Sauf que dans les pays Africains, la législation est beaucoup moins draconnienne qu'en France...
Mais il fait savoir aussi que certains grands parcs sont surpeuplés par certaines espèces ( cela peut sembler un paradoxe, mais c'est le cas... ) et qu'ils sont de plus très peu, voire pas du tout subventionnés. Vendre une partie de leurs animaux est pour eux une question de survie.
Mais après, reste à voir où ils les vendent...
J'ai vu il y peu de temps un reportage sur la "chasse en boîte"... c'était franchement écoeurant... de pauvres vieux lions était tirés à 10 mètres, depuis un abri surélévé par un espèce de millardaire vicelard, qui en plus tirait comme un pied, et qui à la fin était tout fier de lui... franchement, y'a de quoi désespérer de l'être humain...
Apparemment, les lions "sélectionnés" pour la chasse en boîte viennent d'un peu partout, et souvent de "rebus" de zoos ou de cirque ( trop vieux, plus assez beaux... ). Mais comme cela se passe en Afrique du Sud, il est assez peu probable que les malheureuses bêtes viennent d'Europe ( enfin, j'espère... ).
Pour en revenir au cirque, je suis d'accord dans la grande majorité des cas, les animaux sont bien traités et proviennent d'élevages spécialisés. Il en existe d'ailleurs un très célèbre, en Californie je crois, qui n'élève que des tigres blancs.
Il faut savoir aussi qu'en France, détenir tout animal sauvage est en principe très encadré. Dans certains cas ( fauves ) il faut une habilitation préfectorale, qui n'est délivrée qu'après une sorte d'examen vérifiant vos aptitudes à vous occuper d'un tel animal.
Pour en revenir à la vivisection et au sort des animaux en général, le but du sujet était avant tout d'apporter un éclairage éthique sur ce sujet.
Je ne crois pas que les corridas et autres maltraitances soient les signes d'une société saine et évoluée.
Gandhi disait que l'on mesure le degré d'évolution d'une société au sort réservé aux animaux, et je crois que c'est très vrai, parce qu'ils sont les plus faibles et les moins protégés, parce qu'ils sont les souffres-douleurs des plus bas instincts des hommes.
Je me souviens qu'en Première, j'ai failli me faire viré de cours parce que j'ai refusé de dissequer une grenouille. Bon, ok elle était congelée... mais n'empêche, tuer 20 grenouilles pour... quoi, on se le demande ? Une photo, un film, ça suffit... au pire, en disséquer une seule, ça suffisait, non ?
Toujours est-il que je me suis retrouvée au coin pendant une heure et demie... bah, franchement, ça ne m'a pas trop dérangée vu que moi et les sciences nat' ça a toujours fait deux, qu'en plus la proximité d'un animal mort me rend malade ( y'avait ça, aussi...

) et que de surcroît je détestait ce prof...
Alors, vous ne pensiez pas que j'étais une rebelle...
