Retour sur les faits ...
« La créature avait une grosse tête sans aucun cheveu avec 2 grands yeux rouges sans pupilles, mais surtout 3 protubérances ressemblant à des cornes sur le crâne »
« Cet être était bipède, avec 2 bras et 2 jambes ; sa peau était brun foncé et d’aspect plutôt luisant, mais sèche. La peau avait aussi une apparence réticulée avec de grandes écailles, mais lisse au toucher »
« Ses yeux m’attiraient, me faisaient pénétrer en eux de plus en plus profondément. Tout d’un coup, d’énormes quantités d’information ont commencé à se déverser dans ma tête »
« Ce qu’il ressort de l’entretien, c’est que cette créature semblait chagrinée par le manque de spiritualité de notre race »
Flashback
L’affaire Varginha, une communauté brésilienne de 130 000 âmes environ, commençe le 20 janvier 1996. C’est ce jour que plusieurs personnes ont relaté avoir vu un extraterrestre dissimulé dans un fourré, apparemment blessé ou effrayé. Mais très vite, des camions de militaires viennent nettoyer la zone, et les observateurs subissent des intimidations suffisamment convaincantes pour se taire pendant plusieurs années. Curieux d’en savoir plus, le docteur Leir, un ufologue américain, se prépare en 2002 à une enquête approfondie sur le terrain, pour tenter de reconstituer le véritable scénario de ce 20 janvier 1996, et éventuellement de trouver de nouveaux témoins, 6 ans après l’événement.
Rencontre avec l’alien
Les 3 témoins oculaires principaux concernant l’observation de l’extraterrestre de Varginha sont 3 jeunes filles : Liliane Fatima Silva âgée de 16 ans, sa sœur Valquira âgée de 14 ans et une de leur amie, Katia Andrade Xavier, 22 ans. Le 20 janvier 1996 vers 15h30, elles rentrent de leur travail et prennent un raccourci qu’elles empruntaient régulièrement à travers un terrain vague. C’est là qu’elles rencontrent la « créature », accroupie contre un mur de béton, haute d’environ 1m50, la peau de couleur brun foncée et huileuse. Elle avait une grosse tête sans aucun cheveu avec 2 grands yeux rouges sans pupilles, mais surtout 3 protubérances ressemblant à des cornes sur le crâne : croyant voir une apparition du diable, les 3 jeunes filles s’enfuient, terrorisées. Interrogées séparément par le docteur Leir, il est intéressant de constater que leur récit est profondément similaire et cohérent, tandis que l’émotion est toujours présente lorsqu’elles se rappellent cette étrange rencontre du troisième type.
La capture de l’extraterrestre
Poursuivant la reconstitution du puzzle Varginha, le docteur Leir s’intéresse ensuite à la capture supposée de l’alien, en s’appuyant sur des informations qui indiquent que 2 policiers auraient « embarqué » un extraterrestre dans leur voiture vers 18 heures ce même jour, à quelques mètres seulement de l’endroit où les jeunes filles avaient aperçu « quelque chose ». Un témoin a rapporté que l’un des policiers était sorti de la voiture pour intercepter une créature qui boitait et qui tentait de traverser la route. Fait troublant, ce jeune policier en contact avec l’extraterrestre devait décéder moins d’un mois plus tard d’une mystérieuse infection, devant laquelle les médecins sont restés impuissants (voir notre encadré). L’extraterrestre a tout d’abord été conduit dans un dispensaire médical, mais devant la gravité de ses blessures, elle aurait par la suite été transportée dans un hôpital mieux équipé. Le 22 janvier, soit 2 jours après l’événement, du personnel militaire a transféré l’alien à l’Hôpital Humanitas, l’établissement le mieux équipé de la région. Enfin, des témoins visuels soulignent qu’une petite caisse à l’allure de cercueil fut chargé 18 heures plus tard à bord d’un camion militaire…
L’étonnant témoignage du corps médical
Jusqu’à l’enquête du docteur Leir, l’affaire Varginha ne se résumait qu’à des bribes d’informations, accouplées à des rumeurs de toutes sortes. Mais un nouveau témoignage, celui d’un médecin agrée, apporte un argument de poids à l’hypothèse d’un transfert militaire de l’extraterrestre dans un centre de soins. Avec la condition de garder l’anonymat, l’ufologue américain a pu rencontrer et interroger des membres du personnel de l’hôpital Regional qui était présent ce 20 janvier 1996 lorsque des militaires apportèrent la créature. Après 6 années de silence, certains acceptèrent enfin de prendre la parole pour raconter cette journée un peu particulière. Voici de troublants extraits de la « confession » du médecin : « A l’intérieur du bloc chirurgical, tout le monde semblait paniqué. C’était le désordre et la confusion totale. Les militaires étaient très autoritaires ; nous savions qu’ils avaient amené un patient par la porte de derrière, et l’avaient fait rentrer directement en chirurgie. L’autre chose qui nous a impressionné, c’est qu’on a interdit à tout le monde d’en dire un mot une fois que ce serait terminé. On nous a averti sévèrement dès le début. (…) On m’a demandé de me préparer pour une réduction de fracture à la jambe. J’ai remarqué que 2 officiers armés gardaient l’entrée de l’une des salles d’opération ; c’était un peu déconcertant de voir du personnel militaire équipé d’armes et de munitions à l’intérieur d’un bloc opératoire. (…)Je me suis approché de la table avec mes collègues. J’ai tout de suite remarqué que le patient était petit et j’ai d’abord cru que c’était un enfant. Lorsque j’ai vu le visage de l’individu, j’ai eu un choc : ce n’était pas du tout un visage humain, je n’avais jamais rien vu de semblable auparavant. Les yeux étaient grands, rouges, et fixaient le plafond d’un air absent. (…) C’est quand nous avons retiré le drap que nous nous sommes rendu compte que cette créature n’était probablement pas de ce monde. »
Cours d’anatomie extraterrestre
Grâce à ses compétences médicales, le médecin qui a soigné l’extraterrestre de Varginha peut nous fournir des détails précis et un rapport circonstancié de l’état de santé de la créature, mieux que n’importe quel autre témoin. « Cet être était bipède, avec 2 bras et 2 jambes ; sa peau était brun foncé et d’aspect plutôt luisant, mais sèche. La peau avait aussi une apparence réticulée avec de grandes écailles, mais lisse au toucher. La tête était l’une des parties les plus remarquables : elle était beaucoup trop grande par rapport à la taille de l’individu. Il y avait 3 protubérances osseuses sur la tête, il n’y avait pas de cheveux, ni de poils sur le reste du corps. Il y avait une bouche très réduite et 2 petites ouvertures avec une légère arête là où aurait dû se trouver le nez. » Cette description anatomique fournie par un professionnel nous permet par ailleurs d’apprendre que l’extraterrestre n’a pas d’oreilles, que son cou est étroit et son torse frêle, tandis que l’abdomen est comparable à celui d’un être humain, sauf qu’il n’a pas de nombril. Les extrémités inférieures, fortement musclées, laissent supposer que la créature vient peut-être d’un environnement où la gravité est plus forte que sur terre…
Echange télépathique avec le médecin
Après avoir soigné la fracture de la jambe de l’extraterrestre (dont l’os s’est ressoudé en 24 heures…), le chirurgien en charge de ce curieux patient fait état d’une communication un peu particulière avec l’alien. Il semble que ce soit au moment où il a croisé son regard (les autres membres du personnel présent avouent n’avoir pas osé fixer la créature dans les yeux) qu’un échange télépathique s’est instauré. Voici son troublant témoignage : « Ses yeux étaient d’un rouge brillant et avaient l’apparence de 2 réservoirs de liquide tournoyant. Ils m’attiraient, me faisaient pénétrer en eux de plus en plus profondément. Tout d’un coup, d’énormes quantités d’information ont commencé à se déverser dans ma tête. C’était comme des schémas de pensées, de gros blocs d’informations. De manière répétée, répétée, comme si quelqu’un me frappait la tête avec un marteau ».
Le message d’une autre civilisation
Sur cet échange d’information, le médecin interrogé par le docteur Leir reste relativement évasif. Il est clair que même plusieurs années après cette incroyable journée de janvier 1996, ce professionnel reste profondément marqué et troublé par l’expérience. Ce qu’il ressort de l’entretien, c’est que cette créature semblait chagrinée par le manque de spiritualité de notre race. Elle indiqua également (peut-être parce qu’elle s’adressait à un professionnel de la santé ?) que les êtres humains avaient la capacité de se guérir seul en cas de blessure ou de maladie, par la seule énergie de leur âme. Mais peut-être sommes-nous trop déconnectés de notre moi spirituel pour ne serait-ce qu’envisager qu’une telle performance est possible. Ce message laisse entendre que nous sommes très loin de connaître toutes les ressources de notre corps et de notre esprit ; et quelle ironie de livrer de telles informations à un médecin, en lui assurant que nous n’avions pas besoin d’hôpitaux !
Brésil, terre d’OVNI
Pays majestueux et décalé, le Brésil fait la part belle aux apparitions d’OVNI et aux rencontres du troisième type. Comme nulle part ailleurs, la majorité de la population est sensible aux phénomènes étranges et à l’idée d’une présence extraterrestre. A de nombreux cas brésiliens déjà célèbres chez les ufologues du monde entier, vient donc s’ajouter l’affaire Varginha. Grâce à l’implication de nombreux enquêteurs venus de différents horizons, de nombreux témoins ont pu s’exprimer, chacun rajoutant sa pièce à un puzzle complexe. Crash d’un OVNI, capture d’alien(s), soin prodigué à un « non-humain » et témoins à la pelle ; l’affaire Varginha est au moins aussi riche que le cas Roswell ! Sauf que cette fois, les ufologues semblent avoir gagné la bataille contre le poids du secret…
Pour en savoir plus
« Des extraterrestres capturés à Varginha au Brésil », docteur Roger K. Leir, Editions le Mercure Dauphinois.
Retrouvez en détail la passionnante enquête du docteur Leir, qui s’est rendu au Brésil pour en savoir davantage sur ce qui s’est réellement passé le 20 janvier 1996, dans la ville de Varginha… Roger K. Leir est déjà l’auteur d’ « OVNIs et implants : un chirurgien témoigne », qui traite des personnes qu’il a opérées d’implants supposés d’origine extraterrestre.
Combien d’extra terrestres lors du crash ?
Sur le crash du vaisseau extraterrestre, nous ne possédons que peu d’informations ; seul un couple âgé, des employés d’une ferme située à quelques kilomètres de Varginha, disent avoir vu un OVNI en difficulté ce 20 janvier 1996, vers 1 heure du matin. Brutalement réveillés par des meuglements de vaches et le bruit des animaux visiblement désorientés et courant dans tous les sens, leur attention fut attirée par un objet dans le ciel. Un OVNI grisâtre et allongé volait lentement au-dessus de leur terrain, évoquant un sous-marin. De la vapeur blanche émanait de l’objet, ce qui laisse supposer qu’il était peut-être sujet à des difficultés mécaniques, même s’il demeurait totalement silencieux. Le couple a également constaté que la structure du vaisseau était endommagée, des éléments du fuselage pendaient en se balançant. Les ufologues pensent quant à eux que le crash a dû se produire entre 1h et 5h du matin, ce qui reste cohérent avec ce témoignage. Il se pourrait par ailleurs qu’il y ait eu plusieurs survivants, en plus de l’extraterrestre aperçu par les 3 jeunes filles, appréhendé par la police puis conduit à l’hôpital. En effet, un autre témoin qui faisait son jogging ce 20 janvier 96 a aperçu du personnel militaire, pistolets automatiques au poing, semblant rechercher « quelque chose » dans une zone boisée non loin de l’endroit où les trois jeunes filles ont aperçu la première créature. Quelques minutes après avoir entendu des détonations d’armes à feu, il vit des soldats revenir vers les véhicules militaires, 2 grands sacs de toile sur les épaules…
La mort mystérieuse du policier qui a appréhendé l’ extraterrestre
Le 15 février 1996, Marco Eli Cherez décédait à l’âge de 23 ans. Or ce caporal de la police militaire a participé à la capture de l’extraterrestre, ayant même un contact direct au moment de le placer dans sa voiture de police. 3 semaines après cette rencontre du troisième type, Marco Chereze décédait donc d’une infection… inconnue. Plusieurs mois après, sa famille et sa femme n’avaient toujours pas obtenu de certificat de décès, malgré des demandes répétées, tandis que le commissaire principal de Varginha était purement et simplement écarté lors de l’autopsie. Ce n’est qu’au bout d’un an qu’un dossier médical apporta de maigres indices : le policier serait mort d’une infection généralisée. « Bien que tous les tests et examens possibles aient été pratiqués à la recherche d’un diagnostic, il n’a pas pu être sauvé à temps » déclarait par la suite le commissaire responsable de l’enquête au cours de sa déposition.
Un médecin reconnu témoigne
Devant la gravité de l’événement, l’avocat et ufologue brésilien Ubirajara Rodrigues, l’un des pères du cas Varginha, a interrogé le docteur Cesario Lincoln Furtado, cardiologue et expert officiel pour la justice, qui nous donne des informations cliniques précises sur cette mort mystérieuse qu’il a constatée lui-même. Entré à l’hôpital le 12 février pour une douleur intense dans la région lombaire, les examens du sang indiquèrent une importante infection « capable de provoquer un empoisonnement ». Malgré la prescription de 2 antibiotiques, le patient est resté dans le même état jusqu’au 14 février. Le 15, le policier présentait des signes de cyanose (coloration bleuâtre de la peau due à un manque d’oxygène) avec un risque élevé de septicémie. Une fois s’être assuré que le patient était séronégatif (les malades du sida présentent le même genre de déficience immunitaire), tous les recours thérapeutiques furent essayés… en vain.
La « causa mortis » toujours inconnue
L’autopsie ne permit pas non plus de diagnostiquer la cause exacte du décès. Le docteur Furtado a en outre confirmé que Marco Cherez jouissait d’une très bonne santé quelques jours seulement auparavant, et qu’il n’avait jamais eu de problèmes ayant pu justifier une immunodéficience. En conclusion, le docteur Furtado parle de « mort étrange et sans explication rationnelle ». On peut légitimement s’interroger sur les possibilités de contaminations extraterrestres : ces entités seraient-elles porteuses de germes mortels pour l’espèce humaine ? Cela pourrait en tout cas expliquer pourquoi les E.T évitent tout contact avec nous, sorte de mesure d’hygiène pour empêcher une épidémie…
Des animaux extraterrestres ?
Pour certains enquêteurs, les visites d’E.T peuvent être classées dans différentes catégories. Certains aliens sont dotés d’intelligence et de pouvoirs, tandis que d’autres envoient leurs animaux de compagnie ! Ainsi, le ou les extraterrestres de Varginha pourraient être des « types Delta », c’est-à-dire des sortes d’animaux, dressés par des êtres Alpha et Bêta pour des missions simples, telles que la collecte de minéraux et de végétaux. Cela pourrait expliquer que la créature aperçue par les 3 jeunes filles ait semblé terrorisée par son environnement direct, réagissant comme un animal blessé en se cachant près d’un muret. Dressées uniquement pour un type de mission, la ou les créatures auraient été incapables de réagir face au crash de leur aéronef. Cependant, il est important de souligner que le « non-humain » soigné à l’hôpital est tout de même capable d’avoir un échange télépathique avec un médecin et de lui parler de spiritualité…
source :
http://www.mondeinconnu.com/dossiers/al ... arginha_0/