Voila ce que j ai pu trouver et voici le lien avec l article entier :
http://dhyanchohan.unblog.fr/tag/rr4-le ... hill-1961/[b]Un fait très important est que Betty mentionnera une intervention de type chirurgical impliquant une longue aiguille pénétrant son ventre, par le nombril. On lui dira qu'il s'agit d'un test de grossesse. Cette pratique gynécologique est retrouvée fréquement dans les témoignages actuels de femmes enlevées. Cette méthode semble être utilisée afin de prélever des ovules.
Le plus étonnant au sujet de Betty Hill est que ce procédé médical n'a été développé et utilisé par les gynécologues que dans les années 70. (Je rappelle que l'enlèvement s'est déroulé en 1961). Betty a donc rapporté une procédure gynécologique qui sera pratiquée environ 10 ans plus tard.
Jacques Vallée nous fait part des contradictions des Hill concernant leur apparence dans son livre ” Chroniques des apparitions extra-terrestres “, ce qui ne veut aucunement dire que l'enlèvement n'a pas eu lieu, une info à prendre en compte :
Betty déclare :
La plupart des hommes sont de ma taille… Aucun n'est aussi grand que Barney, c'est pourquoi je pense qu'ils peuvent avoir 5 ou 6 pieds 4 pouces. Leur poitrine est plus large que la nôtre ; leur nez plus grand, plus long que la moyenne bien que j'aie vu des gens qui ont le nez comme eux, par exemple comme Jimmy Durante.
Jimmy Durante
Leur teint était gris, comme un mélange de peinture grise à base noire ; leurs lèvres sont d'une teinte bleu gris. Les cheveux et les yeux sont très sombres, peut-être noirs…
Dans un sens, on les prendrait pour des mongoliens… Cette sorte de face ronde avec un large front, qui vont de pair avec un certain genre de grossièreté. Leur épiderme semblait bleu gris mais il est sans doute plus blanc que ça. Leurs yeux bougeaient, et avaient des pupilles. Ils m'ont donné l'impression de ressembler aux yeux des chats.
Par ailleurs, Barney dit, lui :
Les hommes avaient des têtes d'une forme un peu bizarre avec un large crâne, mais cette largeur de tête diminuait en s'approchant du menton. Et les yeux qui tournaient sur le côté de leurs têtes donnaient l'impression que leur champ de vision était plus étendu que le nôtre latéralement. Cela m'impressionna… La bouche ressemblait à une ligne horizontale qui se terminait de chaque côté par une petite ligne perpendiculaire. Cette ligne représentait les lèvres sans le muscle qui est le nôtre. Et la ligne se séparait légèrement quand ils émettaient ce bourdonnement. le grain de peau, si je me souviens bien par le rapide coup d'oeil que j'ai jeté sur elle, était grisâtre, d'un gris presque métallique. Je n'ai pas remarqué les cheveux, ni la coiffure. Je n'ai pas non plus remarqué le nez, juste deux petites ouvertures qui représentaient les narines.
Betty parle de cheveux très noirs.
Barney n'en a pas vu.
A part le nez et les lèvres sur lesquels ils ne sont pas d'accord, on peut dire que la déclaration de Betty s'accorde avec celle de Barney en ce qui concerne la description de la tête et l'apparence de la peau.
Une autre remarque de Betty revêt une signification particulière à ce sujet, quand elle dit :
” J'ai eu l'impression que le chef et celui qui examinait étaient différents des autres membres de l'équipage. Mais c'est difficile à dire, parce que, véritablement, je ne voulais pas regarder ces hommes “.
Deux autres éléments d'importance ressortent de ce cas. L'un d'eux est la manière qu'on ces êtres de communiquer. Entre eux, ils échangent un langage audible mais absolument incompréhensible pour les témoins. Cependant, quand ils communiquaient avec les Hill, leurs pensées étaient émises en anglais. Betty pense qu'ils parlaient anglais ” avec un accent “, tandis que Barney avait l'impression que les mots et la présence de l'entité étaient deux choses différentes :
” Je ne peux pas dire que j'ai entendu de voix. Mais en moi-même je savais ce qu'il disait. Ce n'était pas comme s'il me parlait et pendant que je regardais les yeux grands ouverts, il était assis à l'autre bout de la pièce. On aurait dit que les mots faisaient partie de moi-même et qu'il n'était pour rien dans la création des mots eux-mêmes “.