William Lee a écrit:
De 1) Je n'ai pas assimilé la religion catholique à une religion de pédophile. Mon propos est qu'il y a beaucoup de prêtre pédophiles et que l'Eglise, depuis toujours, a préféré couvrir ces crimes en payant de fortes sommes, alors que son rôle aurait été au contraire de dénoncer ces horreurs et balancer leurs brebis galeuses. J'admet que j'ai choisi l'exemple le plus extrème. en cela j'ai peut-être fait une sorte de point Godwin, mais ce n'est pas une raison pour me faire dire ce que je n'ai pas dit. Les premiers à s'horrifier des crimes pédophiles au sein du catholicisme sont...les catholique, évidemment. Je ne fais pas une généralité, mais faut pas non plus se voiler la face... Vous lisez un peu les journaux?
Il y a des prêtres pédophiles, oui, et alors? Dans toutes les professions où il y a des contacts avec les enfants, on retrouve des pédophiles. Pourquoi alors citer ce type d'exemple? Quel est l'intétêt, a part décrédibiliser l'Eglise et le christianisme?
Citation:
De 2) Je suis anticléricaliste primaire. J'ai mes raisons (14ans de christianisme pur et dur, ça vous forge une opinion...).
C'est ton droit
Citation:
3) Beaucoup de sang a coulé à cause du christiannisme depuis sa fondation. On a quand même le droit de se demander si le personnage à l'origine de l'histoire chaotique de notre société judéo-chrétienne a vraiment existé...? Moi aussi je pense qu'on ne connaîtra jamais la réponse, mais la réflexion me semble quand même primordiale... (pour en revenir au débat...)
Oui, l'histoire du christianisme est tachée de sang. Mais est ce Jésus qui en responsable ou alors "l'Eglise" et la bétise humaine?
Le christianisme et la religion en général sont ils responsables de toutes les atrocités commises au cours des deux derniers millénaires? ça serait trop facile.
Quand à essayer de démonter que Jesus existait ou non, qu'est ce que cela apporterait?
Les croyants y croient, donc ils n'ont pas besoin de preuves.
Les non-croyants n'y croient pas, pourquoi alors essayer de démonter l'inexistence d'une chose à laquelle on ne croit pas si ce n'est que pour prétendre détenir la vérité.
Et puis il serait bien de penser à celui qui n'a pour seul réconfort, que la religion, ses croyances.
Vaut il mieux que celui qui a eu une vie dans la misère, sur son lit de mort, garde l'espoir d'aller au paradis et ainsi partir en paix, ou alors on lui dit que ce en quoi il croit(que ce soit en Jesus, au paradis ou en autre chose) n'existe pas et que finalement, il finira en en banquet pour les vers?