Plusieurs phénomènes météo sont maintenant expliqués par les scientifiques :
1.
Le grain blanc : Sous l’effet du soleil, l’énergie thermique des eaux s’élève dans l’atmosphère et entraîne la formation de cumulo nimbus au-dessus de l’archipel des Bermudes et jusque dans le golf du Mexique. Les plus gros de ces cumulo nimbus emmagasinent une vaste énergie thermique provenant de la mer. Ces cumulo nimbus provoquent les rafales descendantes.C’est en fait une véritable avalanche d’air qui tombe d’un coup d’un nuage. Le vent qui peut être supérieur à 300 km/h souffle avec une violence destructrice. Le phénomène ne dure jamais plus de quelques minutes.
2.
Le méthane : D’importantes quantités de méthane échappées du sous-sol marin remontent à la surface, suite à des séismes. L’hydrate de méthane remonte à la surface de l’eau en bouillonnant. Un bateau peut se retrouver prisonnier de cette mer en ébullition, il perd sa flottabilité (la densité de l'eau diminue) et coule. Quand ces importants volumes de méthane atteignent la surface de l’eau, le gaz, plus léger que l’air, monte dans l’atmosphère. Quand le moteur de l’avion entre en contact avec le méthane, le gaz s’enflamme et l’appareil explose.
3.
Un dérèglement du champ magnétique : les boussoles perdent le nord, les appareils se dérèglent, et même le satellite météorologique de la "National Océanographique Administration" tombait en panne à chaque fois qu'il passait au-dessus du triangle des bermudes.
4.
Une région météorologiquement instable de l’Atlantique : La mer des Sargasses est située à l’intersection de deux masses d’air, une chaude et une froide, ce qui explique le nombre impressionnant de cyclones et de tempêtes.
5.
Un mystère qui se nourrit de lui-même : La plupart des naufrages ont lieu en dehors du triangle du diable, et lui sont ensuite attribués (le triangle . Plusieurs disparitions ont été inventées, des détails ajoutés, pour créer l'histoire sensationnelle. Statistiquement, il n'y a pas plus de naufrages dans le triangle, qui est trés fréquenté. Le Service américain des garde-côtes a déclaré que sur 150 000 bateaux qui traversent la zone du triangle chaque année, 10 000 seulement envoient des messages de détresse et 100 font naufrage. C'est donc un genre de légende urbaine !
Pourtant, de nombreux cas restent inexpliqués : en décembre 1948, le Douglas DC3 transmet à la tour "nous approchons de l'aéroport... nous ne sommes plus qu'à 80 km... nous apercevons les lumières de Miami... tout va bien... attendons les instructions pour atterrissage". On ne retrouva jamais le DC3, qui a disparu près des cotes, ou la profondeur de l'eau ne dépasse pas 6 mètres ! Plus troublant est le cas d'un appareil de la Eastern Airlines qui, pendant dix minutes, s'évanouit totalement des écrans de la tour de contrôle de Miami. À bord, personne n'a rien remarqué d'anormal; mais lors du débarquement, les montres des passagers retardent toutes de dix minutes.

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Vuos arrievz à lrie cette prhase fcailenmet, bein que les lerttes soeint dans le désrdore : vrote cevraeu lit cahque mot cmmoe un tout.
Le cerveau n’enregistre qu’un petit nombre de détails pour fabriquer notre perception de la réalité.