ARG! Napoléon tu veux me tuer!
La photo du type en décomposition qui présentait les contes de la crypte, ça m'a fait un peu bondir le coeur...Notez que Stephen King avoue avoir été fortement influencé par cette émission!
Pour les Goonies: je n'ai malheureusement que peu de souvenirs de ce film, je me souviens du type à la tête de monstre, qui effectivement m'avait traumatisée, Sinok, donc, même si après, on découvrait qu'il était gentil).
Mais je me souviens aussi d'un crâne, une tête de mort dans ce film (confirmez vous?): or, quand j'ai visionné ce film, j'étais chez ma marraine qui habitait une grande maison isolée dans la campagne et assez bizarre (un peu à la shinning) avec grande bibliothèque et salle de jeu en cuir, et la chambre que nous occupions avec ma petite sœur en haut d'un escalier en colimaçon en bois qui me semblait immense: dans cette chambre, il y avait, grandeur nature, un crâne humain posé sur une table (dieu seul sait en quelle matière était ce truc, mais le mari de ma marraine jurait que c'était un vrai): je me souviens que j'ai demandé à ce qu'on l'enlève pour dormir.
Azurangel; tu semble avoir gardé un bon souvenir des Goonies; Mais je pense que ça tient aussi à l'âge auquel on regarde le programme
: je ne pourrais dire précisément l'âge que j'avais, mais je devais être bien jeune, vu que je n'ai que peu de souvenirs à par le mec monstrueux, un crâne, et il me semble un orgue gigantesque à la fin (confirmez vous?). En fait ce sont mes cousins plus grands qui avaient mis la cassette.
Bah, puis je suis plus si impressionnable que ça, vu que les film d'horreur et d'épouvante que j'ai vu, ne me marquent pas beaucoup (à part shinning, mais c'est plus pour la qualité du film que pour la frousse)
Mes pires souvenirs de film stressant sont bien dans ma jeunesse: E.T aussi m'avait fait cauchemarder pendant longtemps tant la tête de l'extra terrestre m'avait semblé horrible, et un film à la télé vu avec mes grand parents où il y avait des farfadets méchants.
Dans le même genre, le loup de l'histoire sans fin me faisait frissonner, mais, là, par contre j'avais adoré ce film malgré tout (mais j'étais moins gamine).