il sappelait comment le démon? Satan ou Belzébuth?



Au secours... :shock:

ahahahaahahahaahhahah j'en peux plus je me tords de rire

Pour avoir pratiqué des séances de oui-ja en famille et de façon ludiques et récréatives à une époque de ma vie, je peux assurer qu'il n'y a aucun danger à le faire. Il ne faut surtout pas se mettre en tête qu'il s'agit de communications avec des esprits ou des fantômes, il n'y a de morbide ou de démoniaque dans cette activité que ce que l'on y met. Il n'y a réellement rien d'excessivement ésotérique derrière cela, d'autant qu'on s'aperçoit très vite des limites de l'exercice. Le oui-ja n'utilise dans ses réponses que des informations auxquelles l'assemblée présente à eu accès (ce qui pose peut-être le problème de la transmission de pensée ou de la conscience collective). Victor Hugo le pratiquait et les textes produit lors des séances étaient du pur Victor Hugo. on ne découvrira donc rien que l'on ne connaisse déjà hormis parfois des divagations souvent plus surréalistes que crédibles et le plus souvent invérifiables.
Reste le mystère du magnétisme, qui est tout à fait fascinant, il est vrai ...

Le oui ja comme support littéraire surréaliste, pourquoi pas ? Au moins cela donne une vraie fonction à cet ustensile. Mais autant pratiquer directement l'oulipo, honnêtement;..

Ça se vaut ... mais le oui-ja à un charme supplémentaire. Toutefois il ne fonctionne pas avec tout le monde ...

C'est bien là le problème...

La majorité des gens qui s'y essaient se sont persuadés que cela va leur donner accès aux secrets de l'au-delà... Bonjour la névrose!

Un sceptique peut éventuellement tester le ouija, pour la déconne ou par curiosité, mais il ne va pas y investir la même chose, émotionellement parlant...

Soyons sérieux. Pensez-vous que la majorité des gens qui pratiquent le ouija sont plutôt des sceptiques curieux qui veulent rigoler un coup ou des crédules impressionnables qui veulent y croire... ?

moitié-moitié, je dirais ... non ?

J'ai déjà essayé, ça m'a fait bien marré. C'est du même niveau que la malédiction quand on brise un miroir, un mythe.

Disons que le premier devient la conséquence du deuxième.