J'avais une copine qui maîtrisait bien les cornes de gazelles. C'est moi qui les portait...

Bon... Et quand on est moche et qu'on ne maitrise ni les cornes de gazelle, ni le couscous, ni le tajine mais qu'on a des qualités (vraiment) essentielles (ex: qu'on sait imiter Dalida à la perfection et qu'on est par ailleurs capable de chanter tous les tubes des années 80 avec une justesse bouleversante) et si en plus on est polie et ponctuelle... on est quand même dans la compétition, ou?...

Tu sais vraiment pas faire la cuisine?

On veut bien être conciliant, mais faîtes quand même un effort quoi...

(PS: Moche, ça existe pas. On est toujours le moche de quelqu'un d'autre, et inversement... D'ailleurs je m'étais fais traiter de thon par une ancienne membre particulièrement casse-c... du forum, et j'y ai très bien survécu. )

Aaaaaaaaah une imitatrice de Dalida, c'est le top tout de même !

Je sais faire les crêpes, le couscous, la carbonnade flamande et le poulet basquaise!
Par contre le ménage faudra trouver une autre femme William

Oui ça va je maîtrise. Je peux te faire des baklawa, des makrouts, des kalbalouz mais c'est à consommer avec modération... D'ailleurs c'est bientôt le Ramadan il va falloir s'y mettre!

Mais personne ne parle des qualités essentielles d'une femme, ce qui fait qu'on à envie d'elle, qu'on ne peut se détacher ni la quitter, les qualités qui nous font dire "bon, elle à des défauts mais là au moins, elle assure...".
La chose vitale dans un couple !

... la conversation.

Shaede

En lisant le début de ton message Shaede, j'ai pensé que tu allais terminer par un truc très machiste du type:
"Une grosse poitrine" (c'est curieux d'ailleurs qu'aucun d'entre vous n'en ai fait mention!)

Edit: Je viens seulement de comprendre le second degré de ton message (il m'aura fallu pas moins d'un quart d'heures!)

Quel second degré ? Tout le monde sait bien qu'il n'y a que ça qui nous intéresse chez une femme...

Au lendemain de la nuit de noce, la jeune mariée, toute fière apporte un plateau avec café et croissants à son mari.

Il goûte, fais une grimace :
- Ah ? tu ne sais pas faire le café, non plus ?

Et le point commun entre les hommes et les emplacements de parking, vous le connaissez?

(Oui, je sais c'est de très mauvais goût... Pardon!)

HDJ

Petit séance avec le comptable de ma société: j'augmente de 30% mon CA mais mon bénéfice baisse de 15%

Comment est-ce possible ? Bah tout simplement parce qu'en France lorsque vous dépassez certaines tranches de CA vos charges augmentent de façons quasi exponentielles

Moralité, j'avais prévu d'embaucher un salarié supplémentaire cette année et je ne le ferai pas, je vais même peut être licencier une personne, en effet avec un salarié de moins je gagne mieux ma vie et bosserai plus que 50H par semaine contre 60 actuellement

Après on se demande pourquoi il y a du chômage dans notre pays

60 heures dans la semaine, je me demande comment tu tiens ? (enfin je dis ça, je l'ai fais) Donc en fait en France, plus une société gagne des sous, plus elle est taxée.

Je trouve normal qu'une société qui gagne plus paie plus (proportionnelle), ce que je ne trouve pas normal c'est que la fiscalité soit par palier sur les charges et les bénéfices et que de la sorte on dissuade les très petites entreprises comme la mienne (6 personnes) d'embaucher.

Cela devrait être l'inverse

C'est comme si on proposait à un salarié de travailler 40H au lieu de 35H tout en lui réduisant sont salaire de 15%.

Je suis aussi d'accord pour que les taxes soient proportionnelles, et c'est normal, après c'est sûr que les TPE qui sont pourtant moteurs de l'économie, ne sont pas aidées.

Je viens de découvrir ta trogne au hasard d'une déambulation sur la toile. La demoiselle n'avait pas de goût.

Quiconque dénigre le physique d'un membre de paranormal-fr n'a absolument aucun goût, voyons.

SansIPfixe : 60h par semaine je connais... Paradoxalement c'est le week-end qui est le plus dur, pour ma part

Shaede

Tu seras bienvenue, chez mooooooiiii, bienvenue cheeeeez moi!






@Metro: merci

Coup de : Hier j'ai pris le bus de 19h20. Il n'y a jamais personne à cette heure là, on a toujours 3 ou 4. Mais ce soir là une quinzaine de joyeux lycéens sont montés à bord. La bonne humeur était pour une fois au rendez vous, et en écoutant les discussions, ils parlaient d'une fête de fin d'année pour fêter la fin du lycée. L'excitation, la joie, se mêlait à l'avenir, aux interrogations sur les voeux choisis, les filières et la nouvelle vie étudiante qui s'annonce. Certains étaient impatients d'autres non.

Tout au long de ce trajet animé, je n'ai eu de cesse de m'émouvoir de cette insouciance qui j'ai, ou plutôt nous, avons, quoi qu'on fasse et quoi qu'on simule, perdu. Cette part enfantine, bordélique, adolescente et ultra énergique qu'on enterre trop vite.

Cette soirée, ces gamins ils savaient tous sans ce le dire, que ce serait la dernière de ce type, la dernière entre eux, la dernière vraie et authentique joyeuse beuverie. Pour avoir écumé les soirées étudiantes, jamais ils n'en connaitront de pareil à l'avenir, même si les fêtes étudiantes, simulacres destiné à oublier un présent terne, un avenir naze et une jeunesse de plus en plus lointaine, peuvent encore activer de tel souvenirs.

En quittant le bus, j'avais presque envie de leur souhaiter de se lâcher à fond, mais je crois qu'ils n'auront pas besoin de moi pour ça.

Souvent quand on est témoin de ce genre de scène, ça donne un coup de nostalgie

Je comprends cette impression que vous décrivez mais ne la partage pas.
Pour ma part, plus j'avance en âge (façon de parler, car je ne suis pas bien vieille!) plus j'ai l'impression de gagner en sérénité.
L'adolescence n'est pas une période facile et je préfère de loin la période que je traverse actuellement.

C'est sûr que l'adolescence n'est pas une période facile. Mais comme l'a dit Napoléon, c'est cette insouciance qui caractérise les ados (même les enfants) qu'on perd en vieillissant. Moi de mon côté, c'est ce qui me manque. D'être avec tous mes amis et qu'on se dise sur un coup de tête "Let's go on le fait peu importe ce qui arrive". Je ne dis pas que je ne fais plus aucun coup de tête mais étant maintenant une adulte, je suis plus consciente des conséquences de mes actes et ça me freine parfois. Quand tu es ado, tu t'en fous des conséquences, car tu as l'impression qu'il n'arrivera jamais rien de grave ou que tu vas gérer rendu là.

P.S. Vous aurez comprit que je ne parle pas de ces ados qui font du surf car ou des trucs de ce genre. Disons rien qui met la vie d'autrui en danger

C'est évident qu'une fois le cap de l'adolescence passé, la vie d'adulte commence avec tous les soucis que cela génère. La fin du lycée marque une transition évidente à ce niveau là. Pour autant, et si l'on excepte cette insouciance caractéristique à l'adolescence, il n'y a pas vraiment d'âge pour s'octroyer une bonne soirée sympa, se lâcher un peu et même retrouver son âme d'enfant. Tout est une question d'état d'esprit, de volonté de délaisser pour un temps les tracas de la vie quotidienne et profiter de la vie telle qu'elle se présente. Il est bon de savoir lâcher du lest de temps en temps.

Je peux t'assurer qu'à l'époque lors de la soirée de fin d'année de ma promo, et alors que nous étions pourtant entre adultes, l'ambiance était au rendez-vous et la beuverie quasi générale. Mais il n'y a eu aucun débordement, précisément parce que chacun était en mesure de savoir prendre ses responsabilités et se gérer. Une soirée de ce type entre ados se serait sans doute terminée d'une toute autre manière.

J'aurais donc tendance à dire que ce qu'on perd en insouciance avec l'âge, on le gagne en maturité

Linele dans une beuverie une kro à la main ? Il nous faut une photo.

Disons que l'adolescence est un terme plus vaste qu'on ne le pense. C'est un stade qui finit, apparemment à 30 ans, mais j'avais lu un livre très intéressant disant qu'en fait, il ne finit jamais, et reviens tout au long de la vie, comme des réminiscences.

Est-ce moi qui délire ou quelque chose a changé par ici? (Je parle de la police du forum et de la taille des caractères).

Rien n'a changé chez moi Metronomia

Napoléon, ça m’intéresserait de lire le livre dont tu parles. J'ai l'impression de n'en être jamais réellement sortie moi de l'adolescence. La vie m'a juste forcée plusieurs fois à faire preuve de maturité et de responsabilités, mais je garde au fond de moi cette envie de changer le monde, cette rage et cette impulsivité.
Je fuis les soirées télé/repas/télé/dodo... et je saute sur les occasions de sortir avec des amis dès que je peux, de les recevoir à la maison dès qu'ils en ont envie pour un café ou un repas improvisé.
Bref, je refuse une vie pépère dans laquelle je ne me reconnaitrais pas
peut être que tu parlais plutôt de l'insouciance que l'on perd. En effet, elle disparait dès qu'on en prend une belle dans la tronche. Mais ça, ça peut être à n'importe quel âge Mais comme le dit Linele, c'est peut être un + au contraire dans sa vie que d'avoir conscience des dangers, du côté noir de la vie. Ça permet d'éviter quelques pièges, de fuir les gens néfastes tout en profitant du côté lumineux et passionnant de la vie Tu ne penses pas?

T'es sûre Nili? Pas même un tout petit peu?

Malheureusement je n'ai plus le titre ni l'auteur en tête. Perte de l'adolescence serait pour moi une impulsivité qui aurait disparu. Et c'est bien dommage. Dernièrement un ami m'avait parlé d'un article d'un chercheur (ou un psychologue je ne sais plus), disant que l'enfance ne se terminait pas une fois l'adolescence venue, mais que la vie d'adulte est en fait une reprise de la vie enfantine, mais avec d'autres codes (les gens ne veulent plus tel ou tel jouet parce que leur camarade en a un, mais ils veulent une voiture, la même maison, un abri de jardin plus beau par exemple), gardant l'aspect mimétique propre à l'enfance.

De même nombre d'adulte refoule des pensées ado et enfantine, de peur de passer pour des attardés (des potes fans de Warhammer et pourtant ayant une activité professionnel importante sont limite vu comme des personnes régressives).

Moi je suis comme Metronomia. Je préfère vraiment ma vie actuelle malgré mes angoisses liées au travail plutôt que mon adolescence. J'ai vécu une enfance difficile et j'espère ne jamais revivre ça. Donc maintenant j'essaie d'en profiter au mieux en me faisant des petits plaisirs par-ci par-là.

Rien de rien. Tu as dû faire une fausse manip et l'affichage de ton texte s'est agrandi.

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