Je ne pensais pas que cela pouvait être possible d'être perdu pendant 3 mois en pleine forêt et survivre... Je trouve cette nouvelle surprenante!

Il y a eu un gars aussi qui s'est perdu pendant un paquet de temps dans les bois au nord de USA y a quelques mois non ?

A mon avis il faut une bonne condition physique de départ et surtout une sacrée connaissance de la nature pour survivre comme ça, et le bon sens de jamais s'éloigner de l'eau aussi.

C'est étonnant que sa famille s'inquiète si tard de son absence non? Même si, comme dit dans l'article, ils avaient l'habitude de ses longues escapades... là, c'était quand même une énorme absence.

Je serais curieux de connaitre la suite, et surtout le pourquoi du comment, il s'est réellement perdu .....! Ce n'est pas parce que un ours attaque votre campement que vous êtes inccapable de retourver votre voiture, ou bien une route ?

Wait and see .....

En même temps, la région de l'Abitibi-Témiscamingue est assez isolée des autres régions du Québec et il y a d'énormes forêts. Surtout dans la région du Lac Matagami (allez voir sur Google map...), ce n'est que des forêts. Une simple route passe au sud de ce lac, le restant, que de la forêt (même s'il y a des exploitations forestières ci et là). Il a peut-être été blessé dans l'attaque de l'ours, l'article n'en parle pas. Et les nuits devaient quand même être très froides depuis la fin août dans cette région inhabitée.

Oui, j'ai lu ça sur le site de Canoë ce matin.

Sa famille était au courant qu'il était disparu, si je ne m'abuse, il était recherché depuis un moment.
Le service de police l'a finalement retrouvé...
Ça tient presque du miracle!

Juste penser me mettre à sa place et je suis complètement terrorisée!

Le temps doit effectivement être bien long

Visiblement il devait s'agir de quelqu'un qui connaissait parfaitement les méthodes de survie en milieu hostile et qui a su s'en servir habilement et avec ingéniosité. C'est la preuve qu'avec un minimum de connaissances de son environnement, de la débrouillardise et un mental en acier trempé, on peut survivre aux situations les plus désespérées.

Desquels il faut ajouter la chance.

La chance est inutile lorsqu'on sait ce qu'on fait

Peut-être, mais encore là, le corps a ses limites. Dans l'état où il a été retrouvé, je doute fort qu'il ait survécu encore bien longtemps, surtout que l'hiver est à nos portes.

Dernière nouvelle : L'homme s'est résolu à tuer son chien (un berger allemand) pour se nourrir... Heureusement pour lui, ce n'était pas un chihuahua... Selon les médecins, s'il n'avait pas été retrouvé cette journée là, il serait mort, il ne lui restait que quelques heures à vivre, tout au plus 1 journée.

L3parisien !

Je réitère, j'ai dit la CHANCE en plus du reste !

Et je répond encore que "le reste" suffit quand on sait ce qu'on fait .
La chance c'est le nom qu'on donne aux facteurs dont on soit pas conscience soit pas le contrôle . Dans les deux cas c'est possible de prendre en compte ces facteurs si on a de l'expérience .
Je dis pas que j'aurai su quoi faire je dis juste que quelqu'un d'expérimenté n'a pas besoin de s'en remettre au pifomètre et à la chance pour s'en sortir .

Dans tous les cas je lui dis chapeau au type même si c'est dommage pour le cléb'

Tu es donc capable de maitriser des évènements inopinés dont tu n'as pas le contrôle ? Tu es magique !

J'ai dit maitriser ? Attend je relis mon message ... ah bah non !
J'ai dit prendre en compte ce qui est totalement différent

Cet homme savait comme faire pour survivre puisque ce n'était pas la première fois qu'il partait en forêt pour une petite période de temps.

Je pense que l'aspect "chance" revient surtout au fait qu'il ait été retrouvé.

Tout cela ne nous dit pas pourquoi il n'a pas retrouvé sa voiture ni la route .......

Je pense que quand tu te fais surprendre pas un ours qui a la dalle, tu dois avoir le réflexe de courir tout droit sans penser à semer des petits cailloux.
Et comme rien ne ressemble plus à un arbre qu'un autre arbre...

ok Tapioka, je vais partir sur ce principe là.

J'avoue que de dire que le mec savait ce qu'il faisait et dire aussi qu'il était en train de mourir de faim c'est un peu contradictoire.

Pour moi, un mec qui sait survivre en forêt, a moins de n'avoir plus de couteau, plus de corde et plus d'allumette ne se retrouvera jamais a l'agonie comme lui. Faire du camping sauvage et faire de la survie en forêt c'est deux choses totalement différente et croire que parce qu'il est allé souvent dans des endroits reculé pour une longue période de temps avec vivres et équipements fait de lui un survivaliste c'est croire que n'importe quel mec avec des moyens conséquent (bon équipements genre gps et autres + vivres, poêle au gaz), peut survivre en forêt.

Survivre en forêt, c'est pas se faire des œufs-bacon avec toast sur son poêle tout en écoutant son ipod dans sa tente sur le bord d'un lac. C'est être capable de chasser et pêcher sans attirails.

Donc a moins qu'on me dise que le mec était blessé, j'en conclus que c'était un simple amant de la nature et de la solitude sans notion valable de survie en forêt. Être prêt a faire du camping sauvage pendant 3 mois c'est être organisé et discipliné et rien d'autre parce que se faire voler ses vivres par un ours, jamais ça arriverait a un trappeur aguerri.

Pour l'instant, rien n'indique qu'Il ait campé près de sa voiture ou de la route... Il peut très bien avoir marché un bout de temps, loin de toute civilisation, avant d'établir sa tente. Il peut très bien aussi avoir descendu une rivière pendant un certain temps sur un canot et ensuite marché dans la forêt un jour ou deux avant d'établir son campement. Ça, on le saura éventuellement quand l'homme pourra en raconter un peu plus (ou que les médias daigneront raconter la suite de l'histoire...).

Je plussoie L'Idéaliste

Je rejoins l'Idéaliste.

La survie dépend autant du mental que de l'endurance physique et des connaissances.
On peut considérer les possibilités de survie comme une pyramide fondée sur la volonté de survivre. Certains individus qui la possédaient ont survécu bien qu'ils aient agi au mépris des règles élémentaires. Avec un minimum de connaissances, tout aurait été beaucoup plus facile.

Le deuxième niveau de la pyramide est donc la connaissance qui donne confiance en soi et écarte la crainte.

Le troisième niveau doit être l’entraînement, ce qui ne signifie pas seulement l’essai des techniques, mais leur maîtrise et l'entretien de cette maîtrise. En procédant ainsi, vous entraînerez aussi votre corps.

Pour couronner la pyramide : votre équipement. Des provisions et des affaires personnelles, c'est évident, mais le survivant ne sait pas forcément dans quelles conditions il va se retrouver pour s'équiper en conséquence.
C'est là que la panoplie de survie représente une énorme différence sur les chances de s'en sortir.
Si à l'instinct de conservation, vous ajoutez les connaissances, l'entraînement et le nécessaire de survie, vous serez prêt à tout.