Missize a écrit:
Je ne sais pas, j'ai toujours été forte, ou fait le maximum. Mais bon tu sais, quelqu'un qui tue tes enfants, tu ne cherches pas à te mettre à sa place Omnilink ! Si je tuerai un jour, ce serait pour plus grave que cela.
désolé mais tu n'en sais rien... tu n'y est justement pas.
petite illustration:
Je peux aussi dans le même sens de réflexion te demander si pendant la deuxiéme guerre mondiale tu aurai été de ceux qui auraient résisté, des passifs ou des colaborateurs?
Tu me dira certainement que tu aurai été des résistant, mais tu n'a aucune idée de la pression qui a pu s'exercer sur ceux qui ont vécu cette époque... et même si maintenant une grande partie prétend qu'ils auraient été des résistants et bien dans la réalité, ces dernier étaient minoritaires?
Sommes nous meilleur que nos arrières grand parents ou grands parents?
Non je ne crois pas, on a juste une sacrément grande gueule et nous n'avons aucune idée de ce que nous aurions fait à leur place!
fin de l'illustration
autre illustration:
Je pourai aussi te citer des mères allemandes qui tuèrent leur enfants parcequ'elles étaient persuadées que ce qui les attendait était horrible, finalement ça ne le fut pas, les russes se sont montré trés humains pendant la guerre avec ceux qui étaient encor en vie. Folie ou juste enchainement de mécanisme psychologique?
Il est même étonnant de voir une mère essaillant de tuer ses enfants aprés l'arrivée des russes, alors qu'elle avait pu constater qu'ils n'étaient pas agressifs. Elle n'arrivait pas à croire que ce qu'on lui disait n'était que mensonge, et pour refuser de voir la réalité elle avait décidé de finir sa vie dans le sang.
fin d'illustration
Tout ceci n'est pas pour t'effrayer mais juste pour te montrer de la façon la plus claire possible qu'un aveuglement si total de la réalité du monde peu nous pousser à faire les pires choses sans pour autant en être malade.
Oui tout ce que l'homme à fait est mal, mais il n'est pas pour autant mauvais ni malade. Il a, comme je l'ai déjà dit, explosé sous la pression qui s'attaquait à son espris.