je peux te dire qu'un hopital c'est comme une ville ! On imagine pas le nombre de personnes qui peuvent y travailler et dans des domaines très variés. Je n'étais pas au contact des malades mais je m'occupais du transport de certains déchets.
Outre le personnel soignant, il y a les gens de l'accueil, de tout ce qui est administratif, les gens de la maintenance, ceux qui s'occupent du linge, de la cantine, le personnel qui nettoie aussi bien les chambres que le sol ect...Ce sont des centaines de personnes qui n'ont pas ses fameuse conditions de travail. Et pourtant, il arrive que ses personnes soient témoins aussi de choses étrange.

Moi je me souviens que dans mon travail, j'étais souvent dans les sous-sol de l'hopital. On travaillait par équipe mais comme j'avais un contrat en mi-temp pour un an, j'étais un peu à part. Disons que je n'avais pas les mêmes horaires ect...Donc j'étais seul !
Pour pouvoir rejoindre rapidement chaque batiments, on utilisait des petits véhicules genre Quad ( enfin version hopital ^^ ) qui tractaient des contenaires.
Les gens ne s'imaginent pas mais le sous-sol des hopitaux est composé d'un nombre incalculable de couloirs, un véritable labyrinthe. Peu de lumière, de l'eau qui suinte des murs, il n'y as pratiquement personne sauf de temps à autre la maintenance...Le lieu lugubre par excellence ! Et pourtant je n'ai jamais rien vu. Mais c'est vrais que ça pouvait être stressant par moment.

Les hopitaux sont aussi bien des lieux de mort que de vie. Je passais par des endroits ou il était courant de croiser des corbillards ( quand je bossais en surface ) et des cercueils...Mais par d'autre moments j'étais dans le batiment pédiatrie et la l'ambiance est totalement différente.

Alors oui je penses que l'ambiance des lieux peut jouer par moment ainsi que la fatigue ect...mais les hopitaux sont des lieux ou il y a énormément de morts et bien souvent des morts violentes ou de longue agonie. J'ai toujours penser qu'il ne fallait pas chercher les fantômes dans des cimetières mais plutôt dans les hôpitaux.
Je garde un mauvais souvenir d'une fois ou j'avais décider de me balader un peu dans ses sous-sols et j'ai trouver une sorte d'entrepôt géant. La porte n'était constituer que d'une grille donc on pouvait voir tout ce qu'il y avait dedans. Le problème, c'est qu'il n'y avait pas de lumière. Il était vraiment géant et constituer de tas de vieux rebuts. Seul la lumière du couloir qui y conduisait éclairait un peu les premiers mètres.
La je peux dire que cet endroit m'as fichu la trouille. Il n'y avait pourtant rien de spécial mais je me sentais mal à l'aise. Alors un effet de mon imagination ? Ou bien le fait d'être seul ? Aucune idée mais je n'y suis jamais retourner. D'ailleurs personne n'allait la bas. On aurait dit une pièce faite du passé de l'hopital et dont tout le monde se fichait totalement. Pourquoi garder tout ça ? Aucune idée !

Bon et puis je raconte tout ça mais je n'étais la plupart du temps pas dans des zones ou il y avait eu des morts. C'est étrange comme les lieux hantés sont délimités par des zone bien précise. Vous avez des maisons mitoyenne, y'en as une hanté et l'autre y'a rien du tout ! A croire que les esprits ne bougent pas du tout du lieu ou ils sont morts. ^^ Traverser un mur pour un esprit, ça devrait pas être si dur que ça ? Et pourtant jamais aucun voisin de maison hanté n'a eu de soucis ?

Hé bien, il m'a pas l'air fort salubre le CHU de Rouen !

Ce sont les sous-sols uniquement ! Tu va souvent faire reluire ta cave toi ? Ba la c'est pareil. Déjà assez dur de garder un hopital propre alors les sous-sol je peux te dire que franchement tout le monde s'en fiche ! ( sauf ceux qui y travaillent ! )

J'appelle pas ça un manque d'entretien moi !
Mon sous-sol est propre effectivement, j'y ai mon vin et mon tabac quand même

Il faut savoir qu'il y a probablement des kilomètre de sous-sol avec son lot d'humidité, de canalisation, d'endroit qui rejoignent l'extérieur et récupère à nouveau de l'eau quand il pleut. Bref, tu ne peux pas garder cet endroit au sec et propre. De même que tu ne peux avoir aucune ampoule grillé ect...

L'hôpital est toujours nikel à l'extérieur mais plus tu va vers les endroits qui ne servent pas et ou il n'y a personnes, plus tu verras que l'entretien laisse à désirer. Les sous-sols, c'est quasiment laisser à l'abandon. Et ça doit être pareil dans tout les hôpitaux et batiments publique.

Par contre au CHU de rouen, j'ai pas trouver de tabac ni de vin ! Seulement des toiles d'araignée et la machinerie ou même en hiver tu dégoulinais de sueur.

Bonjour!

Votre histoire m'a littéralement donner la chair de poule...
Sa doit être complètement déstabilisant de vivre un truc pareil.

En tout cas si vous avez d'autres histoires sur votre hôpital n'hésitez pas à nous en faire part.

Cordialement.

Salut à toutes et tous,

une chose me chiffonne après lecture attentive de ces différents témoignages (effrayants) en milieu hospitalier. Sachez avant toute chose, observateurs de phénomènes étranges, que je ne remets pas en question la véracité de vos affirmations, je m'interroge seulement.

Il me semble qu'une écrasante majorité des manifestations relevant du paranormal - apparition d'ombres, de bruits, d'esprits, de voix, etc. - se déroule la nuit ou dans des endroits sombres, comme des sous-sols.
Et je me demande bien pourquoi ... Est-ce que les "revenants" craignent la lumière ? Ou bien sont-ils un peu agoraphobes et préfèrent-ils apparaître et/ou se manifester quand l'activité humaine est réduite, à savoir la nuit ?
Je ne le pense pas.
A mon humble avis, l'homme étant à la base un animal diurne mais aussi un animal doué d'intelligence et de raison, il a tendance, lorsque des contraintes telles que le travail le poussent à vivre la nuit et à forcer ainsi sa nature, à considérer inconsciemment l'obscurité comme une menace.
N'évoluant pas dans son "milieu" de prédilection, le jour, où tous ses sens - notamment la vue - fonctionnent à plein régime, il peut être envahi d'une forte angoisse que son cerveau d'animal développé et imaginatif a tôt fait d'associer à des phénomènes paranormaux.

Allons nous promener dans une forêt la nuit, nous ressentirons tous une angoisse plus ou moins forte à réaliser cet exercice, compliqué un peu plus encore par l'activité des animaux nocturnes et tous les bruits qui pourront en découler.
Le lendemain, après avoir récupéré, retournons dans la même forêt par une belle journée ensoleillée, l'impression ressentie au même endroit ne sera plus du tout la même.
Certains jureront même y voir une forêt hantée à la nuit tombée, alors qu'il paraît plus probable que le souci vienne d'un malaise tout ce qu'il y a de plus naturel pour l'humain qui évolue en milieu nocturne.

Alors je me demande finalement si, forêts, hôpitaux, manoirs, couloirs, .... Ce n'est pas le même combat. Une imagination fertile propre à l'homme, sa crainte inconsciente et naturelle de l'absence de lumière, sa culture également, qui peut énormément influencer ses diverses perceptions.

Aucune remarque sur les fautes? Alors qu'il y a très peu de temps tout le monde était bannis à la moindre erreur?

De quel(s) message(s) parles-tu?
Parce que il y en a bien quelques unes, mais dans l'ensemble cela va encore.

Le tout premier par exemple. Je me suis fait bannir 3 fois pour moins que ça, mais bon...

Des fautes dans le premier... j'aimerai bien que tu me les indiques (j'en ai bien vu quelques unes, mais vraiment pas de quoi fouetter un chat).

Sais-tu qu'une fois banni, on l'est en général à vie?

A la moindre erreur ? Ben y'aurait plus personne sur le forum. Dans le réglement c'est pas marqué qu'il faut appartenir à l'Académie Française, mais juste de faire un minimum d'effort sur l'orthographe.

Dieu sait combien j'en ai faite sur ce post

Étant moi même agent de soin en Ehpad de nuit il m'arrive souvent des choses étranges
des lumières allumée alors qu'elle ne doivent pas l'être, les fameuse sonnette fantôme, des robinets d'eau qui coulent
ou quand à 3h du matin en marchant dans les couloirs sombres on entend des voix d'homme sortir d'une chambre de femme ça calme..
Je précise que la personne souffre de démence diverses et variées mais ça fous les boules quand même
surtout quand on est a deux dans un bâtiment de plusieurs centaines de m2. Il y a des nuits calmes puis d'autres
ou j'ai l'impression d'être suivi dans les couloirs ou j'entends clairement des "autres" bruit de pas me suivre tellement
qu'il faut que je me retourne sur le coup. Il arrive aussi souvent dans ce genre d'établissement ce que j'appelle les morts à la chaine
ou quand une personne décède 2/3 autres suivent à quelques jours près ou l'on peut presque sentir la mort rodé ça en devient presque physique comme sensation.
Après il reste les intrusions diverses de barjot et autre voleurs un peu moins paranormal

La pire expérience que j'ai vécu digne d'un film d'horreur ou j'ai poussé un cri à un point de réveillé des résidents c'est quand lors de la tournée de nuit ou l'on doit ouvrir les portes pour vérifié que tout va, j'ouvre la porte je jette un œil dans le lit, vide.. j'entre dans la chambre allume la lumière regarde sous le lit et en voulant ressortir de la chambre la personne était debout dans le coin derrière la porte !!
J'ai cru mourir sur le coup

Hormis les incidents que tu cites (lumières allumées alors qu'elles ne devraient pas l'être, sonnette fantôme etc. qui pourraient peut-être trouver une explication en poussant davantage les investigations), le paragraphe cité ci-dessus résume parfaitement bien l'état de tension psychologique dans laquelle on peut se trouver au cours de certaines situations. En l'occurence ici le fait d'évoluer de nuit en équipe réduite dans un bâtiment où le se sait côtoyer des décès et des patients en état de démence. La situation en elle-même n'est pas faite pour rassurer, et il est donc assez normal que cette angoisse puisse se répercuter sur notre état nerveux, jusqu'à nous amener à nous conditionner par nous-mêmes à ressentir des sensations qui n'auraient sans doute pas lieu d'être dans un tout autre contexte.

Amenée il y a quelques années à travailler en psychiatrie dans le cadre d'un stage, j'avais vécu des expériences particulièrement troublantes et impressionnantes. A force d'évoluer dans un milieu carcéral, entourée de personnes démentes à divers degrés, subissant cris et comportements étranges toute la journée, qui plus est dans des bâtiments aux longs couloirs vétustes, les conditions ont été idéales pour avoir très rapidement eu l'impression de me sentir suivie, observée, voire même me trouver en proie à de potentielles entités tant certaines situations pouvaient le laisser à penser. Il faut alors être en mesure de se dominer et de savoir faire preuve de prise de recul pour ne pas se laisser absorber par ses émotions tant elles sont intenses. Pas si facile que ça en a l'air. Ces impressions n'ont été ressenties qu'au cours de ce stage, dans un contexte qui psychologiquement s'y prêtait tout à fait. Ce qui démontre bien combien il est facile de se laisser suggestionner.

Oui mais il y a aussi des moments ou sa se passe dans des endroits qui ne font pas peur a la base

Je ne pense qu'il n'est pas nécessaire que l'endroit en lui-même "fasse peur", l'autosuggestion face à une situation donnée peut tout à fait suffire. Ainsi, pour moi qui est passé de nombreux mois à l'hôpital, ça ne me fait pas particulièrement peur, c'est pas un endroit agréable certes, mais il ne me fait pas "peur".

Ce que je veux dire c'est que des fois il ce passent des choses pas forcement a un moment ou a un endroit spécifique qui nous ferais imaginer ça.

Et donc tu en déduis quoi?

(Tu peux mettre la ponctuation dans tes phrases s'il te plait, on à l'impression de tout lire d'un trait, c’est un peu pénible, merci!)

Et faire la différence entre un pronom démonstratif (ça ou ce) et un adjectif possessif (sa ou se)...

Que c'est trop facile de tout mettre sur le dos d'hallucinations induites par un état psychologique spécifique.

Après c'est possible mais il faut garder en tête que ce n'est pas la seul explication.