
Bonjour, je me présente : Docteur Baal.
De mon vrais noms Frédéric, je viens sur ce forum pour apporter mes nombreuses connaissances sur les sciences occultes.
Une petite présentation disponible ci-dessous.
Grand duc dont la domination est très étendue aux enfers. Quelques démonomanes le désignent comme général en chef des armées infernales.
Il était adoré des Chaldéens, des Babyloniens et des Sidoniens, on lui offrait des victimes humaines, des enfants pour obtenir de belles récoltes ou la déroute des ennemis, il commande à soixante dix légions et règne dans toute la partie orientale.
On le représente avec trois têtes : du chat, d'homme couronné et de crapaud, son torse râblé s'achève en pattes d'araignée.
Il rend invisibles et rusés tous ceux qui l'évoquent.
Baal ou Ba'al (hébreu : בַּעַל, בָּעַל, Báʿal, Báʿal, Báʿal, qui signifie seigneur) - Bēl en Akkadien et בעלת Baʿalat (phénicien) ou בַּעֲלָה (Baʿalāh, en hébreu) au féminin — est un dieu phénicien qui, sous les ramessides, est assimilé dans la mythologie égyptienne à Seth et à Montou.
Le terme Baal n'est pas à l'origine religieux: il dénote un être respectable, le seigneur ou le maître, parfois l'époux. De nombreux noms de rois sont donc précédés de cette particule. Le mot n'était d'ailleurs pas utilisé qu'à des fins honorifiques; l'exemple ba‘lāh hāri’šôn (l'ex-mari, le veuf) démontre la portée très large de ce mot. Un rabbin particulièrement reconnu était appelé Ba‘al Shem.
Baal est une appellation générique d'un faux dieu (en opposition à Yahvé, le seul vrai Dieu), accompagnée d'un qualificatif qui révèle quel aspect est adoré : Baal Marcodés, dieu des danses sacrées; Baal Shamen, dieu du ciel ; Baal Bek, le Baal solaire ; et surtout, Baal Hammon, le terrible dieu des Carthaginois. On peut aussi citer Baal-Zebub, qui a donné Belzébuth. Ainsi, chaque région avait son faux dieu, son Baal local.
Baal est devenu l'appellation punique de nombreux dieux d'origine sémite dont le culte a été célébré depuis le IIIe millénaire av. J.-C. jusqu'à l'époque romaine. C'est notamment le titre donné ( à tort puisque la Bible condamne les faux dieux, dont Baal. cela s'apparente donc à un blasphème.) à Yahvé : Bealiah (plus justement bə‘’alyâ), qui signifie Yahvé est Baal.
Son nom — le maître ou l'époux — se retrouve partout dans le Moyen-Orient, depuis les zones peuplées par les sémites jusqu'aux colonies phéniciennes, dont Carthage. Il est invariablement accompagné d'une divinité féminine (Astarté, Ishtar, Tanit), même si il est lui même ermaphrodite, tout comme Ishtar.
Baal comptait un temple important à Émèse (actuelle Homs) en Syrie, dont la grand-prêtrise appartenait à la famille des Bassianides. En 218, son grand-prêtre devint empereur de Rome sous le nom d'Héliogabale, grâce à une parenté avec les Sévères par les femmes. Héliogabale imposa son culte aux Romains.
Culte
Le culte de Baal est condamné dans la Bible. On le décrit comme le culte du veau d'or dans le livre d'Osée. Certains ont fait un rapprochement entre Baal et le Diable. Dans la bible il n'a aucune identité précise, mais rassemble toutes les divinités qui pourraient détourner le peuple de Dieu du droit chemin. C'est pourquoi dans le livre des juges chaque histoire commence par : « Le peuple de Dieu se détourna du Seigneur et adora les Baals et les Astartés. »
A ce culte est associé la prêtrise, et des sanctuaires sur chaque colinnes, appelés haut lieux. A l'intérieur se trouvait des icones et statues de Baal, et à l'extérieur des colonnes de pierre (probablement les symboles phalliques de Baal), des poteaux sacrés qui représentaient Ishtar, et des autels à encens. Des prostitués, males et femelles, servaient sexuellement sur les haut lieux, mais pratiquaient aussi le sacrifice d'enfants. Ce culte était associé aussi dans l'esprit à certains corps célestes (soleil, étoiles).