Hé non, c'est Thomas qui ment.
Je n'ai jamais eu l'aide d'un hacker, je n'en connais aucun, c'est cette affirmation qui est mensongère. Et là, d'évidence, c'est vous qui lancez une accusation contre le fils de cette dame puisque vous le mettez en cause dans un délit de piratage allégué. Hé bien allez-y, apportez-nous la preuve qu'il s'est bien rendu coupable de ce délit informatique, pas de problèmes, nous vous écoutons. Quant à ces personnes (et cette dame en particulier), ils faisaient bien partie de mes correspondants, puisque leur adresse mail était enregistré dans la boîte mail, c'est parce qu'il m'avait mailé un jour ou l'autre, eux. J'ai de nombreux correspondants, parfois ponctuels ou occasionnels, parfois réguliers, je ne les connais pas forcément tous en profondeur, mais ça ne fait pas de moi un pirate si je leur envoie des messages après avoir trouvé leurs mails dans mon carnet d'adresse. Donc aucun piratage là-dedans.
La réponse du 28/03 faisait suite au message où j'informais, comme je viens de le faire ici, de la condamnation de Thomas, donc de sa culpabilité. Pas de diffamation là-dedans, ni d'accusations, et encore moins d'informations erronées à constater qu'un inculpé a bien été reconnu coupable (ce qui a encore été prouvé par la suite). Seulement la vérité.
A noter qu'à cette époque, le système de défense de Thomas était de présenter sa victime comme une alcoolique, ce qui n'a jamais été avéré.
Quand à celle du 29/03, les affirmations, basées sur le fait que l'avocat a fait appel, de cette dame n'ont aucune valeur puisque depuis, le jugement en appel a été rendu et confirme sa condamnation en premier instance. Elle l'écrit d'ailleurs elle-même : même avant cela, le 28 mars, le délibéré vous a fait condamné. Et c'est ce délibéré seul, de même que le délibéré rendu plus tard en l'appel, qui font foi. Pas une demande de relaxe invalidée depuis plusieurs années.
C'est ça, vos preuves de harcèlement ? Deux messages échangés que j'ai échangé avec une de vos amies ?
La prochaine fois, ce sera quoi ? Le mail groupé à deux ou trois de nos relations communes, que j'ai envoyé trois fois avant d'avoir une réponse ?
Le fait que lors de sa visite, le gendarme m'avait dit qu'une plainte en diffamation suite à cela avait déjà été déposé contre moi suite auxdits messages, sans avoir abouti à rien, je n'ai jamais été inquiété ou inculpé (contrairement à vous), et que je m'en était moqué auprès desdites relations communes ?
J'ai moi aussi conservé tous ces mails, par pure routine, et il n'y a vraiment rien d'extraordinaire dedans.
Voilà les faits rétablis.
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