Attention de ne pas aller trop vite.
Les radars ont des tas d'artéfacts, et là par dessus le marcher c'est des radars primaires aussi utilisé en métérologie.
Les enquêteurs ont d’ors et déjà exclu les possibilités d’un appareil conventionnel, de ballons météo et de conditions météo inhabituelles.
Quels enquêteurs et comment éliminent-ils l'hypothèse météo ? Ca ressemble fortement à un cas de la vague belge, et auguste messeen ayant fini sont étude trois ans après démontre que c'est un phénomène météo et rien de plus...
Le lundi 19 janvier 2009 au soir, vers 21 heures, un Objet Volant Non-Identifié est apparu sur les radars au dessus de l’aéroport de Stuttgart. Celui-ci a également été observé par le pilote depuis un avion en phase d’atterrissage. Il s’en est suivi une intervention de routine d’hélicoptères, qui s’est révélée sans succès.
Comme l’a confirmé le porte-parole de la sécurité aérienne allemande (DFS) à Langen, Axel Raab, vers 21 heures une cible de radar primaire sans transpondeur a été détectée au dessus de Herrenberg, volant vers l’espace aérien de Stuttgart à une vitesse de 50 noeuds (92,6 Km/h)
Du fait de l’absence de signal de transpondeur, l’écho radar n’a pas pu être identifié comme un aéronef connu. En plus de véritables objets, allant de petits avions de tourisme ou de drones équipés de réacteurs (qui laissent une trace du fait de la chaleur émise), il arrive également que de véritables échos radar soient produits lorsque des poches d’air ionisées sont crées lors des conditions atmosphériques particulières.
Au moment de l’observation radar, un pilote en phase d’atterrissage avec son appareil sur l’aéroport de Stuttgart fut prié de rechercher visuellement la souce de l’écho radar. Effectivement celui-ci put observer des lumières clignotantes (phares de position?) à l’endroit annoncé. Il estima leur altitude sous réserve - du fait des conditions de visibilité nocturnes difficiles - à entre 1500 et 2000 mètres.
Ensuite, lorsque le signal disparut soudainement au dessus de Welzheim à 21:42, la possibilité d’un crash fut émise par la tour de contrôle de Stuttgart et la police fut appelée. Celle-ci envoya un hélicoptère pour une intervention de routine à la recherche de la source de l’écho radar disparu, sans succès.
Vers 22 heures le signal réapparut dans la région de Dinkelsbühl et s’éloigna en suite hors de portée des radars de Stuttgart. Entre temps, d’après les données récoltées, la surveillance radar à Münich a pu constater que l’objet avait également été détecté sur ses systèmes. Finalement celui-ci disparut en direction de Grafenwöhr. A cet endroit se trouve l’une des plus grosse réserve de troupes américaines en Europe.
Entre temps également, la route de vol de l’OVNI fur recrée. Selon toute vraisemblance celui-ci fut détecté pour la première fois vers 20:17 à la frontière française.

image (c) grenzwissenschaft-aktuell.de
Selon le porte-parole de la DFS, “Normalement, de tels signaux sont identifiés rapidement. Dans ce cas précis cela ne s’est pas produit et aujourd’hui nous ne savons pas ce que c’était réellement. Peut-être que nous ne le saurons jamais.”
La vitesse moyenne de l’objet, entre Lahr et Dinkelsbühl (environ 195 Km) était de 110 Km/h. Avec une durée de vol de 105 minutes ont peut exclure les lanternes volantes. D’autres formes de ballons sont également peu vraisemblables pour Raab et des éventuels artefacts radar n’expliquent pas la cohérence des données relevées par les radars.
D’après la sécurité aérienne allemande il pourrait s’agir d’un vol militaire non-autorisé ou d’un drône. Du fait que l’objet se soit dirigé vers le stationnement de troupes de Grafenwöhr, on ne peut pas exclure une telle possibilité. Normalement lors de tels vols, la sécurité aérienne alliée doit être prévenue. Une autre hypothèse possible, bien qu’improbable, serait un vol de longue distance d’un avion ultraléger, qui selon sa construction, son niveau de carburant et les conditions météorologiques aurait pu atteindre des vitesses de 80 à 100 Km/h, et dans certains cas au-delà (par exemple : Flight Design CT = max. 230 Km/h) La route prise par l’objet pourrait donc, d’après les données, être à portée de nombreux avions ultralégers.
“Pour l’instant toutes les hypothèses - les militaires inclues - sont de pures spéculations. Les lumières observées par le pilote, aussi bien que les échos radars, restent non-identifiés“, conclut Axel Raab
source : Grenzwissenschaft Aktuell
traduction française : mike/ufofu.org
http://www.ufofu.org/blog/2009/01/30/al ... e-le-pays/et des éventuels artefacts radar n’expliquent pas la cohérence des données relevées par les radars.
Une explication serait bienvenue ...