AB Sauniere a écrit:
Quand aux réactions dont tu as parlé, pourrais-tu développer, s'il te plaît ?
Merci.
Je viens de découvrir ta réponse
Alors pour développer un peu plus mon idée de réactions :
(ATTENTION, ce sont des suppositions car je ne suis pas du tout psychologue ou tout autre spécialiste de "l'esprit" humain)
(ATTENTION 2: je ne tente pas de vouloir démontrer que tu te fais des films. Je n'ai pas vécu ta situation. J'exprime juste une idée
)
Mon idée est que la "peur" a pu déclencher une exagération des éléments vécus.
En reprenant tes réponses :
Citation:
Alors que nous étions assis près de cette demeure, nous avons entendu un jour, les volets en fer du balcon de l'étage s'ouvrir, ce qui provoqua notre fuite
Donc consciement (ou pas), la demeure provoque déjà un sentiment d'angoisse, de peur suite à cette expérience.
Citation:
Le problème c'est que je n'avais pour seule lumière que la lueur de la flamme d'un briquet (grossière erreur, je l'admets)
Une faible lueur vacillante, projetant énormément d'ombres peut accentuer le malaise.
Citation:
Arrivé dans cette salle, je commençais par entendre (mais j'avais l'habitude de cela) comme des bruits de pas à l'étage. Inutile de vous dire que je commençais à flipper sévèrement
A partir de là, la pression monte. Tu l'as d'ailleurs remarqué toi même.
Attention, nous ne connaissons pas l'origine des bruits mais nous (au sens général) imaginons toujours le pire (avis personnel)
Citation:
j'étais seul, car mon pote m'attendait dehors.
Donc aucun moyen de se sentir rassuré.
Donc en reprenant :
1- premier contact > fuite
2- solitude
3- pas de lumière (enfin elle faisait pire que mieux)
4- bruit à l'étage non identifié
Il ne manque plus que l'étincelle pour mettre le feu aux poudres.
Voilà donc mon raisonnement sur "les réactions humaines".
Maintenant, je t'explique cela sans avoir vécu le phénomène.
Tu es le seul à pouvoir juger si, oui ou non, tu as pu ressentir plus qu'il n'était.