Betel a écrit:
Bonjour "Thomas",
A l'instar de LM, content de te voir ici... (oui, en effet, je connais personnellement Thomas.)
Peut-être pourrait-on suggérer au modérateur de rétablir au moins l'adresse mail de Thomas, non par mercantilisme, mais pour faciliter davantage encore les échanges entre lui et les visiteurs curieux ?
Sinon, comme on l'a vu au travers de ses messages, Thomas est très accessible "en personne" pour tout ceux qui voudrait le connaître, le rencontrer et discuter avec lui.
Comme écrit dans ton interview par Jimmy Guieu dans son livre posthume, il y a un aspect particulièrement intéressant de ton expérience personnelle dont tu pourrais parler ici (il me semble que cela a été un des moments saillant dans ton parcours): le fameux débris aux propriétés physiques déroutantes, que tu as tenu en mains propres.
A+ (au 25 ?)
En effet, lors d'une enquête que j'ai faite en Israël (vague d'ovnis de juillet à septembre, puis décembre 1996, avec des incidents de frontière ayant provoqué des tirs d'artillerie entre Israël et la Syrie), ayant pour prétexte un rapprochement universitaire avec l'université d'Haïfa (comme quoi, parfois les présidents français d'université sont tolérants
), j'ai pu être mis en relation avec un journaliste du plus grand quotidien de Tel-Aviv (Ma’ariv), lui-même en relation avec des militaires qui prennent très au sérieux le phénomène ovni (mais c'est une autre histoire...).
Ce dernier a pu subtiliser dans une entreprise israélienne, en relation avec l'aérospatiale de son pays, un fragment de débris provenant d'un crash d'ovni ayant eu lieu en Chine. Sur place, j'ai pu expertiser cet échantillon dont les propriété cristallographiques et thermiques étaient hors du commun.
Pour faire simple, il s'agissait de Silicium pur d'un point de vue métallurgique (à plus de 99.99%) dont les rapports isotopiques n'avaient rien de commun avec ce que l'on rencontre sur Terre (y compris un isotope totalement inconnu) et présentant des cristaux ne correspondant pas au groupe habituel dans lequel le Si cristallise sur Terre. Par ailleurs, il disposait d'une capacité calorifique équivalent à la chaleur latente de l'eau (!!!) ainsi qu'une conductivité thermique extrêmement élevée. Cela se traduisait, d'un point de vue expérimental, par une fusion immédiate d'un gros bloc de glace dès qu'on posait dessus le débris, pourtant à température ambiante, et sans qu'il se refroidisse notablement (le bloc était littéralement transpercé à une vitesse proche de la gravité). C'était vraiment impressionnant et déroutant.
J'ai appris ensuite que ce type de débris intéressait beaucoup certaines entreprises travaillant pour l'aérospatiale en les recyclant comme revêtements de boucliers thermiques. Ces entreprises étaient d'ailleurs très bien organisées pour explorer les champs de débris de crashes (supposés) afin d'en assurer la collecte.
Enfin, c''est ce que ce journaliste m'a affirmé après avoir réussi son examen de confiance.
En revanche, le débris lui était bien réel...
Cordialement,
Thomas Allen